18 janvier 2009

LavieestTellementplus douceauSOLEIL


temps mouvementés. Nouveau boulot, des heures de train pour rejoindre les deux capitales sièges de mes bureaux. des tas de nouvelles choses à apprendre. bref, une vie trépidante! Je suis loin de mon Pc, mes phantasmes s'éloignent, je suis entièrement concentré sur mon boulot et les enjeux de cette nouvelle vie. Mais, là, maintenant, j'aimerais être ailleurs, loin de la grisaille du nord, dans les bras de mon mec, sur une plage déserte. Comme ces soldats israeliens, qui eux aussi, quelques fois s'éloignent des horreurs du moment, des horreurs de la région. Je ne fais pas de politique, en tous cas pas ici. Mais, Israël est le seul espace de liberté de cette région, et au delà de la légitimité de la situation actuelle, cela compte pour moi.

les israéliens, eux aussi, comme nous tous, s'aiment.
Les soldats de tsahal sont donc bien des hommes comme les autres.



04 janvier 2009

poémes de Kalu

DOS
De toutes petites îles sur une mer de peau,
De toutes petites îles jetées sur ta peau

Je ne suis pas un conquérant, non ;
Ont-elles un nom? Je ne le connais pas
En simple explorateur ma main posée,
Là, juste posée, juste te caresser.

De toutes petites îles sur une mer de peau,
De toutes petites îles jetées sur ta peau

L'archipel est caché, mystérieux,
Il m'aura fallu ton intimité,
Le temps d'une calme nuit de janvier
Pour silencieusement m'en approcher.

De toutes petites îles sur une mer de peau,
De toutes petites îles jetées sur ta peau

Aux confins de tes reins, calme océan,
J'aime faire souffler un vent de tempête,
Les vagues de sueur, sur ta peau mouillée,
Roulent, voluptueuses, inondent mon plaisir.

De toutes petites îles sur une mer de peau,
De toutes petites îles jetées sur ta peau

Tâches miraculeuses, îlots de naissance,
récifs de corail sanguin, comme Gauguin,
J'aurais aimé m'y reposer un temps,
Mais tu as levé l'ancre, tu repars au loin.

De toutes petites îles sur une mer de peau,
De toutes petites îles jetées sur ta peau

GABRIEL 2.1



Les sentiments diffus vont et viennent
Au travers de ma colonne ;
Echappée belle, cheminée ascensionnelle,
Flux et reflux de volutes bienheureuses.

D'un futur incertain,
Le passé transpire encore...

Tu restes partout et nulle part ;
Un spasme aléatoire secoue ma peau de frissons,
Hérisse ma torpeur, obsédant,
D'une onde qui se propage.

D'un futur incertain,
Le passé transpire encore...

Au présent, mes pieds plombés
Sont contraints d'avancer.
La marche hésitante du conditionnel, elle,
N'oppose plus de résistance.

L'angoisse de te perdre est-elle
Supérieure à celle de t'oublier?

GABRIEL




Par à-coups familiers – alors rares !-,
Le hurlement joyeux du cœur qui renaît
Creuse et amollit la gangue asséchée.

Tes battements injectent en ma torpeur argileuse
Le vermillon d'un présent délaissé ; cadencé,
D'un ventricule à l'autre, le rythme réapparait.

Archange multicolore, perroquet railleur,
Au comble d'un sombre retranchement,
Rieur, tu viens me dénicher.

Envol soudain, me retrouver vivant !
Ouvrir grand la porte de demain,
Horizon clément : explosion de couleurs.
J'aimebien


JASONMRAZ
c'est cool, estival, cela s'écoute bien

Jason Mraz - I'm Yours

AmyMcdonald
superbe voix; ici live dans un magasin de disques, juste avec sa guitare





03 janvier 2009

New year celebration



Le soleil est déjà bien haut dans le ciel. Au travers des vitres embuées de la fenêtre, une lumière blafarde, ciel d'hiver, éclaire timidement notre grande chambre. Enlacés au fond de notre couette, nous ouvrons les yeux sur cette première journée de l'année. La nuit, bien courte, les alcools, le bruit de la fête, pèsent sur nos paupières et notre haleine. Mais c'est le premier matin et nous avons pas pris le temps dans le tumulte de la nuit de nous souhaiter vraiment, pleinement une bonne et heureuse année. Nos yeux embrumés, mi-clos se sourient, nos mains déjà caressent nos corps. Je jette par dessus bord les draps, la couette, et, tendrement attrape ta queue déjà bien dressée. Je te veux en moi, je veux que cette première journée commence par l'affirmation déjà maintes fois exprimée que cette année encore, nous serons NOUS, nous serons.
Rapide comme l'éclair, je fouille dans le tiroir de la table de nuit le lubrifiant, monte à califourchon sur toi, te tartine et enfin, t'enfourche. Quel bonheur! Ta queue doucement me transperce. Je pèse de tout mon poids, je ne veux rien perdre. Nous ne devons faire qu'un. Maintenant je t'enserre, de tous mes muscles intimes, je malaxe ta bite si durement, si profondément ancrée en moi. J'agrippe tes couilles tandis que ma queue dressée à rompre, bat contre mon ventre. Cela ne va pas durer longtemps, je suis tellement excité que je pourrais jouir sans même me toucher. Je sens ma semence prête à jaillir, je résiste, je lutte contre cette force qui monte en moi, ce plaisir que je veux immense. Toi, tu me regardes, tu fixes mes yeux remplis de désir tandis que tu titilles fermement mes tétons durcis, m'arrachant mes premiers cris de plaisir. Ta queue en moi frémit, je sens chacune de ses veines gonflées à rompre; je sers plus fort, je pèse de tout mon poids, gagner quelques millimètres encore? Je ne tiens plus, je prends ma queue et me branle sauvagement; quelques secondes suffisent pour que d'un cri, douleur, plaisir, larmes, un long jet de semence, trop longtemps, trop violemment retenu , inonde ta poitrine et ton visage.
Alors, je nous sépare, je prend dans ma main ce sexe tuméfié, prêt à jouir. Quelques caresses suffiront. Tes mains se sont soudainement agrippées à mes hanches, tu as retenu quelques instants ton souffle et enfin, dans un long et profond gémissement, tu exploses . Ma bouche est là pour recueillir ta semence, Rien, pas une goutte se perdra.
Nous nous embrassons, nos salives se mêlent à ton sperme, puis au mien léché sur ta poitrine et tes joues. Première communion, bonne année, mon amour, bonne année avec moi; toi et moi.
Pourtant, le sais-tu? Ce week-end, tandis que tu iras visiter ta mère, je baiserai, je baiserai avec des inconnus. Peut-être, je raconterai.





01 janvier 2009

WhatELSE?!


Série bisous _-2

Serie bisous (2)

voilà, une nouvelle année commence, j'espère, même si j'en doute, qu'elle sera meilleure que celle que nous venons de passer; à tous points de vue. Et comme chaque nouvelle année, celle-ci dois commencer par des ..... bisous!
bonne année 2009!!