24 février 2024

premier week-end

J'ai rencontré Joseph au boulot.  On se croisait de temps en temps à la cafétéria et je voyais bien qu'il se passait un petit quelque chose à chaque fois. 
Un jour, il s'est débrouillé pour arriver en même temps que moi. Par chance, les collègues avec qui je déjeune régulièrement étaient en réunions et j'étais seul.  Il m'a souri et proposé " puisque nous étions séparés tous les deux "que l'on déjeune ensemble. 
On a bien sûr échangé nos numéros de téléphone et on s'est promis de se revoir.
Ça n’a pas loupé bien sûr.  Quelques jours après, en se croisant de nouveau dans un ascenseur, il m'a proposé de passer une soirée ensemble. 
Ce qui devait arriver arriva.  Ce soir-là, nous avons couché ensemble et c'était bien. 
Après cela, on y est allé prudemment.  Quelques coups de fil, une nouvelle nuit ensemble et l'idée de passer un week-end ensemble à la campagne dans une petite maison appartenant à ses parents. 
De fait, pour atteindre la maison,  il fallait laisser la voiture au bord d'une petite route car le chemin n'était praticable que  par des voitures hautes comme des 4x4. Il fallait ensuite marcher une dizaine de minutes avant d'atteindre ce qui finalement s'apparentait plutôt à un refuge de chasse qu'à autre chose... L’électricité étant fournie par un générateur et l'eau par un puit...  Il y avait aussi un petit étang où l'on pourrait se baigner en toute tranquillité... Mais tout cela je ne l'ai appris que sur la route vers la maison. 

Après effectivement une grosse dizaine de minutes de marche, en haut d'une colline, la maison est apparue.  Joseph était très excité par la perspective de passer ici ce week-end en ma compagnie ; "cela allait nous permettre de mieux nous connaître ". Nous avions fait de grosses courses au supermarché d'un village proche et il avait déjà prévu tous les menus !
En bas de la colline se trouvait le fameux étang. Joseph me l'a montré très fier, 
- Viens avant toute chose on va se baigner !
- quoi maintenant ! Le suis-je exclamé elle doit être froide... 
- mais non ! Tu vas voir ça va nous débarrasser de la sueur de la marche et nous ouvrir l'appétit pour le succulent dîner que je vais nous préparer !
Aussitôt dit, il s'est précipité au bord de l'étang, s'est débarrassé très vite de son sac à dos, de ses fringues... quand il a ôté son boxer, j’ai vu qu'il bandait ! 
De mon côté, j'étais plutôt réticent... l'eau devait être froide et il suffisait de voir les difficultés pour rentrer pour être sûr qu'il y avait des cailloux partout...
Mais l’enthousiasme, la joie et les cris de de Joseph étaient communicatifs et je me suis laissé convaincre. Je me suis déshabillé et ai tenté maladroitement de le rejoindre car, oui, le sol était caillouteux et glissant.  Mais c'était finalement super.  L'eau était bonne. C'était un moment très agréable entre nous ; alternant entre rires, bagarres, éclaboussures, tendresse et embrassades.  À un moment, Joseph est sorti de l'eau. C'était comme si je découvrais enfin sa beauté.  Il se tenait debout tout au bord de la berge, jambes écartées, bras sur les hanches, souriant de bonheur. Sa longue verge était à moitié dressée. Soudain, il a soulevé sa queue, et m'a dit en riant, 
- j'ai envie de pisser ! 
Et là sans attendre, il a pointé sa verge vers moi et a lâché les vannes.  Il me pissait dessus le bougre ! Et abondamment ! Je n'ai rien dit, surpris. Finalement, ça m'excitait aussi de voir ce beau mec heureux pisser, c’était comme un jeu de gosses. 
A mon tour, faisant semblant d'être en colère, j’ai voulu le rejoindre sur la berge mais il s'est alors remit à l'eau et me regardant, 
- à toi maintenant ! Venge-toi !
Je lui ai pissé dessus mais contrairement à moi, il ouvrait la bouche... il semblait aimer ça !...
Après cela, nous nous sommes précipités l'un vers l'autre pour nous embrasser, nous caresser.
- ça t'as choqué que je te pisse dessus ? 
- on s'en fout, fut ma seule réponse, si tu aimes, j’aimes ; viens j'ai envie de toi!
Je me suis baissé, j'ai collé mon visage,  bouche ouverte sur sa verge dressée,  je l'ai serré contre moi,  mes mains agrippées à ses  fesses que j'écartais ainsi.  J'ai léché longuement ses couilles et sa verge pendant qu'il me caressait le dos.  On échangeait des baisers par intermittence.  C'était tendre et amoureux. Nos corps encore humides tremblaient et on ne pouvait dire si c'était à cause de la caresse de l'air de cette fin d'après-midi ou le désir... C'était comme une première fois.
Il s'est glisse derrière moi, il m'a caressé le torse entre deux embrassades.  Sa queue cognant contre mon dos. Il ne cessait de me lécher, de m'embrasser tout en me malaxant fermement les couilles et de maintenir ma queue dans une douloureuse raideur tout en continuant à me lécher le cou et les oreilles. Je me suis cambré comme pour lui signifier ce que je désirais le plus en ce moment. Sans un mot il a commencé à me préparer à sa venue ; un doigt, puis deux. Mon cul trempé se prêtait bien à l'exercice. 
Sa bite à caressé mon sillon, caressé ma rosace puis lentement s'est introduite en moi. Après quelques va-et-vient, il a commencé un long et méthodique pilonnage me soutirant des gémissements et des plaintes à réveiller la contrée.
Accroché à moi, ses coups de bassin enfonçaient son mandrin au plus profond. Il s’avait si prendre le bougre et je lui rendais bien car je serrais  mes sphincters à fond autour de sa queue. Maintenant, que le plaisir était entier, j’avais besoin, envie de le voir, de voir les muscles de son corps unis dans l’effort, de voir la jouissance monter dans son regard plein de désir, de voir aussi bien sûr cette queue me pourfendre à chaque coup de reins.
La sueur dégoulinait sur nos visages et nos torses, bientôt, comme vaincu de fatigue, il a désarçonné ; juste le temps pour moi de me retourner sur le dos et de lever les jambes pour de nouveau l’accueillir. Tandis qu’il me défonçait le cul ses mains ont agrippé mes pecs, ses yeux rivés aux mieux cherchaient l’orgasme proche, la sueur couvrant nos corps épuisés. Il ne fallait pas conclure , pas tout de suite et pour nous donner un peu de répit, un peu de repos, je lui ai demandé de se coucher, son braquemart dressé comme une trique et je me suis empalé sur lui ; un choc car cette fois-ci le poids de tout mon corps me poussait contre sa queue qui m’embrochait à fond ; cette fois-ci je me devais de faire le boulot en soulevant mon corps pour le reposer lourdement, mes fesses contre ses cuisses tandis qu’il me branlait de concert; le plaisir montait et n’y tenant plus j'ai jouis longuement d’un long jet de sperme sur son torse et sa main et après quelques instants pour redescendre, je me suis retiré pour le branler à son tour, je voulais voir son foutre, je voulais le goûter et le partager avec lui. Bientôt, dans long spasme, tout son corps, tous ses muscles tendus, il a joui, rependant un sperme épais sur son torse et sur ma main, je l'ai goûté bien sûr léchant ma main, son torse, sa verge et nous l'avons partagé dans un long et ultime baiser. 
Après un long moment de repos, nos corps nus allongés sur le dos dans l'herbe fraîche, les yeux fixés sur les nuages qui passaient, nous nous somme relevés, et, après avoir rassemblé nos affaires, nous avons remonté la pente vers la maison rouge qui nous attendaient. ...
















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