24 avril 2025

une Grindr surprise



J'étais à Montréal, en mission pour mon entreprise. En ce dimanche matin, je ne savais pas bien quoi faire, juste envie de me détendre et éventuellement de rencontres. 
Après avoir passé un temps fou à défiler des dizaines de profils de mecs disponibles, je suis enfin tombé sur une annonce surprenante. Un gars s'étant faisant appeler Dan, cherchait un mec "bien membré" pour se mater en train de se branler, il disait aussi "et plus si affinité ". Le Dan, en question était plutôt canon et très bien équipé. Une très longue et fine verge, légèrement courbe et circoncise.
 Je me suis dit "ça peut être marrant " et la perspective de voir ce mandrin et peut-être plus, à commencé à m'exciter grave. 
J'ai répondu que j'étais intéressé en envoyant une photo de ma pomme. La réponse n'a pas tardé, il voulais tout d'abord être assuré que ce que j'avais entre les jambes valait le coup.  
J'avais ce qu'il fallait dans ma bibliothèque et j'étais confiant, je suis assez fier de mon équipement ; moins longue que la sienne mais plus épaisse et veineuse.
La photo de mes parties intimes a eut l'air de lui plaire car il m'a donné un peu plus d'informations quant au rdv. La porte de l'appartement serait entrouverte. Je devais me dévêtir dans un pièce servant de bureau à l'entrée et le rejoindre au salon, au bout du couloir. Je devrais rester en slip et obligatoirement un ck de coton blanc. Parfait pour car je reste un inconditionnel de ces slips que j'use jusqu'à la corde !
Ce scénario me plaisait. Ça serait au minimum une façon agréable de passer le temps et peut-être aussi de faire une belle rencontre. Surtout que l'aspect voyeur/exhib et fétiche me correspond bien. 
Il habitait en plein centre, un bel immeuble moderne plutôt haut de gamme.  
La porte était effectivement entrouverte et donnait sur un long couloir sobrement meublé 

Je me suis déshabillé dans le bureau ne gardant comme prévu que mon ck. J'avais pris garde d'en revêtir un récent et en bon état. 
J'ai parcouru le ́long couloir qui donnait dans un grand salon. Il était là, sur un grand canapé posé devant une grande baie vitrée surplombant la ville.
Il souriait, entièrement nu, cuisses écartées, sa verge dressée au dessus de son ventre. Mon Dieu qu'elle était belle, longue, sèche, nerveuse, veineuse. J'ai eu une envie folle et immédiate de me jeter dessus. 
Je suis resté quelques instants à l'admirer, un fourmillement caractéristique envahissant mon bas-ventre. J'ai porté la main contre la poche kangourou de mon ck. Ma queue déjà frémissante 
Il m'a invité à me poser sur un pouf face à lui
Les yeux rivés sur sa tige, qu'il caressait et branlait en me souriant, j'ai commencé à branler la mienne à travers le coton blanc déjà déformé. Je voyais bien qu'il ne fallait pas précipiter les choses. C'est, de mon point de vue, très excitant de voir un slip déformé par une main malaxant un sexe se raidissant doucement. Une couille ou un gland peut apparaître furtivement à travers les élastiques un peu lâches.
Après l'avoir longuement appâté, mon slip était grave déformé par la barre de ma verge.
Je me suis levé sans le quitter des yeux et j'ai baissé mon ck doucement faisant jaillir mon mandrin qui est venu cogner contre mon ventre. 
Nous avons joué comme des adolescents à faire danser nos vit. Le mien était tellement raide qu'il valsait contre mon ventre.
J'avais de plus en plus envie de goûter à sa teub. Et, tant pis pour ce qui était prévu, je me suis levé pour me jeter sur elle. Putain ! Elle était brûlante et extrêmement dure! Toute résistance m’abandonne. Je me suis agenouillé pour m'approcher de l'engin, j'ai posé mes lèvres sur le gland chaud et mouillé et Je me suis mis à le sucer comme un dingue ! Sa bite me rendais fou ! je l'ai branlé tout en léchant sa bite de tout son long ou tout en suçant le sommet de sa queue. Ensuite, j’ai essayé d’enfoncer son morceau aussi loin que possible dans ma gorge. Je l'ai sucé du mieux que je pouvais, montant et descendant sur cet engin de malade. Je bandais à mort en sentant sa bite aller et venir dans ma gorge. J’avais la mâchoire distendue et je m’appliquai à tout prendre en bouche. En même temps, je ne pouvais m’empêcher de caresser ses belles couilles pleines, pendantes. Et finalement, je réussis à presque tout engloutir ! Dan me caressait la tête et poussait des gémissements de plaisir. Il accompagnait mes va-et-vient sur sa queue en donnant de petits coups de reins. Parfois, il prenait sa bite en main et il jouait avec son gland sur mes lèvres et sur ma langue. Puis, il me redonnait son biberon à téter.
- Putain, tu suces trop bien !

