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Curieux quand même. Quand on a fait le pas de
se retrouver à poil et en baskets dans un club, on se dit que ce n'est pas
seulement pour boire un verre en attendant que la nuit passe.
Je rejoins très vite le vestiaire à l’abri des
regards. Je m’enlève rapidement, trop rapidement mes quelques vêtements : mes
tennis, mon jean porté à même la peau et mon tee-shirt..
Voilà, maintenant il faut y aller ! Tétanisé
que je suis par le « ridicule » de la situation, je ne me décide pas à franchir
le pas de la porte. Je ne vais quand même pas passer la soirée caché …. Je
prends un air détaché évitant de croiser les regards que je sens accrochés à
mon corps et sans doute déjà à ma queue qui, évidemment, ainsi à l’air libre
donne déjà quelques signes de raidissement.
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A peine installé, une demi fesse posée sur un
tabouret de comptoir, sans même avoir eu le temps de commander une bière, voilà
que mon voisin se rapproche de moi, me caresse du dos de la main ma verge et me
demande en souriant l’autorisation de tremper ma bite dans son gin tonic car,
me dit-il,
- une queue ayant vécu toute la journée, enfermée dans la chaleur d’un slip, décalottée et trempée dans le martini blanc, c’est bien meilleur qu’une simple olive verte…. .
D’ailleurs, sans attendre ma réponse, il
décalotte d’une main experte ma verge légèrement raidie par sa légère caresse et, tout en continuant à jouer avec ma queue, trempe quelques instants mon
gland dans son verre avant de le porter
à ses lèvres et, apparemment en tous cas, s’en délecter
J’ai une pensée rapide pour James Bond….
- Avec quelques gouttes de mouille c’est
encore meilleur, me dit-il, l’œil gourmand et, après avoir pris une nouvelle
gorgée de son verre, il s’est approché de ma bouche, m’a embrassé laissant
s’écouler dans ma bouche le martini blanc. Cela n’avait bien entendu aucun goût
particulier, mais l’érotisme de la situation suffisait à m’exciter. Ma queue
était maintenant bien raide. Tout cela sous l'œil à peine intéressé voire
habitué du serveur, crâne rasé, piercing et jock strap.
A quoi je m'attendais!
Un bar où tout le monde se balade à poil, n'est pas forcément un salon de
thé!...Une main me caresse les fesses.
Ma bite, battant maintenant contre mon ventre,
continue à être l’objet de toutes les attentions de mon gourmet de voisin. Ne
pouvant plus tremper ma verge dans son verre, il s’amuse maintenant, une gorgée
de martini dans la bouche, à me la sucer tout en fouillant de la langue sous le
gland. C'est frais, c'est marrant. De temps en temps d'ailleurs, il insiste
pour partager d'un baiser avec moi cette fraîcheur alcoolisée.
L’ambiance devient étouffante, je sens mon
corps devenir le centre d’attention de la maigre assemblée ; de la chair
fraîche pour une bande d’habitués… je ne veux pas me retourner pour voir celui
qui s’attache à me palper délicieusement le cul. Savoir s'il est beau ou moche,
m'importe maintenant assez peu. Mais comprendre que je peux ou vais devenir
l'objet de désir des quelques mecs présents m'excite au plus haut point. Je
suis prêt au sacrifice, mes basket en guise de tenue de cérémonie, le comptoir
en guise d'autel, la techno en guise de cantiques, ces queues déjà tendues en
guise de pals. C'est clair, j'aurais sûrement honte après mais là, j'ai
vraiment envie de me faire baiser. En signe d'encouragement je tends mes fesses
et écarte légèrement mes jambes.
Le creux d'une main s’aventure maintenant dans
la raie de mes fesses. A chaque passage, plus profondément, plus bas aussi, me
caressant l’entrejambe, frôlant mes couilles.
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Il va venir, je le sens à ses mains qui me
tiennent de plus en plus fermement, aux petits instants de respiration qu'il
prend régulièrement pour me fesser, épouser de son corps ma cambrure, venir me
mordiller l'oreille. Faire durer un peu plus longtemps encore.
Il va jouir et cela va s'entendre; autant
j'aime exprimer mon plaisir autant j'aime, que mes partenaires se laissent
aller. Il jouit, dans un dernier et violent coup de reins, il jouit et le fait
savoir.
J'ai besoin de ce râle profond, presque une
lamentation, du mec qui décharge en moi. C'est le merci que j'attends; c'est
une communion.
A peine sorti, comme je l'espérais, sans me
laisser souffler ne serait-ce qu'un instant, quelqu'un d'autre s'attache à moi.
De nouveau des doigts viennent se mêlant au foutre du premier, explorer ma
rondelle. Des mains plus charnues m'agrippent, une queue massive cherche son
chemin. Ce n'est pas la même histoire. Le serveur, toujours attentif à la scène
me fait inhaler des poppers, une vague de chaleur m'envahit alors tout le
corps, je me sens d'un coup tout léger malgré cet engin qui, ayant fait son
chemin, accélère doucement la cadence. Je change de position; toujours accroché
fermement au comptoir du bar, les jambes toujours écartées au maximum mais les
pieds posés non plus sur le sol mais contre la paroi du comptoir; ainsi je peux
aider mon partenaire en pesant de tout mon poids sur sa pénétration.
J'entends autour de nous le bruit
caractéristique de queues astiquées fébrilement. "Gourmet" est
toujours là, et, tout en se branlant, prend de nouveau ma bite en charge tandis
que le serveur, régulièrement m'offre un coup de poppers dans le nez. Ma
position bien qu'acrobatique est merveilleuse: elle permet à cette massue de
s'enfoncer le plus complètement possible en moi, obligeant mon partenaire à me
soulever un peu à chaque mouvement de sortie; il peine à la tâche, il aime ça,
lui aussi va bientôt jouir, jouir sans retenue, malgré le public.
Et ce moment approche, je le perçois, à
l'intensité de ses mouvements, à l'énergie qu'il déploie maintenant; sa queue
semble avoir encore pris du volume… Et puis, d'un coup, il me laisse me poser
de tout mon poids sur sa bite, le souffle coupé pendant un instant puis un long
râle. Mes muscles s'activent à extraire chaque goutte de semence de son chibre.
Nous nous sommes séparés, je me suis alors décidé à faire face, je me suis
redressé, retourné, le gaillard qui venait de me baiser me souriait tout en
enlevant sa capote. Sa queue était effectivement d'un bon calibre, assez courte
mais épaisse sur toute sa longueur. Nous étions en sueur, autour de nous 5 ou 6
mecs finissaient de se branler en solitaire ou en couple.
Le sacrifice était accompli, les dieux avaient
reçu leur offrande, l'heure était venue de communier ensemble, l'heure du
partage, l'heure de la semence. J'ai pris ma queue bien raide dans ma main et
je me suis branlé moi aussi; je suis venu très vite. La tension, doucement est
tombée. Je suis resté un moment accoudé au bar, buvant enfin une bonne bière
bien fraîche tout en regardant les autres continuer leurs jeux érotiques.
"Gourmet", toujours fidèle au poste est revenu jouer avec mon sexe.
- reposé ? Dit-il avec un sourire tout en me caressant les burnes
- hmmm! Effectivement, on n'est pas encore rassasié....
J'ai tranquillement joui dans sa bouche. Après s'être redressé, il m'a octroyé
un petit bisou dans le cou et a quitté le club. Exténué je n'ai pas tardé à
prendre le chemin de la sortie moi aussi.
J'ai lu d'une traîte, je suis épuisé!
RépondreSupprimerTorride.il fallait bien ça avec la température à Paris c'est jour çi.Merci ;-).
Super !
RépondreSupprimerBien raconté. J'en bande encore. J'avais l'impression d'être à ta place en train de me faire limer. Merci.
Et bonne continuation.
Bizz
Et moi donc,les yeux fermés,je sentais une queue me limer.
RépondreSupprimerQuel bonheur et quelle jouissance!
Pierre