27 février 2024

Le voyeur


Même si je continue mes études, j’ai toujours de gros besoins financiers et vivre à New-York est de plus en plus cher.  J'ai pris goût à mon " métier " d'escort, façon élégante pour dire gigolo.  D'abord ça rapporte bien, si on fait gaffe et si on trie bien les clients, on rencontre des gens intéressants et on vit des expériences étonnantes.  C'est une école de la vie.  Et puis je dois être honnête, j’y prends plaisir. Ça flatte mes différents travers. Mon côté exhib, égocentrique, sans compter les différentes demandes qu'il faut assouvir et qui quelques fois révèlent des penchants nouveaux chez moi. 

Cette fois, la mission était assez simple.  Je devais attendre quelqu'un au pied de l'arc de triomphe de Washington square et le suivre vers un hôtel où mon client avait réservé une suite.  J'avais accepté que la "mission" soit entièrement filmée.  Le client collectionnait les enregistrements de ses "expériences " et je ne l'ai compris qu’après, le cameraman était son mec..
Il m'a filmé dans la rue comme s'il m'avait alpagué au hasard.  J'ai joué le jeu en faisant quelques mimiques que je pensais être caractéristiques du prostitué.
Arrivés à l’hôtel, le cameraman m'a tendu la clé d'accès à la chambre. 
Début du show.
Je me suis rendu dans la salle de bains. 

Je devais laisser la porte ouverte.  Dave, entre-temps j'avais appris qu'il s'appelait Dave. S'était assis, entièrement nu sur un tabouret, face à la porte de la salle de bain.  C'était un mec d'une quarantaine d’années, plutôt baraqué ; c'était plaisant pour la suite de la "mission "!
Je me suis déshabillé lentement, comme un strip-tease sensuel.  Cette scénographie, flattait mon penchant exhib, et le savoir maté, désiré, m'excitait et me faisait bander. Parfait pour le show.  En boxer rouge, j'ai fait durer le suspense. Il ne pouvait pas ne pas voir que je bandais et je voulais ainsi faire monter la pression... 
Quand enfin j'ai baissé légèrement la ceinture élastique de mon boxer, ma longue queue à jailli.  Je l'ai regardé.  Il avait sa bite dressée et il se branlait doucement.. C’était un beau morceau et j'allais clairement déguster. 
J'ai ôté mon boxer et je lui ai jeté à la figure pour qu'il le renifle.  Ce qu'il n'a pas manqué de faire tandis que je me tortillais pour lui montrer tout ce qu'il allait pouvoir avoir. 
Je me suis enfin approché de lui. 



 Il a posé ses lèvres sur mon ventre, sur mon gland.  Il a caressé mes couilles avant de glisser sa main entre mes fesses. Sa main était douce et délicate.  J'aimais sa façon respectueuses presque amoureuse de découvrir mon corps tout en continuant à branler son mandrin dressé humide de mouille. On s'est embrassés puis je le suis baissé pour recueillir ces précieuses gouttes qui coulaient de sa verge. 
Je me suis tourné. Cambré, écartant mes fesses d'une main, pour lui offrir mon cul à découvrir.  Il a longuement parcouru mes globes du bout des lèvres avant d'approches sa bouche de mon sillon.  Sa langue est alors venue caresser ma rosace avant de la pénétrer et de lécher les rebords de mon sphincter. 
Après cela il m'a de nouveau retourné et s'est mis à sucer ma queue tout en glissant un doigt dans mon oeillet, toujours avec la même douceur.  
Un second doigt est venu s'introduire en moi tandis qu'il continue ses va-et-vient sur ma verge.  Ils pénètrent profondément, tournent, s’écartent, détendant mes sphincters..
N’y tenant plus je me suis empalé sur son mandrin tendu jusqu'à sentir ses cuisses contre mes fesses et j'ai entamé un frénétique va-et-vient. Pendant que sa queue me vrillait les entrailles, il caressait, léchait, mon torse, ma queue gonflée à bloc qui battait contre mon ventre. 
J'ai voulu changer de position ; je me suis levé face au mur, jambes écartées et il est venu me pilonner. Maintenant je recevais sa queue avec toute l'énergie de ses coups de reins.  Je gémissais sans retenue, vaincu par le plaisir donné par ses coups de butoir. 
 Nous sommes allés dans la chambre, il s'est couché sur le dos et je me suis occupé de sa queue en lui donnant  des coups de langue sur toute sa longueur 
- Oh oui. C'est bon, continue.
J'ai pris le gland entre les lèvres avant de l'avaler puis J'ai commencé à le sucer, caressant ses couilles, parcourant les veines gonflées de sang du bout de la langue, je la sentais palpiter au fond de ma gorge. Il aimait ça le bougre mais il avait très envie de revenir explorer mon tréfonds.
J'ai alors pris sa place, cuisses relevées.  Son gros gland est venu quelques instants caresser ma rondelle avant de s'y engouffrer d'un coup sec. Il s'est alors déchaîné.  Son  vit  s'enfonçant profondément,  son bas-ventre cognant contre mes fesses à chaque coup de reins.  Je me suis emparé de ma queue et je me suis branlé à son rythme. Il n'a pas fallu longtemps pour que je jouisse, expulsant une belle salve de foutre qui est venu s'écraser sur mon visage. 
Il a alors redoublé de puissance jusqu'à, dans un long spasme, remplir mon cul de sa semence. On s'est après cela longuement embrassés. Il était visiblement satisfait de ma/notre prestation.  Il savait que je n'avais pas feint le plaisir et c'était bon pour son amour-propre. 
Le cameraman, je l'avais oublié celui-là, a applaudit discrètement.  Ce petit "salaud " avait tout filmé! 
Dave lui a proposé de nous rejoindre.  Il a lâché sa caméra, s’est dévêtu et il s'est couché avec nous.  Il bandait encore... il ne fallait pas être grand clair pour deviner qu'il y aurait une suite.  La nuit ne faisait que commencer. 




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