09 juillet 2024

Le masquere







Tout est parti d'une petite annonce postée à l'ancienne si l'on peut dire sur le tableau d'un bar que je fréquente régulièrement. 
On cherchait des mecs moins de 30 ans,  "athlétiques", bien montés, plutôt exhib, actifs, passifs, versatiles, bdsm. Il s'agissait de participer à un événement spécial pour un club très exclusif.  Discrétion assurée même si l'événement sera entièrement filmé. Masques fournis, tenue fournie. Gages importants. Pas difficile de comprendre qu'il s'agissait de participer à un truc sexuel. Faire l'escort, quoi!
Il y avait une adresse courriel à contacter pour candidater. Une vidéo nue complète détaillée étant à fournir.
J'ai d'abord essayé d'en savoir plus. J'ai envoyé un mail demandant, ce qui était attendu des sélectionnés et quels étaient les gages. 
Pour seule réponse, j'ai reçu quelques heures après "Envoyez votre dossier de candidature vous en saurez plus si vous êtes sélectionné".
Alors, ben ça m'a aiguillonné un max! J'ai fait le petit film demandé en me montrant entièrement, devant et derrière, sexe au repos et érigé sans oublier un gros plan sur mon arrière train. 
J'ai précisé que j'étais versatile, plutôt passif et très exhib... et j'ai envoyé le tout. 
Le lendemain, la réponse est arrivée. Le courriel précisait que j'étais présélectionné. On me demandait si j'étais d'accord pour avoir des rapports sexuels en public qu'ils soient en solo, en couple ou à plusieurs. Je devais préciser aussi si j'étais ouvert à des actes bdsm légers (actif ou passif).
Si oui, je devais signer l'accord de confidentialité et de consentement joint.  Après cela, on me préviendrait en cas de sélection définitive et on me donnerait tous les détails de ce que l'on attendait de moi et bien entendu je pourrais ensuite refuser certains actes.  
La réponse définitive ne vint que quelques jours après. 
On m'informait que j'étais effectivement sélectionné. On me précisait qu'il s'agissait d'un évènement spécial organisé par une sorte de confrérie très confidentielle et sélect. Celle-ci réunissait des hommes qui prenaient du plaisir à regarder (des voyeur, quoi) sans s'interdire à interagir.  L'événement se déroulerait sur un après-midi et une nuit dans un château. Il s'agissait d'offrir à ces éminents membres un spectacle  différentes scénettes avant et après repas et une "soirée d'échange" si on le souhaitait moyennant bien entendu rémunération extra.  Une réunion était prévue le lendemain pour préparer l'événement et distribuer les rôles. 
A cette occasion, on allait nous donner des masques, une cape de satin noir et un ck classique blanc. Les invités pour la plupart seraient également tous masqués et vêtus de la cape et du slip uniquement.  Nous pourrions nous aussi revêtir la cape et le slip en dehors des scènes pour le service à table et pour la soirée mais on pourrait si on le souhaitait rester nus. De toutes façons nous aurions un bracelet de couleur rouge pour être différenciés des membres. 

