09 novembre 2010

At home




Je t’aime, cela ne fait plus aucun doute que je t’aime ; depuis le temps !
Je t’aime sous toutes tes formes, sous toutes les coutures.
Je t’aime de partout, partout, tout entier.
Je t’aime aussi quand tu te balades en slip minable toute la journée dans l’appartement. Quand tu n’as pas pris la peine de te raser ni même de te raser.. – tu comprends, c’est dimanche ! C’est le jour du seigneur, repos, niente, farniente. Grosse flemme ! –
Tu traînes du canapé du salon à ton gros bon vieux fauteuil bien défoncé. Nouvel obs et tasse de café à la main, en te grattant les couilles si élégamment que c’en est émouvant. Ah ! Et ces vieux CK que tu exhibes
! grisâtres à force d’êtres lavés, la ceinture un peu lâche et l’entrejambe qui bée, laissant apparaître quelques fois un de tes délicieux petits abricots. Le pire –pour moi- c’est quand tu t’affales sur le canapé sur le ventre, à moitié endormi, passant ainsi au cran supérieur du « veux rien faire », pas très loin du coma profond. Là tu offres à ma concupiscence ta cambrure accentuée, tes formes callipyges tendant le coton léger et fatigué de ton CK. Ton cul ! Ton cul aux fesses fermes, rebondies, tes fesses si naturellement écartées qu’elles laissent entrevoir les contreforts de ton délicieux troufignon.



Que faire d’autre que s’approcher ! Que faire d’autre que de passer la main sur ce tissu tendu , caresser cette chair qui se contracte à mon contact. Que faire d’autre enfin que d’enlever ce qui me sépare de toi !
Voilà enfin ma main qui de la tranche écarte ton derche. D’un doigt, je caresse ce lieu sacré que j’aime tant ces formes si sensuelles, cette discrète ligne de peau incroyablement douce qui mène des testicules à la porte sacrée de tes entrailles.



Bien sûr tu te redresses, tu me tends, tu m’offres ton cul et ton oignon maintenant en pleine lumière.
Un baiser, un souffle et tandis que mes mains fermement écartent tes deux lunes, la chair si délicate ici frémit et déjà tu t’entrouvres. Ma langue se glisse dans la brèche et se fraie un chemin, millimètre par millimètre tandis que je flatte de la main ta queue et tes couilles.
Qui se donne et qui donne ? Qu’importe, je suis en adoration devant cette tendre rosace qui m’appelle, qui va lentement céder à mes assauts amoureux.


Bientôt ma langue doit céder la place. Je masse énergiquement tes fesses. Ton trou du cul réagit et s'entrouvre en rythme. Bon Dieu, je suis au bord du collapse, je me glisserai tout entier par ce délicieux interstice. Vite, vite je me desappe. Jette mes fringues par dessus bord, libère mon viet qui se dresse turgescent en un instant.
Une petite goutte de salive et déjà un doigt se glisse sans encombre et te masse fermement tout en te caressant le périnée. Tu gémis, te cambre


encore plus et te livres tout entier concentré là à mes doigts qui, vaillants hérauts de mon immense désir, un par un vont ouvrir le passage. Je vais et je viens, je creuse doucement et sûrement mon sillon au dedans de toi. C'est si simple, si doux, si bon. Bientôt ma queue gonflée de désir remplacera ma main. Dressé sur toi je t'empalerai lentement, profondément, je collerai mon pubis contre ton cul, ma queue tout entière en toi, jusqu'à. E faire qu'un.

Qui se donne et qui donne ? Qu’importe.





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