18 octobre 2024

Recit tantrique 4, danse des sept voiles


Les participants s'étaient égayés un peu partout dans la propriété.  Il faisait plutôt beau et beaucoup n'avaient pas hésité à rester ou à se mettre à nu.  C'était charmant.  Des groupes faisaient des couronnés de fleurs , s'en recouvraient les cheveux et couraient en dansant dans le jardin en des rondes joyeuses.  C'était marrant et tendre de voir ces corps si différents en harmonie les uns avec les autres.  D'autres groupes se formaient à la vue de tous ou un peu dissimulés par de vagues fourrés. Caresses,  baisers,  tendresse, sourires,  liberté,  bonheur,  semblaient les maîtres mots de cette charmante après-midi. 



Je me suis arrêté un moment près d'une serre dans un coin du jardin.  Un beau gars moustachu s'était positionné près d'un vieux banc en bois,  cuisses écartées.  Tout sourire, il attendait simplement que quelqu'un vienne le visiter. Il était beau et j'ai tout de suite senti et vu ma verge se déployer.  J'étais disposé à le contenter quand un beau rasta s'est approché et après un échange de sourires éclatant, à entrepris de le satisfaire.  Le beau mec m'a souri comme pour me dire "dommage " et m'indiquant un autre banc,  m'a invité à regarder et peut-être même à patienter... Je me approché et un autre gars était déjà là pour regarder ou simplement pour attendre son tour. Les deux gars ont commencé à baiser et c'était beau de voir ces deux corps si différents,  ces peaux mate et blanche se caresser et si joliment contraster.  Le rasta avait une longue et fine verge brune qu'il enfonçait délicieusement et entièrement dans le tréfonds du moustachu qui hurlait et encourageait sans retenue son partenaire. 
À la fin, alors que j'hésitais encore à me joindre,  un grand black est arrivé et j'ai compris qu'il serait le suivant.  J'ai poursuivi ma promenade,  la bite raide battant contre mon ventre. 


Un grand gaillard arrivait en face de moi.  Nu, genre bear, très velu.  Quand il s'est retrouvé tout près de moi,  son sourire était tellement hypnotisant,  enveloppant que je me suis arrêté net.  Il s'est encore approché et sans un mot,  les yeux toujours dans les miens,  sans se départir de son éclatant sourire,  il a pris ma queue en main. 
Nous nous sommes embrassés,  c'était tendre.  Je le sentais une petite chose dans ses bras musclés.  
Son corps était à la fois terriblement dur et soyeux.  J'étais fasciné partout la beauté et douceur rosée de sa peau 
Je le suis très vite retrouvé collé contre un arbre, sa bouche entre les fesses,  sa barbe drue frottant contre ma peau. 
Des gars passaient et nous souriaient et même,  se doutant de la suite des événements,  un gars nous a déposé une couverture sur le sol !
Il m'a pénétré doucement et c'est ainsi que nous avons commencé une danse sauvage contre cet arbre majestueux. Quand nous nous sommes couchés sur la couverture si opportunément offerte, j'ai pu voir ce corps massif se jeter à chaque coup de reins sur moi ; enfonçant son dard bien au fond de moi.  Son bassin,  ses couilles claquant contre mes fesses.  Je serrais bien fort mes sphincters autour de sa verge veineuse ; Il grognait fort, très fort et moi je hurlais de plaisir jusqu'à ce que mon sperme inonde mon bas-ventre et qu'il remplisse mon tréfonds de sa semence. 
Nous sommes restés longtemps enlacés.  Je regardais le ciel au dessus de moi,  se couvrir de beaux nuages.  J'aimais garder sur moi le poids de ce corps brûlant. 




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