Le tableau d'accueil 
Le jour dit, tôt dans l'après-midi,  un van faisant la navette est venu me chercher directement chez moi. J'ai retrouvé les autres "lauréats"  pour l'événement. Nous nous étions rencontrés le jour de la réunion de présentation mais nous n'avions eu aucun contact depuis lors. Je dois dire que la sélection était superbe. Les autres mecs étaient vraiment top; hyper beaux pour la plupart et même si personne ne s'était encore vu à poil, tous semblaient hyper bien foutus.  
Le château était effectivement une grande et belle bâtisse au milieu d'un grand parc.  Nous avons été accueilli par un gars qui déjà avait revêtu la tenue de la soirée : cape de satin, slip ck et masque vénitien. Il nous a mené vers la salle dite "de bal" où devait se dérouler le spectacle de mise en bouche. Une très belle pièce de style baroque: tapisseries, tableaux,  lustres,  canapés et fauteuils confortables, tapis et coussins le tout, sous une lumière chaude et légèrement tamisées les volets avaient été fermés pour l'ambiance. Des caméras disposées aux coins stratégiques. La salle vide encore de membres était prête à nous recevoir. 
Nous savions ce que nous avions à faire.  Le guide masqué nous a guidés ensuite vers un petit salon où nous devions nous préparer, c'est à dire nous dévêtir et mettre pour ceux qui le souhaitaient,  leurs masques, ce n'était pas mon choix. 
Bientôt nous étions tous nus dans ce salon à juste attendre le signal.  C'était le moment aussi de nous découvrir les uns et les autres nus,  découvrir pour la première fois nos corps et visiblement, la taille des attributs avait été un critère...Puisque nous avions déjà défini le "qui fait quoi ", de découvrir particulièrement ceux avec qui nous devions interagir. 
Puis ce fut le moment de rejoindre la grande salle,  j'ai pris place sur un grand fauteuil et chacun s'est installé comme prévu.  Point de membres encore, mais nous entendions tous comme un brouhaha derrière les grandes portes, pas de doutes,  ils arrivaient. 
Action ! Cria le majordome en tapant dans ses mains, ils arrivent.  Le groupe s'est rassemblé tel un tableau vivant sur les tapis, fauteuils, coussins. Les caresses se sont échangées,  les sexes se sont dressés tous mettaient du coeur et du plaisir bien sûr, à créer un tableau baroque du plaisir. Les portes se sont ouvertes, les membres ont commencé à prendre place. Tous revêtus de la tenue officielle, tous masqués. Dans ma position, affalé sur mon énorme fauteuil, mon braquemart dressé et en main, je pouvais observer le public. Malgré les masques et les capes, les membres semblaient plutôt jeunes et bien de leurs corps ; c'était mieux pour les éventuelles suites.  
À mes pieds, les corps superbes se mêlaient, dans une danse érotique et sensuelle. Les sexes se frôlaient, les langues bataillaient. On n'entendait que le frottement des peaux, les premiers bruits de succion, les premiers gémissements.  Les écrans géants diffusaient en gros plan des détails de la scène.  Les membres étaient silencieux et certains avaient déjà entrouvert les capes et caressaient leurs slips blancs déformés par de belles érections. C'était un ballet sensuel qui peu à peu, montait en puissance. Les gestes se faisaient plus invasifs, des sexes disparaissaient dans des gorges profondes, des langues visitaient des culs offerts, les caresses se faisaient plus fermes, plus passionnées. Je suis descendu de mon fauteuil, ma queue dressée et courbe, décalottée me faisait mal tant mon érection était intense. Je voulais une bouche avide pour me soulager.  Et je n'ai pas été déçu. Pompé avec fougue,  j'ai glissé deux doigts dans un magnifique cul offert tout près de moi. Une langue est venu rafraichir et éveiller ma rosace.  Soudain, un "masqué" c'est avancé, fendant le groupe des membres.
Un homme mince, très pâle, un masque d'oiseau cachant le visage. Les membres présents lui ont ouvert le passage. C'était le maître de cérémonie. Il s'est approché de notre groupe et à tenté à plusieurs reprises de caresser l'un où l'autre sans succès ; l'un ou l'autre le rejetant. 
Je me suis rapproché, c'était mon rôle.. j'avais été choisi. À genoux à ses pieds,  ma queue et ma rosace toujours occupées, j'ai écarté la cape. Un slip déformé par une barre imposante me faisait face. Je l'ai caressée du bout de la langue, des doigts, mordillée avant de la libérer en soulevant la ceinture griffée et élastique. Une masse brûlante s'en est échappée. Veineuse, massive, un gland protubérant. Je l'ai tout d'abord léchée tout le long jusqu'aux couilles lourdes et pendantes puis je l'ai gobée tandis que des doigts pénétraient mon fondement. 
Autour de nous, la vague humaine, se contorsionnait, gémissait.  Des corps se soudaient, se séparaient. 
Le maître de cérémonie a laissé tomber sa cape et j'ai ôté son slip non sans l'avoir humé avant de m'en débarrasser. 
 Il était nu devant moi. Un corps sec, presque maigre, musclé comme ciselé. Sa queue dressée battait contre son ventre en paraissait encore plus massive. Il m'a pris par la main pour me diriger vers un grand fauteuil. Je me suis agrippé aux deux bras,  jambes écartées. Un des gars est venu me lécher l'œillet, comme pour le préparer à recevoir le maître. Il s'est alors approché, le vit énorme, veineux, légèrement courbe décalotté dressé devant lui. Le gars m'a écarté les globes offrant ma rosace. Son gland l'a caressée quelques instants avant de se faire un passage,  écartant mes sphincters. Quand son bas-ventre est venu s'écraser contre mes fesses, 
il s'est mis à me pilonner le cul de toute ses forces. Tel un marteau piqueur, sa queue me baisait à une vitesse, une cadence et une force folle. Je me branlais tout en gueulant fort. Au bout d’un moment, il m’a attiré vers lui, mon dos contre son torse, accroché fermement par le cou il a empoigné ma teub tout en continuant de me défoncer. 
Le tableau vivant était en effervescence, le paroxysme était proche.  
Très vite, d’un mouvement habile de hanches, je me suis retrouvé sur le dos et lui, sa queue toujours enfoncée en moi, a repris sa baise torride et puissante. Ses coups de queue étaient brutaux et profonds. Il se défoulait en moi et  je me laissais défoncer et embrasser tout en gémissant.

Il m'a serré  encore plus fort contre lui tout en me roulant des pelles et en me pilonnant. Sa respiration s’est accélérée et dans un ultime coup de reins, il s'est bloqué au fond de mes entrailles et il a éjaculé sept jets puissants. J'ai pris ma teub en mains et je me suis branlé à en déchirer le prépuce. Il est resté devant, bouche ouverte prêt à déguster mon nectar. Dans un spasme de malade j'ai envoyé 4 copieuses salves de foutre sur sa langue. Il est resté en moi jusqu’à ce que sa queue se ramollisse.   

J'ai repris conscience, autour de nous, ce n'était que gémissements et sueur, les uns après les autres, jouissaient, le foutre coulait à flots. Du côté des membres aussi, beaucoup avaient leur sexe en mains et certains se rapprochant du groupe, ajoutait leur semence sur nous. 

Peu à peu, les membres sont sortis rejoindre la salle à manger pour le dîner. Il était encore tôt car le programme étant chargé. D'ailleurs, le menu avait été spécialement prévu pour être léger afin de sortir de table rapidement. 

De notre côté, certains sont retournés dans la salle qui nous était réservée où un repas léger était prévu. D'autres ont revêtus leurs tenues pour aider au service à table. Quant à moi, j'avais le privilège de servir en exclusivité le maître de cérémonie, nu.


une très grande table avait été dressée sous des lustres, diffusant une chaude lumière proche de celle de bougies.  Le repas n'étant pas filmé, les membres avaient ôté les masques. Ils étaient,  pour la plupart, plus jeunes que je ne l'avais craint, tous entre 30 et la quarantaine. Des serveurs en cape s'affairaient entre les cuisines et la table. Pour ma part, je devais me contenter de recevoir les plats destinés au maître de cérémonie et le servir. A l'apéritif, il a glissé un doigt entre mes fesses pour recueillir un peu de son sperme pour le lécher devant tous puis il a décalotté  ma verge encore humide du mien pour la tremper dans sa coupe de champagne avant de la lever pour le toast de bienvenue. Pendant le repas, il n'a pratiquement pas cessé de caresser mes fesses, ce qui n'a pas manqué de faire durcir ma verge...

Après le repas, les uns et les autres s'égaillèrent, qui vers les toilettes, qui dehors pour fumer.

Quant à moi, je devais me préparer pour ma scénette.

