29 août 2020

Long trip **

La route semblait interminable;  depuis que l'on avait quitté les faubourgs de Los Angeles, la longue ligne noire de bitume s'étirait à perte de vue dans le désert.  En route pour Las Vegas, malgré l'ennui, la monotonie du paysage nous fascinait.  


Peu de voitures croisées ou doublées, la radio grésillant, la climatisation à fond pour se protéger de la chaleur du désert, seules les boules de racines traversant brusquement la route, venaient rompre la routine.


A mes côtés, sur la banquette arrière, tu avais décrété que la chaleur dans la voiture - la climatisation soufflant à fond-  était épouvantable et qu'il te fallait te débarrasser de ton short et de ta chemise.  Tu jouais sur ton smartphone , à moitié affalé sur la banquette, prenant presque toute la place, en slip et en marcel. 

Ton slip! Cela faisait longtemps que je n'en avais pas vu des comme ça ! Un "à poche" pur coton,  fatigué et béant aux cuisses... touchant et... bandant; j'entrapercevais tes couilles.. ouah..



Indifférent au paysage que tu parcourais pourtant pour la première fois, tu ne t'intéressais qu'à ton jeu parcourant son circuit plein d'embûches. 

Tes jambes largement écartées, ton slip baillant légèrement, tes pieds négligemment posés sur mes cuisses, commençaient à m'exciter furieusement. Je pense d'ailleurs que la situation ne t'échappait pas car je voyais bien que de temps en temps, tu me jetais des petits regards, juste pour voir comment je réagissais à ce qui semblait de plus en plus à de l'allumage. ...Sans parler de la douce pression de tes pieds sur mes cuisses. 


Bien entendu nos potes de devant ne perdaient rien de la situation. Plus personne ne disait mot et les petits coups d’œil dans le rétroviseur se faisaient de plus en plus moqueur.


À la guerre comme à la guerre, puisque tout me poussait à prendre du plaisir, j'ai posé ma main sur la poche kangourou de ton slip pour apprécier ce qui m'était semble-t-il, offert.  Tu as écarté un peu plus les jambes et lâché ton téléphone . 

Tu me souriais tandis que je caressais le coton et que mon pouce s'aventurait déjà dans la béance du tissu sur ta cuisse. Je sentais sous la douceur blanche du tissu,  la chaleur de ton intimité et déjà une tendre résistance ;  



C'était délicieux, Hmmmm! Cela durcissait sous mes caresses.  Cela dépassait de partout, ton slip kangourou n'ayant plus du tout la force de maintenir quoi que ce soit mais il faut dire que ta verge était impressionnante et tes couilles merveilleusement pendantes. Un régal pour mes mains et pour mes yeux. 

 Tu as fouillé dans le petit sac de sport posé à tes pieds et sorti un flacon de gel et tu as,  à mon grand étonnement,  aspergé ta queue avec !

La tête légèrement basculée en arrière, donnant de petits coups de bassin, tu gémissais déjà.  J'ai donné à ta queue la liberté qu'elle attendait pour s'épanouir pleinement sur ton ventre et se donner à mes caresses. Tes couilles bien pendues m'excitaient : elles couvraient ton périnée et se prêtaient aisément à mon exploration. Je les malaxais, les étirais; je les couvrais, ainsi que ton mandrin et ton œillet ,du gel que tu avais versé abondamment et  enfin les baisais, les gobais. 

Aucune urgence à ce stade de te débarrasser du slip ; je m'excitais à laisser mes mains jouer  avec ta queue et le tissu .

Bientôt ton membre tout entier se retrouva dans ma gorge me titillant la glotte et tandis que mon doigt s'étant frayé un passage dans ton délicieux et bien huilé troufignon pour te flatter la secrète prostate, tandis qu'agrippé à la portière  tu gémissais, de longues  et copieuses giclées de ta semence sont venues me couvrir le visage.


Je t'embrassai alors,  partageant ainsi ton foutre chaud et après cela,  satisfait ,  rassasié,   tu n'eus  toujours pas envie de te rhabiller. Tu te tortillas tant bien que mal pour enfiler  quand même ton vieux slibard  et c'est ainsi que, le corps étendu sur la banquette arrière, tu te reposas sur moi.

Nous restâmes ainsi tout le reste du voyage ma main  caressant paresseusement ta queue et tes couilles. 

La suite, sans doute dans notre chambre au pyramid hôtel!
17114



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire