24 avril 2024

show surprise








Mes potes de " borderline " m'ont récemment contacté pour me proposer,  contre rémunération bien entendu,  d'assurer un show "surprise " . Bien entendu,  spectateurs abonnés,  captation vidéo et rémunération.  Les spectateurs recevant quelques jours après le film souvenir de la prestation.  
- David avait bien entendu pensé à moi parce que " j'adore m'exhiber et tu comprends t'as une queue d'enfer...
Je ne suis sûrement pas le seul de son "écurie" à avoir une "Belle queue " et à être exhib ! Nous sommes dans ce domaine d'activité,  plutôt exhib et amateurs de sexe! 
Ce qui allait un peu changer ce coup ci c'est que ce serait moi le top.   
Je suis plutôt versatile mais j'adore me faire mettre en public...

Comme toujours,  étant à court d'argent, et connaissant bien Mat, mon futur partenaire ,  j'ai facilement accepté; l'idée de David était marrante et avec Mat ça avait de grandes chances d'être chaud. Et 
Le jour venu, il nous fallait entretenir jusqu'au bout l'effet de surprise.  Nous devions nous mêler aux spectateurs qui faisaient la queue devant l'entrée du théâtre.  Ils n'étaient pas censés savoir ce qu'ils allaient voir ;  un " spectacle,  une pièce,  un film ? Personne ne savait et nous non plus puisque nous faisions partie du public. 
Nous sommes rentrés comme tout le monde en montrant au contrôle notre invitation.  Nous avons eu droit à notre panier de pop-corn.  Ah! J'oubliais,  nous n'étions pas censés nous connaître.  D'ailleurs nous nous sommes assis au premier rang de la salle de spectacle,  avec quelques sièges d'écart entre nous.
La salle était maintenant aux trois-quarts pleine.  Tout le monde attendait le début du show mystère soit en discutant avec son voisin ou ami soit en piochant allègrement dans son panier de pop-corn.  Certains,  tous peut-être spéculaient sur le contenu du show. Un film, ? Il y avait effectivement un écran blanc sur mur de la scène ; un ballet ? Une pièce ? Personne ne savait. 
C'était à nous de lancer.  Sans que personne ne s'en aperçoive encore,  j'ai i déboutonné ma braguette et extrait ma bite et mes couilles de mon pantalon.. et j'ai commencé,  tout en dégustant mon pop-corn à me branler doucement.  Bien entendu,  j'ai commencé à présenter une belle érection et à faire des petits sourires complices à Mat que j'étais censé ne pas connaître.  A ce stade personne dans le public ne faisait attention à nous.  Seuls quelques spectateurs du second rang, juste derrière moi,  s'étaient rendus compte de mon manège. ..
Après quelques simagrées : regard surpris, amusé, intéressé, sourire , Mat a lui aussi sorti sa verge déjà bien dure et ses boules.
Le second rand a commencé à chuchoter, se donner des coups de coudes et cela s'est amplifié quand je me suis rapproché de lui... 
Soudain,  la lumière de la salle s'est tamisée et une caméra cachée sous la scène nous  a diffusé en direct sur l'écran ! 
brouhaha dans la salle! enfin, ils savaient pourquoi ils étaient ici!
on a commencé à se branler mutuellement; Dieu que mon mandrin oblong paraissait énorme sur l'écran! sans compter mes boules qui elles aussi semblaient gonflées à bloc!
je mouillais déjà et Mat approuvé par les spectateurs, a nettoyé mon gland et porté ses doigts à la bouche avec forces simagrées comiques.
Je l'ai encouragé à venir gouter ma tige et il ne s'est pas fait prier ; même s'il a eut un peu de mal au début, très vite il a réussi à tout prendre et à se laisser chatouiller le nez par ma toison.
Après cela je m'y suis mis à mon tour non sans avoir remarqué que nous étions entourés de deux cameramen. nos moindres gestes étaient retransmis à l'écran!
Sa queue bien qu'imposante était plus facile à flatter et j'arrivais sans peine à tout avaler et lécher. J'aimais bien ses boules aussi qui un peu flasques se prêtaient facilement aux caresses et pressions. Il gémissait doucement sous mes assauts et c'est là aussi que nous nous sommes rendus compte que  le son était également amplifié... tans pis et .... pourquoi pas! c'était marrant d'entendre nos bruits de succion retransmis dans toute la salle!
j'avais chaud du coup! et c'était de toute les manières au programme; j'ai oté mon tee-shirt et c'est torse nu que j'ai enlacé Mat tendrement avant de l'aider à ôter son tee-shirt lui aussi.
j'ai jeté à l'écran, un rapide coup d'oeil; l'image était saisissante; nous voir torse nus, nos engins dressés sur nos ventre m'a immédiatement excité encore plus, on allait se donner à fond!
Mat aussi etait très excité, il avait vraiment envie de moi et ne s'intéressait pas du tout au show mais se concentrait sur mon corps, le plaisir qu'il voulait me donner et prendre. il s'éclatait, léchant mes aisselles humides, me triturant les tétons, me baisant le torse. Puis, il s'est agenouillé devant moi, a baissé un peu plus mon pantalon pour avoir un meilleur accès à mon sexe et s'est emparé de ma queue qu'il a commencé à sucer profondément avec force bruits de succion et de déglutition. Gros pln sur l'écran, brouhaha amusé dans la salle, grand plaisir pour moi.
la salle a commencé "debout, debout!"
alors, je me suis effectivement levé, j'ai baissé jusqu'aux chevilles mon falze et mon slip mauve  - qui m'a valu quelques commentaires....- et mis de profil pour qu'ils profitent bien du spectacle et admirent mes tatouages et mon braquemart,.
Mat s'est mis avec fougue à me lécher la bite, les couilles, à introduire sa langue dans mon méat, à fouiller mon entrejambe de la langue. C'était délicieux et j'étais très ému aussi de l'enthousiasme presque amoureux de Mat.
On s'es entièrement dévêtus et debout, amoureusement, torse contre torse, sexe contre sexe nous nous sommes enlacés et embrassés fougueusement, amoureusement.
- Bouffe-moi le cul, m'a t'il susurré après cet élan de tendresse. Il s'est alors agenouillé tant bien que mal sur un fauteuil de la salle. il avait gardé son slip que j'ai alors baissé pour découvrir un cul splendide immédiatement retransmis en gros plan sur l'écran. il s'est magnifiquement cambré, déjà comme ça je voyais sa rondelle !
j'ai bien écarté ses globes pour bien voir et jouir du spectacle avec tous les spectateurs, de son sillon et de son oeillet entrouvert qui n'attendait que mes caresses et ma langue.  hmmm! j'adore ces moments là; juste avant de gouter à l'intimité la plus tendre d'un homme, cet anus qui palpite, ses couilles qui pendent... un bonheur!
il était déjà bien prêt, avant même que je le tente, il avait déjà fourré un de ses doigts et j'y ai joint deux des miens sous ses couinements de plaisir. Un vrai appel au crime,  mon braquemart allait vraiment s'éclater à cartonner ce cul ! et j'y suis allé direct non sans mettre assuré que la caméra ne ratait pas mon introduction. 
Finalement ce n'était pas si facile que ça. ma verge est d'une forme quelque peu oblongue et très large au milieu. Il m'a aidé en écartant ses globes des deux mains et j'ai du lubrifier un peu plus ...
Et puis c'est venu. quand mon bas-ventre s'est cogné contre ses fesses musclées, j'ai entamé mon va-et-vient tranquille tout d'abord puis de plus en plus intense. Mat haletant de plaisir s'est maintes fois retourné pour voir mon mandrin le pilonner et vers moi, souriant heureux et de ce moment et de son plaisir grandissant.
Puis il a voulu changer d position peut-être pour plus de sensations peut-être aussi pour le show; je me suis assis sur le fauteuil en tenant bien droite ma longue queue et il est venu s'y empaler sans difficultés. Dans ses allers-retours, sa queue raide frottait contre mon ventre laissant tel l'escargot de belles traces de mouille. C'était très excitant d'être ainsi chevauché surtout que Mat venait fréquemment se coller à moi pour m'embrasser, me lécher le torse, le visage...
A un moment, un spectateur est venu lui offrir de boire un peu de son coca et cela lui a donné un peu de répits dans sa cavalcade immobile!
- repose-toi un peu lui ai-je glissé à l'oreille; donne-moi ta queue à sucer. Il s'est redressé; ma verge est sortie  de son anus en faisant un grand flop et je me suis emparé de sa belle tige jusqu'à la glotte.
Puis, pour le show, il a repris une position accroché aux fauteuils, visage face au public et après avoir frotté ma teub contre son son sillon pour le plus grand plaisir des spectateurs, je l'ai embroche d'un coup et entamé une longue serie de va-et-vient francs et massifs. il criait de plaisir sous mes coups de reins et un spectateur du second rang lui a pris la main comme pour l'encourager!
Après ce pilonnage intense, nous avons rejoint la scène et il s'est de nouveau, face à la salle empalé sur moi tout en se branlant au même rythme que ses allers- retours sur ma queue. a ce stade de la séance, tout le monde y allait de son commentaire, de son encouragement de sa proposition de position et la plupart filmait avec leurs smartphone. 
J'avais plaisir à baiser avec Mat et la passion voir la tendresse qu'il y mettait m'attendrissait beaucoup aussi; j'avais très envie de lui donner beaucoup de plaisir, indépendamment du contrat et du show.
On riait, on plaisantait! A un moment, quelqu'un a apporté un énorme coussin; il s'est couché dessus cuisses en lair et fesses écartées et tout le monde a pu admiré en vrai et sur l'écran son anus grand ouvert.
Après un bon moment de baise intense, il a commencé à se branler, l'orgasme était proche ; j'ai fait en sorte d'être attentif à la montée de son plaisir.
- vous voulez que j'éjacule? oui? dites-le bien fort! et toute la salle de l'encourager jusqu'à ce qu'il inonde son ventre de plusieurs copieuses giclées de foutre suivi quelques secondes par moi, remplissant son trou de mon sperme!
je me suis jeté sur lui pour le remercier, l'embrasser, le plus tendrement possible de cet orgasme fabuleux .
je me suis séparé de lui tout en montrant son anus dilaté éjecter pour le public, de copieuses salves de ma semence que nous avons gouté dans un tendre baiser.
Applaudissements et nous avons rejoint peu après, toujours nu, le public qui avait droit à un rafraichissement.

















21 avril 2024

hooking up

Nous nous sommes de nouveau enlacés tout aussi fougueusement mais avec  maintenant un zeste de désir et de tendresse ; on se plaisait mutuellement et on avait envie l'un de l'autre plus seulement de tirer un coup. 

Cet été là,  j'étais en mission dans une grande ville de la côte est des États-Unis.  Il faisait plutôt beau, je n'avais rien de précis à faire et une grave envie de cul.  Je trouvais dommage cependant de m'enfermer dans des endroits glauques et sombres.. même si j'avais,  j'en étais sûr,  de plus grandes chances de me soulager et de calmer mes hormones.  Tant pis,  profiter du beau temps était quand même prioritaire et si par hasard,  je faisais une rencontre, tant mieux !
Cette ville dispose en son centre d'un immense parc avec beaucoup de recoins tranquilles..
Après une belle balade,  je me suis posé à l'entrée d'un petit tunnel.  Je ne savais pas précisément si c'était un lieu de passage mais il me rappelait des films que j'avais pu voir avec des décors semblables.
Peu de temps après, effectivement,  j'ai vu passer quelques mecs qui regardaient un peu précisément...
Aucun à mon goût jusqu'à lui.  Un gars blond trapu, plutôt pas mal et "mec" genre Blouson de cuir et jeans.. un petit air de "cruising ". Sourire sans ambiguïté.  Pour le fun et le côté cinématographique,  je lui ai embrayé le pas .
On a très vite discuté et il a rigolé quand je lui ai raconté mon petit fantasme.  Il s'appelait Dean et il m'a très vite et très simplement proposé d'aller chez lui car " j'habite à deux pas d'ici".
Nous avons effectivement rapidement rejoint un très bel appartement de grande hauteur,  effectivement très proche. Très lumineux et une vue magnifique. 



- quelque chose à boire,  me propose t'il en me guidant vers la cuisine. 
Mais à peine arrivés,  il m'a poussé sur le comptoir pour m'enlacer et m'embrasser fougueusement.  Combat de langues torride tandis que mes mains se faufilent sous le tee-shirt et caressent un torse puissant et musclé. Il s'est ensuite retiré quelques instants, pour me regarder très souriant :
- tu es mon première français m'a t'il dit en imitant mon accent. Tu es superbe et j'ai très envie de toi!
Ses mains ont alors soulevé mon tee-shirt,  il a caressé mes abdos,  mes pecs et ma braguette, avant de passer sa langue partout !
- hmmm! Ça semble prometteur là dessous !
- et là aussi. Ai-je répondu en tripotant sa braguette bien gonflée. 
Il m'a aidé à ôter mon tee-shirt et j'ai fait de même avec lui.  Tout en nous bécotant,  nos caresses se faisaient plus précises ; déjà sa main explorait le bas de mon dos sous mon slip et moi je triturais sa braguette avec une envie pressante de découvrir son sexe...
J'ai baissé son pantalon. Sa queue,  de belle dimension laissait apparaître son gros gland du slip  et tout en me déboutonnant pour me débarrasser de mon jean. Je l'ai immédiatement léché et pris en bouche. 
Nous nous sommes relevés et il a baissé son slip ; son mandrin a jailli vers moi, raide  légèrement courbé et veineux. Une très légère toison blonde savamment taillée en guise de couronne.
Il a regardé avec envie mon slip déformé par ma queue ne demandant qu'à se libérer.. ce qu'il a fait non sans l'avoir flatté quelque instants à travers le coton. 
- ouahou ! Ça c'est de la bite ! Rarement eu des comme ça.! Je vais la sentir passer ! Et il m'embrasse goulûment, " et je vais aimer ça "...
Petite déception,  je suis versatile mais je préfère très nettement me faire prendre au regret de quelques partenaires qui rêvaient de ma longue queue...

Je me mets alors à genoux entre ses jambes et je saisis son morceau. Et très vite, je me mets à lui titiller le gland. Sa bite durcit encore plus. Mes doigts se mettent à caresser ses boules. Je l’entends soupirer de plaisir. Je passe ma langue sur sa bite de bas en haut et ça lui fait de l’effet. Je la soulève un peu pour bien l’admirer... et je ne peux m’empêcher de l’enfoncer dans ma bouche. Je commence alors à la sucer délicatement. Puis, j’accélère le rythme. Je ressors sa queue et à l’aide de ma langue, je lèche sa ses grosses veines apparentes et gonflées ainsi que ses boules. Puis, je l'enfonce entièrement jusqu'à sentir mon nez s'écraser sur son pubis et je le suce tandis qu’il gémit doucement.  Il ne fait rien, à part quelques soupirs de contentement,  il ne dit rien, il profite de ces instants de plaisir. A un moment, il a juste passé  sa main sur ma tête pour la caresser, pour me remercier du plaisir reçu.

 Je  repasse sur ses couilles que je soupèse. Elles sont bien lourdes !  J’en hume le parfum, je les lèche. Puis, je reprends sa queue bien dure et bien chaude dans ma bouche. 

Il me relève pour m'embrasser passionnément.  Il me dit adorer le goût de so


n sexe dans ma bouche.  Nous jouons avec nos queues (Il s'amuse à glisser son gland dans mon prépuce) tout en nous bécotant. 
 J’adore ses soupirs, sa langue qui joue avec la mienne, nos sexes qui roulent l'un sur l'autre.. ses lèvres qui descendent sur mon torse.. me mord les tétons me faisant crier.. m'inonde le nombril de sa salive et vient me lécher les poils du pubis.. mes poils bruns qu'il adore.. il passe ses doigts dedans, soulève ma queue, finit de la décalotter, joue avec le prépuce en approchant sa langue.. comme pour attendre que la mouille perle et donner ses coups de langue.. l'avaler jusqu'au fond de sa gorge chaude.. et me piper comme un chef!  il relève souvent les yeux pour me regarder.. lâche ma queue, soulève mes jambes, me bouffe les couilles et descend sur mon cul .. j'aime sentir sa langue passer dans la raie, titiller l'anus qui se laisse apprivoiser, se détendre et s'ouvrir sous ses coups de langue.. 

Après ça comment ne pas avoir très envie de me faire empaler!

Je me retourne, torse contre le comptoir,  dos cambré,  cuisses ouvertes. Mon intention est évidente.. 

- hmmm,  c'est un message,  me susurre t'il dans l'oreille en se collant à moi.. 


Sa bite est tout contre mon sillon..  il m'embrasse la nuque,  ses mains me caressent le dos,  les fesses ; c'est un pur bonheur.  Enfin il se baisse,  couvre de doux baisers chaque globe avant de tirer vers lui ma verge pour la lécher sur toute sa longueur en insistant sur le  gland et en glissant le bout de sa langue dans le méat.  Après cela, après avoir écarté mes fesses et admiré ma rosace palpitante, il y a posé sa langue, caressant mes sphincters et explorant déjà l'intérieur.  Je suis aux anges, couinant et gémissant de plaisir.

Il se relève, frotte ma raie avec sa queue et je me dis,  c'est maintenant.. mais non,  il se colle de nouveau à moi.. échange de baisers,  caresses.  Ce n’est pas le moment ou bien il n'est que passif.. tans pis, autant profiter de son corps.  Je le caresse,  le branle, le suce,  lui bouffe les couilles, flatte et joue avec sa verge courbe et raide. Agrippé au meuble de la cuisine,  il gémit de plaisir.  C'est alors qu'il me fait le même coup que moi tantôt.. il se tourne,  pose un pied sur le comptoir m'offrant ainsi son cul bien écarté.  J'y fourre mon visage,  lèche sa rondelle.  Le bougre aime ça, visiblement elle  a servi... il me regarde lui bouffer le cul,  pousse mon crâne pour que j'aille bien profond dans son anus..

Je comprends à ce moment là qu'il attend de moi que je le baise.  Son œillet frétille sous mes caresses et ses gémissements ne laissent pas de doute . 

- viens,  allons dans ma chambre me dit-il haletant. 

Je me rends compte alors que non seulement,  j'ai toujours mon falzar et mon slip aux pieds mais aussi mes baskets. Je finis de me dévêtir maladroitement et je le suis. 

Il me pousse alors sur le lit,  s'empare de mon zob,  le suce,  le lèche,  le décalotte puis me chevauche pour s'empaler .. avant d'hésiter !


- elle est magnifique mais c'est un sacré calibre me dit-il en m'embrassant fougueusement.  Un peu de gel n'est pas superflu ajoute t'il en riant et  il farfouille dans un tiroir de la table de chevet et en extrait un flacon de gel.  Il m'en enduit copieusement le vit. Se tartine la rosace et revient me chevaucher. Je le laisse faire.  Il prend ma verge,  vise son œillet et, à son rythme s'empale doucement jusqu'à ce que ses fesses soient sur mes cuisses.. 

' ouahou ! Comme elle est longue ! 

Je commence alors à donner de petits coups de bassin.  Sa queue est toujours raide contre son ventre et sur le mien. 

 J'accélère le mouvement ; couché sur moi, il gémit de plus en plus fort  tandis que mon mandrin le pilonne. Enfin,  son anus sans doute bien habitué à ma queue,  il se relève et c'est lui maintenant qui impose le rythme en faisant ses va-et-vient sur moi, et je  l'aide aussi en soulevant ses cuisses.