La suite de la soirée était, comme dans tous les "séminaires"  composée d'une série "d'ateliers" à thèmes. La ligne conductrice étant des mises en situation devant permettre aux membres de cette société d'assouvir leur penchant voyeuriste et souvent passif sur des thèmes qu'ils affectionnent. Le plus souvent le "héros" de la scénette subit la situation. Une dose de bdsm pouvant être un plus.

Trois scénettes prévus pour le thème "Edging et training anal". Après cela, une seconde série sur le thème "mormons". Puis les membres seront dirigés vers la salle de sports du sous-sol pour un combat suivi d'une salle vestiaires et douches. La fin de soirée étant libre, .... je savais que si la plupart des membres allaient repartir chez eux, certains avaient réservé une chambre au château. Parmi lesquels certains avaient "réservé " un ou des compagnons pour la nuit.  Il y aurait aussi les "invités VIP" du maître de cérémonie pour lesquels une surprise était prévue. Soirée à laquelle certains d'entre nous avaient été sélectionnés avec une généreuse gratification à la clé. 

Je devais occuper le premier salon "Edging et training anal". Je devais tenir plus de 20mn.... il y avait des caméras partout et un cameraman est arrivé également, pour les gros plans m'a t'il dit avec un clin d'œil. 

Mon coach m'a rejoint et m'a tendu un boxer de nylon blanc presque transparent. Je devais bien sûr le revêtir et m'asseoir sur un banc d'entraînement pour abdominaux. Le coach m'a bandé les yeux et attaché les mains derrière la tête. Nous avons attendu l'arrivée des membres. Je ne les voyais pas mais très vite j'ai perçu les bruits des capes, des chaises, les chuchotements.  20 mn, je devais tenir au moins 20mn....

Un frôlement, une caresse dans mes cheveux, c'était le signal du départ. Le coach était là derrière moi. Il m'a caressé très doucement les bras, le torse. C'était agréable mais j'étais tendu et l'assise de ce banc inconfortable car sensible à la caresse, je ne pouvais pas m'empêcher de trembler et de me tortiller.


Quelques gouttes d'huile froide sont venues s'écraser sur mon torse et sur mon ventre et il a commencé à l'étaler. Elle sentait bon et adoucissait encore la caresse de sa main. J'ai commencé à imaginer mon corps brillant, les muscles sublimés par l'huile et j'ai été emporté par une intense vague de sensualité. Un copieux jet d'huile s'est écrasé sur mon ventre, remplissant mon nombril et coulant rapidement vers mon boxer. C'était sans compter sur les jets qu'il a jeté sur le boxer et particulièrement à l'emplacement de mon sexe. J'entendais les chuchotements du public.... Je pouvais sans problème imaginer ce que les membres disaient; à cette idée, j'ai commencé à sentir les picotements caractéristiques dans mon bas-ventre et surtout ma verge durcir.. il s'en ai saisi, non pas pour l'extraire, non juste pour la placer dans sa longueur sous le tissu rendu transparent par l'huile. Il a continué un moment à masser mon corps oint en insistant sur mon sexe qu'il caressait par dessus le nylon tout en le couvrant régulièrement d'huile. Puis lors d'une de ces caresses, il a extrait ma verge, la décalottée et a commencé à caresser d'un doigt mon gland huilé. C'était délicieux et j'ai commencé à couiner doucement. Le plus dur restait à faire. Il m'a ôté le boxer.  J'étais nu, le corps luisant. Il a pris ma teub en mains pour la montrer dans sa longueur, a soulevé et caressé fermement mes boules pour enfin commencer à me branler. Je suis plutôt bien monté et là encore j'ai entendu les chuchotements quand ma verge a atteint sa taille de "combat". Il était expert et maîtrisant à merveille l'art du Edging. Ses caresses sur ma verge me portaient à des sommets de plaisir et peu à peu aux limites de l'orgasme. Tout mon corps aspirait à l'accomplissement et en même temps tentait de résister, de reculer l'inéluctable. Il s'en apercevait et savait donner les instants de respiration nécessaires.  

Au bout de je ne sais combien de temps,  il m'a libéré. J'ai eu le temps d'apercevoir le public agglutiné devant moi, certains assis, d'autres debout. Certains avaient baissé leurs ck et se caressaient la queue. J'ai pu voir mon corps et mon sexe luisants. Je devais me coucher sur le banc, sur le ventre de façon à mettre en valeur mon cul  ouvert et ma queue visible. Ça me faisait bizarre de savoir tous ces gens, les yeux rivés sur ma rosace et ma queue sur mes boules !

Il a de nouveau versé des quantités d'huile sur mon dos et mes fesses sans oublier mon sillon. Et après l'avoir méthodiquement étalée partout par un massage, Il a titillé, tapoté ma rondelle pour qu'elle vibre et s’entrouvre. Chuchotements...

Je gémissais de plaisir !  Je ne sais pas ce qui m'excitait le plus de ses caresses ou des réactions du public! Il a ensuite, la tirant fortement vers lui, repris ma verge en main et a recommencé à me branler cette fois-ci intensément. S'arrêtant à chaque fois qu’il me sentait proche. Je le suppliais d'abréger ! Jusqu'à ce qu'il estime être le moment car quand j'ai presque hurlé, 

- je vais jouir !...

Il a redoublé d'effort jusqu'à ce que j'éjacule dans sa main.  

Je me suis remis sur le dos, la queue encore tuméfiée par l'exercice. Certains membres sont venus me féliciter d'une caresse. Certains même sont venus recueillir au bout de ma queue, une goutte de sperme comme souvenir.

J'ai enfilé un peignoir,  je n'avais pas envie de prendre une douche, juste envie de rester comme ça, avec les stigmates du plaisir reçu.  Envie de voir également ce qui allait se dérouler dans les deux autres salons. 




La seconde scénette se déroulait dans ce même salon.






Un gars est arrivé. Bâillonné, les mains menottées dans le dos. Plutôt baraqué, juste vêtu d'un slip noir transparent. Il était très beau et ne semblait pas du tout inquiet, il souriait et semblait heureux de s'exhiber ainsi. Il m'a fait un clin d'œil en me murmurant, 

- t'as été top! Grâce à toi, je suis super chaud. 

