Il faisait vraiment beau en cet après-midi de début de printemps. On sortait à peine du confinement et pouvoir enfin se balader en ville était un vrai moment de plaisir, presque un plaisir nouveau ou oublié.
Même si beaucoup d'établissements
étaient encore fermés ou soumis à des jauges réduites, on pouvait quand
même faire un peu de shopping et prendre un pot aux terrasses des cafés.
Comme souvent, alors que
j'étais en train de payer à la caisse d'un magasin mon téléphone vibra dans la
poche de mon jean. Un peu énervé, je jetai un rapide coup d'oeil sur
l'écran pendant que la caissière enregistrait et rangeait mes achats.
C'était mon pote Jeff.
Je souris malgré moi, celui-là
quand il me sonne c'est toujours pour un plan cul....
- ça te dirais de sucer deux
belles queues dans un glory hole ?
Je ne pus m'empêcher de rougir à
la lecture du sms, comme si la caissière pouvait lire le message en même temps
que moi !
À la sortie du magasin, Je
répondis à Jeff:
-????? Deux? T'es avec qui? Glory
hole? Je croyais que les boîtes étaient fermées ? Ta queue je la connais par
cœur, lol!
La réponse ne se fit pas attendre,
- mon pote David est chaud
bouillant et je lui ai parlé de toi.... tu seras pas pas déçu, lol! ...
Le sauna où je bosse est fermé
mais je dois y aller faire du ménage, il y aura personne et avec mon pote
David, on a un trip glory hole.. tu viens?
- ok... fut ma réponse,
laconique.
Quelques minutes après,
j'arrivais devant la porte de l'établissement.
Un panneau indiquait la fermeture
pour cause de covid mais Jeff avait laissé la porte entrouverte.
Ça faisait drôle de pénétrer dans
ce lieu habituellement fréquenté et aujourd'hui vide et plongé dans une
légère pénombre.
Connaissant l'endroit, je savais
que les glory holes se trouvaient à l'étage. Pressé de les retrouver, je
montais rapidement, dans le silence inhabituel et à vrai dire un peu
pesant.
Dans la salle sombre et aux murs
noirs juste éclairée par l'éclairage de secours, deux excroissances de chair se
détachaient de la noirceur des murs.
Je reconnus bien sûr la longue verge de Jeff et je choisis de goûter pour commencer à la queue tout aussi longue mais plus épaisse qui devait être celle de son pote David.
Une bonne odeur de bite longtemps
comprimée dans le coton d'un slip ou d'un boxer s'en dégageait. Âcre et
acidulée à la fois, je la humais avec délectation avant de
l'enfourner goulûment.
J'aimais immédiatement sa forme
veineuse s'adaptant à merveille à ma bouche.
Si de ma main droite je tirais
sur ses couilles pour donner le bon rythme à son mandrin, je n'oubliais
pas mon pote Jeff que je branlais de la main gauche.
Le gland gonflé et circoncis de
David m'excitait beaucoup, un vrai régal. Je glissai le bout de la
langue dans son méat, recueillant les premières gouttes de mouille,
en léchai le proéminent contour, puis descendais vers ses couilles que je tirai
vers moi pour les gober. il râlait, le corps collé à la paroi...
Il me fallait bien sûr ne pas
oublier mon Jeff et quittai régulièrement mais à regret le bel engin de
David pour gober sa longue tige.
Ma bite gonflée poussait
douloureusement contre le coton de mon slip et de mon jean, chaud bouillant
comme j'étais, je pris quand même le temps de lâcher la hampe de Jeff
pour déboutonner mon jean, le baisser ainsi que mon slip et libérer
ainsi, enfin, mon braquemart. La scène devait être cocasse:
je n'avais même pas pris la peine de me débarrasser de mon sac à dos et
pantalon sur les chevilles, cul à l'air, bite dressée, je suçais
avec en train une queue tout en branlant une autre.
