Il avait pris
quelques fringues et le peu d'argent liquide qui trainait dans l'appartement et
il avait pris la route. Un rêve de nouvelle vie, un rêve...
Un mec rencontré
l'été dernier. Un vieux enfin un mec plus âgé que lui. Un mec avec
qui il avait passé un peu de temps en secret de son compagnon et de ses potes
de vacances. Ils avaient beaucoup parlé, pas mal baisé aussi. Il
s'était senti bien avec lui, comme apaisé. Depuis ils s'écrivaient de
temps en temps. Et c'est ainsi que l'idée de le rejoindre est
venue.
Il ne l'avait pas prévenu,
ça serait une surprise et Julien était sûr qu'il serait heureux de le
revoir. Tout dans leurs échanges prouvait, il en était certain, que
Paul, c'était son nom était prêt à l'accueillir et à l'aimer..
Il voulait faire le
chemin par la Route, en stop. Comme une initiation, un chemin de
purification pour une nouvelle vie
C'était plutôt un
chemin de croix; des heures d'attente à des carrefours, des conducteurs
débiles, des trajets courts, ..
La première nuit il
la passa à la belle étoile, dans le froid, l'humidité et le bruit des
voitures.
Ce jour-là, le
second de son périple, il était bien décidé à parcourir le plus possible de
distance et surtout à ne pas dormir dans le froid.
Mais voilà, en fin
d'après-midi il n'avait pas beaucoup avancé et il angoissait à l'idée de se
retrouver à nouveau sur le bord de la route.
Alors, il se décida
à forcer le destin. Il se mit en position d'obliger les voitures à
s'arrêter. Mais les automobilistes klaxonnaient, faisant de grands gestes de
colère l'evitant de justesse.
Enfin, une voiture
s'arrêta. Un mec d’un certain âge, plutôt musclé l'interpella
sèchement.
- mec, fait gaffe,
on est entre chien et loup et on te voit à peine. Un peu plus et je t'écrase!
- désolé, je
désespère de passer la nuit dehors ! Je vais dans le sud et j'avance pas !
- j'habite pas loin,
si tu veux tu peux dormir chez moi. Demain je pars vers A. Je pourrais
t'avancer un peu.
- merci
monsieur
Il posa son sac sur
la banquette arrière et s’assit.
- ru pourra aussi
prendre une douche, tu pue mec. Moi c'est Victor.
- Julien, désolé
j'ai passé la nuit dehors et les deux jours sur la route.
Le gars
effectivement habitait tout près. Une maison élégante et bourgeoise.
- va te doucher
pendant que je prépare un petit frichti.
Quand il revint de
la salle de bain, il était tout joyeux. La douche l'avait ragaillardi, il
avait revêtu des vêtements propres et cela lui avait rendu le moral. Le
Victor en question semblait sympa. Il avait bien remarqué qu'il n'avait
pas été insensible à son charme. Il n'y avait aucune trace féminine dans
la salle de bain.. Peut-être allait-il lui faire des avances... pourquoi
pas, c'était un beau daddy après tout....
Il dinèrent de bon appétit,
le frichti était excellent et il n'avait mangé que deux barres de mars depuis
le départ.
Il raconta sans gêne
son histoire, Victor parla peu...
Quand il eût
fini, Victor lui proposa un marché
Aïe, Aïe, se
dit-il, je vais passer à la casserole...
- voilà ce que je te
propose ; demain et après-demain c'est le week-end et je n'ai aucun
engagement. Si tu veux, je t'emmène chez ton amoureux.
Maintenant, je dois
dire que tu es très sexy et que j'ai très envie de toi. Voilà c'est
dit, si ça te branche, j'en serai heureux..
Julien ne dit rien,
il se contenta de regarder sa braguette et Victor prit ce
regard comme un assentiment.
Sans quitter Julien
des yeux, il défit lentement sa ceinture, déboutonna son pantalon, en
écarta doucement les pans dévoilant ainsi un boxer bleu protubérant. Julien
posa sa main sur le tissu bleu, il sentit comme une pulsion. Le désir vint,
d’un coup. A cet instant précis il voulut cet homme
Julien ôta son
débardeur, son jean, son slip et se présenta nu, le sexe dressé devant
cet homme mûr. Un corps sec au muscles finement ciselés, fragile.
Victor en fut
ému. Il se dévêtit à son tour. Son corps massif, légèrement velu,
le sexe dressé, épais, veineux, courbe contrastait avec le long
fuselage de Julien.
Comme gêné,
intimidé, Il s'approcha de ce corps offert. Caressa, sa joue presque
imberbe, son cou frêle, sa poitrine ferme et glabre. Troublé par la douceur de
cette peau mate contrastant violemment avec sa blancheur pâlotte, il en éprouva
encore plus de désir et sa queue se dressa d'un coup cognant contre son ventre.
Tandis que Julien
continuait à s'occuper voluptueusement de sa tige, Victor se pencha pour lui
caresser les fesses. Comme elles étaient douces! il glissa un doigt dans le
sillon entrouvert; c'était humide et chaud. Il se pencha un peu plus et caressa
la douce rosace qui trembla à ce contact. Julien, la bouche pleine couina
légèrement. La rondelle s'entrouvrit, Victor y glissa le bout de son doigt. Son
œillet vibra, enserra son doigt avant de s'ouvrir,
accueillant.
- tu veux,
furent ses seuls mots.
Julien quitta comme
à regret la hampe de Victor pour se positionner sur le ventre, cul
cambré, cuisses écartées
Victor posa ses
lèvres sur ces fesses glabres et douces, s’émut en voyant cette raie légèrement
entrouverte au fond de laquelle il pouvait deviner le délicieux œillet.
