17 juillet 2020

course cycliste (recit de Jeremy revu & corrigé)


Pour profiter des derniers beaux jours, j’avais décidé de participer à une course de vélo organisée par l'association sportive de ma fac. C'était plus une sorte de « promenade champêtre à vélo » qu’une véritable course. Pas de réel enjeu, en tout cas c'est comme ça que je l'avais pris.

Elle eut lieu un dimanche après-midi, je m’y étais rendu seul dans l'espoir de faire de nouvelles rencontres et bien décidé à prendre tout mon temps au lieu de courir après la première place.

La course se déroulait en pleine campagne, une grosse centaine de participants, dont beaucoup de locaux, s'y étaient donné rendez-vous. Torse nu et ne portant qu'un short cycliste moulant, mes chaussures et mon sac à dos, j’allais à mon rythme et profitais du beau temps tout en écoutant de la musique sur mon lecteur mp3. 


Vers midi, je m'arrêtai à une sorte d'aire de repos où se trouvaient des tables et des bancs afin de manger mon sandwich.
Des groupes de promeneurs étaient déjà attablés qui me regardèrent passer alors que je poussais mon vélo entre les tables pour aller le garer dans un coin. Je ne compris pas la raison de ces regards, saluai tout le monde d’un signe de tête et d’un sourire que je souhaitais engageant et m'attablai pour manger.
Tout déballant mon encas je remarquai sans vraiment y prêter attention, que la tablée était exclusivement masculine et j’échangeai quelques banalités avec les uns et les autres tout au long de mon repas.
A la fin de mon repas je me suis dirigé vers un bosquet un peu plus loin pour aller pisser discrètement et à l’abri des regards, suivi de près par deux types de la tablée.
Je m’arrêtai en face d'un gros arbre et sortis mon matos pour me soulager. Les deux mecs vinrent se poster autour du même arbre mais presque en face de moi et tout en baissant leurs cuissards, me sourirent. J'avais du coup une  vue complète sur leurs engins et eux sur le mien. Ils avaient à peu près mon âge, le premier était un grand blond aux yeux bleus qui par-dessus son cuissard baissé montrait une belle queue d'un blanc laiteux et la balançait juste sous mes yeux, le second était brun, plus petit  du genre qui n'a peur de rien, avait baissé son cuissard jusqu'à mi-cuisse, faisant prendre l'air à tout son équipement.
Ils finirent de pisser avant moi mais restaient là, à me regarder, la queue dans la main. J'en entendis un chuchoter : "Tu vois, je te l'avais dit. Ça se voyait trop !".

Je réalisai alors que les regards des gens venaient certainement du fait qu'en plus d'être bien rempli, mon cycliste bien moulant laissait deviner que je portais un piercing. J'étais un peu gêné, surtout qu'il fallait que je repasse entre les tables pour retrouver mon vélo mais je décidais que cela ne regardait que moi et que je pouvais tirer profit de cette situation et offrir un show.
J'attendis que mon jet se tarisse à son tour pour jouer avec mon anneau. Laissant pendre ma queue entre mes jambes (ce qui la rendait aussi visible de derrière) je faisais mine de l'égoutter en la secouant légèrement tout en tournant l'anneau. J'en profitais pour sortir mes couilles par l'ouverture car elles ne manquent jamais de produire leur effet. Elles sont assez grosses et, par cette chaleur, très pendantes. Je les caressais, les soupesais.
Les deux types, toujours cuissards baissés et bites en mains étaient médusés et moi je bandais complètement.
Ma queue était dressée, 20cm en pleine action, la peau tendue au maximum et le gland, déjà très gros au repos, formant un champignon au bout avec cet anneau en argent qui ne pouvait presque plus bouger tant il était coincé. Penchant légèrement mon corps en avant, je m'appuyais d'une main contre l'arbre et lâchait de grosses gouttes de salive sur mon gland que j'étalais de l'autre main. La main autour de ma queue, je la caressais de bas en haut en terminant par le gland que j'enserrais dans la paume de ma main que je faisais tourner comme si je voulais le dévisser. Redescendant vers le bas de la hampe, j'en profitais pour rajouter un peu de salive de temps en temps. Je saisissais alors à nouveau ma queue le plus en bas possible pour ramener le peu de peau qu'il me reste vers le haut, faisant danser mes couilles par la même occasion ce qui ne manque pas de me donner du plaisir.
Les deux types continuaient à m'observer, sans rien dire, leurs bites étaient maintenant raides comme un piquet ; bouche bée, ils ne s'en étaient même pas aperçus !
Un rayon de soleil vint chauffer les veines apparentes de ma bite, j'avais presque oublié à quel point le sexe en plein air est agréable.
Quand tout d'un coup j'entendis une voix derrière moi lancer :
- Eh Quentin ? Salut !? 
Un homme apparu derrière mon épaule, voyant la scène il s'exclama en s'adressant aux deux types, qu'il avait manifestement l'air de connaître :
-         Je vois qu'on se fait plaisir !.
Il se posta alors entre le grand blond et moi, baissa lui aussi son short cycliste et déballa son matos, une belle queue bronzée terminée par un gland rouge foncé à moitié découvert et assorti d'une paire de couilles pendantes garnies de poils noirs.
Alors que sa queue, qu'il tenait dans la main gauche, commençait à arroser le sol d'un jet assuré, il me tendit la main droite en se présentant !
-        Salut belle queue ! moi c’est Pierre.

