12 mars 2024

récit just friends

 


Nous étions amis. Comme seuls des adolescents peuvent l’être. Amis pleinement, totalement. De sang.

Je savais tout de toi et tu savais tout de moi. C'est-à-dire par grand-chose. Le lycée, les filles que tu regardais et dont on ne parlait jamais, les voitures de formule 1 dont nous parlions souvent.

Je me foutais pas mal des voitures, de leurs pilotes et de la forme des circuits. Mais, nous étions ensemble, de longues heures l’un contre l’autre sur le grand lit de ta chambre, juste au-dessus de la boulangerie de tes parents. C’était notre refuge, notre île. Hors du temps, juste nous.

Le week-end nos parents s’étaient habitués à nous voir ensemble. Dès la sortie du lycée, je remplissais nerveusement un petit sac de quelques fringues et je courrais chez toi, de l’autre côté du fleuve traversant hâtivement la ville.


La nuit, les nuits passées contre toi, dans ton grand lit grinçant, la nuque caressée par ton souffle régulier ; léger si léger.

Cet été-là, nous avions persuadé, facilement d’ailleurs tes parents, de te laisser venir avec moi quelques jours dans notre maison du bord de la mer.

Quel bonheur, nous passions nos journées à la plage, dans les dunes, à vélo. Nos premières soirées aussi dans le monde du dehors, à siroter de la bière aux terrasses bondées de la station balnéaire. Seuls parmi les rires, les regards des garçons et les filles de notre âge. Bronzés, exténués de sport, heureux de la fraîcheur retrouvée de ces soirées estivales. Le bonheur et l’insouciance régnait partout.




Ce soir-là, je me souviens, Exténués par notre journée de plage et de sport nous n'avons pas tardé à aller nous coucher  

Il faisait chaud. Seul une légère brise soulevait à peine le léger rideau de la chambre. La lumière de la lune éclairait la pièce d’une lumière blafarde.  Nous nous sommes dévêtus tout en discutant.  Machinalement, sans réfléchir, dans ma lancée, j'ai même enlevé mon slip.   J'en ai pris conscience quand il m'a dit, 

- tu veux dormir à poil ?

C'était la première fois.  Il n'y avait pas de pudeur entre nous.  On avait l'habitude de se voir nus, ne serait-ce que sur la plage et il nous arrive même de faire notre toilette ensemble.  Non, c'est juste qu'au lit, nous avons toujours gardé un slip ou un caleçon.  Peut-être comme un dernier rempart à nos désirs inconscients. 

- euh. Oui,.... Finalement il fait trop chaud.   

- t'as raison, on sera plus à l'aise à été sa seule réponse. 

Tu t'es endormi presque tout de suite.  

Je ne dormais pas écoutant simplement les bruits de la nuit à peine troublés par ta respiration.  Je voyais ton corps à peine recouvert du drap, se découvrir peu à peu.  Il faisait encore chaud et même le léger tissu était de trop. 

Quand enfin, une brise fraîche a commencé à soulever les rideaux, je me suis enfin assoupi. 

Au petit matin, il faisait enfin frais et cela m'a réveillé. J'ai réajusté le drap sur mon torse découvert.  Naturellement, je bandais. J'allais m'assoupir à nouveau quand j'ai pris conscience que non seulement ta main était très proche de ma verge rigide mais que tes doigts l'effleuraient...


Je suis resté ainsi un moment... sans bouger... enfin presque... j'ai juste donné un petit coup de reins afin que le contact soit plus évident.  Tu devais dormir car tu n'as pas réagi alors qu'ainsi, mon gland était dans le creux de ta main. 

Dans ton sommeil, tu t'étais pratiquement entièrement découvert.  Le drap recouvrant à peine ton torse, tu étais nu, offrant à mes yeux, la délicieuse cambrure de tes reins, tes fesses légèrement entrouvertes et ma verge au creux de ta main à subitement sursauté, cognant contre tes doigts...  J’ai fermé les yeux, il n'y avait que ça à faire.. me rendormir.  Soudain, un effleurement sur mon gland décalotté et humide.. Une caresse ! Tout doucement, cet effleurement est devenu un enveloppement. Et puis plus rien.  Avais-je rêvé ? Pris mon désir pour la réalité, je ne sais. Tu as enlevé ta main. Bien sûr je me suis rendormi. Pour me réveiller à nouveau peu de temps après.  Tu n'avais pas changé de position.  Tes fesses étaient toujours à quelques centimètres de moi et de ma queue toujours raide. 

Sans vraiment réfléchir, je me suis encore approché et j'ai caressé très légèrement ta cuisse du bout de mon gland décalotté, laissant une traînée humide sur ta peau.  Tu n'as pas bougé alors plus téméraire encore, j'ai caressé ton sillon. Tu as alors, sans te retourner, tendu le bras. Tes doigts se sont refermés sur ma verge.  Une caresse le long de ma hampe, une caresse sur mes boules, je n'osais pas réagir, on n’entendait à peine nos respirations retenues.

Puis tu t'es enfin retourné.  Sans me regarder, sans un mot tu t'es penché, tu as regardé ma queue qui pointait vers toi. Tu as fini de la décalotter puis tu as juste posé ta langue  sur le méat pour recueillir une goutte de mouille.; enfin, tu l'as gobée presque toute entière tout en caressant mes couilles toutes dures. 

Tes fesses étaient toute proches. Je l'ai ai caressées pendant que tu léchais les veines de ma queue, mes couilles, que tu pompais mon vit.

J'ai glissé alors mes doigts au creux ton sillon, caressé ta rondelle. C'était agréable et visiblement tu aimais car entre deux va-et-vient sur ma verge, tu couinais. 

C'est là que j'ai eu envie d'aller en toi. J'étais bien sûr puceau et toi aussi   au moins comme ça. 

Je t'ai demandé ce que tu en pensais,  sans hésiter tu as dit, 

- parce que c'est toi,  parce que c'est nous,

Et tu t'es retourné.  Doucement j'ai mouillé avec ma salive mes doigts,  ton œillet.  Doucement après une longue caresse de plus en plus pénétrante,  j'ai introduit un doigt. C'était facile finalement... encouragé par tes couinements,  par ta cambrure d'offrande, par ta queue raide battant contre ton ventre laissant des traces de mouille,  j'ai fait quelques va-et-vient et j'y ai introduit un second. Tu as  couiné de plus belle,  comme un appel.  J'ai pris ma bite en main, j'ai caressé quelques instants ton œillet avec mon gland humide puis j'ai poussé ; doucement.  Tu as crié, un peu, mais j'y étais.  C'était chaud,  c'était enveloppant.  J'ai fait quelques va-et-vient tout doux tandis que tu branlais ta queue.  J'ai accéléré au rythme de mon plaisir grandissant.  Bientôt, tu as jouit sur ton ventre.  Je t'ai suivi de peu,  .

Quand je me suis retiré,  mon foutre a coulé contre ta cuisse.  Nous nous sommes embrassés,  enlacés pour enfin trouver le repos. 









03 mars 2024

récit le promeneur


La forêt.  La forêt immense, profonde. Sombre.  Par moments, une brise légère offre, un trait de lumière chaude . Seuls, les craquements de ses pas, les champs des oiseaux, le bruissement des feuilles, troublent le silence.  Il est tard, Ted le sait.  Il devrait rentrer mais il veut atteindre le lac pour le coucher de soleil quitte à faire le chemin du retour dans la pénombre.  Il veut faire de belles photos.  Peut-être aussi se baigner sous la lumière du couchant. Il aime cet endroit, un peu sauvage, solitaire, fleurant fort l'humus. 
Il s'arrête soudain.   Craquements, bruits de pas, voix étouffées, grognements... plus de doute, il n'est plus seul.  Déception, il se réjouissait de profiter du paysage, du calme, du couchant en égoïste.  Il aurait voulu l'immortaliser sur la pellicule et peut-être aussi se glisser nu dans la fraicheur de l'eau. 
Le lac est proche, les voix aussi.  Il s'est rapproché sans bruit.  Il ne souhaitait pas de contact et espérait qu'ils partent rapidement pour avoir une chance de réaliser son projet. 
Ils sont là... deux hommes qui se font face. L'un est entièrement nu, l'autre ne porte qu'une chemise grande ouverte sur son corps, nu également.  Sans doute vont-ils se baigner... Ses espoirs de solitude s'éloignent.  Il reste caché derrière un arbre. Après tout peut-être, au contraire, se sont-ils déjà baignés et sont-ils sur le départ. 