Il en veut plus ! Il se dégage et se met en levrette et je l'embroche direct à fond.  Je reprend mes va-et-vient pour mon plaisir et son plus grand bonheur il m'offrait  tout son corps, son cul bien ouvert laissait glisser ma queue partout où elle voulait aller! Tout en continuant de le baiser doucement, je vais toucher sa queue, raide encore et collée à son ventre, quand je m'en saisi, il se relève, s'enfonçant ma queue encore plus profond, si c'était possible, de son cul. Son dos vient se coller à mon torse, j'ai la tête qui arrive juste à son épaule!  Je lui mordille la nuque, tort sa tête pour lui bouffer la bouche. il bande c'est fou, je trouve que sa queue est encore plus grosse, plus raide, plus coulante!  C'est marrant de voir les expressions qui circulent sur un visage quand ta queue voyage dans son cul! Ça  m'excite de le voir se mordre la lèvre, ouvrir la bouche en un cri muet quand ma queue tape au fond de son cul, et se mordre quand elle se retire!

D'une main j'ai commencé à le branler lentement, j'ai aimé sentir sa queue dans ma main, vivre, mouiller  durcir, gonfler encore et encore.

J'en étais,  nous en étions à un point où il en aurait pas fallu longtemps avant d'être emportés par l'orgasme et moi. J'avais très envie de prendre sa place...

Je me suis arrêté , à bout de souffle de le canarder. La queue toujours profondément ancrée en lui, 

- j'ai très envie que tu me prenne,  ça te dit?

- OK man, ta queue fait des miracles! j'étais proche du 7ème ciel grâce à toi.. je vais tenter de t'y emmener aussi.

Je me suis mis en position,  il écarte mes belles fesses en les caressant, l'anus est là, presqu'ouvert, il fait en sorte que je  le voit faire. Il  laisse couler sa salive sur mon trou. Je le vois sourire les yeux émerveillés et d'un doigt il entre en moi suivi rapidement de deux doigts.. je suis bien ouvert et il me doigte avec facilité, 

- Je fais des bisous à ce bel anus, même pas besoin de te préparer plus!

Il amène son gland décalotté se poser sur mes lèvres annales  et il n'a qu'à s'enfoncer dans l'endroit chaud et humide et sentir ce sphincter envelopper sa queue au fur et à mesure de sa progression.

Je le regarde, il a fermé les yeux, pousse de petits cris comme un chiot, il s'enfonce plus vite, il gémit et d'un coup de reins il fais tout entrer, ses couilles collées à mon cul ! La cavalerie s'est emballée, ça claque bien sur mon petit cul, j'adore sentir des couilles taper contre moi et surtout le bruit que ça fait et je sentais que le plaisir n'était pas loin!  

Je râlait en levant la tête tout en me branlant à son rythme  mais ce qui est le plus bandant c'est qu'au rythme de ma branle,  je serre et desserre mon conduit sur sa queue, au fur et à mesure de ses va-et-vient comme si une main invisible le branlait dans mon cul!  Il n'en revenais pas de ce que je lui faisais, j'entendais qu'il respirait de plus en plus vite, mais moi également et sa queue était de plus en plus dure dans mon cul! 

Putain mec, ton cul c'est un vrai piège à bite,  dit-il haletant,  j'ai mal à la queue tellement tu serre ! Tu vas me faire jouir grave là ! Et effectivement, il n'a pas fallu longtemps pour que dans un terrible gémissement, presque une lamentation,  pour qu'il jouisse 

en hurlant comme un malade, mon conduit lui a serré la queue en l'attirant encore plus en moi, serré et comprimé si bien que j'ai joui moi aussi une première giclée qui m'a fait presque mal en sortant du méat tellement je m'étais retenu pour jouir en même temps. mais sa queue bien ancrée en moi a continué à tressauter et à m'inonder le tréfonds. Il a bien vu à mon expression  en me regardant qu'il était surpris comme moi de la quantité de sperme qu'il venait de  m'envoyer! Je sentais les salves remonter dans mon conduit et le réchauffer avant l'arrivée des suivantes! Je les ai compté pour une fois, six giclées et tout s'est arrêté d'un coup, il est tombé sur moi, en nage, ses jambes m'ont coincé comme ses bras! Je sentais nos cœurs battre la chamade.

On est resté un long moment comme ça, sans rien dire, je sentais ses mains me caresser le dos, les épaules, les cheveux et il bandait toujours dans mon bon petit cul accueillant. Je l'ai regardé en souriant, on est heureux je le sens!

-tu bandes encore tu sais! me dit-il les yeux gourmands.

-ça veut dire quoi à ton avis ?

-que t'as encore envie de moi! dit-il. en me caressant la joue, oui je crois que j'ai encore envie de toi, mais je crois que j'en aurais toujours envie si on reste sur un lit!

-alors baise moi encore, 

Il s'extraie de mon cul laissant enfin sa semence s'écouler.  On change de place et je l'encule direct.

-oups,  dit-il,  cette fois-ci t'es rentré facilement 

Je lui mordille les tétons puis je me redresse sans sortir de lui, je le regarde comme si je réfléchissais comment j'allais le manger! Il me fait son petit sourire coquin en haussant les sourcils, 

-tu veux jouer? eh bien tu vas te mettre à quatre pattes sans sortir ma queue de ton cul!

Il me regarde, étonné, mais je vois dans ses yeux qu'il calcule comment il va faire, une jambe passe devant moi, j'en profite, pour la bloquer et donner un coup de reins qui enfonce ma queue plus loin, la jambe vient poser le genou sur le lit, et l'autre jambe essaie de venir de l'autre côté, je l'aide en restant en lui, et j'ai le beau Ian à quatre pattes au bout de ma queue!

J'avais martyrisé ses tétons, j'ai martyrisé les belles fesses! De bonnes claques pour les faire rougir et l'entendre crier 

Mes mains prennent les hanches, remontent sur le grand corps, j'aime sa peau, sa douceur, sa chaleur, je l'entends pratiquement ronronner sous mes caresses et c'est lui qui bouge son cul comme s'il voulait savoir si ma queue était encore là!

Je l'ai bloqué de mes mains et aussitôt j'ai fait voyager à nouveau ma queue dans ce conduit chaud! J'aimais sentir mon gland racler les parois qui le serraient, l'étouffaient, l'écrasaient.

J'ai repris mes va-et-vient pour mon plaisir et son plus grand bonheur.

Je le sentais bien qu'il était détendu, il s'offrait  de tout son corps, son cul bien ouvert laissait glisser ma queue partout où elle voulait aller!

Tout en continuant de le baiser doucement, j'ai touché sa queue, raide encore et collée à son ventre, quand je m'en saisi, il se relève, s'enfonçant ma queue au fond de son cul, son dos vient se coller à mon torse, j'ai la tête qui arrive juste à son épaule! Il bande c'est fou, je trouve que sa queue est encore plus grosse, plus raide, plus coulante!

-branle moi comme ça et je te fais jouir avec mon cul en même temps, comme toi tout à l'heure.

Et nous voilà de nouveau,  collés l'un à l'autre.  Mes coups de reins pilonnant son anus,  mes couilles s'écrasant contre ses fesses et ma main branlant violemment sa verge turgescente et violacée. 

J'ai joui très vite,  hurlant de plaisir. Je me suis rapidement retiré,  je voulais simplement le voir jouir et repandre ce qu'il lui restait de sperme sur mon visage. 

Nous nous sommes affalés épuisés.  Je tenais à garder ma queue en lui comme pour ne faire qu'un le plus longtemps possible.  Peut-être allons nous être amis ?









19 avril 2024

la plage

 

j’enchaîne les déplacements. Mon patron m’envoie pour 10 jours dans le sud ouest pour y consolider la relation avec nos clients un peu trop fuyant en ce moment.

J’organise mon séjour pour passer le week end à Montpellier. J’ai plein d’excellent souvenirs dans cette région et plus particulièrement d’une plage naturiste sauvage réservée aux hommes. 

Le vendredi, une fois tous mes rendez vous fini, je suis trop crevé pour faire toute cette route pour seulement quelques minutes de soleil. Je décide de me coucher tôt pour y passer la journée complète du lendemain. Mais avec toute la fatigue que j’ai accumulé je ne me réveille pas avant 10 heures et je prends la route seulement un peu avant midi.

Le parking de la plage à une bonne dizaine de voiture qui l’occupe déjà, c’est un bon signe. J’attrape un sac dans lequel j’ai rangé serviette, bouteille d’eau, un livre.. et je me dirige vers la plage. Je descends les grandes falaises et vois déjà sur le sable plusieurs silhouettes plus ou moins poilues. J’installe mes affaires au pied du rocher et après avoir étendu ma serviette, je m’allonge complètement nu dessus.

Je réchauffe bien mon dos et mes jambes puis je m’assois pour un peu observer qui partage cette étendue de sable avec moi. Je vois, à quelques dizaines de mètres, deux hommes nus me tournant le dos. Le côté de leur corps sont collé l’un à l’autre. Je les imagines en train de se caresser mutuellement alors que ma bite commence à se soulever.





Un peu plus sur le côté je vois un autre couple de mec, allongés en cuillère. Encore une fois je ne les vois pas distinctement mais vu les mouvements de bras de celui de derrière j’ai aucun problème à l’imaginant masturbant son compagnon. J’espère aussi qu’il est en train de se frotter contre ses fesses. A force je suis raide comme un piquet, je m’allonge un moment sur le ventre pour cacher mon érection.

Quand je me relève, je suis redevenu flasque, mais je dégouline de transpiration. Pour me rafraichir, je décide d’aller me baigner. Plus j’avance vers la mer, plus je bande. Je ne sais pas si c’est le petit vent qui en caressant mon corps me fait cet effet ou si c’est le fait de m’exhiber compliment à poil devant tous ces hommes. J’accélère pour dépasser tout le monde et cacher ma bite raide et exhiber mon cul à la place.

Je rentre rapidement dans l’eau qui est plutôt fraiche, surtout comparé à la température extérieur. Du coup j’en débande, mais je peux me retourner et regarder encore tous ces mecs nus devant moi. Je suis interrompu dans mes rêveries de mon corps se mélangeant avec certains des bronzeurs, par une voix derrière moi:
« C’est vrai qu’elle est fraiche mais une fois dedans elle sera plus agréable. »

Je me retourne et je vois sortir de l’eau un homme d’environ mon âge. Il est plus petit que moi et légèrement bedonnant mais son corps est recouvert d’un foret de poils. Même si je ne vois pas son sexe qui est toujours sous l’eau, je devine qu’il est nu. Il me sourit, je lui souris à mon tour et il ajoute:
« Si tu veux on plonge ensemble. »




Je lui réponds « pourquoi pas » et avant que je me remette trop à bander, je plonge.

Nous nageons jusqu’à une zone où j’ai tout juste pied. Lui remue les jambes pour flotter alors que je sautille pour pas avaler la tasse. Il me demande si je suis de la région alors je lui raconte un peu mon histoire, c'est un local. Il me demande si je suis seul, alors je lui réponds:
« Je me remets de ma dernière rupture. »

Il me pose pas d’autres questions à ce sujet et c’est tant mieux. Malgré tous nos efforts, peut être pas assez convaincants, pour ne pas nous toucher, nos corps s’effleurent. Alors qu’il passe devant moi, sa queue cogne la mienne. J’ai l’impression que tout comme moi, il bande. Après un petit silence, la discussion reprend normalement.

Trop attirés l’un par l’autre, nous nous rapprochons lentement. Son visage se penche vers le mieux, je suis légèrement tétaniser. Dès que ses lèvres rentrent en contact avec les miennes nos corps sont comme aimantés. Mes mains parcourent son dos, ses fesses, son torse, son visage… tout comme les siennes. Nous nous cajolons l’un l’autre alors que nos langues dansent ensemble, pendant un bonne dizaine de minutes, quand il me propose de continuer sur nos serviettes.



Nous sortons de l’eau avec nos deux tiges fièrement dressé, il est un peu moins bien monté que moi mais son gland décalotté est énorme. Alors que nous remontons sur toute la longueur du sable, plusieurs visages se tournent vers nous. En chemin il attrape sa serviette et ses affaires mais sa main reste dans la mienne. Quand nous voyons un couple se tripoter ou se sucer, nous ralentissons le pas.

Il installe sa serviette à côte de la mienne, nous nous allongeons, et nos corps se rapprochent doucement. Comme dans l’eau, une fois que nous nous embrassons nous nous déchaînons. Sa main descend rapidement sur mon sexe pour me branler. J’ai trop envie de décalotté son énorme gland alors je me retourne en chien de fusil. Mes doigts touchent son champignon sous le prépuce avant de tirer le morceau de peau pour faire sortir l’objet de ma convoitise. En voyant son gros gland bien violacé, je peux m’empêcher de passer un premier coup de langue. Puis un deuxième et je les enchaine jusqu’à le prendre en bouche. Il se laisse sucer alors qu’il me caresse toujours, ses mains me font énormément de bien.

Qu’est ce que c’est bon de s’occuper de nouveau d’une belle queue de la sentir venir taper mon palet ou ma glotte, de la faire vibrer entre mes lèvres… Je ne sais pas si c’est le manque d’un autre pendant plus de deux ans où juste le fait que je me suis pas vider les couilles depuis presque une semaine mais j’éjacule avant que ses lèvres goutent à ma bite.

Je me regarde asperger son torse et mon sperme se prendre dans ses poils. Une fois vidé, je me jette sur sa bite et le suce jusqu’à ce qu’il se vide directement dans ma gorge. Une fois nos étreintes finies, il se lève pour aller se rincer dans l’eau alors que je reste sur ma serviette et plonge, rapidement, dans les bras de Morphée.

Je me réveille en attendant des voix autour de moi. Mon compagnon de baignade et de cochonneries, discute avec un couple de mecs d’une dizaine d’année de moi que nous. Un est tout fin, totalement imberbe avec des cheveux décolorer en blond tandis que l’autre et brun au yeux bleus, la peau halée, son torse poilu me fait déjà frémir. En m’entendant bouger, celui que j’ai sucé se retourne et me lance:
« Tu as bien dormi? »

Il caresse mes fesses nues et rajoute:
« Apparement tu en avais besoin. »
Nous nous sourions avant qu’il enchaine:
« Pendant que tu ronflais, j’ai fait la connaissance de Marc (le brun) et Thomas (le blond). »
Il veut me présente mais réalise qu’il ne connait pas mon prénom alors je me présente.


Mon compagnon de baignade me regarde avec un grand sourire et avant de me rouler une pelle, me dit:

« Enchanté Romain, moi c’est Philippe. »
Puis leur discussion reprend et je m’en mêle. Evidement ça parle de cul, j’en profite pour regarder les différents sexes qui commencent à se dresser. Thomas est monté à peu près comme moi alors que son compagnon en a une bien longue mais plutôt fine.

Je peux m’empêcher d’empoigner la bite de Philippe et le masturber pour continuer à le faire grandir. Il se laisse complètement faire surtout que les deux autres mecs se rapproche de nous. Le blond s’occupe de mon costume 3 pièces alors que le sien est entre les mains de Marc qui se fait branler par Philippe. Nous faisons un quatuor de branlette en plein milieu de la plage. Je suis tellement hypnotiser par cette bite que j’oublie le monde autour.

Au bout de quelques minutes, Marc rond le cercle et se lève. En voyant des gouttes perler de son méat, je me redresse pour les lécher. Une fois que j’ai avalé son pré-sperme, je le prends de plus en plus en bouche alors qu’il s’allonge pour que nous soyons un peu plus discret. Son sexe est super doux, j’adore sentir son gland frapper le fond de ma bouche, je suis tellement excité que j’ai peur de jouir aussi rapidement que tout à l’heure.



Je ressors doucement ma bouche pour ne garder que son gland, ma langue tournoie autour. Je le lèche puis descends mes lèvres sous sa tige pour atteindre ses couilles complètement lisses. Quand je les gobe, je sens des lèvres enfermer ma bite et d’autres ouvrir mon petit trou. Avant de nouveau avaler Marc, je jette un coup d’oeil. C’est Philippe qui me bouffe le cul et le blond qui me suce.

Je vis un moment divin, pendant que deux bouches s’occupent de mon entrejambe au grand complet, je me délecte d’un très longue bite que j’avale presque entièrement. Au moment où je sens les doigts de Philippe entre mes fesses la température grimpe encore plus. Je ne sais pas combien de doigts, il essaye de rentrer mais ça me fait un peu mal.

Je recrache Marc pour voir que se ne sont pas des doigts qui essayent de me sodomiser mais une queue, qu’il a pris soin de plastifier. Comme on m’a pas baiser depuis plus de deux ans et que son gland est énorme, je change de position. Je me mets à 4 pattes, Tomas se glisse sous moi pour continuer à me sucer et Marc se lève pour que je m’occupe de lui. Je sens déjà le gros champignon de mon compagnon de baignade forcer mon anus.

Il se retire, écarte bien mes fesses pour cracher sur mon petit trou et vient étaler le tout avec son gland. Il s’enfonce d’un coup sec en moi, j’ai l’impression que mon cul va se déchirer sous le passage de son énorme champignon. Pour ne pas crier je m’empale sur la tige devant moi qui étouffe tout. Une fois que les couilles de Philippe tapent mes fesses, il s’immobilise en moi.

Thomas continue de s’exciter sous moi, bien que ma bite ait rétrécie par la douleur, je ne bouge plus. Même si j’ai encore un peu mal, je me remets à sucer Marc, mon compagnon de baignade doit prendre ça comme un signale et commence de lents vas et viens. La douleur se mélange à un excellent plaisir oublié qui m’électrise tout le corps, j’en ai la chair de poule.


Comme mes sphincters se détendent, Philippe me ramone de plus en plus vigoureusement. Dieu que c’est bon, mais pourquoi j’en ai pas parlé à Marie pendant tout ce temps! Ses coups de reins deviennent de plus en plus violent, du coup Thomas préfère me recracher et se relever pour venir sucer avec moi Marc. Ca tombe bien j’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur sa queue.

Mon compagnon de baignade se déchaîne totalement dans mes entrailles, il me fesse de plus en plus fort. J’adore sentir mon cul sous sa main qui me claque mais aussi le bruit que fait chaque fessée que je reçois. Je sens sa bite sursauter en moi, je contracter mes muscles du périnée mais il décule complètement.

Alors que je ressens un grand vide en moi, il vient devant Thomas et moi en retirant sa capote. Nous ouvrons en grand la bouche et il s’enfonce entre les lèvres du blond, ressort pour venir entre les miennes. Au même moment où son gros gland vient taper ma glotte, je sens Marc me sodomiser. Comme je suis déjà bien ouvert et que sa queue est fine, je ressens que du plaisir. Je gémis comme un fou en me sentant pris en sandwich par deux hommes bien viriles.

Philippe se branle devant nous et repartie équitablement son jus dans nos bouches alors que je continue de me faire ramoner. Thomas et moi partageons notre récompense dans une belle pelle bien baveuse pendant je me fais marteler les entrailles. J’avais déjà gouté à la semence de mon compagnon de baignade qui est toujours aussi douce et agréable à déguster mais encore meilleur de cette façons.

Nous nous embrassons pendant de nos longues. En fait nos lèvres se désolidarisent quand je sens Marc quitter mes fesses. Il vient face à nous et tout comme Philipe avant lui retires préservatif et profite de nos 2 bouches côte à côte. Quand il est sur le point de jouir, il rentre son gland entre mes lèvres et se vide entièrement en moi. J’ai l’impression qu’il n’arrête pas de juter, que si j’en avale pas ça va déborder pourtant ce n’est pas le cas et encore moi quand il quitte mes lèvres.

Tomas vient face à moi, il prend mon visage entre ses mains et sa langue rentre dans ma bouche récupérer sa part du butin. Le sperme que nous partageons semble plus gluant que celui de Philippe, mais surtout il a un goût acide pourtant nous nous délectons à tout avaler. Quand notre baiser s’arrête je prends un moment avant de me relever mais le blond est déjà derrière moi prêt à m’enculer.


Je sens mon petit trou, pourtant déjà bien dilaté, encore plus s’ouvrir sous la pression de son gland. Lui que je prenais pour une grande folle est non seulement, aussi, actif mais en plus c’est le mieux monté de nous quatre. Je profite de chaque centimètre de ce membre qui plonge en moi, je partage mon plaisir avec Marc et Philippe qui me regarde me faire sodomiser par cette magnifique tige qui ressemble plus à un tronc.

Une fois qu’il est planté en moi, je sens immédiatement sa bite aller et venir, il me pilonne le cul et j’en redemande. Je couine comme jamais sous les coups de rein et de mains que je reçois. De temps, il ralentit et me prend tout doucement sur toute sa belle longueur. A d’autres moments il décule complètement et me repossède plus ou moins énergiquement.

Phillipe glisse sous moi et avale ma queue qui arrête pas de cogner mon ventre et mes cuisses. Alors qu’il me suce avec passion je sens la main de Marc venir me malaxer les couilles. Je suis ivre de bonheur, 3 autres qui me donnent du plaisir, mais à ce rythme je risque de gicler d’un instant à l’autre. Je contracte mon périnée pour essayer de retarder le moment fatidique et ça fais encore plus gémir Thomas derrière moi.

Après une dernière belle fessée, le blond décule d’un coup sec et se dépêche de mettre sa bite dans ma bouche. Je m’applique à le sucer du mieux possible alors que la main de libre du brun vient combler le vide entre mes fesses avec 3 doigts. Thomas et moi jouissons presque en même temps sauf que lui se vide dans ma bouche et moi dans celle de Philippe.




Mon suceur se dégage de sous moi, tout comme moi il a la bouche pleine, j’attends que nous mélangions nos deux récoltes mais Thomas le stop au passage et récupère ton mon jus dans sa bouche. Il se remet à 4 pattes face à moi, alors que les doigts de Marc sortent un à un de mes entrailles. Nous nous roulons la plus fabuleuse des pelles avec lui mon jus en bouche et moi le sien.

Une fois que nous avons récupérer nos esprits, j’annonce que je vais me rincer dans la mer. Mes 3 compagnons de baise m’accompagnent. Sur le chemin Marc me prend à part pour me dire que je suis un chanceux. Apparement Thomas utilise que très rarement sa magnifique bite mais j’ai du bien l’exciter pour qu’il ait envie de me sodomiser. Je me sens flatté et réalise que j’avais bien jugé le blond.


De retour à nos serviettes, je me sèche au soleil un bon moment alors que nous continuons discuter, évidement de cul. Je leur dis que je vais y aller mais il me propose de rester avec eux que l’on passera la soirée et la nuit ensemble. Ca m’avait vraiment manqué de me faire prendre ainsi par de bonnes queues mais je ne veux pas passer pour un sac à foutre, moi aussi j’ai envie de pénétrer un beau cul alors je les abandonne pour rentrer à mon hôtel. Mais la soirée et tout comme le week end ont loin d’être fini….



18 avril 2024

soirée de dingue, épilogue , un week-end à la montagne







Je suis rentré chez moi,  épuisé,  épuisé mais repus.  Mes rencontre de la nuit avaient calmé mes ardeurs.  Trop fatigué pour prendre une douche.  Je puais le sexe et le foutre et j'aimais ça.  J'avais sur la peau l'odeur des autres et j'aimais ça. Pas question de me laver. Je voulais m'endormir avec ces souvenirs de la nuit,  souvenirs de plaisirs,  d'orgasmes, souvenirs d'autres.  Mais la nuit se devait d'être courte,  j'avais promis à mon oncle de le rejoindre dans son antre au fin fond de la forêt.  Je ne connais pas bien mon oncle. Je ne l'ai vu que peu de fois.  De fait je crois que mes parents ont longtemps voulu me tenir éloigné de lui.  Je sais pourquoi maintenant.. je le sais depuis que je l'ai croisé dans un sauna,  une bite lui ramonant le cul.
Il habite un coin isolé et dans une maison qui l'est plus encore.  J'y suis arrivé en milieu de l'après-midi après deux heures de route depuis New-York. 
Il y avait un mot sur la porte m'indiquant qu'il était en ville pour faire quelques courses, où trouver la clé et me proposant en attendant de m'installer dans la chambre sous les combles. 
La maison était dans le style rustique.  Bois,  cheminée,  tapis épais, bibliothèque,... on s'y sentait bien rapidement 
J'ai posé mon sac dans la pièce qui allait être ma chambre pour le week-end.  Chaleureuse, lumineuse avec un  velux surplombant le grand lit confortable et plein de couvertures bien chaudes. 
Il y avait aussi une étagère avec quelques bouquins,  essentiellement des policiers et aussi curieusement de vielles cassettes vhs de films de cul gays bien sûr. 
 Les photos des pochettes fleuraient bon les années 80. Blonds musclés en slips kangourous blancs déformés par une trique prometteuse,  poses subjectives et titres accrocheurs.  Jeff stryker nous affirmant que ce qui compte c'est la taille. 
En les regardant, les plaisirs de la nuit sont remontés à la surface.. mon cul, mon bas-ventre se sont souvenus des caresses reçues, ma queue a brusquement poussé sous mon jean. 
J'ai défait ma braguette, caressé mon sexe à travers mon slip déformé par mon érection.  J'avais subitement chaud. J'ai caressé mon torse d'une main tout en continuant à flatter ma queue encore prisonnière de mon ck. 
Elle était là devant moi toute droite.  J'en connaissais bien sûr chaque détail. Chaque veine m'était familière et ma main en connaisait tous les secrets.  En la regardant ainsi,  en recueillant la première perle de mouille,  les sensations de la nuit sont remontés à la surface ; c'était comme si les langues de mes partenaires de la nuit étaient là. Elles en léchaient chaque millimètre,  appuyant sur les veines gonflées,  elles écartaient les fragiles parois du méat comme pour le pénétrer.  
Le plaisir m'a envahit. Ma rosace frémissant au souvenir des charges reçus; langues amoureuses, braquemarts turgescents....je me suis déshabillé ; yeux mi-clos, cuisses écartées, j'ai caressé ma rondelle du bout d'un doigt tout en me branlant. Mon sphincter était encore sensible après les assauts répétés de la nuit. Je gémissais déjà et j'étais certain que je n'allais pas tarder à jouir. 
Soudain, en ouvrant les yeux, j'ai vu que j'étais observé! un mec, un inconnu me matait à travers le velux qui donnait juste sur mon lit. 
Un peu effrayé tout d'abord, j'ai vite compris que le mec était plus qu'intéressé par ce que je faisais... Alors n'écoutant que mes hormones et sans aucune prudence, je lui ai fait signe de rentrer.
C'était un mec plutôt massif, barbu; ses vêtements devaient cacher un corps plutôt musclé et sans doute à en juger par sa barbe fournie, velu de partout... Hmmm!
- euh, je suis vraiment désolé... a t-il dit en entrant dans ma chambre. je me promenais dans la forêt quand j'ai aperçu votre jolie maison et j'ai simplement voulu voir comment c'était à l'intérieur... Désolé vraiment, je suis confus....
Je voyais bien néanmoins que ses yeux allaient de mon visage vers ma queue que je continuais à caresser. 
Petit moment de silence et de gêne puis il s'est lancé..
- en fait je suis hétéro mais je dois avouer et à ma plus grande surprise, je suis plutôt excité .....
Un coup d'oeil à sa braguette suffisait pour le prouver.
A mon tour je me suis lancé; "on verra bien "me suis-je dit.
je me suis approché de lui et sans le quitter des yeux, j'ai défait sa ceinture, déboutonné son jean que j'ai baissé jusqu'à découvrir un slip blanc déformé par une trique prometteuse... toujours les yeux dans les yeux, j'ai caressé cette belle bosse qui se présentait à moi; c'était très dur et même à travers le tissu, je sentais des veines bien gonflées et palpitantes.. l'engin n'attendait que d'être libéré! j'ai cherché dans son regard comme un assentiment et je me suis lancé; j'ai baissé le CK et sa teub s'est élancée devant mon visage; épaisse et pas très longue; une goutte de mouille perlait déjà au dessus du méat. tout en le regardant à nouveau, j'ai recueilli du bout de la langue cette petite goutte. Il a fermé les yeux, courbé la tête en arrière et j'ai su à cet instant qu'il était vaincu.
j'ai pris sa verge en bouche tout en caressant ses boules et son entrejambe et j'ai commencé des va-et-vient de plus en plus profonds. 
- Putain mec! j'ai jamais été sucé comme ça; il a dit ça dans un grognement entre deux halètements. Il a alors ôté sa chemise découvrant un torse puissant avec des pecs très travaillés et velus. 
- j'ai continué un long moment à le gâter à coups de gorge profonde, le nez dans sa toison pubienne, à titiller sa rondelle bien cachée au fond d'une broussaille humide. Tout en poussant ma tête contre sa queue, il gémissait d'une voix rauque, ce qui m'excitait grave et me faisait redoubler d'ardeur.
- A toi maintenant, si t'as jamais goutté à une bite, c'est le moment! dis-je en lui tendant ma belle queue bien drue et courbe.
il s'est penché vers mon pubis et, sans même une seconde d'hésitation, la prise en bouche illico. Le bougre apprenait vite! fort des plaisirs que j'avais su lui prodiguer, Il a commencé à gober mon gros gland qui est entré dans sa gorge, la bouchant complètement, il a fermé les yeux, et respiré à fond par le nez, pour ensuite avaler ma queue toute entière , quand le gland a touché sa luette, il a senti les larmes venir, ça l'a fait tousser! mais sans sortir ma tige, il a dégluti, avalant la mouille abondante.  j'ai ensuite donné de petits coups de bassin enfonçant ainsi mon vit bien au fond de sa gorge; à lui maintenant d'avoir les narines titillées par ma toison !
Après cela, je me suis ensuite relevé et à genoux sur le lit, corps contre corps, nous nous sommes enlacés et nous nous sommes mangés les lèvres mutuellement, les yeux fermés et d'un seul coup les langues se sont touchées déclenchant comme un orage interne. Nos bouches avaient le goût de nos bites et c'était délicieux! Les mains du mec se sont plaquées sur mes fesses et il a frotté son sexe contre le sien avant de nous caresser mutuellement nos verges dressées. 
- N'hésite pas, lui ai-je murmuré à l'oreille, caresse ma raie, glisse un doigt dedans.... Alors il obéit,  son doigt se glisse et vient caresser mon trou du cul.
- hmmm! c'est top, vas-y enfonce-le ! et là encore il s'est exécuté; son doigt a  écarté doucement mes sphincters et m'a pénétré facilement. visiblement ça l'a beaucoup excité car sa queue est venue battre violemment contre son ventre.
- viens, baise-moi! dis-je doucement. 

