11 septembre 2011

Je n'y peux rien.




Que veux-tu que je te dises! Quand je te vois là, affalé sur notre grand lit, lisant tranquillement sous ce timide soleil parisien. Quand je vois tes jambes légèrement écartées, le coton fatigué de ton ck glissé entre tes fesses, là, juste là où je me sens si bien d'habitude. Que veux-tu que je te dises, si non que c'est un instant de bonheur, un instant magique, hors de tout et surtout du temps. Oh! Bien sûr je te laisserai tranquille, ne voulant rompre pour rien au monde ce délicieux équilibre. bien sûr, l'envie de venir y glisser la main, l'envie de flatter ces formes aimées me taraudera, mais non, que veux-tu que je te dises, ne rompons pas la magie.



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