25 avril 2011

Felices pascuas 2-





Et puis tu t'es ramené. Tu m'as trouvé ainsi. Nu au fond de notre jardin, le torse couvert de sperme et la queue encore raide. Alors bien entendu, tu as souri. Alors sans me quitter des yeux, sans quitter ce regard coquin, tu as enlevé lentement ton tee-shirt, ton falsard, ton slip enfin. Ta bite déjà dressée avait peine à s'extraire de la poche kangourou et a claque soudain sèchement contre ton ventre. 


Tu t'es couché contre moi, derrière moi. Déjà tes doigts cherchaient mon cul. Bientôt tes doigts fouilleront mon cul. Bonheur printanier.

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