26 octobre 2005

UNAMOURDES.
Dès ce jour, nous avons tout fait pour nous voir, pour baiser. Fou de toi. Je me rappelle ces matins où je partais tôt très tôt pour aller faire l’ouverture du gymnase. En réalité, je venais te réveiller.
Tu habitais alors au rez de chaussée d’un immeuble cossu parisien ; heureusement avec ton nouveau compagnon, vous aviez décidé de faire appartement à part. Je grattais aux volets de ta chambre. Tu m’attendais malgré l’heure vraiment matinale, tu ouvrais rapidement la porte et te recouchais immédiatement faisant semblant de dormir. Quel bonheur, ton lit, tes draps, ton corps, portaient la chaleur, l’odeur de la nuit du sommeil. Tu bandais durement comme on bande le matin. Je me déshabillais rapidement pour me lover autour de toi, capter la chaleur de ton corps encore endormi alors je prenais, je caressais de ma langue ton dos, tout au long de la colonne vertébrale, doucement, juste assez pour que l’excitation finisse de te réveiller ; j’abordais ton merveilleux cul ; ah ton cul ! Tu as un cul très ferme, très rebondi. Tes fesses sont velues et sont douces à caresser, bonnes à empoigner. J’aimais avant de les aborder, rêver sur les merveilles cachées par cette douce touffe de poils qui cachent bien, sous la raie, ta délicieuse rondelle ! J’abordais donc ton cul, parcourant de ma langue ta raie, pendant que mes mains caressaient tes fesses adoucies par ta douce fourrure. J’écartais alors tes deux hémisphères, partant de ma langue à la recherche de Toi. J’ai toujours été ravi par la facilité avec laquelle tu te dilatais, à chacune de mes excursions, je trouvais ton trou mignon tout béant, accueillant. Ma langue pouvant alors explore au plus profond, aidée quelques fois d’un doigt. Après t’avoir soutiré de longs soupirs, maintenant que tu étais bien réveillé, cambré pour mieux me permettre d’aller au plus profond de ton anatomie, je te retournais alors et avalais d’un coup ta queue turgescente pendant que mes mains te caressaient les couilles. Ta queue, là encore, est pour moi au format idéal. Bien charnue, assez épaisse et longue pour qu’on la sente bien quand elle pénètre et travaille. Ce matin là, je souhaitais que cela soit toi qui me pénètre, cela te surpris car ce n’étais pas dans tes penchants habituels, mais j’avais vraiment envie de te sentir en moi d’être à mon tour autour de ta bite, à toi. Tu m’as rapidement enculé, nous avions choisi dès la première fois de baiser sans capotes ; c’était, disions-nous, une marque absolue d’amour l’un pour l’autre, baisé protégés n’était absolument pas concevable. Ta queue me labourait, tes couilles cognaient contre mon cul, tu me tirais les cheveux de temps en temps pour m’attirer vers toi, vers ton visage, pour m’embrasser, me donner des coups de langue, me mordre les oreilles ou le cou. Je gémissais, tu me traitais de tous les noms, cela t’excitait encore plus et faisait redoubler en intensité tes coups de reins ; ta bite allait au plus profond de moi et pourtant j’agrippais tes fesses à chaque mouvement comme pour t’aider à aller encore plus loin en moi. Le plaisir était tel que j’en oubliais de m’occuper de moi, de ma bite dressée, j’étais tout entier concentrée sur cette partie de toi qui essayait de se confondre avec mes chairs intérieures. Ton plaisir, était le mien, j’attendis que tu vienne, que tes râles orgasmiques écoulent tes flux intimes en moi. Alors en te regardant revenir sur terre, je me branlais et jouissait sur toi.Une bonne douche, une cravate, et le plus légèrement du monde je partais pour une longue journée de bureau. Impatient de te retrouver régulièrement, tout au long de la journée par mails interposés

S. est de retour "3" ,S. est de retour "2" ,S. est de retour "1"

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