Le thème de la scénette était "training anal" et présenté comme la suite de ma scène. 

Le coach l'a aidé à se poser à quatre pattes sur le tapis plastique posé au sol, cul levé,  cuisses écartées.  

Il nous offrait à voir, sous le nylon noir, un cul et des cuisses charnues, recouverts d'un voile de poils d'un noir profond. Le nylon noir laissait transparaître un sillon profond et velu,.. j'avais hâte  de le découvrir !

Le coach s'est approché de lui.  Dès qu'il a posé ses mains sur son dos, il a fait mine de se débattre comme s'il était là contre sa volonté, grognant  des mots rendus inintelligibles par le bâillon. Le coach a,  comme il l'avait fait avec moi, commencé par lui caresser voluptueusement le dos puis les fesses à travers le nylon noir en insistant un peu, d'un doigt sur sa raie. 

Puis l'huile a coulé à flots sur son dos, sur le nylon du slip, faisant bien sûr ressortir la peau. Les caresses huilées sur le fessier se sont faites plus insistantes; le gars gigotait mais ses gesticulations trahissaient déjà le plaisir pris.  

Le coach a passé ses mains sous le nylon  et a glissé tout le tissu dans le sillon révélant ainsi deux globes puissants,  mates qu'il a caressé voluptueusement sans oublier l'entrejambe qui comprimait des boules qui promettaient d'être imposantes. L'huile faisait ressortir le noir duvet. Je bandais sous mon peignoir  et j'attendais malgré moi de voir sa rondelle. 

Le cameraman s'était approché et on pouvait voir ses images en direct sur plusieurs écrans. Je venais de réaliser que ces écrans avaient diffusé en gros plan mon anatomie !

Le coach a baissé tout doucement le slip offrant à notre vue, un sillon velu. Le cameraman a zoomé dessus et nous avons pu découvrir derrière la broussaille, une belle rosace qu'il a commencé à effleurer d'un doigt.  Sur l'écran on pouvait la voir vibrer et réagir à la caresse. Le mec maintenant couinait sous le bâillon. On voyait bien les couilles fermes, luisantes d'huile. Le coach s'en est saisi, les a malaxées pour se saisir d'une verge épaisse qu'il a complètement tordu pour nous la montrer. Il gémissait, vaincu par le plaisir. L'œillet était là au fond de cette broussaille noire.  Le coach avec ses doigts lui a longuement écarté les sphincters. On voyait bien après cet exercice son anus bien ouvert. Il a glissé un doigt dedans qu'il a tourné et retourné tout en faisant de longs va-et-vient.  Quand il a vu que le gars était prêt,  il s'est saisi d'un long gode sous forme d'un chapelet de boules de plus en plus grosses et l'a introduit pratiquement d'un coup et tout entier dans son anus. Après une longue série de va-et-vient,  il s'est retiré pour nous offrir en gros plan sa rosace dilatée. 

Le coach l'a ensuite libéré de ses liens et de son bandeau et lui a demandé de se mettre sur le dos et de tenir ses jambes levées et écartées. Le gars bandait bien et là encore des flots d'huile se sont déversées sur son torse, son sexe et son cul. Le coach après l'avoir branlé un moment tout en lui caressant l'œillet, l'a baisé avec un nouveau gode qu'il a introduit bien profondément pour fouiller son tréfonds au même rythme qu'il le branlait. Là encore le savoir-faire du coach empêchait le gars de jouir trop vite. A chaque fois que l'orgasme était proche, il ralentissait le rythme voire sortait complètement pour nous montrer quelques instants cet anus béant qui se multipliait sur les différents écrans.

Puis il a recommencé à le branler tout en lui fouillant le cul à un rythme effréné.  Le gars, yeux fermés gémissait de plus en plus fort jusqu'à ce qu'il éjacule sur son ventre. Le coach a continué un moment à caresser sa queue et ses couilles. Le gars s'est relevé toujours en érection et les membres là encore sont venus le féliciter par une caresse .







Le troisième tableau avait été nommé " so big so good "  un gars à la peau très blanche, rosée est arrivé torse nu seulement vêtu d'un pantalon noir.  Il s'est couché, tout en nous regardant, sur un lit qui venait d'être apporté. Le coach est arrivé près de lui, à déboutonne le jean noir pour extraire une belle queue rosée et épaisse. 

Après avoir joué avec, le temps qu'elle se raidisse,  il a aidé le gars à ôter le jean.  Couché sur le dos, le gars tenait ses jambes bien haut. On pouvait voir au creux de son sillon, une belle entaille ciselée que le coach s'est empressé de huiler pour y introduire deux doigts qu'il faisait tourner à l'intérieur. Le gars gémissait tout en se caressant la verge et les boules.


Un premier gode comme pour ouvrir le chemin.


Pas beaucoup plus épais que les deux doigts mais bien plus long. Il l'a longuement godé avec jusqu'à ce qu'il estime que l'on pouvait passer au suivant ; un plug anal conique dont la base était d'une largeur conséquente. Il fallut un moment pour qu'il puisse l'introduire entièrement. À la sortie, son anus étoilé était bien ouvert, suffisamment pour, qu'après quelques va-et-vient ponctués de "ploc " à chaque sortie, passer au modèle supérieur. Un gode en forme de queue longue et épaisse. Le cameraman s'était posé tout prêt car le but du jeu était aussi de nous montrer cet anus s'ouvrir de plus en plus.  C'est pourquoi le coach le ressortait souvent complètement. Le gars semblait apprécier. Il caressait sa bite qu'il dressait bien haut comme pour nous la montrer. Sans cesser d'ailleurs d'avoir les yeux rivés sur l'assemblée ; exhib et provocateur.