Il est troublé ; Ils sont beaux.  Celui qui lui tourne le dos surtout semble grand, musclé, des fesses splendides.... L'autre est plus massif et offre à sa vue un sexe imposant. 
Bon Dieu ! Ils se rapprochent l'un de l’autre, ils s’embrassent, se caressent.  Le gars qu'il voit de face bande sans doute aucun ; ses mains massent les fesses de son compagnon, les écartent. Quant à l'autre il prend le mandrin dressé devant lui, le caresse.
Ted ne sait pas quoi faire. Il devrait partir, les laisser là. Il n'est pas un voyeur ! Mais Il ne peut se détacher du spectacle. Son ventre fourmille, son sexe est à l'étroit dans son slip. Ils sont si près, il voudrait, tel un fantôme, sans les déranger,  effleurer ces corps qui s'offrent l'un à l'autre. 
Une branche craque sous ses pieds.  Les deux gars se retournent. Ils l'ont vu. Il en est sûr, celui qu'il ne voyait que de dos sourit. Lui, comme paralysé, reste figé.  
Les deux hommes, comme si être observés les stimulent, continuent alors. Le massif, assis sur ses vêtements s'empare de la queue du musclé.  Longue, massive, elle lui baise la gorge par de légers va-et-vient.  Pas de doute, le gars le regarde.  Il est beau.  Une petite moustache sur un visage taillé à la serpe. 
- ne soit pas timide, viens...  
Ted est troublé, chamboulé. Il veut, ne veut pas, n'ose pas. 
Pourtant, sans réfléchir il se déshabille gardant juste son slip déformé par sa verge raide et son tee-shirt. Mais Il reste là, crevant d'envie de les rejoindre mais n'osant pas encore ; et puis c'est si beau, si excitant de les regarder s'aimer dans cette lumière dorée du couchant. 
Il sort son appareil photo et les mitraille.  Quelle lumière ! Maintenant, le musclé est empalé sur son compagnon.  Il soulève régulièrement son corps puissant laissant apparaître le mandrin qui le fore. Il se retourne de nouveau, son regard est éloquent : c'est un appel. 
Ted s’approche, doucement, un peu honteusement,  en slip blanc et tee-shirt, il se sent nul, inquiet aussi.  Si quelqu'un venait à les surprendre...
Ils sont là devant lui.  Souriants, accueillants, le moustachu toujours empalé bouge lentement le bassin.  Ted se pose au-dessus de la poitrine du baraqué. Le moustachu lui baisse son ck et fait jaillir son vit. Il le prend en main. Le regarde, le lèche le long d'une grosse veine gonflée, s'empare de ses boules avant de la gober tout entière tout en reprenant ses va-et-vient.  Le baraqué en même temps, lui caresse les fesses, les écartent,  caresse d'un doigt léger son sillon et sa rondelle. Leurs trois corps sont superbement éclairés d'une chaude lumière.  Les yeux brillent du plaisir donné et reçu. Tout est doux, chaleureux. 
Le beau moustachu se relève et embrasse Ted profondément, longuement.  Deux mots susurrés,
- tu veux ?
Bien sûr il a compris, bien entendu il veut. 
Le moustachu s'assoit sur une grosse souche.  Il tient son vit dressé, massif, veineux.   Son compagnon aide Ted à se débarrasser de son ck, lubrifie son œillet de sa salive, lui écarte les globes tandis qu'il se baisse.  Le gland humide caresse quelques instants sa rosace.  Ted se baisse doucement, le mandrin le pénètre doucement, écartant ses sphincters, relevant sa queue.  Il en a la chair de poule.  La douleur est intense mais ses deux compagnons, le caressent, le rassurent.  Enfin ses fesses reposent sur les cuisses du moustachu.  Le baraqué prend sa bite en bouche.  Après quelques instants de repos, Ted entame ses va-et-vient, enfonçant en même temps sa bite dans la gorge du baraqué. 
Maintenant que son cul s'est habitué au braquemart qui le lime, il accélère ses va-et-vient. Serre ses sphincters autour.  Le moustachu, l'aide à soulever son corps et gémit.  
Le soleil se couche doucement les ombres se rallongent.  Ted se dégage.  C'est au tour du baraqué de s'étendre au sol.  Le moustachu s'occupe de sa queue.  Quant à lui, resté debout au-dessus du baraqué qui lui caresse l'œillet ouvert, il se caresse la bite en le regardant. 
Puis, il s'assoit sur le visage du baraqué. Sa langue s'introduit en lui, lèche caresse ses sphincters détendus.
Après cela, comme pour communier tous ensemble, s’unir tous ensemble.  Ted s'est empalé sur la verge du baraqué.  Le moustachu s'est baissé et lui aussi doucement, s’est enfoncé en lui.  
L'un après l'autre à joui, les spermes se sont mêlés.
Il ne restait plus qu'à se jeter à l'eau dans les derniers rayons de soleil. 





 

29 février 2024

voyage avec pote(s)


C’était la première fois que nous faisions quelque chose tous les deux, L. et moi. La première fois que nous partions ainsi pendant plusieurs jours, livrés à nous même et ensemble 24h/24.
L’appartement disposait de deux chambres, il n’était bien entendu pas question de dormir ensemble, je suis sûr que cela ne t’avait même pas effleuré, toi l’hétéro de base ; mais moi, bien que mon amour pour toi ne soit pas charnel, que cela soit un amour plus trouble, très fort, fraternel, adolescent, dormir à quelques centimètres de toi, ne me laissait pas indifférent et me troublait ; partager mon intimité avec toi, m’excitait un peu certes mais me gênait bien davantage. J’avais peur de « casser » avec cette intimité quelque peu désirée, une fraternité que j’estimais plus forte que le charnel. Tu étais, tu es mon frère, je te ressens dans ma chair, je t’aime totalement mais même si j’ai envie quelques fois de toucher, même si nous nous touchons de fait comme deux frères peuvent le faire, toute suspicion de trouble charnel casserait à jamais cette tendresse, l’innocence de nos gestes l’un pour l’autre.
Mais ce soir je n'y tenais plus. Te voir, te croiser ainsi dans ce petit appartement new-yorkais, te baladant quelques fois dans le plus simple appareil. T'apercevant d'autres fois la nuit en allant pisser, dans la semi obscurité de la pièce , les draps du lit rejetés et toi nu sur le ventre les fesses "offertes ou sur le dos,  le sexe à moitié bandé... 
ces images rêvées ou vécues s'imprimaient dans mes pensées et m’empêchaient de dormir. il fallait à tout prix relâcher la pression, libérer les hormones et oublier tout cela pour le bien de notre amitié. Ce soir là donc, je suis allé dans la salle de bains prendre une douche bien froide et surtout me branler sauvagement.. et c'est là que tu es apparu, nu comme d'hab et moi la queue dressée entre mes mains fievreuses Dieu que j'ai du avoir l'air con! Mais tu as souris, bandé un peu (si, si) tu t'es approché de moi, posé ta main sur mon épaule d'un geste d'amitié et de tendresse et tu as simplement dit - viens allons dormir-.
Ce soir nous avons dormi dans le même lit, l'un contre l'autre. en amis. Même si dans mes rêves cela s'est passé autrement.....




27 février 2024

Le voyeur


Même si je continue mes études, j’ai toujours de gros besoins financiers et vivre à New-York est de plus en plus cher.  J'ai pris goût à mon " métier " d'escort, façon élégante pour dire gigolo.  D'abord ça rapporte bien, si on fait gaffe et si on trie bien les clients, on rencontre des gens intéressants et on vit des expériences étonnantes.  C'est une école de la vie.  Et puis je dois être honnête, j’y prends plaisir. Ça flatte mes différents travers. Mon côté exhib, égocentrique, sans compter les différentes demandes qu'il faut assouvir et qui quelques fois révèlent des penchants nouveaux chez moi. 

Cette fois, la mission était assez simple.  Je devais attendre quelqu'un au pied de l'arc de triomphe de Washington square et le suivre vers un hôtel où mon client avait réservé une suite.  J'avais accepté que la "mission" soit entièrement filmée.  Le client collectionnait les enregistrements de ses "expériences " et je ne l'ai compris qu’après, le cameraman était son mec..
Il m'a filmé dans la rue comme s'il m'avait alpagué au hasard.  J'ai joué le jeu en faisant quelques mimiques que je pensais être caractéristiques du prostitué.
Arrivés à l’hôtel, le cameraman m'a tendu la clé d'accès à la chambre. 
Début du show.
Je me suis rendu dans la salle de bains. 

Je devais laisser la porte ouverte.  Dave, entre-temps j'avais appris qu'il s'appelait Dave. S'était assis, entièrement nu sur un tabouret, face à la porte de la salle de bain.  C'était un mec d'une quarantaine d’années, plutôt baraqué ; c'était plaisant pour la suite de la "mission "!
Je me suis déshabillé lentement, comme un strip-tease sensuel.  Cette scénographie, flattait mon penchant exhib, et le savoir maté, désiré, m'excitait et me faisait bander. Parfait pour le show.  En boxer rouge, j'ai fait durer le suspense. Il ne pouvait pas ne pas voir que je bandais et je voulais ainsi faire monter la pression... 
Quand enfin j'ai baissé légèrement la ceinture élastique de mon boxer, ma longue queue à jailli.  Je l'ai regardé.  Il avait sa bite dressée et il se branlait doucement.. C’était un beau morceau et j'allais clairement déguster. 
J'ai ôté mon boxer et je lui ai jeté à la figure pour qu'il le renifle.  Ce qu'il n'a pas manqué de faire tandis que je me tortillais pour lui montrer tout ce qu'il allait pouvoir avoir. 
Je me suis enfin approché de lui. 



 Il a posé ses lèvres sur mon ventre, sur mon gland.  Il a caressé mes couilles avant de glisser sa main entre mes fesses. Sa main était douce et délicate.  J'aimais sa façon respectueuses presque amoureuse de découvrir mon corps tout en continuant à branler son mandrin dressé humide de mouille. On s'est embrassés puis je le suis baissé pour recueillir ces précieuses gouttes qui coulaient de sa verge. 
Je me suis tourné. Cambré, écartant mes fesses d'une main, pour lui offrir mon cul à découvrir.  Il a longuement parcouru mes globes du bout des lèvres avant d'approches sa bouche de mon sillon.  Sa langue est alors venue caresser ma rosace avant de la pénétrer et de lécher les rebords de mon sphincter. 
Après cela il m'a de nouveau retourné et s'est mis à sucer ma queue tout en glissant un doigt dans mon oeillet, toujours avec la même douceur.  
Un second doigt est venu s'introduire en moi tandis qu'il continue ses va-et-vient sur ma verge.  Ils pénètrent profondément, tournent, s’écartent, détendant mes sphincters..
N’y tenant plus je me suis empalé sur son mandrin tendu jusqu'à sentir ses cuisses contre mes fesses et j'ai entamé un frénétique va-et-vient. Pendant que sa queue me vrillait les entrailles, il caressait, léchait, mon torse, ma queue gonflée à bloc qui battait contre mon ventre. 
J'ai voulu changer de position ; je me suis levé face au mur, jambes écartées et il est venu me pilonner. Maintenant je recevais sa queue avec toute l'énergie de ses coups de reins.  Je gémissais sans retenue, vaincu par le plaisir donné par ses coups de butoir. 
 Nous sommes allés dans la chambre, il s'est couché sur le dos et je me suis occupé de sa queue en lui donnant  des coups de langue sur toute sa longueur 
- Oh oui. C'est bon, continue.
J'ai pris le gland entre les lèvres avant de l'avaler puis J'ai commencé à le sucer, caressant ses couilles, parcourant les veines gonflées de sang du bout de la langue, je la sentais palpiter au fond de ma gorge. Il aimait ça le bougre mais il avait très envie de revenir explorer mon tréfonds.
J'ai alors pris sa place, cuisses relevées.  Son gros gland est venu quelques instants caresser ma rondelle avant de s'y engouffrer d'un coup sec. Il s'est alors déchaîné.  Son  vit  s'enfonçant profondément,  son bas-ventre cognant contre mes fesses à chaque coup de reins.  Je me suis emparé de ma queue et je me suis branlé à son rythme. Il n'a pas fallu longtemps pour que je jouisse, expulsant une belle salve de foutre qui est venu s'écraser sur mon visage. 
Il a alors redoublé de puissance jusqu'à, dans un long spasme, remplir mon cul de sa semence. On s'est après cela longuement embrassés. Il était visiblement satisfait de ma/notre prestation.  Il savait que je n'avais pas feint le plaisir et c'était bon pour son amour-propre. 
Le cameraman, je l'avais oublié celui-là, a applaudit discrètement.  Ce petit "salaud " avait tout filmé! 
Dave lui a proposé de nous rejoindre.  Il a lâché sa caméra, s’est dévêtu et il s'est couché avec nous.  Il bandait encore... il ne fallait pas être grand clair pour deviner qu'il y aurait une suite.  La nuit ne faisait que commencer. 




