22 octobre 2014

Juste après, ton regard



A. avait préparé un bon petit dîner. Pendant le repas nous reparlions de la soirée chez Christophe et Daniel, de nos ébats sexuels de cette soirée là. Cette discussion nous excitait beaucoup et une envie de le sucer me vint.
Sans attendre le dessert nous commençâmes à nous embrasser, nous frotter l'un à l'autre, nous caresser. Je relevai mon hôte de sa chaise et lui défis sa ceinture, lui déboutonnai son pantalon, et tombai nez à nez avec sa verge brûlante, qui m'avaient tant manqué, et qui déjà se déployait devant moi. Son gland toujours aussi volumineux, bien décalotté. Je passai le bout de la langue sur sa pine, lui caressai les couilles, qui cette fois-ci étaient bien rasées. J'enfournai sa queue, son gros gland me déformant toujours autant les joues.




Je le pipais depuis déjà 5 bonnes minutes quand il me releva pour m'emmener vers le salon. A engagea un DVD pendant que je me déshabillais et il en fit tout autant. Il s'assit sur le canapé les cuisses bien écartées et ce pieux qui se redressait fièrement n'attendait plus que moi. Je m'agenouillai face à lui et le branlai, le tétai goulument, le suçai , lui léchai les couilles. Bien excité, une petite goutte de mouille  perla.



Du bout de la langue je recueillis cette perle et vins la partager avec lui. Je violai sa bouche dans une pelle enflammée. Je lui dis à l'oreille que j'aimerais qu'il jouisse dans ma bouche et là je sentis mon amant me serrer fort contre lui et m'avouer qu'il n'osait pas me le demander, nous nous embrasâmes de nouveau avec fougue et passion et je redescendis aspirer cette queue qui allait enfin m'inonder le palais de foutre.



Je m'appliquai à bien le sucer, je lui titillai le frein, enfonçai sa bite le plus loin possible au fond de ma gorge. Soudain je sentis sa queue se raidir de plus en plus, A
. me donna de grands coup de boutoir en me tenant la tête; le premier jet tapissa mon palais, je fus immédiatement électrisé par cette sensation, puis un deuxième, puis un autre et encore d'autres suivirent. Je gardai ce nectar pour mieux le savourer et je l'avalai enfin. C'est à ce moment qu'enfin, je goutai à toutes les saveurs de sa sève.
Son sperme était légèrement salé avec des notes de noisette et banane.



Les dernières gouttes furent partagées avec mon amant dans un baiser de braise.
Nous restâmes un moment à nous embrasser et nous caresser. A. voulut aussi me goutter. Comment refuser à mon amant le plaisir qu'il venait de m'offrir. Je pris sa place sur le canapé et je l'invitai à me dévorer. Je le regardai me pomper, j'aimais voir ses joues se creuser à chaque aspiration. Je sentais le plaisir monter en moi, j'allais moi aussi, bientôt, lui offrir ma crème, j'allais jouir. Il ouvrit la bouche, me branla et je déchargeai sur sa langue. Spectacle grandiose quand je vis mon foutre lui éclabousser la bouche. Il avait du sperme partout, sur le menton, les lèvres, le nez, les joues.


Il me pompa jusqu'à la dernière goutte. Il alla jusqu'à s'en pourlèche les babines pour récupérer le maximum de ma semence. Je n'étais plus moi même, je lui léchai le visage, et ramenai tout le sperme dans sa bouche. Nous venions de signer notre pacte d'amour, comme on échange des alliances, nous avions mêlé nos semences.....
La nuit fut longue et pleine de bonheurs partagés, et cela sera une autre histoire




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire