Esprit de camaraderie
Après les obligations habituelles, visite médicale, entretien avec un officier,... comme tous les autres, après avoir reçu son paquetage on lui indiqua le baraquement qui allait être pour lui et les autres soldats de la section, leur logement.
C'était un bâtiment rectangulaire avec une rangée de lits et d'armoires individuelles de chaque côté d'une allée centrale. À un bout, une grande salle carrelée de blanc équipée de deux rangées de lavabos avec contre le mur, une ligne de douches non séparées. À l'autre bout, derrière une porte battante, les toilettes.
En cette fin d'après-midi, tous aspiraient à un moment de tranquillité pour se retrouver et commencer à s'acclimater à ce nouvel environnement et à cette nouvelle vie. Mais il fallait avant, faire son lit et ranger ses affaires dans le petit placard individuel. Après seulement, on pourrait enfin s'occuper de soi.
En cette fin d'après-midi, tous aspiraient à un moment de tranquillité pour se retrouver et commencer à s'acclimater à ce nouvel environnement et à cette nouvelle vie. Mais il fallait avant, faire son lit et ranger ses affaires dans le petit placard individuel. Après seulement, on pourrait enfin s'occuper de soi.
Les vêtements civils rangés, les lits faits, la plupart d'entre eux voulut prendre une douche, sans doute la meilleure façon pour déstresser. Ce fut, pour Greg, un premier moment d'émoi. Il prit enfin conscience de la forte intimité dans laquelle il allait vivre avec les 12 autres conscrits.. Le petit pincement au coeur, les petits picotements au bas-ventre qu'il ressentait et qui le mettait mal à l'aise dans les vestiaires des gymnases. Plongé dans un univers masculin, totalement masculin, il allait devoir les assumer tout le temps en évitant que cela se remarque.. Et voilà qu'autour de lui, les gars les uns après les autres se dirigeaient vers les douches, certains en slip, d'autres ceints d'une serviette autour de la taille, quelques-uns simplement nus, serviette à l'épaule. Tout cela dans un joyeux brouhaha. Il décida de plonger dans l'arène, il se déshabilla lentement, avec ce qu'il estimait être une nonchalance "naturelle ". Quand, entièrement nu, il posa son slip dans le sac de linge sale dans le placard, il se rendit compte que son sexe se trouvait à hauteur du visage de son voisin de lit qui était
en train de se ranger ses affaires. Le picotement caractéristique dans son pubis lui fit craindre un moment un début d'érection.
en train de se ranger ses affaires. Le picotement caractéristique dans son pubis lui fit craindre un moment un début d'érection.
- hey ! Tu veux que je te pompe ou quoi, fut la réaction amusée du gars.
- non, elle est trop grosse pour ta bouche ! Fut sa réplique du tac au tac et il se félicita d'avoir su répondre ainsi.
Il mis sa serviette sur l'épaule et se dirigea tout aussi négligemment vers les douches. Les voix et les rires raisonnant sur le carrelage, ce n'était que blagues salaces et humour potache sur la savonnette qui tombe ou surtout sur les premières compétitions de longueurs de bites. Il fit même semblant de faire tomber sa savonnette, ce qui fit rire tout le monde et fit fuser des commentaires amusés sur "son beau petit cul ". Il eût ainsi le sentiment d'en être, de faire partie de la bande.
C'était chouette de reluquer à travers la vapeur d'eau, ces beaux corps musclés, ces culs, ces sexes de toutes formes et tailles, rasés ou pas. C'était d'une certaine façon, la meilleure façon de construire la camaraderie forte qui devrait les unir.
Après cela l'autre sujet de rigolades fut l'essayage du caleçon kaki réglementaire.; défilé genre haute couture dans l'allée centrale suivie d'un lancer général des slips kangourous de " la vie civile ". C'est à ce moment que le sergent vint pour l'inspection. Il fallut ramasser vite fait les slips qui traînaient partout et rejoindre son lit. Greg en récupéra deux qui ne lui appartenaient pas et ce fut un autre instant d'excitation. Il les rangea dans son placard en se promettant de les renifler dès que possible. Il se demanda aussi qui avait récupéré le sien.
Le calme revenu, chacun sur son lit vaqua à ses occupation. Certains lisaient, d'autres discutaient. C'était agréable.
Extinction des feux. Il ne fallut pas longtemps pour que le silence du dortoir ne soit rompu que par les respirations, les ronflements des dormeurs.
Greg n'arrivait pas à dormir. Il voyait défiler dans sa tête ces images si érotiques de ses camarades. Images fugaces, instants volés ; une cuisse aux muscles saillants, balancement d'un sexe, couilles entre aperçues entre deux cuisses,... et puis surtout l'émoi absolue lorsque un des gars s'est penché cuisses écartées pour s'essuyer les jambes: vision fugace d'un délicieux œillet.
Il bandait, il bandait dur et il le savait, impossible de dormir dans ces conditions. Il souleva alors le drap, dressa sa longue verge, se décalotta et commença à se masturber. Comme sa queue était belle sous la lumière blafarde de l'éclairage extérieur ! Longue, veineuse, épaisse !
Il avait une envie folle de se mettre un doigt dans le cul tout en reniflant les CK qu'il avait mis dans le placard mais il fallait rester discret et surtout ne pas réveiller les autres.
Il mouillait abondamment et les va-et-vient de sa main sur sa verge humide faisait quand même un peu de bruit sans compter qu'il retenait avec peine ses gémissements.
Soudain, un bruit de draps et de matelas qui grince, sûrement un gars qui se retourne dans son lit... il entrouvrit les yeux et vit devant son visage une épaisse queue cherchant le chemin de sa bouche ! Après un premier instant de frayeur, il reconnut son voisin de lit qui lui souriait, alors sans réfléchir il ouvrit la bouche et la verge s'enfonça dans sa gorge.... et entama un va-et-vient intense qui rythma sa masturbation.
Et tandis que la masse veineuse et lourde s'enfonçait dans sa gorge, il imaginait le moment ou il se prendrait cette queue dans le cul, ça lui faisait tout drôle rien que d'y penser mais on pouvait déjà supposer que ça ne le ferait pas rigoler le moment venu.
De plus en plus excité, le gars lui appuyait sur sa tête, lui caressait le corps, titillait ses tétons devenus tout durs et s'amusait aussi avec ses couilles. Il les malaxait, les écrasait, pas trop pour éviter de réveiller les autres mais juste ce qu'il fallait, juste assez pour le faire couiner.
Le gars semblait insatiable, il n’arrêtait pas; il enfournait sa bite dans la bouche de Greg qui la suçait goulûment, puis, au bout de quelques secondes, il la retirait, se branlait devant sa bouche, puis le biflait, puis enfournait... Greg en avait le tournis, et avait du mal à suivre ce rythme effréné.
Ils en oubliaient le reste de la compagnie et même s'ils prenaient soin de faire le moins de bruit possible, les gargouillis, chuintements et autres couinements se mêlaient aux ronflements et respirations des autres.
Le gars finit par retourner Greg, se positionna debout derrière lui, ôta son short, enleva son tee-shirt, jeta le tout sur son lit puis frotta sa bite à l’intérieur de son sillon. Il empoigna Greg par le bassin, le ramena vers lui, continua à se frotter la queue dans son cul, mollarda dans sa main, enduisit sa teub de salive et humidifia aussi l’intérieur des fesses de Greg. Le gars se recula un peu, comme pour prendre son élan, lui bifla l’entrefesses, et entra sa bite dans son anus, sans davantage de préliminaires.
Elle entra d’un coup, bien à fond, toujours aussi dure et gonflée, Greg la sentait bien lui remplir tout le fondement, et il se laissait totalement faire tandis que le gars s’activait à l’intérieur, et commençait des mouvements de va-et-vient intenses, rapides et réguliers. Tantôt il appuyait ses mains sur le bas du dos de Greg, tantôt il les mettait autour de son bassin pour ramener son corps, qui avait tendance à partir en avant, bien contre le sien.
Les deux prenaient un pied d’enfer, et auraient voulu que ce moment de sexe, malgré le danger, dure une éternité.
Mais il fallait s'y attendre, ils avaient réveillé un autre gars... et un nouveau braquemart se présenta devant la bouche de Greg qui la goba sans discussion au rythme endiablé des coups de reins de l'autre.
Pour mieux savourer cet instant de plaisir et de surprise, le premier gars resta un moment sans bouger, la bite totalement à l’intérieur de Greg, il se laissa même aller à pencher son buste pour venir l’appuyer contre son dos de façon à savourer encore davantage la sensation que leurs deux corps ne faisaient plus qu’un tout en matant la teub de numéro 2 s'enfoncer puissamment dans la bouche de son mec. Il finit par reprendre ses mouvements de va-et-vient, mais de façon plus lente, même s’ils restaient toujours réguliers.
Ce coït anal et buccal dura de longues minutes : quand on aime de cette façon, on ne compte pas. Le numéro un avait l’impression qu’il aurait pu ainsi continuer des heures, il ne sentait pas encore la sauce monter, et avait la sensation agréable de bien maîtriser ses pulsions, qu’il arrivait ainsi à mettre au service de son propre plaisir, et du plaisir de son partenaire.
Et c’était le cas, car Greg prenait beaucoup de plaisir, et malgré le mandrin qui lui remplissait la bouche émettait de petits soupirs, la tête penchée en avant, et les mains appuyés sur le pied de lit.
Numéro deux commença subitement à grogner et très vite inonda la bouche de Greg de foutre. Il lui donna une petite claque de remerciements sur la joue et repartit satisfait vers sa couche. Numéro un continuait à le pilonner; il avait à nouveau accéléré le mouvement, ce qui avait entraîné chez Greg des gémissements de plus en plus forts qu numéro un tentait d'étouffer en calant fermement sa main contre sa bouche. Mais lui aussi avait commencé à soupirer de plaisir, les deux hommes avaient l’impression de se répondre, dans une sorte de concert des plus harmonieux.
Greg était aux anges, il en profita pour caresser les fesses du mec, qu’il n’avait pu encore toucher; elles étaient bien fermes et le mouvement des muscles dans l'effort sous ses mains décupla son excitation.
Le moment qu’ils sentaient tous deux venir allait être un moment d’extase et d’excitation absolues.
Greg, la bouche ouverte, les yeux fermés, la tête basculée en arrière,
les jambes écartées, le cul ouvert, se donnait totalement ; chacun des deux étant
au bord de l’explosion.
Dans cette position, Greg bandait bien à fond, et il n’eut pas à se
toucher bien longtemps pour éjaculer dans un cri étouffé, un hurlement même, et
pour cracher des jets puissants de sperme qui allaient inonder les draps blancs de son nouveau lit.
Dans la seconde qui suivit, numéro un largua aussi la purée dans les
entrailles de Greg, qui en fut inondé, et lui aussi émit des gémissements
sourds et graves.
Tout en laissant sa bite à l’intérieur de son compagnon, il s’affaissa
lentement, vint coller son corps contre le sien... et déposa sur son dos un doux baiser ; comme un geste de gratitude.
Numéro un, se dégagea, regarda un moment son sperme s'écouler de ce cul ouvert qu'il venait de défoncer puis sans rien dire rejoignit son lit. Couché il fit un petit clin d'œil à Greg et s'endormit aussitôt.
L'après
Au réveil, Greg se débrouilla pour se lever après "numéro un " . N'ayant vu que sa bite, il était incapable d'identifier "numéro deux ".
Il l'évita lors de la toilette et il eût aussi l'impression que l'autre l'évitait de même.
Il fit avec les autres la queue pour le petit déjeuner et s'installa à une table avec d'autres conscrits.
- cette place est libre ?
Greg se tourna vers le nouveau venu et devint blanc comme linge quand il reconnut son " numéro un " .
Celui-ci souriait, grandement, fier de son effet sur Greg.
Il s'assit à ses côtés,
- salut, moi c'est Dick et toi ?
- Greg
- enchanté Greg, tu as bien dormi? Les matelas sont moyens, non ? Mais au moins ils ne son pas trop bruyants..
- très drôle, répondit Greg
- allez ! Pas de panique, dit-il tout bas, on a passé un bon moment tous les deux.. je dirais même tous les trois... t'es PD?
- ça te regarde!?
- oh la! Calme mec. Écoute, je ne sais pas ce qui m'a pris ! Je suis hétéro, j'ai une copine mais quand je t'ai vu te donner du plaisir, ça m'a excité ; t'as une belle teub entre parenthèse ! Et je me suis levé sans réfléchir et voilà. Après on a pris et on s'est donné du plaisir tous les deux et voilà rien d'autre. Ça ne se reproduira pas et chacun fait ce qu'il veut, OK ? Mais que tu sois pd ou pas on s'en fout. On est potes, ok ?
C'est là que le troisième est venu s'asseoir à côté de nous avec un petit air moqueur..
- salut les mecs ! Moi c'est Steve ! Alors on s'est éclatés hier soir, dit-il en regardant Greg ; on remet ça ? Tu suces bien..