Le dernier gode était carrément énorme mais notre compère après cet entraînement progressif l'accepta sans problème. Jusqu'à nous offrir une rosace complètement dilatée, béante. J'avais une envie folle de me précipiter pour y fourrer ma langue et surtout ma teub. Le coach le transperçait à une vitesse folle et il se branlait d'une main. Il a éjaculé copieusement envoyant très haut de belles salves de foutre.  Libéré du gode, il a léché son sperme d'une main, tout en caressant de l'autre sa chatte béante.




La soirée battait son plein. Il a fallu attendre un petit moment pour la préparation du salon pour le thème mormons qui bizarrement fait partie semble-t-il de leur imaginaire. 

Les factotum après avoir nettoyé



la salle et enlevé les tapis plastique couverts d'huiles, ont amené un long banc entièrement couvert d'un tissu noir et quelques chaises. 

Des hommes vêtus de costumes et cravates sont arrivés. Ils étaient eux aussi masqués.  Ils se sont installés sur les chaises dans une attitude qui se voulait protocolaire. Peu après un autre cravaté masqué lui aussi d'un masque à long bec identique à celui que portait le maître de cérémonie est arrivé accompagné par un des nôtres habillé en mormon.  Il avait même le badge noir. Il s'appelait Marcus.

C'était sensé représenter une cérémonie  "d'expiation"... Le supposé "grand maître" à défait la cravate de l'impétrant et lui a ôté la chemise et le tee-shirt.  Il a ensuite déboutonné son pantalon et a glissé sa main comme pour  lui tâter les organes sexuels. 

Après cela, il lui a demandé de se mettre en caleçon. Il portait évidemment le sous-vêtement typique des mormons; très laid, sans réelle forme, rien de sensuel ou de sexy, utilitaire.  Mais peut-être que c'est justement ces sous-vêtements spécifiques qui alimentent en grande partie le fantasme mormon...

Marcus était maintenant uniquement vêtu de ce caleçon long, le maître s'est approché de lui, a caressé son torse, son ventre, son dos; il devait y trouver son plaisir car il soupirait tout le temps. Il a ensuite caressé son cul et son sexe par dessus le tissu du caleçon avant d'y glisser la main.

Après cela,  le maître a enlevé le tissu qui recouvrait le banc. Il y avait collés sur le dessus une série de plugs, du plus petit au plus grand. Chuchotements dans la salle quand tous ont compris quel était le "châtiment" réservé à Marcus. Après cela, il a mené  Marcus vers un des messieurs assis, le plus âgé, qui lui aussi est venu lui tâter les parties génitales. Cela faisait de l'effet à Marcus car on voyait sa verge poindre et déformer le caleçon. 

Le vieux s'en est bien sûr aperçu et a tout doucement baissé le caleçon libérant une longue et fine verge bien perpendiculaire. Mmm, adorable,  me suis-je dit.

Le vieux s'est alors baissé pour poser délicatement sa bouche sur le gland et entamer une fellation profonde. Marcus bandait fortement; sa queue était bien droite contre son ventre. L'estimant prêt, le vieux l'a invité à commencer son "expiation".

Sans mot dire,  Marcus a enjambé le banc.  Il a enduit sa rosace de lubrifiant et  doucement s'est assis sur le premier plug sous l'objectif du cameraman. Les écrans nous montraient en gros plan le plug disparaitre dans l'anus de Marcus.  

- veux-tu te caresser la verge?

- oui, s'il vous plaît,  maître 

La queue de Marcus qui avait perdu de la vigueur, s'est dressée à nouveau 

- es-tu prêt pour le suivant ?

- oui maître,  

- alors vas-y 

le suivant était légèrement plus gros que le premier. 

Marcus s'est positionné juste au-dessus.  Moi je n'avais d'yeux que pour sa queue ; longue, fine, légèrement courbe, le gland sensiblement plus gros pointant vers le ciel. 

il s'est de nouveau empalé 

- qu'est-ce que tu ressens?

Marcus gémissait tout en tirant fortement sur sa queue et ses couilles.. comme si ce geste allait l'aider à s'extraire de ce plug. 

- es-tu prêt pour le suivant?

Ils étaient de plus en plus longs et larges.  Arrivé à l'avant dernier, il était à portée de main du grand maître qui "pour l'encourager"  s'est saisi de ses couilles pour les tirer vers lui. La queue de Marcus battait fortement contre son ventre et j'avais l'impression qu'il allait éjaculer à tout moment. 

Le grand maître lui a alors demandé de faire des va-et-vient sur le plug et a glissé sa queue en bouche pour le sucer.  

Le dernier plug était impressionnant,  une sorte d'as de pique très large...

- je ne crois pas que je vais pouvoir,  maître 

Tu le dois, à été sa seule réponse...

Marcus s'est assis dessus. On voyait sur les écrans l'as de pique disparaitre peu à peu mais la base était visiblement très large.. Marcus gémissait,  implorait mais  visiblement il ne pouvait pas...

-es-tu prêt à accepter la punition ?

- je suis prêt maître 

Marcus s'est mis à quatre pattes sur le banc, le maître a tiré vers lui la longue tige et les boules de Marcus et les a léchées . Décidément, cette teub me faisait vraiment envie et j'aurais voulu être à la place du vieux qui lui bouffait maintenant le cul, tout en continuant à tenir la queue toute luisante et raide en équerre vers lui. 

Il s'est déshabillé entièrement. Un corps massif, velu et un sexe tout aussi massif, pas très long mais très épais.  

Si la punition c'était ça.. ma foi après ce qu'il venait de subir, ça pouvait presque passer pour une récompense pour Marcus. 

Le vieux l'a baisé presque tendrement et ils ont jouit presque en même temps. Quand le vieux s'est retiré le cameraman nous a offert en gros plan, l'œillet de Marcus bien ouvert, laissant le sperme s'écouler lentement. 









Le dernier rendez-vous devait se dérouler au sous-sol. Il y avait une salle de sport et des vestiaires et le fantasme archi classique des vestiaires... 

L'assistance au fur et à mesure des scénettes s'était un peu clairsemée. Il faut dire que les différents tableaux auxquels nous avions assisté en avait excité plus d'un. Beaucoup s'étaient branlés durant les shows et d'autres étaient partis ensemble.  Cela devait couiner dans les chambres !.

