Et toi, petit saligaud, tes yeux rivés dans les miens tu m’allumes ouvertement. Tes gestes sont explicites, tu m’offres ton corps sec et noueux , tu m’offres ton sexe et ton cul à peine couverts par un jock strap que tu menace de quitter. Petit salaud. Ma queue ne tient plus dans mon jean serré. Je m’approche, ta main sans ambages vient s’en rendre compte par elle-même ; en veut plus, entame un déboutonnage que je stoppe immédiatement même si j’en meurs d’envie. Je t’emmène au dehors.
La nuit est fraîche. Mais cela n’arrête pas les fumeurs et les couples qui se forment. Je t’attire vers moi.
Déjà mes mains découvrent ton corps. Sans aucune pudeur ni retenue, je te désape. J’aime tes fesses, elles me rendent fou de désir. Cette nuit je vais t’aimer.
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