24 février 2024

premier week-end

J'ai rencontré Joseph au boulot.  On se croisait de temps en temps à la cafétéria et je voyais bien qu'il se passait un petit quelque chose à chaque fois. 
Un jour, il s'est débrouillé pour arriver en même temps que moi. Par chance, les collègues avec qui je déjeune régulièrement étaient en réunions et j'étais seul.  Il m'a souri et proposé " puisque nous étions séparés tous les deux "que l'on déjeune ensemble. 
On a bien sûr échangé nos numéros de téléphone et on s'est promis de se revoir.
Ça n’a pas loupé bien sûr.  Quelques jours après, en se croisant de nouveau dans un ascenseur, il m'a proposé de passer une soirée ensemble. 
Ce qui devait arriver arriva.  Ce soir-là, nous avons couché ensemble et c'était bien. 
Après cela, on y est allé prudemment.  Quelques coups de fil, une nouvelle nuit ensemble et l'idée de passer un week-end ensemble à la campagne dans une petite maison appartenant à ses parents. 
De fait, pour atteindre la maison,  il fallait laisser la voiture au bord d'une petite route car le chemin n'était praticable que  par des voitures hautes comme des 4x4. Il fallait ensuite marcher une dizaine de minutes avant d'atteindre ce qui finalement s'apparentait plutôt à un refuge de chasse qu'à autre chose... L’électricité étant fournie par un générateur et l'eau par un puit...  Il y avait aussi un petit étang où l'on pourrait se baigner en toute tranquillité... Mais tout cela je ne l'ai appris que sur la route vers la maison. 

Après effectivement une grosse dizaine de minutes de marche, en haut d'une colline, la maison est apparue.  Joseph était très excité par la perspective de passer ici ce week-end en ma compagnie ; "cela allait nous permettre de mieux nous connaître ". Nous avions fait de grosses courses au supermarché d'un village proche et il avait déjà prévu tous les menus !
En bas de la colline se trouvait le fameux étang. Joseph me l'a montré très fier, 
- Viens avant toute chose on va se baigner !
- quoi maintenant ! Le suis-je exclamé elle doit être froide... 
- mais non ! Tu vas voir ça va nous débarrasser de la sueur de la marche et nous ouvrir l'appétit pour le succulent dîner que je vais nous préparer !
Aussitôt dit, il s'est précipité au bord de l'étang, s'est débarrassé très vite de son sac à dos, de ses fringues... quand il a ôté son boxer, j’ai vu qu'il bandait ! 
De mon côté, j'étais plutôt réticent... l'eau devait être froide et il suffisait de voir les difficultés pour rentrer pour être sûr qu'il y avait des cailloux partout...
Mais l’enthousiasme, la joie et les cris de de Joseph étaient communicatifs et je me suis laissé convaincre. Je me suis déshabillé et ai tenté maladroitement de le rejoindre car, oui, le sol était caillouteux et glissant.  Mais c'était finalement super.  L'eau était bonne. C'était un moment très agréable entre nous ; alternant entre rires, bagarres, éclaboussures, tendresse et embrassades.  À un moment, Joseph est sorti de l'eau. C'était comme si je découvrais enfin sa beauté.  Il se tenait debout tout au bord de la berge, jambes écartées, bras sur les hanches, souriant de bonheur. Sa longue verge était à moitié dressée. Soudain, il a soulevé sa queue, et m'a dit en riant, 
- j'ai envie de pisser ! 
Et là sans attendre, il a pointé sa verge vers moi et a lâché les vannes.  Il me pissait dessus le bougre ! Et abondamment ! Je n'ai rien dit, surpris. Finalement, ça m'excitait aussi de voir ce beau mec heureux pisser, c’était comme un jeu de gosses. 
A mon tour, faisant semblant d'être en colère, j’ai voulu le rejoindre sur la berge mais il s'est alors remit à l'eau et me regardant, 
- à toi maintenant ! Venge-toi !
Je lui ai pissé dessus mais contrairement à moi, il ouvrait la bouche... il semblait aimer ça !...
Après cela, nous nous sommes précipités l'un vers l'autre pour nous embrasser, nous caresser.
- ça t'as choqué que je te pisse dessus ? 
- on s'en fout, fut ma seule réponse, si tu aimes, j’aimes ; viens j'ai envie de toi!
Je me suis baissé, j'ai collé mon visage,  bouche ouverte sur sa verge dressée,  je l'ai serré contre moi,  mes mains agrippées à ses  fesses que j'écartais ainsi.  J'ai léché longuement ses couilles et sa verge pendant qu'il me caressait le dos.  On échangeait des baisers par intermittence.  C'était tendre et amoureux. Nos corps encore humides tremblaient et on ne pouvait dire si c'était à cause de la caresse de l'air de cette fin d'après-midi ou le désir... C'était comme une première fois.
Il s'est glisse derrière moi, il m'a caressé le torse entre deux embrassades.  Sa queue cognant contre mon dos. Il ne cessait de me lécher, de m'embrasser tout en me malaxant fermement les couilles et de maintenir ma queue dans une douloureuse raideur tout en continuant à me lécher le cou et les oreilles. Je me suis cambré comme pour lui signifier ce que je désirais le plus en ce moment. Sans un mot il a commencé à me préparer à sa venue ; un doigt, puis deux. Mon cul trempé se prêtait bien à l'exercice. 
Sa bite à caressé mon sillon, caressé ma rosace puis lentement s'est introduite en moi. Après quelques va-et-vient, il a commencé un long et méthodique pilonnage me soutirant des gémissements et des plaintes à réveiller la contrée.
Accroché à moi, ses coups de bassin enfonçaient son mandrin au plus profond. Il s’avait si prendre le bougre et je lui rendais bien car je serrais  mes sphincters à fond autour de sa queue. Maintenant, que le plaisir était entier, j’avais besoin, envie de le voir, de voir les muscles de son corps unis dans l’effort, de voir la jouissance monter dans son regard plein de désir, de voir aussi bien sûr cette queue me pourfendre à chaque coup de reins.
La sueur dégoulinait sur nos visages et nos torses, bientôt, comme vaincu de fatigue, il a désarçonné ; juste le temps pour moi de me retourner sur le dos et de lever les jambes pour de nouveau l’accueillir. Tandis qu’il me défonçait le cul ses mains ont agrippé mes pecs, ses yeux rivés aux mieux cherchaient l’orgasme proche, la sueur couvrant nos corps épuisés. Il ne fallait pas conclure , pas tout de suite et pour nous donner un peu de répit, un peu de repos, je lui ai demandé de se coucher, son braquemart dressé comme une trique et je me suis empalé sur lui ; un choc car cette fois-ci le poids de tout mon corps me poussait contre sa queue qui m’embrochait à fond ; cette fois-ci je me devais de faire le boulot en soulevant mon corps pour le reposer lourdement, mes fesses contre ses cuisses tandis qu’il me branlait de concert; le plaisir montait et n’y tenant plus j'ai jouis longuement d’un long jet de sperme sur son torse et sa main et après quelques instants pour redescendre, je me suis retiré pour le branler à son tour, je voulais voir son foutre, je voulais le goûter et le partager avec lui. Bientôt, dans long spasme, tout son corps, tous ses muscles tendus, il a joui, rependant un sperme épais sur son torse et sur ma main, je l'ai goûté bien sûr léchant ma main, son torse, sa verge et nous l'avons partagé dans un long et ultime baiser. 
Après un long moment de repos, nos corps nus allongés sur le dos dans l'herbe fraîche, les yeux fixés sur les nuages qui passaient, nous nous somme relevés, et, après avoir rassemblé nos affaires, nous avons remonté la pente vers la maison rouge qui nous attendaient. ...
















23 février 2024

réaction inattendue


Il avait pris rendez-vous avec un "coiffeur estheticien "qui pratiquait également,  le rasage ou l'épilation des parties intimes masculines.
C'était la première fois. C'était un petit fantasme qu'il souhaitait enfin assumer. En fait un double fantasme.  D'abord,  avoir un corps entièrement débarrassé du moindre poil.  Un pubis,  des couilles ultra douces à caresser,  des fesses et surtout un sillon glabre, mettant bien en valeur ma rosace.  L'idée simple d'imaginer un mec écarter ses globe-trotter pour découvrir offert son oeillet le faisait bander.  L'autre fantasme étant simplement de se retrouver nu devant un mec couvrant son corps méticuleusement de mousse avant de passer son rasoir et de laisser aller. Lâcher prise.
L'esthéticien étonnamment était jeune,  devait avoir à peu près son âge et était plutôt attirant ce qui ajoutait à la tension qu'il ressentait à ce moment là. 
Il s'était déshabillé entièrement et après s'être couché sur le ventre,  il se laissa aller à la douceur du moment.  Les gestes du gars étaient assurés et doux. Il ne parlait pas.  Simplement, quand il s'était agit de s'occuper du sillon interfessier, Il lui demanda juste de l'aider en écartant ses globes.  Là il sentit un bouillonnement dans son bas-ventre et sa queue durcir...
C'était effectivement délicieux... surtout quand, il passa une petite serviette humide contre sa rosace pour bien nettoyer l'endroit. Inconsciemment,  il souleva légèrement son bassin,  comme une invite. Une envie folle que cela aille plus loin,.. 
Quand il fallut se retourner et se mettre sur le dos,  fort heureusement,  il ne bandait plus même si sa verge n'était pas totalement au repos.
Une torture.. une torture sensuelle inouïe.  Ses gestes autour de son sexe étaient précis,  d'une douceur extrême.  Sa main par moments englobait ses couilles,  soulevait sa verge,  s'enroulait autour.. Elle durcit,  forcément.  Bientôt,  sans provoquer la moindre réaction de l'esthéticien,  sa verge se trouva  toute dressée, couverte de mousse mentholée dans sa main qui l'effleurait  dans un très léger va-et-vient. 
Il était transporté,  submergé par de puissantes vagues de désir fantasmées et de plaisir. S'accrochant aux rebords de la table,  il tentait de se contrôler mais à son corps défendant,  sa respiration devint haletante, son torse se soulevait de plus en plus rapidement.  In pouvait voir ses abdos se contracter... soudain,  il éjacula puissamment, envoyant de copieuses giclées de sperme sur son torse. 
L'esthéticien marqua quelques secondes de surprise.. de grosses gouttes de sperme s'étaient écrasées sur sa main.  Puis, flegmatique,  il essuya sa main et repris son travail...
Sa verge était toujours très raide et sensible. L'esthéticien continuait à la manipuler avec toujours la même douceur.. quand celui-ci la dressa pour mieux l'essuyer,  il eût un second orgasme... 
Là encore,  l'esthéticien,  très professionnel, ne réagit pas et continua l'essuyer et peaufiner son rasage. 
Fallait-il s'excuser,  ne rien dire et faire comme si de rien n'était....
Il choisit cette option. 




16 février 2024

un masseur attentionné


J'avais entendu parler de lui par un copain qui m'avait donné ses coordonnées.  Il était " canon " et plutôt très à l'écoute de ses clients...  J'ai passé quelques jours à fantasmer sur une séance de massage avec lui mais bizarrement, je n'osais pas.  Et puis, je me suis lancé.  J'ai appelé pour un rendez-vous chez moi car... bizarrement, je voulais filmer la séance...   Il est arrivé à l'heure.  Effectivement c'était un beau morceau, une masse de muscles, une vraie bête de salle de gym avec un beau sourire ravageur.  

Il a déplié sa table de massage et l'a recouverte d'un drap de protection.  Je ne voulais pas qu'il y ait d'ambiguïté,  

- je dois me déshabiller complètement, n'est-ce pas ? De fait je ne portais qu'un short que j'ai ôté rapidement.   

Il m'a demandé quelles parties il devait traiter et j'ai précisé qu'il pouvait insister particulièrement sur mes épaules.  

- tu as bien demandé un massage naturiste ? M'a t-il demandé.  

- Oui, ai-je répondu le cœur battant et déjà entièrement nu.  

- tu as bien fait, je pense que cela participe à un meilleur "lâcher prise ". 

Je me suis étendu sur la table et j'ai attendu qu'il se prépare.  J'ai senti les gouttes d'huile tomber sur mon dos et il a commencé son travail.  Un massage à la fois doux, précis et pénétrant. C'était effectivement bon et j'ai commencé à effectivement me détendre et à me concentrer sur ses gestes, les yeux fermés.  Au bout d'un long moment, j'ai ouvert les yeux.  Il était en train de masser mes épaules et Il était tout contre moi. plutôt, son sexe était tout contre mon visage.  Une merveille ! Sa verge épaisse reposait sur deux pêches bien rondes, le tout couronné d'une toison châtain clair.  Immédiatement, tous mes sens se sont mis en alerte rouge.  J'avais une envie folle de le lécher... 

Il est resté un long moment à me masser les épaules et le dos,, son sexe à quelques centimètres de ma bouche. J'ai fini par craquer et poser une main sur sa cuisse.   

- oh! Ça t'embête si je te touche ? 

- pas de problème. Sens-toi libre.. 

J'ai caressé sa cuisse musclée aussi près que possible de sa fesse que je voulais découvrir.. 

Soudain il a pris ma main pour la poser sur son sexe ! 

J'avais sa verge dans la main, chaude, encore molle.  Je pouvais soupeser ses boules... 

Lui pendant ce temps, impassible, a continué à s'occuper de mon dos et de mes fesses.  J'ai léché son gland avant de prendre en bouche sa queue qui commençait à durcir. 