Je me suis occupé de lui pendant bien 10 minutes en alternant suce et gorge profonde. C’était incroyable de sentir cette bite aussi longue entrer dans ma bouche pour aller titiller le fond de ma gorge et passer même dans l’œsophage. Et ensuite... la sentir se retirer, ... Ma bouche haletais comme si elle appelait ce membre dont elle ne pouvait plus se passer. Ensuite, il m'a tenu le sommet de la tête d’une main pour me baiser lentement ma bouche.        

Je voulais le déguster, découvrir toutes les parcelles de son corps, j'ai commencé par les pieds, léchant et embrassant ensuite ses cuisses. Je suis arrivé pour gober les couilles et l'entendre pousser de petits cris, j'ai adoré parcourir avec ma langue son pubis glabre et rasé de frais.

J'ai léché la grosse queue pour remonter au gland, l'envelopper, avaler la mouille qui coulait en abondance,.

Mais c'est son petit cul maintenant qui m'intéressait! D'un regard, j'ai cherché son assentiment, après tout, ce n'était pas vraiment ce qu'il avait prévu au programme. Je lui ai fait soulever les jambes pour les replier sur son torse, il n'a pas fait le récalcitrant!

Son beau cul musclé s'ouvrait devant mes yeux émerveillés, une raie complètement imberbe et un anus délicieusement strié et déjà entrouvert! Un anus légèrement boursoufflé qui avait l'air de se faire sonder souvent! 
J'en ai eu la confirmation quand ma langue est entrée en contact avec son œillet qui s'est immédiatement offert. Tout le temps que j'ai léché son cul il n'a pas arrêté de gémir. Sa rondelle palpitante réagissant à chaque coup de langue. J'ai mis deux doigts directs et je me suis enfoncé en tournant, là il a crié, gueulé! Il m'excitait terriblement et ma queue douloureusement raide comme la Justice recommençait à couler et à cogner contre mon ventre. 

Je n'ai pas eu besoin de le doigter longtemps!

Quand il m'a vu me relever, il a souri, les yeux agrandis, j'ai posé mon gland sur l'entrée en appuyant déjà, il a poussé un long soupir, a fermé les yeux et j'ai commencé à entrer en lui!

Sentir mon gland avancer dans ce conduit chaud qui l'enveloppait au fur et à mesure, voir qu'il grimaçait quand même, en gémissant de plus en plus fort, ont fait monter d'un cran mon taux d'hormones et j'ai donné un grand coup de reins; mon gland est entré tout entier lui faisant ouvrir la bouche en criant! Il m'a regardé , il riait!

-vas-y mec! Sois pas timide!

Si en plus il m'encourageait!

Alors j'ai fait entrer le reste d'un grand coup de reins, rien que pour l'entendre gueuler encore! Je l'ai ramoné comme un chef, ma queue coulissait en lui comme si elle y avait déjà passé des vacances.

Sans sortir de lui, je l'ai fait mettre à quatre pattes, le ramonant encore plus profond, faisant bouger nos couilles les unes sur les autres.

Je l'ai fait relever dos à moi, c'est lui qui s'est enfoncé encore plus sur ma queue, m'offrant sa langue, j'ai saisi sa grosse queue toute humide et, en donnant de petits coups de reins je l'ai branlé en cadence. Il râlait, grognait, criait m'offrant sa langue, j'ai senti son cul essayer de broyer ma queue en lui et j'ai vu les giclées passer par dessus le canapé pour s'écraser sur la baie vitrée.  

Je l'ai repoussé puis je l'ai repris aux hanches et je l'ai niqué sauvagement! 
Quand je me suis vidé en lui en criant mon plaisir, il m'a répondu de ses gémissements. Puis il s'est retourné pour me lécher la queue encore une fois, avant de m'attirer sur lui, me serrant fort dans ses bras musclés :

-purée t'es un bon toi!

-qu'est-ce que je pourrais bien dire de toi ? dis je faisant celui qui réfléchissait.

-que je suis une salope qui aime la bite! tu peux le dire c'est vrai! J'adore me faire baiser par une belle bite endurante! Je peux t'épuiser mec, tu me demanderas grâce!

Je n'ai pas eu le temps de répondre que sa langue avait envahi ma bouche.

J'ai compris que l'après-midi serait bien occupée. Surtout que j'avais encore une petite frustration: sentir sa teub me labourer le cul....




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