La pièce dans laquelle je me
trouvais est entourée de murs peints en noir mat et percés de larges
ouvertures. Derrière se trouve une estrade qui en fait le tour. Les mecs
se collent contre la paroi, glissent leurs membres dans les ouvertures et
attendent que des amateurs de bonnes queues s'en emparent. L'estrade
étant surélevée, on peut voir par-dessus la paroi qui s'occupe de vous.
Certains jours d'affluence,
l'ambiance est plutôt torride...
Cette position surélevée permit à
David de voir ma pine dressée, si raide que mon gland se trouvait à moitié décalotté
et frottait contre la paroi.
- hey, t'avais pas menti
Jeff, ton pote à une pine maousse! J'ai hâte d'y goûter !
Quelques secondes après,
mes compagnons me retrouvaient dans la pièce. Pas la peine de me faire
prier, Je me mis à genoux pendant que David et Jeff baissaient leurs
falze dégageant complètement leurs membres et se mettaient torses nus en
soulevant leurs tee-shirt derrière leurs épaules. Moi, j'avais encore mon
sac sur le dos !
C'est David qui entama "les
hostilités " en fourrant son vit à fond dans ma gorge, entamant sans
ménagement ses va-et-vient tandis que je me branlais d'une main tout en me
tenant fermement à ses chevilles afin de ne pas tomber sous ses coups de reins
.
Jeff se caressait la verge
et ses longues couilles tout en attendant que j'alterne. Impatient,
il me tira par les cheveux pour me forcer à quitter David et me pénétrer la
gueule de sa longue tige que je savais gober entièrement malgré sa
taille. J'aimais sucer Jeff car je pouvais m'occuper de ses longues
couilles pendantes, tirer dessus pour qu'il gémisse comme un chat,
et les gober pour jouer avec elles dans ma bouche.
Quelques fois, même en
pleine action, même super excité, absorbé par le plaisir pris et
donné, il m'arrive d'avoir des moments que je qualifierais de lucidité,
de prise de conscience du moment vécu et quelques fois de son incongruité...
comme une prise subite de recul.
C'était ce qui m'arrivait
.. j'étais à genoux à me faire baiser la bouche par deux belles queues
dans un silence uniquement rompu par les gémissements de mes partenaires mais
surtout par le bruit un peu insolite de déglutition..
- venez les gars, montons là-haut,
on sera mieux ! Déclara Jeff.
Nous nous dirigeâmes vers
l'escalier menant aux combles sans même nous rhabiller, claudiquant tels des
canards nos falzes sur les chevilles et les vit dressés.
Les combles que je connaissais
bien sont équipés de matelas couverts de toiles imperméables bleus et de
lits. Des écrans diffusent en permanence des films de boules. Les grands
matelas sont propices aux baises en groupe.
A peine arrivés, je me
débarrassai enfin de mon sac et de mon tee-shirt et à genoux à nouveau,
engouffrai la queue de David. David et Jeff ôtèrent leurs tee-shirt tout
en se caressant et se bécotant goulûment.
Cette tringle m'excitait de plus
en plus et je sentais ma rondelle se détendre à l'idée de me faire prendre.
Je me levai pour me pencher
vers la queue de Jeff. David comprit vite. Il pris quelques secondes pour
se débarrasser de ses fringues. Enfin nu, tout en s'astiquant le
pieu, il commença à me caresser la raie du cul. Ses doigts fouillaient ma
toison et bientôt un doigt vint s'aventurer dans ma rosace.
Ne pouvant pas bien écarter les
jambes gênés par mon pantalon sur les chevilles, Je me déshabillai enfin
et Jeff fit de même. Enfin libre de mes mouvements, c'est les cuisses
bien écartées que je pompai Jeff et recevais les premiers assauts de la langue
de David. J'étais aux anges ! Je gobais la longue tige de Jeff tandis que
les fesses énergiquement écartées, la langue de David me bouffait
le cul.
Il ne fallut pas longtemps pour
qu'il y glisse un doigt puis deux.
J'étais en feu ma queue
malgré ma position courbée, à chaque mouvement de ses doigts allant et
venant, tournant, s’écartant autour de mes sphincters,
cognait ville contre mon ventre ; je mouillais abondamment et je luttais
déjà pour retarder l'orgasme.