Tandis que sa bite baisait ma gorge, ma bouche cognant contre son pubis,  

Sa main huilée fouillait mon sillon.  Je l'ai aidé en écartant bien les jambes.  Son toucher est devenu plus insistant, son index a commencé à m'effleurer la rondelle lisse, avant de s'introduire tout doucement .. 

Je lui ai avoué alors que j'avais installé un téléphone pour filmer la séance, il a rigolé et proposé de s'en servir pour faire " des gros plans ".  

Et tandis que je reprenais sa queue en bouche, il a braqué le smartphone sur la scène.  

Après cela il s’est collé contre mes fesses qu'il a écartées pour y glisser sa langue. .. Puissante, tonique, j'ai presque l'impression d'être sodomisé tellement il va loin...Putain j'ai déjà envie de juter...il fallait que je me retienne...pas tout de suite!!! Je me suis cambré pour lui faciliter la tâche. J'ai trémoussé mon cul en gémissant, lui montrant que son anulingus était tout simplement somptueux...J'aimais sa façon de m'écarter le trou avec ses deux grosses mains sur mes fesses...je crois qu'il m'a bouffé la rondelle, caressé mes sphincters, pendant dix bonnes minutes, j'étais prêt à avoir un orgasme...je me suis retenu….   

D'un coup d'un seul il m'a mis en levrette pour pouvoir me défoncer de ses doigts. Il a introduit un doigt en utilisant l'huile de massage.  Voyant que ça ne posait aucun problème (il faut dire que je me fais prendre assez souvent) il y a introduit un second en les faisant tourner et je ne pouvais pas m'empêcher de gémir de plaisir. Mes gémissements l'encourageant, il m'a mis un troisième doigt. Voyant que j’étais prêt il a vidé un tube d'huile de massage sur ma croupe pour s'assurer que sa queue passe sans problème. Je lui ai demandé toutefois de ne pas me prendre d´un coup afin de pouvoir m´habituer à la grosseur de son braquemart mais je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase, qu'il m'a pénétré d´un coup sec, le smartphone toujours en main allait graver chaque va-et-vient.  

-"Oh putain, quel engin..."  

Sa verge me donnait des frissons, il a commencé ses allers et retours doucement puis plus rapides, plus secs…la table à masser bougeant au rythme de la pénétration.... 

 Je sentais ses belles couilles frapper mes fesses.  J'ai poussé de grands cris tellement j´avais l´impression d'être déchiré par son assaut mais très vite la douleur a fait place au plaisir de sentir en moi cette belle queue. 

 Désormais allongé sur le ventre, les cuisses légèrement écartées...Il m'a bourriné la chatte comme un fou, rugissant de plaisir aussi...Sa queue claquait comme jamais...il la ressortait complètement et la refoutait à fond…Il allait tellement vite et fort qu'à un moment donné sa capote a craqué.  -"Oh merde" dit-il...Il l'a enlevé complètement et en a profité pour me redonner sa bite à sucer, toujours aussi bonne et grosse...en même temps il me fouillait la chatte, devenue bien humide avec ses doigts....je me suis rallongé sur le ventre, il a rattrapé une capote et s'est couché sur moi pour m'embrasser la nuque...Je sentais tout son poids sur mon corps transpirant...et sa grosse verge épaisse sur mes fesses...Il m'a embrassé toujours, capote à la main, son gros gland s'est rapproché de mon œillet bien ouvert....il avait toujours la capote à la main...mais j'avais l'impression qu'il ne voulait pas la mettre.... Son gland était sur mon trou...trop excité, j'ai poussé un peu mes fesses...son gland s'est absorbé dans ma chatte humide...il a gémi dans ma nuque...de lui-même il a enfoncé son braquemart sans capote à fond...... 

 

-"Oh oui.... 

 

-"Hmm c'est ça que tu préfères en fait..." Me dit il.... 

 

-"Oui....baise-moi" 

 

Les vingt minutes qui ont suivi furent intenses…Il m'a baisé dans toutes les positions sur la table....J'avais oublié où j'étais, je couinais à chaque coup de queue.... 

 

J'étais allongé sur le dos, les jambes en l'air, sa bite dans la chatte... 

 

-"Je vais jouir. Tu veux où? 

 

-"Là....oh oui....Là dans mon cul...vas-y...remplis-moi......" 

Il a poussé un râle suprême de mâle en rut et m'a lâché sa sauce dans mon tréfonds. Il a ralenti la cadence...j'ai craché en même temps sans me toucher la bite sur mon torse…Il s’est retiré doucement….Je me suis redressé et l'ai enfournée en bouche pour la nettoyer....Sa queue était super bonne, son jus excellent..... 

 

-"Hmm vas-y lèche moi bien...hmmm t'aimes ça hein! Ta chatte est débordante de mon jus....." En effet j'ai passé ma main dedans et j'ai nettoyé un par un mes doigts pleins de son foutre... .  

 

-"Putain, ça fait longtemps qu'on ne m'a pas baisé comme ça…." 

Heureusement, tout est filmé et j'avais hâte de me voir en action !