Il lècha la fine cicatrice entre ses couilles et son anus, écarta délicatement
les deux globes et la vit. Une merveilleuse rosace entrouverte,
vibrante. Il approcha alors son visage, huma les senteurs secrètes et
musquées qui s'en exhalaient et y glissa enfin le bout de sa langue.
Julien couina et se cambra encore plus.
Il adorait ça,
Julien, Peut-être encore plus que le reste, sentir un visage mal rasé
frotter contre sa croupe, une langue fourrager son anus dans un bruit
mouillé, doux, mélange de sons de succion, de frottement humide de salive
et de mouvements de langue.
Après cette
"mise en bouche ", Victor cracha abondamment sur sa rondelle avant
d'y introduire un doigt puis un second. Après quelques va-et-vient,
les deux doigts écartèrent ses sphincters ; Julien couina, impatient de
désir.
Il se mit à quatre
pattes, s'agrippa à l'accoudoir permettant ainsi à Victor de se rapprocher et
de coller contre son sillon son braquemart faisant glisser le gland humide
entre ses globes, au plus près de sa rondelle.
Victor alors agrippa
les couilles de Julien, comme pour le forcer à s'empaler de lui-même sur son
vit.
Un plaisir
inouï s’empara de Julien, vite accentué par les mouvements de ce membre chaud,
gonflé et rigide dans son rectum. Il avait la sensation de ne plus faire qu’un
corps avec son amant, grâce à cette verge pleine de sang et palpitante, glissant
et roulant en lui, partageant ainsi sa vie, son souffle, sa jouissance. Le
mouvement s’accélérant, julien commença à donner des coups de cul vers le
ventre de son amant, pour mieux enfoncer son vit.
Victor était au bord
de l’abîme, un abîme de plaisir. Son mandrin était tout entier, comme
prisonnier, dans le cul serré de Julien maximisant les sensations.
-Putain mec, ton cul
c'est un vrai piège à bite, dit-il haletant, j'ai mal à la queue tellement tu serres
! Tu vas me faire jouir grave là !
Leurs corps trempés
de sueur mêlées ne faisaient plus qu’un. Bientôt Victor proche de l’orgasme,
épuisé se sépara de Julien. Il voulait récupérer et faire durer
l'intensité du moment.
Il se coucha sur le dos,
tendit son braquemart bien raide et droit à Julien qui, lui tournant le dos
vint s'empaler de tout son poids dessus.
Victor adorait voir
sa queue disparaître dans le cul d'un mec. Julien s'empalait avec énergie, se
laissant retomber de tout son poids, serrant et desserrant ses sphincters
autour de la bite de Victor qui l'accompagnait en lui soulevant les
hanches.
Julien quant à lui
s'appliquait à donner du plaisir à Victor, ses mouvements faisant visiter
chaque parcelle de son anus à sa queue.
Il en voulait
plus ! Il se dégagea et se mit en levrette et Victor l’embrocha direct à
fond.
Victor repris
ses va-et-vient pour son plaisir et son plus grand bonheur. Julien lui offrait
tout son corps, son cul bien ouvert laissait glisser sa queue partout où elle
voulait aller!
Tout en continuant
de le baiser doucement, pesant de tout son poids sur le dos Julien, il
alla toucher sa queue, raide et humide. Quand Victor s'en saisi, Julien se
releva, enfonçant la queue de Victor encore plus profond, si c'était
possible, dans son cul. Son dos vint se coller à son torse. La tête
de Julien arrivait juste à son épaule ! Il lui mordilla la nuque, tordit
sa tête pour lui bouffer la bouche. Julien bandait c'est fou, sa queue semblait
encore plus grosse, plus raide, plus coulante!
D'une main j'ai
commencé à le branler lentement, j'ai aimé sentir sa queue dans ma main, vivre,
mouiller durcir, gonfler encore et encore.
Ils en étaient à un
point où il n’en aurait pas fallu longtemps avant d'être emportés par l'orgasme
...
- Met-toi sur le
dos
Julien se mit en
position, Victor écarta ses belles fesses en les caressant, l'anus
était là, ouvert,
- Je fais des bisous
à ce bel anus qui me donne tant de bonheur !
Il amena ensuite
son gland décalotté se poser sur cet œillet meurtri et il n'eût qu'à s'enfoncer
pour sentir ce sphincter envelopper sa queue au fur et à mesure de sa
progression.
Julien le regarda
faire. Victor avait les yeux fermés, concentré sur l'orgasme proche. Il
poussait de petits cris comme un chiot, il s'enfonçait plus vite et d'un coup
de reins il fit tout entrer, ses couilles collées au cul de Julien. Il
envoya la cavalerie, ça claquait bien sur le petit cul de Julien.
Julien qui
entre autres plaisirs, adore sentir des couilles taper contre son cul et
surtout le bruit que ça fait et il sentait lui aussi que le plaisir n'était pas
loin!
Le rictus, le
gémissement de Victor, firent que Julien lui aussi jouisse. Il avait
tellement résisté, il s'était tellement retenu pour jouir en même temps
que son amant, que cette première giclée lui fit presque mal en sortant
du méat .
La queue bien ancrée
de Victor continuait de tressauter et à lui inonder le tréfonds. Julien sentait
les salves remonter dans son conduit et le réchauffer avant l'arrivée des suivantes
! six giclées et tout s'arrêta d'un coup, Victor s'écroula sur lui, en nage, épuisé.
Ils restèrent un
long moment comme ça, sans rien dire, Victor sentait les mains de Julien
lui caresser le dos, les épaules, les cheveux et il bandait toujours dans le
petit cul accueillant de Julien.
Ils s'endormirent ainsi,
l’un dans l'autre.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire