22 mars 2021

Les hétéros s'amusent.... (histoire reçue , Patrocle) -4 autostop

 

Je revenais, au volant de mon coupé-cabriolet Peugeot 204,  de la côte normande, direction Paris . Il était tard et malgré tout,  il faisait encore chaud par cette nuit du mois d’août et je roulais toit  ouvert. Je roulais tranquillement, la tête au vent, un peu triste à l’idée de reprendre le travail demain.

Soudain je vis dans mes phares un auto-stoppeur qui faisait de grands signes. Je ralentis et le dépassai. Il s’agissait d’un jeune homme, grand, brun, torse nu, le tee-shirt négligemment posé sur l'épaule et en short, un sac à dos à ses pieds. Il était seul et me voyant ralentir, il couru dans ma direction. Je ne sais pas pourquoi je m’arrêtai, car, surtout la nuit, je suis méfiant et  d’habitude je passe mon chemin. Il arriva à ma portière droite, un peu essoufflé, se pencha et me demanda :

- Vous allez à Paris ? 


 Il avait  une figure avenante, des épaules larges, un torse glabre et musclé, des mains longues et fines. Cela me rassura et je lui répondis spontanément 

- Oui, montez .

 Il ne se fit pas prier, jeta son sac à dos à l’arrière et d’un bond souple pardessus la portière, s’assit à mes côtés. 

- Merci Monsieur, me dit-il avec un grand sourire charmeur, dégageant des dents blanches et bien rangées, 

-  Cela fait une bonne heure que j’attends et j’ai vu passer beaucoup de voitures qui m’ont ignoré .

Je repartis et en passant mes vitesses, j'en profitai pour jeter un œil vers lui, je voyais ses cuisses poilues, tout près de ma main droite et cela éveillai en moi d’étranges sensations, des picotements  au bas du ventre que d’ordinaire je m’efforce de refouler au plus vite. Cette fois je ne pouvais  m’empêcher de fixer ses jambes et son torse nu, tout en bavardant. Mon passager s’appelait Aurélien et il avait disait-il  23 ans. Il était  étudiant en droit et revenait de vacances, car il avait un examen de rattrapage en septembre et devait réviser. Cela tombait finalement  à pic, car je suis avocat et je donne un enseignement pratique à la Faculté de droit. Nous parlâmes études, examens, avenir. Il semblait très  détendu, la tête en arrière, les jambes écartées, le genoux gauche touchant presque mon levier de vitesses. J'étais de plus en plus troublé.


Dans un virage, en voulant rétrograder, ma main droite heurta son genoux nu. Le contact de cette peau me fit tressaillir et vite je retirai ma main. Décidément, a mon corps défendant, ce garçon m’attirait. Je suis pourtant hétérosexuel et ce n’est pas à 38 ans que j'allais changer mes goûts. Aurélien  sentit mon trouble et comprit ma réaction car soudain sa main gauche se posa sur ma main droite, l’attira doucement vers lui et la posa sur sa cuisse, tout en la maintenant fermement.

J'étais bouleversé, ma main tremblait et je sentais mon sexe se tendre douloureusement dans mon slip. Que m’arrivait-t-il ? Est-ce que mon passager serait homosexuel ? Me faisait-il des avances ?  Je ne fit rien pour dégager ma main, j’en perdis l’usage de la parole et tétanisé,  je conduisais en silence, dans cette position étrange, le cœur battant la chamade, la chaleur aux couilles. Mon voisin, qui tenait toujours ma main sur sa cuisse, la fit remonter lentement vers son entrejambe et me souffla 

- Allez-y. Vous avez été chic de me prendre avec vous. Je peux vous payer en nature. Je parvins à libérer ma main en lui disant d’une voix étranglée 

- mais je ne suis pas attiré par les mecs, vous savez et je ne suis pas du genre à profiter de la situation. Heureusement que dans la nuit ma rougeur subite ne pouvait être vue.

- Moi je suis gay, me réplique Aurélien, et fier de l’être.

 Il ajouta encore, l’air étonné en me regardant et en me posant son bras gauche sur les épaules : 

- Vous n’avez jamais couché avec un garçon ? Beau comme vous êtes, les candidats ne doivent pourtant pas vous manquer dans les amphi. 

-  Bien sûr que non,  répondis-je à voix basse, non seulement je n’ai jamais couché avec un homme, mais je n’ai jamais touché un homme, sinon pour lui serrer la main!


C’est alors que sa main droite se porta sur ma braguette et Aurélien sentit au travers du tissu que ma verge était en érection. 

-  Pourtant vous en avez envie, comme moi en ce moment, ce que je sens ne trompe pas ! me dit-il en me posant un rapide baiser sur la joue.

Dans mon émotion, je donnais un coup de frein brutal. 

-Attention ! s’exclama-t-il, vous allez nous envoyer dans le décor. 

Laissant alors mes épaules, je le vis du coin de l’œil défaire sa ceinture de sécurité, desserrer sa ceinture, déboutonner son short, et d’un geste rapide, en se soulevant sur son siège, faire descendre celui-ci jusque sur ses pieds. Il ne portait pas de sous-vêtement et son sexe à demi bandé, sur un pubis bien garni de poils noirs, m’apparut, ainsi qu’un ventre bien plat et musclé. Je détournais les yeux à la hâte, 

- ouh là ! Ça dégénère là,  vous faites quoi?  Dis-je affolé mais sa voix retentit à nouveau, pleine de promesses ; 


- Vous pouvez regarder et même toucher. Allez-y, n’ayez crainte, nous sommes seuls et il fait nuit. Je vous trouve super et j'ai très envie de vous. Prenez ça comme une expérience nouvelle...

Je n’en pouvais plus. Je ne me contrôlais plus. À ce moment dans mes phares,  un chemin apparu sur la droite, je m’y engageai brusquement  et arrêtai ma voiture sous un îlot d’arbres. Je détachai à mon tour ma ceinture et sans vraiment réfléchir, hésiter  je me penchai vers mon voisin et  lui pris le sexe à pleines mains. Quelle jouissance de tenir ce membre viril entre mes doigts, tout chaud et palpitant, avec cette peau si douce, ces poils si souples, cette odeur acre, mâle qui s’en dégageait ! Et ce corps masculin, musclé et gracile à la fois, posé sur mon siège de voiture, entièrement nu et offert à mes désirs les plus secrets, tout cela me rendait fou.



Aussi lorsque Aurélien entreprit de me déshabiller, je n’opposais aucune résistance. Il commença par déboutonner ma chemise, me la retira et la posa sur le siège arrière. Puis il défit ma ceinture de cuir, descendit la fermeture éclair de ma braguette et fit glisser mon pantalon vers mes genoux, découvrant mon slip blanc sous lequel ma verge présentait une barre épaisse et dure. J’étais entièrement passif, haletant, attendant fiévreusement qu’il me mette nu, sans me soucier du lieu et des personnes qui pourraient nous surprendre. Enfin ses deux mains saisirent la ceinture élastique de mon slip et la tirèrent vers le bas, dégageant mon gland, puis ma verge, puis mes bourses. Je poussais un long soupir, comme si j’étais libéré d’un grand poids, le sexe à l’air, dressé en pleine campagne, par une nuit de pleine lune, à côté d’un jeune mec nu et entreprenant.

Se pliant en deux, Aurélien porta ses lèvres sur mon gland et passa sa langue sur le méat, puis il enserra ma verge entre ses lèvres et me la suça avidement, en salivant abondamment. Une onde de plaisir intense monta le long de mon membre, puis s’empara de mon ventre, puis de ma poitrine, avant d’envahir le cerveau. Je n’étais plus que désir, que plaisir, cramponné des deux mains à la tête de cet inconnu, puis lui caressant le dos, les reins et enfin ses fesses légèrement duveteuses.

Cessant soudain cette fellation merveilleuse, Aurélien  se redressa,  dégagea ses pieds de son short, ouvrit la portière,  sortit de la voiture et se cambrant me dit : 

-  tu aimes mes fesses ?.Alors viens, descendons de voiture ». Son corps était magnifique, debout, au clair de lune. Sans réfléchir, comme attiré par un aimant, j’enlevais complètement mon pantalon et mon slip, les jetant à l’arrière et entièrement nu, ma verge dressée à rompre contre mon ventre  je le rejoignis. Nous étions tous les deux debout, l’un en face de l’autre, nos sexes également dressés, dans la clarté blafarde de la lune et subitement nous nous sommes étreints, nous pétrissant réciproquement les fesses et nous donnant un long baiser passionné. 

Je sentais mon sexe pressé contre le sien et une douce chaleur m’envahissait peu à peu.

 Alors qu’Aurélien s’écartait un peu de moi et commençait à masturber délicatement nos deux sexes accolés, la lueur de phares et un bruit de moteur vint nous prévenir de l’arrivée d’un véhicule sur notre chemin. 

- Vite, dans ma voiture, criai-je, affolé, en me jetant littéralement sur mon siège et en mettant le moteur en route. Aurélien me rejoignit d’un bond et je démarrai, tout en manœuvrant le toit de la Peugeot, pour le refermer. Il était temps ! Encore un peu et nous étions surpris dans le plus simple appareil, en pleine nature. Je démarrait sur les chapeaux de roues et dans de grands éclats de rire. Ni Aurélien ni moi, n'avions débandé tellement  nous étions excités.

 Alors que j’essayais de distancer l’autre voiture, Aurélien entreprit de me branler. Crispé sur le volant, je murmurais : 

- Arrête. Tu es fou.  Dans un éclat de rire, il me répondit : 

- Non, je ne suis pas fou, excité seulement et j’ai envie de te posséder. Sur ces mots, il se courba vers mon ventre et se remit à me sucer le sexe avec une sorte d’avidité. Je sentais la jouissance monter en moi mais à cet instant la voiture qui nous suivait, fit des éclats de phares. Mon bel auto stoppeur se redressa et me dit d’accélérer pour les semer.

Pendant 10 minutes, nous avons tressauté sur ce mauvais chemin, toujours suivis, avant de déboucher à nouveau sur une route. Au hasard, je m’y engageais vers la gauche. Nous fûmes soulagés de voir que notre suiveur prenait la destination inverse. Je ralentis et, caressant de la main droite la cuisse, le ventre et le sexe de mon voisin, je lui proposai de passer la nuit ensemble dans un motel que je connaissais dans la région. 

-Tu as toujours envie d’essayer avec un garçon  me répondit-il avec un grand sourire et en passant son bras autour de mon cou, 

- difficile de te contredire ! Il suffit de voir ma queue prête à exploser répondis-je étonné moi même de m'entendre prononcer ces mots.  c’est d’accord, car tu me plais et je suis très échauffé par ces moments passés en ta compagnie ».


M’arrêtant sur le bas-côté, je lui dis alors : 

- Je crois qu’il vaut mieux se rhabiller avant de regagner des voies plus fréquentées . Je récupérai mon pantalon à l’arrière de la voiture  et après  être descendu, l’enfilais à cru sur ma peau nue, avec un petit frisson de plaisir en m'efforçant de le boutonner su ma verge  gonflée. Pendant ce temps,   Aurélien, resté sur son siège, remettait son short et passait un tricot tiré de son sac, puis me tendit ma chemise que je revêtis avant de  reprendre le volant. Un quart d’heure plus tard, nous étions au motel et j’obtenais une chambre. Je garai ma voiture devant celle-ci  et primes possession de notre logis. Rideaux fermés, porte verrouillée, Aurélien vint se coller contre  moi pour me rouler  une pelle profonde et humide. Je tremblais de désir et un peu de crainte de ce qui allait se passer.

Me lâchant, Aurélien se mit à se déshabiller, ce qui fut vite fait compte tenu du peu de pièces de vêtements qu’il portait. A poil devant moi, il me dit d’une voix ferme et rauque  : 

-déshabille toi maintenant. 


Je m’exécutai rapidement et me retrouvai bientôt nu, le sexe en émoi, effrayé mais en même temps dévoré par le désir et  livré à ce jeune homme à la beauté envoûtante.

Aurélien,  devait sentir, malgré les preuves évidentes de mon désir, ma frayeur devant ce gouffre qui se présentait à moi,  hétéro de base,  proposa, sans doute pour me laisser du temps 

- Si on prenait un bain ? Par cette chaleur, cela nous fera du bien. Qu’en penses-tu ? 

Ensorcelé par cette voix sensuelle et hypnotisé par ce corps d’homme exposé devant mes yeux, je ne me maîtrisais plus. Je voyais son sexe à la peau sombre se balancer entre ses jambes, sous une épaisse toison pubienne charbonneuse.  Ses bourses couvertes de poils noirs et sa verge longue au prépuce étroit. Je  le voulais, je voulais le toucher, le caresser, le sucer, le lécher. Découvrir chaque parcelle de peau. Et je sentais monter en moi une pensée iconoclaste,  l'envie de le sentir me pénétrer au plus profond de mon intimité. Je bandais comme un âne, le gland gonflé, violacé, suintant déjà. Je n’ai plus aucune volonté et je m’abandonne aux évènements et surtout à la voix d’Aurélien. « Bien sûr. Allons-y. »




Peu après je me glissai  dans la baignoire, assis, les jambes écartées, dans l’eau tiède jusqu’au nombril. Aurélien me rejoignit, s’asseyant entre mes jambes, les jambes repliées derrière mes fesses. Nos sexes se touchaient, les glands émergeant de l'eau et tous deux pointant vers le plafond. Nous nous embrassâmes longuement, nos mains exploraient nos corps ; les épaules, le dos et les cuisses, puis les verges. C’était délicieux.  Toutes mes craintes envolées,  j'étais tout entier dans le plaisir inouï de l'instant. 

Puis Aurélien pris en main nos deux bites et commença une lente masturbation. Tout en me noyant dans son regard incandescent,  je gémissais,  haletant.


Savamment il cessa enfin ce mouvement de va-et-vient, lâcha nos verges, se releva, me tendis une savonnette et me demanda de le laver. Je plus ainsi  reprendre dans mes mains son sexe si désiré, le savonner, le frictionner,  passer à ses fesses rondes et fermes, à ses  cuisses longues et musclées, aux mollets bien marqués et durs, pour enfin remonter vers le dos, la poitrine, les tétons, le cou. Une mousse blanche et légère recouvrait bientôt son corps brun et si bien dessiné. Mes mains glissaient sur sa peau et je le sentais tout au plaisir reçu,  cambré, la tête renversée en arrière, le souffle court. Je lui demandai alors de ma savonner à son tour, ce qu’il fit avec douceur et une parfaite connaissance des zones érogènes du corps masculin. Je tremblais de tous mes membres sous le passage de ses mains et lorsque celles-ci s’attaquèrent à mes attributs virils, je sentis brusquement la sève monter. Heureusement il s’interrompit, très attentif à mes réactions. Nous nous plongeâmes une dernière fois dans l’eau pour nous rincer et nous  projeter de l’eau à grands claques dans le bain.






Sortis de la baignoire, prenant deux serviettes blanches, nous nous séchâmes réciproquement, avant de rejoindre, toujours nus, le lit à deux places qui garnissait la chambre. Aurélien m’enlaça alors et nous tombâmes ensemble comme un seul corps sur le drap. Il s’empara de mon corps, le faisant vibrer de partout par ses succions et ses caresses, puis tout en me regardant d'un regard de braise, il suça langoureusement un doigt qu'il  m’introduisit  dans l’anus et le fit tourner  doucement dans mon tréfonds. C’était pour moi une sensation inédite, ce qui me fit crier comme si depuis toujours je n'attendais que ça 

- prends moi ! 


 Il me retourna sur le ventre, m’écarta les fesses de ses deux mains, me lécha longuement le cul et mon oeillet et y introduisit  sa langue. Je n’en pouvais,  plus et je le suppliais 

-  Viens en moi, viens. 

Il cracha dans ma raie,  me lubrifia la rondelle  avec sa salive et me tarauda d'un doigt puis encouragé par mes gémissements, d'un second puis je sentis tout le poids de son corps qui se couchait sur moi, sa verge qui se pressait contre mes fesses, son gland  pousser sur ma rosace; soudain, une douleur assez vive qui me fit pousser un cri. Son membre forçant  le passage, pénétra en moi, s’enfonça lentement répandant une grande chaleur dans mon ventre. Avec délicatesse il me ramona l’intérieur, puis son rythme s’accéléra, sa verge entrant et ressortant de mon cul. Je hurlais de plaisir et je sentais la jouissance nouvelle monter crescendo. Soudain dans un intense spasme il éjacula en moi, en jets puissants et brûlants et je déchargeai simultanément sur le drap sans même avoir eu à me toucher. Comblé je m’écroulai. Aurélien me retourna, enfourna ma verge imprégnée de mon foutre et après s'en être délecté, m'embrassa furieusement partageant ainsi avec moi ma semence que du coup je goutais pour la première fois. 


 Étendus sur le dos, côte à côte, les sexes au repos, nous échangions quelques  caresses. Je me sentais léger, libéré, heureux. J’avais enfin couché avec un garçon et cela m’avais plu au delà de mes fantasmes les plus secrets. Mais j’avais maintenant,  bêtement  aussi un peu honte de m’être comporté comme "une femelle"  entre les mains de cet étudiant qui aurait pu être mon élève et qui s’était révélé être mon maître.  Dernier réflexe imbécile de "l'hétéro outragé". Je le regardai à la dérobée, prêt à s’endormir après l’amour, le visage calme et repus, les muscles détendus, le ventre plat, une jambe allongée sur le drap, l’autre repliée à la verticale et ce long et superbe sexe qui me fascinait, assoupi et lové dans la masse sombre des poils pubiens Je sentis ma verge se redresser et durcir à nouveau, le désir revenir vigoureusement, mes couilles se tendre et une envie intense de le posséder monter à mon cerveau.

Sans plus réfléchir je me jetai sur lui, l’écrasant de mon poids, le retournai comme une crêpe et m’emparai de ses fesses blanches au bas de ce dos brun. Surpris, il tenta de se débattre, mais j’étais bien plus fort que lui et je le maîtrisai sans peine, lui disant d’une voix sifflante : 

-  Laisse toi faire. Je veux te posséder, comme tu m’as possédé. Je veux sentir mon membre au plus profond de toi. 

-


Alors, c'est la phase,  "l'hétero, le retour"? Blessé dans ton amour propre d'avoir été baissé, d'avoir joui d'une bite dans le cul? Dit-il courroucé . Il se détendit néanmoins et  consentant me tendit son cul.   J'en  écartai les fesses, contemplai cette fente que j'allais découvrir et aimer. Je glissai un doigt, puis deux dans son anus. Ils pénétraient facilement dans ce conduit chaud et humide qui réagissait par des contractions. Son corps accompagnait mon exploration, la guidant presque.  Je collai pour la première fois de ma vie mon visage entre des fesses a fortiori masculines et pour la première  glissai ma langue dans un trou du cul. 

-oui, vas-y, bouffe moi le cul! Souffla t-il d'une voix rauque que je ne lui connaissait pas encore,  baise-moi profond avec ta langue et il poussa des deux mains mon visage dans sa raie.   Je me délectai longtemps de ces nouvelles sensations et saveurs,  encouragé par les ondulations du bassin d'Aurélien qui accompagnait ma langue et mes doigts puis sans plus tarder, je collai mon gland gonflé sur sa rondelle, poussai et l'empalai de toute ma verge. Sentant ses fesses contre mon aine , je laissai échapper un cri de triomphe.  J'allais et venais en lui; j'aimais sentir ses sphincters enserrer ma queue, compresser mes veines gorgées de sang. J'aimais le bruit de mes couilles frappant ses fesses  et par dessus tout,  deculer quelques instants et voir son oeillet béant.


 Après ces  va-et-vient, de plus en plus violents, la jouissance m’envahit et dans un râle de plaisir mon sperme jaillit dans le ventre d’Aurélien en un jet puissant, tandis que ce dernier se raidissait.   Se dégageant de mon étreinte,  Il se retourna et se branla furieusement envoyant plusieurs salves de  foutre sur mon torse.

Epuisés, contentés, nous nous  endormîmes  dans les bras l’un de l’autre.

Je me réveillais de bon matin et contemplais avec étonnement ce jeune corps masculin étendu sur le ventre, à mes côtés. Je me levais sans bruit, allais prendre une douche et lorsque je revins dans la chambre, je vis qu’il était réveillé et me regardait avec admiration. « Tu sais que tu es très beau » me dit-il « et drôlement vigoureux pour ton âge ». M’asseyant à côté de lui, je lui caressais les cheveux en disant « Toi aussi tu es beau. J’ai passé une nuit merveilleuse avec toi et tu m’as fait découvrir les plaisirs de l’amour entre hommes. Merci.»

Après nous être habillés, nous sommes allés prendre un copieux petit déjeuner. Puis nous sommes repartis. A l’entrée de Paris, j’ai demandé à Aurélien où je devais le déposer. Il m’a répondu qu’il n’avait pas de préférence car il allait voir si des camarades pouvaient l’héberger d’ici la rentrée universitaire. Je lui proposais alors de venir chez moi où je pourrais l’aider à préparer son examen de rattrapage. A ma grande joie, il accepta immédiatement.

C’est ainsi que nous avons passé un mois à travailler le jour et à baiser la nuit. Je ne me lassais pas de son corps, ni lui du mien. Il a réussi son examen et poursuivi ses études. Nous nous revoyons de temps en temps pour de chauds ébats. J’assume désormais mon état de bisexuel, découvert grâce à lui et je me partage entre amis et amies, souvent choisis dans le milieu étudiant.




1 commentaire:

  1. Horny as hell, Sebastian grabs the gorgeous twink by the back of his hair and hammers his pretty head down on his D, hard! When Finch finally resurfaces, he’s hard as a rock, and Sebastian isn’t about to let that thick dick go unlicked.
    Helixstudios

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