Malgré tout, le thème "vestiaires" étant un classique "voyeur/exhib", on se pressait dans la salle pour avoir une bonne place. 

La configuration était classique une Salle de douches attenante à un vestiaire .

Un gars est arrivé, John. En tenue de sport, genre épuisé par sa séance. Il a à peine ouvert son casier qu'un autre gars, Glenn est arrivé et a ostensiblement maté John tandis qu'il se déshabillait. Dès que John est parti à la douche, Glenn, excité a piqué le jock-strap de John pour le renifler et... l'enfiler. Il est allé. Revêtu du jock-strap  vers la douche attenante à celle de John et l'a regardé se doucher par dessus la paroi... bien entendu, John n'était pas dupe et ostensiblement, lui a fait le show montrant bientôt une belle queue en érection. 

Peu après, dans le  vestiaire, John s'est rendu compte qu'il n'avait plus son jock-strap et bien sûr que c'était Glenn qui le portait ! Je passe sur le dialogue entre eux qui s'est conclu par une sorte de bagarre, John voulant récupérer son jock-strap et Glenn refusant. John bandait et visiblement Glenn aussi, sa queue déformant le jock-strap.  A un moment,  Glenn s'est emparé de la teub de John et bien sûr tout a dérapé. Il a commencé à la sucer à fond jusqu'à ce que John le fasse se retourner. Le cameraman a zoomé sur le cul de Glenn. C'était bandant de voir sa rosace déjà entrouverte. Après lui avoir léché un moment la rondelle, John s'est enfoncé brutalement en lui en s'accrochant à la ceinture du jock-strap. 

A ce moment là un troisième larron est arrivé. Il est resté un moment en arrêt puis en bon voyeur, après s'être caressé le sexe, a baissé son short et s'est branlé en regardant John pilonner furieusement Glenn. Jusqu'à ce qu'il jouisse en lui dans un grognement rauque. Glenn s'est fini, la bite de John toujours en lui..

Quant au troisième gars, il s'est approché de lui bite tuméfiée pour éjaculer plusieurs salves de foutre dans sa bouche. 

Voilà la convention était terminée. Chacun était libre du reste de la soirée. D'ailleurs je ne savais pas bien quelle heure il était.  J'étais pour ma part "convié" à la petite fête réservée par le maître de cérémonie à quelques VIP. 




Pour cela J'avais eu interdiction de me doucher et je devais revêtir une tenue qui m'attendait dans le salon qui nous était réservé. 

Nous étions huit ou neuf a avoir accepté de participer à la soirée vip. Notre mission était simplement et clairement de répondre à tous les désirs des VIP avec des limites posées bien sûr à l'avance. Je me sentais un peu ridicule dans la tenue demandée.  J'étais simplement vêtu d'un jock-strap noir et d'un nœud papillon de la même couleur. 





Le majordome m'a conduit ainsi qu'un autre gars dans un salon particulier où le maître de cérémonie et deux autres hommes nous attendaient. Tous en costumes de ville et non pas en cape. Ces hommes étaient plus vieux que les membres aperçus jusqu'à présent....

- ah ! Voilà nos jouets, s'est t'il exclamé en nous voyant. Il est temps de trinquer ! Et il nous montre du doigt une table avec des cocktails.

Je lui ai préparé une coupe et mon collègue une autre pour les autres messieurs

Je me suis approché du maître. Il a saisi  la coupe en m'attirant vers lui.. 

Il a trinqué avec ses ami, porté la coupe à ses lèvres puis m'a regardé d'un air concupiscent. 

- hmm, tu sens le foutre... et tu vois Gérald, il a éjaculé deux fois ! Son ventre est couvert de son sperme tout sec... et voilà qu'il me léche le ventre.   Hmmm! J'espère qu'il lui en reste un peu pour moi... Je ne sais pas si tu l'as vu mais il a tenu 20mn tout à l'heure!

Et là dedans il y a une petite merveille dit-il en caressant mon jock-strap... quand j'ai vu sa queue tout à l'heure j'en étais tout retourné.. Peut-être que je lui demanderai de l'essayer sur moi. Ce qui a fait s'esclaffer ses amis.

Il a siroté boit un peu de son cocktail, m'a retourné,  écarté mes fesses et m'a léché l'œillet tout en continuant à caresser mon sexe à travers le coton du jock-strap. Sa langue humide du cocktail était fraîche !

Pendant ce temps ses amis tripotaient mon camarade qui s'était assis sur les genoux du plus vieux tandis que l'autre glissait une main entre ses fesses. 

Je bandais de plus en plus. Il a passé une main entre mes cuisses qui a glissé ensuite dans mon jock pour s'emparer de mes boules..

- hmmm, c'est chaud là-dedans et ça devient tout dur, dit-il en faisant sortir ma verge du jock.  

Il l'a décalottée et caressé mon gland déjà humide de mouille. Sa langue s’insinuait doucement dans mon sillon et j'ai écarté les cuisses et les fesses des deux mains pour bien lui ouvrir le passage. Il était vraiment très habile avec sa bouche. J'ai gémis encore plus fort quand il a forcé avec sa langue mes sphincters pour me pénétrer mais sa langue a vite été remplacée par deux doigts. Il les a rentrés tout doucement au plus profond de mes entrailles et les a fait tournoyer. Il a en même temps complètement libéré ma queue qu'il caressait fermement. Quand ses doigts sont venus taper ma prostate,  ma queue s'est mise à frétiller dans sa main.

Il m'a retourné, je me suis mis à califourchon sur le fauteuil et je lui ai tendu ma queue qu'il a engloutie avidement. Ses mains agrippées à mes fesses la poussait à fond jusqu'à la glotte. 

Pendant ce temps, mon "collègue" était emmené ailleurs par les deux autres. Nous étions seuls.

Il a déboutonné son pantalon. Le braquemart qui m'avait donné du plaisir cet après-midi même a jailli. Le message était clair.  

J'avais  maintenant sa bite à quelques centimètres de ma bouche. Vraiment  magnifique, longue et veinée, relevée, triomphante...  Son gland, tel un gros abricot gorgé de vitamines, sentait encore le cul... sans doute le mien..   je l'ai gobé pour le laver de toutes les souillures de la journée. Sa mouille avait un goût exquis. J'ai enroulé ma langue sur toute sa longueur. Quand je l'ai bien eu en bouche, à grands coups sur ma tête, 

Il m'a imposé sa volonté et n'y allait pas par quatre chemins. Il me donnait des coups de queue volontaires et s'enfonçait bien profond dans ma bouche en même temps qu'il me tenait la tête.

- Ouais!!! C'est ça, prend-la en entier...

J'en avais des haut-le-cœur, il me bloquait, je suffoquais... Il insistait et j'ai fini par m'habituer à son nœud qui frappait le fond de ma gorge et farfouillait mes amygdales.

- Lèche-moi les couilles!

Je me suis bien sûr exécuté. J'ai sorti ma langue j'ai léché puis gobé ses œufs  bien fermes avant de repasser à sa queue qui m'intéressait davantage. .

La forme arquée de sa bite pointait vers les nuages. Je mettais en œuvre tout mon savoir faire pour l'envoyer au septième ciel et  Il commençait à râler de plaisir. Je salivais sur son nœud proéminent et tentant d'engloutir son manche jusqu'aux couilles.

- mets toi sur le fauteuil et montre moi ton cul !..

J'ai ôté mon jock-strap mais,  je ne sais pas pourquoi, gardé le nœud papillon ridicule. Ma jambe gauche posée sur le bras du gros fauteuil, jambes bien écartées,  j'ai écarté une fesse d'une main et caressé ma queue hyper raide vers le bas pour qu'il la voit bien...

Il s'est approché de moi tout en se déshabillant. Il était à la fois un peu ridicule et excitant,  son merveilleux braquemart pointant vers moi sortant de son pantalon tandis qu'il ôtait sa chemise puis son tee-shirt. Il ne quittait pas des yeux mon sillon écarté et je faisais en sorte de faire vibrer ma rosace. Quand il s'est débarrassé de son pantalon, il est resté quelques instants la teub toujours pointée vers moi sortant fièrement d'un slip à poche. 

Il s'est baissé, écarté mes globes, soufflé sur ma fente... c'était délicieusement frais, avant de la lécher du bout de la langue puis du bout d'un doigt.  J'en avais la chair de poule tellement c'était bon et doux.  Après cela, il a passé sa langue sur mes boules et tout au long de ma hampe. Ce mec contrairement à ce que je pensais voire craignais était très doux et attentif à mon plaisir. Il s'occupait de ma chatte avec un vrai savoir-faire ; il savait  et voulait gérer la montée de mon plaisir.  Ma rosace vibrait sous sa langue ou ses doigts et je couinais impatient de le recevoir. 

Quand il a approché son membre, le gland a longuement caressé ma fente,  s'introduisant tout doucement. Mes sphincters s'écartaient à son contact et cm par cm, nous n'avons plus fait qu'un.  Il prenait son temps. Quand ses poils pubiens sont venus chatouiller mes fesses il a commencé à bouger sa queue en moi et c'était comme un feu d'artifice de sensations. Ses va-et-vient étaient tout en retenue et fouillaient chaque recoin de mon tréfonds. C'était tellement jouissif que j'en avais les larmes aux yeux.   Attentif à mon plaisir, il caressait ma cambrure, mes reins tandis que je continuais à branler doucement ma tige ; un long et copieux filet de mouille s'écoulait de ma verge.  

- je voudrais bien vous voir me baiser lui ai-je dit en un murmure. 

Je me suis couché sur le canapé, jambes levées, il s'est empalé de nouveau et a repris ses va-et-vient. Son gland massait ma prostate, ma queue battant contre mon ventre et j'étais par moments proche de l'orgasme. Quand il a accéléré ses coups de reins, j'ai repris ma teub en mains pour la branler au même rythme. Très vite, trop vite j'ai joui sur mon ventre. Il a continué à me baiser, caressant, massant ma prostate ce qui prolongeait mon orgasme. 

Quand il a accéléré vivement ses coups de boutoir, j'ai compris qu'il était lui aussi proche de l'orgasme. 

Enfin, il s'est rapproché de moi tenant m'a jambe dressée et, les yeux dans les yeux,  dans un dernier et puissant coup de reins,  il a jouit. Son jus chaud m'a tapissé les entrailles avec de forts jets. Ses grosses couilles déversant une quantité impressionnante de sperme dans mon anus.

Une fois l’orgasme passé, il s'est couché sur moi. Son corps et son ventre chauds contre moi, son membre toujours en moi.  Quand sa bite a quitté mon anus, son sperme s'est écoulé doucement.  Il m'a passé sa main sur la joue, m'a ’attiré vers lui pour me rouler une pelle. Je n'étais plus,  mais l'avais je jamais été, son jouet?











