Avec La pudeur des icebergs, Daniel Léveillé creuse encore plus profondément le seul et même sillon : la dure confrontation du corps avec le corps de l’autre, les mystérieuses relations des corps dans l’espace, le tracé, l’élan et la chute inexorable du mouvement.
“A dance that could have been painted by Balthus ... why is it that such recognizable emotions glint through the pure pysicality of The Modesty of Icebergs ... a dance that lives in each moment ... a dance that communicates the extraordinary effort required to simple live ... ” Jennifer Dunning, The New York Times
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