C'est Dick qui mit le holà.
- écoute bien Steve, hier soir on a tous pris notre pied les uns avec les autres et donc toi aussi. Maintenant il n'y a aucune raison que ça se reproduise et surtout pas comme tu semble l'imaginer. Maintenant on a du boulot et finissons notre petit déjeuner.
Après cette mise au point, aucun ne fit plus d'allusion à cette première nuit. Les journées passaient normalement. Ils se côtoyaient, se parlaient mais ni plus ni moins qu'avec les autres et personne d'autre ne semblait être au fait. Steve et Dick avaient tenu leurs langues et aucun n'avait essayé d'obtenir quoique ce soit de Greg.
Cependant, durant ces premiers jours d'entraînement, Greg s'était rendu compte que Dick lui plaisait beaucoup et même si au début il faisait tout pour se persuader du contraire, ses nuits étaient souvent hantées par le souvenir de leur première fois et il se surprenait souvent à le chercher du regard durant les activités de la journée... et puis il avait la nette impression, malgré la relative indifférence que Dick semblait lui témoigner, que celui-ci aussi regardait quelques fois de son côté.
Les week-ends, la plupart des conscrits, s'ils n'étaient pas d'astreinte, partaient en famille. Greg quant à lui partait moins souvent ; il ne s'entendait pas bien avec ses parents et surtout avec son père et n'avait pas de petit copain. Alors il lui arrivait souvent de passer le week-end à la caserne et il en profitait pour aller au cinéma et quelques fois aussi dans les bars..
Ce week-end là, le hasard fit que Dick ne partit pas non plus. Le samedi, ils firent tout pour s'éviter. Greg alla se promener en ville, se fit une toile et se débrouilla pour rentrer tard à la caserne; en pure perte puisque Dick n'était pas encore rentré quand il rejoignit la chambrée. Le lendemain matin, il était évident que Dick l'évitait et même qu'il lui faisait la gueule. Il lui avait proposé de faire un tour en ville mais, glacial, en évitant de le regarder, Dick lui répondit qu'il était fatigué et qu'il allait rester là à bouquiner.
Greg fulminait, prêt à exploser.. il prit son maillot de bain pour faire un tour au bord du lac mais il n'y resta pas longtemps, trop énervé pour se relaxer.
Il prit un taxi et rejoignit le casernement, bien décidé à crever l'abcès.
Dick était là couché sur son lit avec effectivement un bouquin. Greg claqua la porte à la surprise de Dick.
- bon, c'est quoi le problème ?! Pourquoi tu m'évites tout temps ? Pourquoi tu me parles à peine ? Tu fais la gueule ou quoi !?
- c'est quoi ton problème à toi?! Pourquoi je te ferais la gueule ?! T'es personne pour moi !
- allez, pourquoi tu m'évites ? Pourquoi ces regards noirs comme si tu me reprochais quelque chose? C'est parce que je suis gay ? Mais tu as bien aimé ce que nous avons fait la première nuit? Et si t'as aimé, j'y suis pour rien ! Et puis si je suis personne pour toi, alors pourquoi je te surprend souvent à me regarder en coin?! Quand je prends ma douche par exemple?
Disant cela, Greg s'approcha de Dick et lui caressa la joue mais Dick le rejeta violemment, trop violemment..
- ça va pas non! Je t'ai dit que j'étais pas pd! Ne me touche pas !
- arrête Dick ! Répondit Greg en le prenant par les épaules. Moi j'ai envie de toi, voilà c'est dit. J'ai envie, besoin d'être près de toi et oui, ton attitude me chagrine et m'attriste d'autant plus que j'ai vraiment le sentiment que tu éprouves quelque chose pour moi..
Dick ne dit rien et ne se dégagea pas de l'étreinte de Greg et son expression en disait long. Puis il tourna ses yeux vers Greg, le fixa un moment et ils s'embrassèrent enfin, fougueusement .
Greg poussa lentement Dick vers le lit, celui-ci comme hypnotisé se laissa faire. Comme il se laissa ôter le t-shirt, déboutonner le pantalon, baisser le slip. Bientôt, assis nu sur le lit, il regardait Greg lui sucer la verge . Puis il reprit ses esprits; sa verge se raidissait dans la bouche de Greg et il ouvrit grand les vannes du désir. Un mec lui bouffait la teub et il aimait ça, plus encore il le voulait. Il posa ses mains sur la tête de Greg pour pousser plus profond sa tige dans la gorge de celui-ci, bascula sa tête en arrière comme pour mieux savourer ces instants.
