19 mars 2017

J’ai envie



Là, là maintenant, j’ai envie de poser ma tête sur le ventre d’un mec. Juste là, tout contre son nombril, le regard perdu dans le doux maquis de poils courant vers un slip un peu lâche. Alors, je poserai délicatement la main sur le tissu, caresserai sa bite et ses couilles, attendant tranquillement les premières réactions, le premier raidissement. Tandis que sa queue chercherait à chaque instant un peu plus de place au milieu du CK, son corps serait en proie aux premiers frémissements, les premiers tremblements. Il poserait alors sa main su ma tête et je chercherai à entr’apercevoir ton membre durcissant, en soulevant la poche de tissu du slip kangourou.
Je sortirai, tant que c’est encore possible, le bout de sa queue à l’air libre ; déjà bien dure, je la décalotterai doucement et recueillerai délicatement au bout de mon doigt, un peu de liquide séminal, que je goûterai.
Puis, j’explorerai son sexe maintenant bien dur, en parcourant lentement ses veines gonflées; du bout des doigts tout d’abord, avec ma langue ensuite. N’y tenant plus, il me faudra lui enlever violemment ce dernier rempart à notre plaisir, libérant ainsi sa queue majestueuse, droite et à la verticale de son corps. Abasourdi par tant de beauté, par tant de désir contenu, il ne me restera plus qu’à m’empaler et jouir, jouir du moment.

4 commentaires:

  1. Anonyme9:35 AM

    Uhm... belle invitation à la rêverie.

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  2. C'est malin, maintenant j'ai envie, envie qu'un mec pose sa tête sur mon ventre et regarde mon CK (pas lache) gonfler...

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  3. Anonyme12:10 PM

    C'est clair... Ton texte fait de l'effet... Je le confirme !!!
    ;-)

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  4. Anonyme1:01 PM

    Je suis un inconditionnel du dévoilement. De mon dévoilement.
    De ce regard que je laisse me mettre à nu.
    Les odeurs et vapeurs chaudes d’un hammam.
    Celles de l’hôte, qui dans le passage express d’une rencontre décidée par l’intermédiaire de quelque réseau téléphonique, vous ouvre sa porte, vous laisse pénétrer l’appartement.
    Décidé, malgré une attitude qui laisserait deviner à mon interlocuteur du moment une hésitation, en tout cas une fébrilité que je ne sais contenir. De 10 ans plus jeune que moi, et de trois têtes, me dépassant.
    J’enlève veste et chaussures.
    Lui regarde. Attend. Peut-être hésite-t-il ? je l’interroge, il acquiesce !
    Il m’invite dans sa chambre. Tire le rideau épais, bleu, éteint lampes. Seul l’écran de l’ordinateur reste allumé sur un texte qui couvre l’écran.
    Je me déshabille. Chemise, pantalon, chaussettes, caleçon. J’expose ma nudité, mon sexe. Je m’avance, me met à genoux, défait la fermeture bouton de son pantalon, sors son sexe et commence à le sucer. Il durcit. Je le gobe. M’amuse avec son gland, le méat de son gland qui s’ouvre au passage de ma langue. Je m’y enfonce. Je suce, re-suce et bave. Il y a quelque chose de goulu dans mon activité.
    Que veux-tu ?
    M’allonger sur ton lit.
    Je m’y réfugie, sur le dos, jambes écartées. Je l’accueille.
    Il se déshabille, ne gardant sur lui que son polo.
    Il me rejoint, s’installe, jambes écartées, sur mon torse et me présente sa queue. Je reprends et salive d’autant.
    Je sue.
    Je descends sur ses couilles. Elles aussi, je veux les goûter. Doucement.
    Il me caresse les fesses, les entr’ouvre, me les malaxe.
    Il s’équipe d’un préservatif.
    Il me retourne et doucement, lentement, peut-être tendrement (je veux croire qu’il y en a !), il me pénètre. Il ne force pas, il veut sentir autant que moi cette pénétration. Je la veux, autant que lui, longue, patiente.
    Le va-et-vient, mes fesses qui claquent sur son bas-ventre.
    Je sue.
    D’une sueur qui l’inquiète. Mais non, je n’ai pas mal. Je savoure, dans cet accueil, le mouvement qu’il dirige.
    Par tous les pores, de ma peau à mon sexe, je sens cette jouissance qui monte et s’empare de moi. Je la retiens, ma main, petite alors qu’il m’en impose, enserrant mon sexe pour éviter les débordements sur la housse de couette… je sens que cela va me venir.
    Il poursuit. Me demande de ne pas remuer. Savoir attendre !
    Je l’accueille.
    Il me flanque sur le côté, et lui, dans mon dos, initie un nouveau rythme.
    Il me caresse le torse, les tétons.
    Je sue toujours autant. Je ne quitte pas cette jouissance de l’instant.
    Délicatement, il se retire, se positionne devant moi, s’agenouille, et me tend sa queue. Je me rapproche, le suce, le suce, le masturbe, le suce, m’amuse avec son gland et je le sens se contracter. Tout alors m’annonce sa jouissance. Il éjacule…

    Je laisse ma signature : « le mec au verre d’eau ».
    Je lui avais demandé de ne pas questionner. Je lui avais interdit toute parole.

    Je n’ai pas eu mal. J’ai aimé m’offrir……..

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