La chaleur était étouffante, une touffeur d'avant orages, Moite.
Les vêtements collaient à la peau. Même la piscine n'était plus un refuge de fraîcheur. L'eau était à 29º et n'offrait qu'un vague sentiment de fraîcheur; même pas envie de nager.
Il plongea dans l'eau en tee-shirt et maillot de bain qu'il enleva rapidement. Je regardais ce corps se mouvoir comme flouté par les clapotis de l'eau.
j'attendais particulièrement les instants fugaces où ses mouvements des cuisses laisseraient entrevoir son sexe ou, entre ses fesses écartées, de touchantes couilles.
Ces fesses blanches, ce dos au jeu musculaire tout en finesse, ces jambes élancées, donnaient à la scène un petit air de David hockney.
Il accompagnait un de mes amis arrivé hier au soir et à part son prénom, je ne le connaissais pas. La bande était partie à la plage et j'avais préféré rester à la maison pour jouir d'un après midi enfin calme. Je ne savais pas qu'il avait également souhaité rester là aussi.
Après ce bref bain, il sortit et se posa sur sa chaise longue en me décochant un petit coup d'oeil doublé d'un superbe sourire.
Les vêtements collaient à la peau. Même la piscine n'était plus un refuge de fraîcheur. L'eau était à 29º et n'offrait qu'un vague sentiment de fraîcheur; même pas envie de nager.
Il plongea dans l'eau en tee-shirt et maillot de bain qu'il enleva rapidement. Je regardais ce corps se mouvoir comme flouté par les clapotis de l'eau.
j'attendais particulièrement les instants fugaces où ses mouvements des cuisses laisseraient entrevoir son sexe ou, entre ses fesses écartées, de touchantes couilles.
Ces fesses blanches, ce dos au jeu musculaire tout en finesse, ces jambes élancées, donnaient à la scène un petit air de David hockney.
Il accompagnait un de mes amis arrivé hier au soir et à part son prénom, je ne le connaissais pas. La bande était partie à la plage et j'avais préféré rester à la maison pour jouir d'un après midi enfin calme. Je ne savais pas qu'il avait également souhaité rester là aussi.
Après ce bref bain, il sortit et se posa sur sa chaise longue en me décochant un petit coup d'oeil doublé d'un superbe sourire.
J'avoue que cette scène me troublait. Ce corps mince et bronzé séchant au soleil, les jambes légèrement écartées offrant à mon regard un sexe long et fin sur une paire de testicules bien pendue. Je m'imaginais être une de ces petites gouttes de sueur qui se frayaient un chemin sur sa peau brûlante pour quelques fois atteindre cette oasis blonde.
Se doutait-il de mon trouble? j'avais, pour ma part, fort heureusement gardé mon slip de bain et je m'efforçais de ne pas céder aux démangeaisons de plus en plus présentes de mon bas-ventre.

Il était trempé de sueur et moi je n'en pouvais plus! Sans vraiment réfléchir à ce que je faisais, je me levai et m'approchai de lui tout en masquant tant bien que mal mon érection naissante.
-tu vas te choper un super coup de soleil à rester ainsi en plein cagnard, veux-tu que je te mette de la crème solaire?
Je passai alors à la phase tartinage généreux de crème solaire par un intense massage. Les épaules tout d'abord puis descente vers la croupe et les fesses qui s'écartèrent alors sans équivoque.
Que faire d'autre? Je glissai la tranche de ma main entre ses deux demi-lunes, c'était chaud, humide, bouleversant. Je baisai son dos laissant mes lèvres descendre doucement le long de sa colonne vertébrale. Me tendant la croupe, Il gloussait de plaisir, tandis que mes doigts sans résistance fouillaient déjà sa profonde intimité. Ma langue très vite pris le relais tandis que saisissant son sexe dur et superbe d'une main, je tirais sur ses testicules leur rendant toute leur splendeur pour mieux les déguster.
- baise-moi, empale-moi bien profond,...! j'en passe et des meilleurs....
Sans même attendre sa réponse, je m'assis sur le bord inférieur de sa couche et armé de ma serviette, j'entrepris de le sécher. A travers le tissu de la serviette, ma main sentait les muscles de son dos frissonner légèrement au contact de la serviette éponge. Il va s'en dire que j'avais les hormones à l'envers et que je bandais déjà bien fort dans mon maillot. J'essuyai bien entendu ses fesses qui se contractèrent à mon passage. Ses jambes alors s’écartèrent un peu plus.
Je n'eus rien à faire ou presque; En prenant appui sur le dossier de son bain de soleil, il écarta les cuisses. Je n'eus qu'à me laisser guider pour être l'instant d'après en lui profondément ancré. Son désir, la sueur facilitaient bien des choses. Mon Dieu comme il bougeait bien; Rarement j'avais eu à faire à une telle danse devant moi en rythme avec de savantes contractions qui enserraient furieusement mon sexe, m'arrachant des cris de plaisir. Bien sûr, soumis à un tel traitement, je ne pus me contenir bien longtemps et je jouis dans un intense et rare orgasme en lui. IL m'avait tourneboulé. Ayant à peine retrouvé mes esprits, je ne souhaitais qu'une seule chose lui donner au moins autant de plaisir. Je le retournai et entrepris son sexe majestueux.
Quelle bonheur, quelle beauté que cette tige épaisse, ce gland tuméfié par le désir, ces couilles que je gobais à pleine bouche lui arrachant au passage de longs râles. Là encore, il ne tarda pas à jouir inondant visage de longs jets de semence épaisse. Assoiffé, il ne pus m'empêcher de se précipiter vers moi d'une bouche avide. Nous partageâmes en amants repus.
HUUMMMM quel merveilleux récit tu viens à livrer!!!!
RépondreSupprimerTu fus bien agréablement chanceux!!!