Greg toujours entre ses cuisses, ôta son t-shirt. Là encore le choc, comme une décharge électrique. Ce corps qui hantait ses rêves depuis cette première nuit, ce corps qu'il rêvait de toucher chaque jour un peu plus, se dévoilait devant lui. Greg sans le quitter des yeux se releva, ôta son pantalon, son boxer et se tint quelques instants devant lui. Nu, son sexe dressé contre son ventre. Une nouvelle barrière tomba, Dick submergé par l'émotion, compris que là, maintenant, il désirait plus que tout, ce sexe masculin, cette douce couronne de poils, cette verge longue, épaisse, veineuse, ce gland proéminent, ces petites couilles bien fermes, qui s'offraient à lui.
Ils s'enlacèrent sur le lit; corps mêlés, bouches avides, les salives, les odeurs se mêlant, les enivrèrent.
Dick, parcourait tendrement le corps de Greg ses doigts, sa langue devinant sous le grain de la peau toute une géographie de muscles et il tenta d'en mémoriser chaque centimètre. Quand enfin sa bouche se posa sur le gland humide il eût le goût de sa mouille.
Il la prit dans sa main et il commença à la caresser, fit ensuite de petits va-et-vient sur toute sa longueur, elle était toute brûlante.
— Continue comme tu fais c’est bien mais tu peux aussi me caresser les couilles susurra Greg d'une voix tremblante.
D’une main Dick continua à le branler et de l’autre il caressait ses couilles lisses et pendantes. il approcha ses lèvres et commença à poser des baisers dessus puis du bout de la langue lui lécha le gland.
Il ouvrit grand la bouche et timidement il pris la queue en suçant timidement le bout. Sa bouche s’ouvrit un peu plus pour mieux accueillir cette belle queue et commença à faire des va-et-vient tout en jouant de sa langue. A entendre ses gémissements, Greg appréciait et prit sa tête entre ses mains et commença à donner des petits coups de bassin pour mieux baiser sa bouche, alternant des mouvements lents et plus rapides.
la bouche pleine Dick ne pouvait même pas répondre car Greg lui baisait la bouche de plus en plus profondément tout en accélérant les mouvements. Quand il relâcha enfin la pression, il ressortit sa queue toute raide et toute brillante de salive.
— lèche moi un peu les couilles maintenant.
Sans hésiter Dick lui lécha les boules pendant qu’il s’astiquait, passant de l’une à l’autre il se surprit même à les prendre dans la bouche pour jouer avec provoquant de petits couinements chez Greg.
En même temps, Greg se glissa entre ses fesses, humant son intimité, recueillant les précieuses et fines gouttelettes de sueur, forçant ensuite de la langue son œillet.
il gémit, bien sûr, c'était la première fois qu'on lui faisait cela! Et il aima ça, il aima le picotement de la barbe naissante de Greg sur la fine peau de son sillon, la douce pression de la langue sur sa rosace. Après cela, il voulut la bouche ayant vaincu son intimité, il voulait lui aussi en connaître la saveur. Dans un furieux baiser, Dick lui dévora la bouche, happant furieusement sa langue, baisant ses yeux, son nez, tout ce qui quelques instants auparavant fut au contact de son tréfonds. Leurs corps s'embrasèrent, se déchirèrent sous les caresses et les baisers. Enfin, Dick se tournant vers le pubis de Greg, sa bouche parcourut du bout des lèvres sa fine toison avant de lui dévorer la verge. Tête bèche , Greg lui baisait les boules, léchait son entrejambe et écartant les fesses, fourra son visage dans la brousse humide, vers la rondelle de Dick qui en cet instant, voulais le sentir entre ses fesses, sentir son souffle contre sa rosace.
Greg, devant cet œillet frémissant, voulait ardemment y glisser un doigt voir deux,... Mais c'était sans doute trop tôt ........ Alors Greg offrit son cul, à celui qui était encore son pote hétéro ; c'est, se dit-il, ce qu'il savait et aimait. Il se donna donc à lui....
- baise-moi, murmura Greg entre deux halètements.
- Non, je veux aller jusqu'au bout, toi, baise-moi, je veux savoir ce que ça fait.... mais vas-y mollo...
- toi, alors?! T'es sûr ?
