Dans Belle-soeur, Patrick Besson raconte ce qui serait une tragédie chez des auteurs solennels, sous des plumes de plomb. Lui y met de la fantaisie, une gaieté irrévérencieuse, à moins que ce ne soit la vivace mélancolie du destin. Ne pas se fier à l'apparente légèreté, à la désinvolture des personnages: ils sont féroces. Tendrement féroces.
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