28 juin 2024

week-ends mardi gras






Avec quelques potes, on avait décidé de passer quelques jours à la Nouvelle Orléans pour mardi gras.  On savait que c'était un vrai délire avec défilés,  déguisements et plein de monde. On avait loué un grand appartement bien placé à un prix astronomique mais qui nous permettrait d'être au cœur des évènements, proche des bars et des clubs et d'éviter ainsi de prendre la voiture. La première journée nous l'avons passée à déambuler à la découverte de la ville . C'était effectivement le grand bazar ! Des milliers de personnes, déguisées déambulant et s'apostropha t les uns les autres. L'alcool et d'autres substances circulant en abondance.  Au fur et à mesure que la journée s'écoulait,  il y avait de plus en plus de "viande saoule" ,les déguisements étaient de plus en plus relâchés et une ambiance plus "sexe" se faisait sentir.  Nous avons fini la soirée dans un  club bondé où  la plupart des participants dansait torse nus et il n'était pas rare de voir des danseurs s'éclater qui en slip, qui en jock-strap. Sans compter les tripotages divers plus ou moins intenses dans des coins plus ou moins isolés..
Pour ma part, j'ai beaucoup dansé mais je n'étais pas d'humeur à fricoter.  Bon peut-être aussi que personne n'est venu me brancher !
Nous sommes rentrés en ordre dispersé à l'appartement et l'alcool aidant, j'ai dormi  comme une souche.
Quand je me suis réveillé,  le soleil était haut dans le ciel.  On ne percevais aucun bruit dans l'appartement,  tous devaient encore dormir.  Je me suis levé. J'avais quand même un peu mal au crâne et très envie d'un café. 
En arrivant dans le living room, quelle n'a pas été ma surprise de trouver à même le tapis,  un gars endormi et entièrement nu. Il avait dû s'endormir juste recouvert d'un grand plaid qui se trouvait à l'origine sur le canapé mais celui-ci avait glissé dans son sommeil offrant ainsi à la vue un corps spendide. Ce gars ne faisait pas partie de notre bande... il avait dû nous suivre à notre sortie de boite et s'être retrouvé seul... Le canapé étant trop petit il a sans doute choisi de dormir sur le sol...
Je le suis fait couler un café tout en admirant ses formes douces et finement musclés.  Il semblait plutôt jeune.  Sa peau était de couleur miel sauf les fesses d'un blanc laiteux. Le gars devait passer pas mal de temps sur la plage. Il dormait en partie sur le ventre et ses jambes  musclées légèrement écartées l'une sur l'autre, mettaient en relief son fessier glabre et son sillon profond. 
Je me suis assis sur le canapé pour siroter mon café tout en continuant à le regarder dormir.  Son cul me faisait fantasmer et j'ai commencé à bander..  j'ai caressé ma teub par dessus mon caleçon.  Le gars bougeait doucement dans son sommeil.  Un court instant j'ai pu apercevoir sa queue.. il bandait dans son sommeil. 
J'ai extrait ma queue de mon caleçon et j'ai commencé à la caresser tranquillement.  
C'est là que le gars s'est réveillé.  Il a dû sentir ma présence car il s'est retourné.  Il m'a regardé un instant étonné puis voyant ma grosse queue dressée devant moi, il a simplement souri et très simplement encore il s'est redressé pour se caler entre mes cuisses. Il me regarde en souriant.
- hmmm, elle est magnifique mec.... puis
avec une main il m'a branlé doucement et de l’autre caressé mes couilles. Je suis devenu encore plus gros et dur, ma bite frétillait quand il a commencé à me lécher le gland.
Ensuite il a passé ses lèvres dessus alors que sa main me branlait un peu plus énergiquement. Il l'a gobée entièrement,  jusqu'à ce que je sente son nez s'écraser sur mon pubis  faisant tournoyer sa langue tout autour de mon champignon. Puis il l'a enfoncé encore un peu plus dans sa bouche tout en s’occupant de mon frein. Je me suis tendu au maximum,  posant mes mains sur sa tête pour lui donner le rythme de la pipe. Je m’enfonçais bien en lui jusqu’à dépasser la glotte, il m’accueillait dans sa gorge avec facilité et gourmandise.

Il a ensuite remonté ses lèvres le long de ma tige, titillé mon gland avec ses dents et sa langue.  Pour enfin me sucer comme un déchaîné.
 J'ai ôté mon tee-shirt et il m'a aidé à ôter mon caleçon.  Nous étions l'un et l'autre entièrement nus,  lui à genoux entre mes  cuisses faisant d'energiques va-et-vient sur ma grosse teub, moi avachi sur le  canapé grognant de plaisir.  La bande se réveillait lentement.  Certains potes étaient passés se préparer un café et étaient repartis,  d'autres restaient là à mater tout en sirotant leur café. 
J'avais envie de ce mec,  de son cul, de sa peau douce,  je l'ai soulevé vers moi et je l'ai embrassé goulûment, corps contre corps, nos langues se mélangeant fermement. Je pouvais enfin le caresser, voir sa tige fine et longue dressée. Je pouvais enfin caresser ses fesses si douce et sa rosace tremblante  
On s'est regardés un instant comme pour nous assurer que c'était bien ce que l'on voulait tous deux et il s'est mis à genoux sur le canapé, cuisses écartées; j'ai pu enfin goûter à son cul. j'ai longuement caressé du bout des doigts et de la langue sa rondelle frémissante.  Il couinait impatient. 
Il s'est subitement levé, 
- faut que j'aille aux toilettes, dit-il en minaudant 
Je me suis retrouvé toujours à poil sur le canapé, queue toute droite, provoquant l'hilarité des copains qui mataient...
Heureusement il est revenu peu après,  feintant d'ignorer les potes. 
Il s'est mis à califourchon sur moi, m'a embrassé avec fougue et en guidant ma verge, il s'est empalé dessus.  Il a eu un peu de mal car celle-ci est plutôt dans les grandes tailles mais, quand enfin,  il s'est retrouvé assis sur mes cuisses,  il avait tout encaissé. 
Il a entamé de rapides va-et-vient, je l'aidais en le soulevant des deux mains.  Nos gémissements ont fini par réveiller toute la maisonnée car presque tous les potes étaient là à mater en sirotant leur café,  certains se tripotant la queue...
Sans me séparer de lui,  je l'ai porté jusqu'au sol et je l'ai baisé,  jambes levées il se branlait la queue au même rythme que mes coups de reins.  
Quand il a éjaculé sur son ventre,  j'étais proche de l'orgasme.  Je me suis retiré, l'ai attiré vers moi et j'ai envoyé sur son visage une quantité phénoménale de foutre. Sous les applaudissements, il a léché et nettoyé ma verge avant de m'embrasser  une dernière fois. 
- allez mes salauds,  le spectacle est terminé ! Et toi. Ai-je dit à la douche !