 
Quand il eut fini de se soulager, il secoua son mandrin et commença à se gratifier de quelques caresses. Son manche devint très rapidement dur et son intervention décomplexa ses deux amis qui se branlaient maintenant à pleine paluche.
Manifestement moins coincé que ses amis, il faisait la conversation avec nous tout en se donnant du plaisir :
- Je vous préviens, je ne vais pas durer longtemps !
- Moi aussi je vais bientôt cracher ! Ai-je ajouté.
- T'es dans la même fac que Quentin et Seb ? m'a-t-il demandé.
- Non, je ne les connais pas du tout.
- En fait on s'est posé là parce qu'on voulait vérifier s’il avait vraiment un piercing à la queue ! ajouta le blond, un peu gêné.
- C'est vrai qu'on voit que ça dans ton cycliste ! a rajouté le nouvel arrivant.
- Je l'ai depuis pas longtemps et j'avais complètement oublié ce détail, ai-je alors confessé.
- Et alors… ça rajoute des sensations ?
- Carrément !
- En plus c'est un sacré morceau que t'as là !
- Tu parles de ma bite ou de l'anneau ?
- Des deux !
Ce faisant, nous continuions à malaxer nos morceaux de viande et le petit brun, qui était là depuis le début, commença à souffler de plus en plus fort.
- Ah les gars, je crois que ça vient là !
Et dans un soupir bientôt suivit par de légers grognements en forme de "oh oh oh" entrecoupés par les tressaillements de sa queue, il arrosa le tronc de l'arbre de grosse lampées blanches et visqueuses. Le temps de reprendre ses esprits, il sortit un mouchoir de sa poche, s'essuya le gland en le secouant abondamment. Il nous salua et alla rejoindre sa table.
A ce moment-là, de grosses gouttes de liquide séminal transparent et visqueux commençaient à sortir de mon méat écarté pour glisser le long de mon anneau. Je les recueillis pour les étaler sur mon gland en guise de lubrifiant.
- Putain, tu mouilles à fond !
- Et ça à bon goût en plus, tu veux essayer ?
Il s'est rapproché de moi et m'a glissé à l'oreille :
- Ma copine est là mais si tu gardes ton jus pour après, on peut s'écarter un peu du peloton et aller dans les bois…
- Tu vois bien que ma queue ne rentrera plus dans mon cycliste si tu ne me fais pas gicler un petit coup.
- Putain, je te dis que je ne peux pas, elle doit déjà se demander pourquoi je mets autant de temps à pisser !
- Tant pis…

Il soupira. Se tourna vers le troisième type qui continuait à se branler en face de nous :
- " Toi, t'as pas intérêt à ouvrir ta gueule !"