Aussitôt, je me mets à quatre pattes, dos cambré, cuisses écartées
-Mais avant, tu me bouffe le cul; tu verras, c'est le meilleur!

En disant cela, j'écarte mes fesses imberbes, et recommence mes gémissements quand je sens sa langue toucher mon anus et l'inonder!  c'était une première pour lui bien sûr! mais là encore, comme par instant, il a su très vite quoi et comment faire avec sa langue même si je le guidais un tant soit peu. 

 j'avais les jambes bien écartées, le cul bien cambré et sa langue magique a continué son travail! très vite, son enthousiasme à lécher ma rondelle, a enflammé mon cul palpitant et  ouvert, comme s'il réclamait d'être comblé!
Il n'a pas eu beaucoup d'effort pour me pénétrer, car quand il a frotté son gland humide contre mon oeillet, c'est lui  qui est allé à sa rencontre, comme s'il était affamé! Un coup de reins et sa queue est arrivée au fond, d'un coup, d'un seul ses poils pubien sont venus chatouiller mes fesses.
 il m'a pris par les hanches et a commencé à me baiser lentement; je faisais tout pour que cela reste un souvenir inoubliable pour lui. 
Les va-et-vient s'accentuent, visiblement il adorait ce cul bien serré, peut-être mieux qu'une chatte; il devait sentir sa queue frotter contre le conduit qui la pétrissait! , c'est lui qui gémit maintenant et de me voir mordre dans le couvre-lit, l'excite visiblement!
Son pubis claque de plus en plus souvent sur mes fesses offertes 
Comme pour calmer le jeu, on se redresse, enlacés l'un contre l'autre, sa queue profondément ancrée en moi, je m'empare de la mienne et me branle frénétiquement, je voudrais jouir en même temps que lui; lentement, il reprend ses coups de reins et je branle mon vit à l'unisson. Il accélère,  il sent la sauce monter, monter, monter plus vite et quand il hurle, la première giclée se répand avec force en moi.
Quand les giclées cessent,  sa queue toujours au fond de mon anus, il prend ma queue et me branle énergiquement en m'embrassant dans le cou! Trois allers-retours et je crie de plaisir envoyant sur le couvre-lit de belles giclées de foutre!
On s'est laissé tomber sur le lit, épuisés, sans rien dire. Il était toujours en moi et je sentais sa queue se rétracter doucement. les yeux fermés, je savourais cet instant.... éphémère, 
- et ben! on s'emmerde pas!
j'ai ouvert les yeux subitement ; mon oncle était bras croisés à la porte de la chambre! depuis combien de temps était il là? qu'avait-il vu? je le saurais bien assez tôt, je me suis subitement redressé, me séparant de mon mec. Penaud, devant mon oncle, je sentais le sperme s'écouler le long de ma cuisse...
- bon, je crois que vous avez besoin d'une douche.. je vous laisse, dit-il enfin en me faisant un clin d'oeil