04 août 2008

Retour vers la ville




Bien sûr il fallait que cela arrive un jour. Un jour il fallait que je te laisse seul pour rentrer à Paris. Travailler, reprendre le fardeau, avancer.
Ce matin, résigné, j’ai laissé à la maison : shorts et thongs. Je bouillonnais ; comme si mon corps rendait toute la chaleur accumulée durant ces trois semaines. Je ne supportais plus, pas encore, ces vêtements. J’allais traverser la France. J’allais retrouver Paris, les bagnoles, le bruit. Le boulot.

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