- viens sur la banquette,
on sera plus à l'aise, me susurra Jeff
Une façon comme une autre pour
lui et pour moi aussi de reprendre nos esprits et de nous donner un peu de répit.
Il s'assit les jambes bien
écartées, la queue bien dressée offerte et à quatre pattes à ses côtés,
les cuisses largement écartées, offert à David, je m'attaquai avec ardeurs à ce
pieu brûlant.
Enfin David se positionna derrière moi et s'empala, enfonçant entièrement son mandrin en moi, son ventre brûlant contre mes fesses moites de sueur.
Ses va-et-vient faisaient battre
ses couilles contre les miennes. Un délire de plaisir....
- à moi maintenant, déclara
Jeff, viens te planter sur ma bite mon poteau.
Je me séparai alors de David et à
califourchon sur Jeff, m'empalai à sa longue tige. Tout en me branlant,
m'appuyant d'une main sur sa cuisse, je soulevai mon corps et le laissai
retomber sur ses cuisses ne laissant pas un cm de son mandrin dehors. A ce rythme-là
on est vite comblé mais vite épuisé . David me réclamait, j'obéis
et face à face, à califourchon sur lui , m'empalai à lui. En
sueur, cependant aidé par David, Je soulevai mon cul de ses cuisses, Là
encore seul le bruit de succion provoqué par sa grosse queue me défonçant la
rondelle et mes gémissements rompaient seuls le silence de la salle. Pendant ce
temps Jeff à côté de nous se caressait et m'encourageait dans mon plaisir ; il
tenta même à un moment de joindre un doigt en plus de la verge de David tout en
me glissant à l'oreille
- prépare-toi bien car bientôt tu
auras les deux... et puis à mon tour maintenant.
Et une nouvelle fois je changeais
de pal.
Tournant le dos à David, en
appui sur le canapé, Je m’infligeai le doux supplice ; mes
sphincters enserraient fermement sa verge et je sentais ses grosses veines
gonflées de sang rouler contre moi.
Ma queue cognait contre mon
nombril; Jeff s'en empara et accompagnant mes mouvements ; je dus lui
demander de s'arrêter tellement j'étais perpétuellement au bord de
l'orgasme.
- il est prêt, tu crois pas
? Dit Jeff en regardant David
- viens ici mon pote, t'as bien
travaillé
Je m'exécutai une nouvelle
fois.
A califourchon sur Jeff, sa
pine me défonçait le cul par de grands coups de reins quand David vint se caler
contre moi et enfoncer doucement son pieu l long de la queue de Jeff.
Pour la première fois,
j'avais deux bites dans mon cul ! David s'en donnait à coeur joie ; me mordant
l'épaule tout en donnant de grands coups de reins enfonçant en moi et frottant
la longue tige de Jeff qui visiblement en profitait aussi.
- viens mon pote me demanda
David tout en se retirant, couche toi sur le lit là-bas, maintenant
c'est nous qui bossons.
A peine couché sur le dos,
les jambes levées et bien écartées, il vint me pilonner à
nouveau.
J'avais fort à faire ! encaisser
les coups de butoir de l'un qui le défonçait le cul et la bite de l'autre qui
me transperçait la gorge. Sans compter les efforts qu'il me fallait faire pour
ne pas jouir alors que Jeff me masturbait à me déchirer le prépuce.
Nous étions trempés de sueur et
tous aux limites de l'orgasme.
David avait très envie de goûter
à mon braquemart...
Il se retira en
disant
- à toi maintenant, défonce-moi
la chatte, un tel engin c'est pas tous les jours !
Et c'est ainsi qu'il vint
s'embrocher sur moi
- putain, on le sent passer
celui-là !
Quand ses fesses furent au
contact de mes cuisses et après avoir soufflé quelques instants, il
commença ses va-et-vient ; doucement tout d'abord puis accompagnés de
gémissements de plaisir de plus en plus intenses.
Jeff en profita pour en mettre
une couche si je puis dire.