Il n'eut pas eu l'air de comprendre et fit de grands yeux en voyant son pote s'agenouiller en face de moi et prendre l'intégralité de mon gland dans sa bouche jouant avec l'anneau en utilisant sa langue pour en extraire un maximum de liquide.
Je sentais que ça n’allait pas tarder. Prenant ma bite dans la main, je me branlais vigoureusement en appuyant sa tête pour en faire rentrer un maximum dans sa bouche. Mon anneau tressaillait contre sa glotte et je crus qu'il allait vomir quand j’envoyais de bonnes giclées bien chaudes au fond de sa gorge pendant qu'il me massait les burnes.
 Satisfait, je relâchai la pression que j'exerçais sur son crâne, lui fit lécher les gouttes de sperme qui s'accrochaient à mon anneau.

-        Je connais un coin pas loin, y'à une rivière, si ça te dit on peut y aller après pour continuer tout ça…m'a-t-il alors proposé.

J'étais plus que partant. Je lui laissai mon numéro et après avoir attendu un moment que ma queue dégonfle, j’enfilai de nouveau  tant bien que mal  mon cycliste.

Je continuai heureux la balade. Vers la fin du parcours, mon téléphone sonna, c'était lui.

-         Je suis derrière toi, ne te retourne pas. Prends à droit sur le chemin de terre juste après et continue tout droit. Attends-moi quand tu seras dans les bois.

Je m’exécutai et suivi le petit sentier. Quand il m’eut rejoint, il n'était pas seul, un type l'accompagnait, pas un de ceux qui étaient là près de l'arbre, un inconnu pour moi.
 Arrivés dans une sorte de clairière, nos vélos sitôt garés contre un arbre, ils se dessapèrent et rangèrent leurs vêtements dans leurs sacs à dos sans que je sache trop quelles étaient leurs intentions, même si les devinais ! …. Dans la quasi-pénombre de la forêt, le spectacle de leurs corps musclés était un régal pour les yeux. Le grand blond qui l'accompagnait était particulièrement bien foutu, il avait de bonnes fesses bombées et une grosse paire de couilles.
-        Alors ?! t’as fini de mater ?! fais comme nous et suis-nous.

A poil moi aussi, tout en rangeant mon short dans mon sac, Je les suivis du regard alors qu'ils sortaient du court sentier pour aboutir à une sorte de petite plage de galets au bord de la rivière.
Ils se jetèrent immédiatement dans l'eau dans un superbe éclaboussement délicieusement éclairé par le couchant. Je n'avais pas envie de perdre de temps et je fis de même.
M'approchant d'eux à la nage, j'eus immédiatement envie de caresser les fesses du nouveau. Il avait l'air d'aimer ça. Je lui titillais en riant  la rondelle sous l'eau en profitant de la vue des tatouages qui couvraient son dos.
Revenus sur la berge, Pierre me dit qu'il voulait nous regarder baiser son pote et moi ... Ça tombait bien, il m'avait déjà vidé les couilles une heure auparavant, maintenant je voulais tester le grand tatoué.
 
