Après quelques échanges infructueux, je suis tombé sur un blond, portrait craché d'un ex, S. Couillon me suis-je dit, tu vas quand même pas jouer à ça: te taper le sosie de S. ! Mais je n'ai pas résisté, nous avons échangé quelques mots, j'ai expliqué ce que je voulais, donné l'adresse de mon hôtel et attendu.
Je n'ai pas eu à attendre trop longtemps. J'ai entendu la porte s'ouvrir et se refermer. Le froissement des vêtements ôtés, des pas légers sur la moquette.
Des mains encore froides se sont posées délicatement sur mon torse, une douce odeur d'agrumes est venue me chatouiller les narines ; je frémissais, j'avais la chair de poule tandis que ses mains, très douces, effleuraient mon ventre, titillaient mes tétons déjà bien durs. Il était là, l'inconnu entre mes cuisses, je ne le voyais pas mais je sentais sa peau contre la mienne, son odeur et je résistais encore à l'envie d'ôter mon bandeau pour le découvrir.
Il prenait son temps, tout en retenue, tout en caresses tantôt délicates, tantôt fermes; je ne bandais pas encore curieusement; parfois ses doigts frôlaient le tissu de mon slip me soutirant un nouveau frémissement, un gémissement de désir. Je brulais d'envie qu'il m'en débarrasse, qu'il libère mon sexe de sa gangue. Mais non, il frôlait, caressait, faisait mine quelques fois de soulever le tissu mais en restait à ses préliminaires délicieux qui me faisaient gémir et supplier doucement, qui me faisaient me tortiller de désir .
Ses doigts se glissaient parfois sous le tissu sans jamais ne serait-ce qu'effleurer mon sexe. Curieusement, emporté par la tendresse du moment, je ne bandais toujours pas même quand enfin, ses doigts sont venus par dessus le coton léger, caresser si légèrement ma verge . Quand enfin, il a fait le geste de soulever l'élastique de mon slip, persuadé qu'il allait enfin me libérer, j'ai poussé un petit cri de soulagement.. Mais c'était encore sa stratégie de montée progressive du désir.
Puis ses lèvres se sont posées sur ma cuisse; pour la lécher, baiser, mordiller; quant à moi, je caressais mon sexe par dessus le coton. ses lèvres remontant doucement sur mon ventre, mon torse; son souffle chaud caressant ma peau, moins qu'une caresse, un frôlement, effleurant à peine le duvet de mon corps. Soudain, il m'a serré délicatement le cou, sa bouche tout contre la mienne, je voulais l'embrasser, lutter langue contre langue mais elle s'éloignait de quelques centimètres à chacune de mes tentatives. Je bandais enfin, le désir devenu presque insoutenable devenait plaisir; ma verge raidie, douloureuse, mon gland butant contre le coton humide maintenant de ma mouille.
Enfin nos lèvres se sont rencontrées, enfin les premiers baisers; fugaces au début empressés ensuite.
- tu me voulais, hein, tu veux faire l'amour avec moi, hein? tu ne me connais pas mais tu veux me sentir en toi ? me sussure-t-il entre deux baisers.
-oui, oui j'ai très envie de toi, baise-moi fort, donne moi du plaisir ai-je gémis en réponse tandis que ses lèvres mordillaient, baisaient mes seins, mon ventre,..
Ses lèvres mordillaient ma verge toujours enserrées dans mon slip et lorsque j'ai tenté une nouvelle fois de l'ôter, il m'en a empêché fermement; il voulait garder la main, c'est lui et lui seul qui était à la manœuvre, il voulait contrôler mon plaisir, je devais lâcher prise, prendre le plaisir qu'il me donnait. Mais le désir était trop fort; tandis qu'il caressait ma verge, celle-ci s'est forcé le passage et s'est extraite du slip; l'air frais de la pièce est venu caresser mon gland décalotté, c'était délicieux. Très vite sa langue est venu le lécher; plaisir inoui, plaisir de l'attente, de la soumission totale.
Enfin, enfin, il a permis à mon sexe tout entier de s'extraire du slip qu'il a glissé sous mes couilles; Ma verge dans sa bouche, glissait doucement vers sa gorge tandis que d'une main il me serrait fortement la gorge.
J'étais en attente d'un déchainement, d'une explosion, mais tout ce qu'il faisait était dans la retenue ; petits coups de langue fugaces sur ma verge, sur mon gland, sur mes tétons, baisers à la fois brefs et enflammés et moi je restais au bord de l'implosion, de l'orgasme, fou de désir tandis qu'il m'empêchait d'une main ferme de gémir et de le supplier plus fort . C'était comme une gestion cruelle de la frustration, une frustration qui effectivement me rendait dingue de désir! j'ai tenté plusieurs fois de prendre ma queue si dure qu'elle en était douloureuse pour me branler rudement, comme pour accéder plus rapidement au plaisir mais là encore il m'en empêchait, il voulait maitriser le temps, la montée du désir vers l'orgasme, j'en pleurerais!
enfin il a soulevé mes cuisses, fait glisser mon slip, baisé mes fesses, ma raie. Je sentais la fraicheur de son souffle sur mon œillet puis l'humidité de sa langue cherchant son chemin; je gémissais, j'implorais. Je me suis cambré comme pour faciliter le passage, comme un appel et j'ai poussé un cri profond étouffé cependant par sa main tandis que son doigt pénétrait mon cul, pour une exploration intense. j'implorai de nouveau...
quand enfin, sa queue s'est pressée contre ma rosace et m'a pénétré toute entière, ça a été comme un soulagement, un accomplissement, je sentais les veines gonflées de sang frotter contre mes sphincters, c'était doux et délicieux. Sa tige m'allait parfaitement.. comme s'il avait été spécialement conçue pour moi ; mon cul était le fourreau où elle allait et venait profondément mais avec une douceur extrême. Même quand il intensifiait ses va-et-vient, c'était une déferlante de sensations, une explosion de plaisir.
Il est venu ensuite me retirer le bandeau, m'embrasser fougueusement avant de me tendre sa longue tige toute moite de mon intimité. Je l'ai gobée avec fougue, il m'a laissé faire, laissant déborder enfin ma passion amoureuse.
Mais ce que je voulais encore et encore c'était m'embrocher sur son vit turgescent. il s'est assis contre le lit et je me suis empalé jusqu'à sentir ses cuisses contre mes fesses. c'était à moi maintenant, enfin de donner le rythme et j'ai alors entamé une longue et fougueuse série de va-et-vient sur sa tige; la sensation était telle qu'il m'empêchait de la main de hurler de plaisir. Mais le bougre voulait reprendre le contrôle de la situation; il m'a fait coucher sur le dos, tête dans le vide pour m'embrocher la gorge avec sa longue et fine tige. après cela, c'est à quatre pattes qu'il m'a pilonné tout en utilisant mon bandeau comme une bride qui me cambrait à chacun de ses coups de reins.
Il m'a retourné, s'est emparé de ma verge toujours aussi raide et m'a branlé doucement jusqu'à ce que je couvre mon ventre d'un épais tapis de sperme.
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