Chaleur étouffante. Nuit noire. Nul oiseau ne chante, seul le bruissement polyphonique des arbres orchestré par Les violentes rafales du vent. Le ciel tonne, de plus en plus fort de plus en plus près. Je ne te vois qu'a la lueur irréelle, stroboscopique, des éclairs, dans l'eau noire de la piscine.
Quelle étrange sensation! Alors que les premières gouttes de pluie tombent, l'eau semble chaude presque poisseuse.
Sourires hachés, gestes découpés au bon plaisir des éclairs. Une feuille viens s'écraser contre ton visage, je l'ôte d'un baiser. Ce soir c'est dance floor en plein air!
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