Pour toute réponse, il se mit à califourchon sur Greg et s'assit sur son visage. En écartant bien ses demi-lunes, Greg y fourra la langue, lécha la rondelle, cracha et doucement l'œillet frémit, s'entrouvrit.
Greg lui demanda ensuite de se mettre sur le dos et de bien écarter ses jambes puis il continua à lui préparer le cul. Il cracha, fessa, lécha puis présenta son doigt à sa rondelle, tapota, caressa, puis doucement l'introduit tout en lui suçant la bite.
Greg fit quelques va-et-vient qui électrisèrent Dick ; il y mit ensuite, doucement un second doigt. Dick grimaça mais Greg continua avec beaucoup de tendresse à le préparer. lui dilatant la rosace, lui caressant le ventre, la queue, tout pour l'apaiser.
- ça va ? Tu veux que je m'arrête tu n'as qu'à le dire.
Les doigts de Greg naviguaient bien en Dick qui soupirant les yeux fermés, la bouche entrouverte, se tortillait, se cambrait en couinant, sensible aux caresses intimes.
Greg se retira et regarda entre ses fesses écartées, son cul entrouvert. Alors Il le retourna sur le ventre, attira son bassin vers lui et de nouveau lui bouffa la rondelle; intensément. Dick gémit très fort et par moment, peut-être encore inconsciemment, se cambrait, poussant son cul sur le visage de Greg. Le bougre visiblement était en train de découvrir une nouvelle facette de lui-même !
Enfin il présenta sa verge, son gland tout contre son œillet, frotta pour déposer quelques gouttes de mouille puis poussa, doucement; très doucement; Dick se crispa, il se retira quelques instants et revint.
-Respire profondément; ça va aller dit-il en poussant.
Il y était.. il poussa cm par cm et, quand enfin son bassin fut tout contre ses fesses, il entama ses va-et-vient.
Greg le calmait, le rassurait, leurs corps étaient en sueur; ses petits cris de douleur se transformaient peu à peu en soupirs de plaisir. Greg le chevauchait, tapotant de temps ses fesses charnues, l'embrassant aussi tandis que ses coups de reins enfonçaient son dard au plus profond de Dick.
Dick était vraiment réceptif et non seulement encaissait parfaitement le pilonnage intense de Greg mais ses cris étouffés pouvaient en témoigner jouissait de plus en plus. Quelques fois Greg se retirait quelques instants juste le temps d'admirer ce trou vierge il y a peu, complètement ouvert et avide de son mandrin. Dick bandait dur et un abondant filet de mouille s'écoulait sur le lit.
Soudain, Dick se redressa subitement, s'accrochant au cou de Greg, poussa un grognement profond et sans même se toucher, sa teub dressée cracha de puissantes et copieuses salves de foutre.
Greg était tellement excité par cette expérience inattendue qu'il fut rapidement au bord de l'orgasme.
Dick tout à son orgasme serrait fortement ses sphincters autour de la verge de Greg et ce fut le coup de grâce ; Greg joignit ses grognements à ceux de Dick et expulsa des belles giclées de foutre.
Ils restèrent ainsi quelques instants,
serrés l'un conte l'autre,, imbriqués l'un dans l'autre.
- mec, tu veux gouter au foutre?
Dick ne dit rien tout entier encore accroché à son orgasme mais à ses yeux Greg comprit qu'il acquiesçait. Il se dégagea, Laissa son sperme couler de la rosace dilatée, en recueillit un peu avec ses doigts qu'il tendit à Dick. Ensuite il lui montra sa verges moite de foutre. Dick n'hésita pas , il se baissa et la nettoya complètement.
Ils restèrent enlacés longtemps sans rien oser dire. Ce qui venait de se passer allait changer leurs vie, ils le savaient. Quant à Dick il aurait à assumer ou pas qu'il venait de faire, vivre, découvrir..
Mais la journée était déjà bien avancée, bientôt les camarades de chambrée allaient rentrer de permission.
Ils allèrent en silence prendre une douche.
Ce fut encore un grand moment de tendresse partagée. Une longue douche brûlante. Un corps à corps d'une intimité intense. Dick craqua, en larmes, dans les bras de Greg.
Après cela ils se rhabillerent sans mot dire.
- salut Greg, je vais marcher un peu, j'ai besoin de me retrouver seul ..
- Dick, attends, parlons, reste pas comme ça ! Parlons !.
Mais il était déjà dehors.
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