Sa longue tige se glissa contre
la mienne. David, hurlait de plaisir couché sur mon torse, tandis
que Jeff allait et venait dans son cul. Il tenait fermement mon visage et
m'embrassait entre deux halètements.
Il fallait baisser la tension
quelques instants.
Jeff se retira, et s'assit sur le
lit et David pris ma place.
Je restai quelques instants
debout, la queue bien dressée devant moi à admirer ces deux corps
magnifiques, brillants de sueur, chacun tenant d'une main de belles
verges dressées.
Même si David levait déjà
les jambes levées mais avant cela je voulais goûter à nouveau à ces hampes
moites de nos intimités explorées.
Penché sur eux je me délectai
tour à tour de ces verges brûlantes et prêtes à exploser puis je donnai à David
ce qu'il attendait, un pilonnage final ; j'y mettais mes dernières force,
mon bassin choquant bruyamment contre ses cuisses. Il gémissait en mesure avec
mes ahanements. Pendant ce temps Jeff le branlait et se masturbait en même
temps, juste au-dessus de son visage.
Je jouis le premier ; de longues
et puissantes salves de foutre dans son cul que j'avais hâte de recueillir et
de partager.
Mes deux potes suivirent peu
après ; David gicla copieusement sur son ventre et son torse et Jeff
l'abreuva abondamment de sa semence.
Ma verge extraite, Je
regardai ses sphincters agités de leurs derniers spasme, sa rosace se
refermer éjectant ma semence.
J' en recueilli une belle
quantité au bout de la langue, m'écroulai épuisé sur David et d'un
profond baiser, partageai mon foutre avec lui.
Après quelques minutes comme en apesanteur, nous partîmes tous dans un grand éclat de rire. Heureux du moment passé.
- bon les gars c'est pas tout ça mais je suis censé faire un peu de ménage ! Hier je suis venu vider le grand jacuzzi, et vous allez m'aider à le nettoyer, à trois ça ira vite. Pas la peine de se rhabiller, on va y aller au jet.
- ok Jeff, on va se marrer déclara David.
Et c'est à poil, nos sexes encore gonflés que nous rejoignîmes le sous-sol où se trouvent le sauna, le hammam, les douches et le jacuzzi géant.
C'est munis de grosses éponges et d'un jet qu'il fallut descendre dans le bassin vidé de son eau.
Une vraie partie de rigolade ! On s'arrosait à coups de jet, on de tartinait la gueule, les fesses ou les sexes à coups d'éponges savonneuses. Sans parler des glissades inopinées. C'était comme un moment de grâce de voir nos corps nus s'agiter , se chamailler dans la mousse.
Quand nous eûmes fini, nous passâmes à la douche. L'occasion pour nous donner un dernier moment de tendresse en nous lavant et nous essuyant les uns les autres.
L'occasion de faire monter de nouveau le désir, nos verges revigorées en étaient les témoins muets....
Il fallut partir, dans l'escalier menant aux combles, c'était attendrissant de voir les belles fesses de mes compagnons se mouvoir en montant les marches quelques fois aussi j'entrapercevais les couilles de Jeff..
Au moment de se rhabiller, David demanda.
- je ne trouve pas mon slibard, vous avez pas vu mon slip?
Je m'approchai alors de lui, avec un petit air malicieux et approchant ma main de son visage et du mien, Je nous fis renifler son slip
- hmmm! Murmurai-je , c'est moi qui l'ai, il sent toi, Je le garde en souvenir...
David, rigola
- petit vicieux, donne moi le tien alors , j'aime pas me balader sans sous-vêtements.
- marché conclu !
Il enfila mon slip et finit de se vêtir, de mon côté, je gardai on slip dans mon sac et j'enfilai mon futal à même le corps. Je voulais garder son odeur intacte .
Je ne voulais pas quitter David sans possibilité de le revoir et nous échangeâmes nos tél .
Il faisait toujours beau dehors et c'est joyeux mais endolori que je me séparais de mes compagnons.
Je ne résistai pas à sortir le slibard de David de mon sac et pour en marchant je le portais à mes narines. Son odeur me ramenait quelques minutes en arrière, là-haut dans les combles du sauna abandonné.
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