L'endroit n'était pas très pratique, mais j'avais déjà une idée de ce que je voulais faire de lui. Il ne me fallut pas plus d’une minute pour bander dur comme fer ; le type pris un peu peur en voyant ça mais je le rassurai : je saurai le préparer et vantais mon doigté !...
Il m’excitait grave et je n'avais plus envie de pipe ni de préliminaire, juste de le niquer. Debout, comme ça sous les regards de son pote. Cela devait l’exciter aussi car il bandait raide. Il s’agrippa contre un arbre et tout en écartant bien les jambes me déclara :
-        Viens, bouffe-moi le cul !
Agenouillé, la tête entre ses fesses, je m’exécutai avec zèle humant ses senteurs intimes, léchant ses moiteurs. Ma langue le pénétra et lui arracha son premier râle.  Il écarta encore un peu plus ses jambes, comme un appel, un désir de moi. J’humectai mes doigts, le pénétrai doucement avec un puis deux puis trois doigts et me frayait un passage ; je sus alors que je n’aurais aucune peine à l’empaler et, interprétant ses gémissements pour des encouragements, je crachai copieusement sur ma verge avant de la fourrer petit à petit toute entière dans son fourreau.
Il se mit alors à bander comme un cheval. Debout, simplement, comme ça alors qu'il s'appuyait juste contre un arbre, je le besognais, faisant claquer mes boules contre les siennes. J'y allais par coups secs et brefs pour faire bien bouger mon piercing au fond de lui. Il soupirait profondément et lâchait un "hannnn" à chaque coup de bite. J'eus envie d'y aller encore plus à fond et soulevai d'un bras une de ses jambes pour bien le défoncer et y loger mes derniers centimètres de queue restants. Il gémissait et rythmait mes attaques de "oh putain". On ne se connaissait pas, même pas un prénom, il m'appelait "mec" et me lançait des "mec, bourre-moi le cul", "vas-y lâche-toi", "mec c'est super, t'arrêtes pas". En accélérant la cadence de mes assauts, j'accélérais la quantité de gros mots qu'il lançait de sa voix rauque. Pierre  tout en nous regardant au travers de son smartphone en se branlant,  me caressa les fesses, flatta ma rondelle d’un doigt puis se mit à branler ma proie qui, dans un gémissement hurla
-        Putain, les gars ça va pas durer longtemps si vous me faites ça !.
 Effectivement, ses sphincters commençaient à se contracter ; ses fesses se serraient, il m'ordonnait de le bourrer plus fort encore tandis que Pierre lui suçait méchamment le gland en le branlant. Il lança :
-        Putain je vais cracher les gars, putain, putain, putain
 Comme s’il avait peur de son propre orgasme. Ses cuisses tremblaient et tout d'un coup je sentis sa rosace me presser la bite toute entière, du début à la fin, très fort et par à-coups successifs, je crus qu'il allait me la broyer   cela décuplait mon plaisir.
Quand il jouit dans un hurlement, Pierre avala le foutre à grandes gorgées. Ma proie se détendait petit à petit, sa bite redevenait flasque, il voulait que je me retire. Moi je voulais me finir et  le maintenant fermement lui glissai à l'oreille
-        si tu serres ton petit cul, ce sera rapide".
Sa prostate était grosse comme une pêche, je butais dessus à chaque pénétration provoquant chez lui un cri de douleur mêlé de plaisir à chaque fois. Il était trop crevé pour serrer à nouveau son trou, qu'importe, ma queue était assez grosse pour le remplir. Je le besognais, ses cris changèrent de nature : Il recommençait à prendre son pied. Je desserrai mon étreinte autour de lui, il n'avait plus envie de partir, je pus lui asséner de grandes pénétrations. Tout retirer pour tout lui remettre. Pierre nous encourageait fourrageant ses doigts dans mon cul tout en me caressant les boules, je les sentais remonter, ça n'allait pas tarder à venir. J'y allais de plus en plus vite, de plus en plus violemment. Alors qu'il avait été assez silencieux depuis son orgasme, il se remit à geindre, encore plus fort, ponctuant ses gémissements de "c'est bon" "bourres moi". Tout son trou se contractait à nouveau, encore plus fort qu'avant, je l’encourageais "vas-y, continues, serres bien". Il ne pouvait plus prononcer que des mots isolés, il me criait "gicle ! Gicle ! Gicle !" Plus son trou se serrait, plus je sentais mes couilles remonter et le jus s'accumuler.
Tout d'un coup, sa bite, lourde et molle se mit à laisser couler de grosses gouttes de sperme puis carrément un filet. Cela dura bien une minute, il était en transe et je jouis enfin lâchant dix bonnes lampées de foutre. Je me retirai,.
Pierre se précipita alors entre ses fesses pour recueillir ma semence que nous partageâmes en un long baiser. 
-        Mec, c'était bon, faut qu'on se revoit !".





2 commentaires:

  1. Toujours aussi bien écrites tes histoires ....
    Merci pour ces beaux " voyages " que tu me fais faire ...

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  2. Dionys11:22 AM

    Merci pour ces délices d'écriture et d'images !
    Un régal de mâles entre eux, comme j'aime.
    Grâces vous - et leurs - soient rendues !

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