02 mars 2021

Les hétéros s'amusent.... (histoire reçue) -1




Je suis exceptionnellement en déplacement pendant 2 nuits, plus d'une heure et demie de voiture de chez moi m'ont contraint à prendre un hôtel. Je n'aime pas découcher car cela veut dire manger seul au restaurant, s'ennuyer dans la chambre d'hôtel, bref un moment pas très agréable. Surtout que ce moi de mai est pluvieux et que mes 2 soirées s'annoncent moroses.

Je me présente, 1m83, 82kg, brun aux yeux verts, on me dit assez mignon et plutôt "bien doté". 
Tout commence donc après ma journée de travail, je rentre à l'hôtel, prend la clé de ma chambre et m'installe. J'enlève le costard, prend ma douche, m’habille plus cool et descend à la réception demander un resto sympa pour ce soir. 5 minutes à pied, parfait pour moi, marre de la voiture. Je mange donc dans cet établissement chaleureux, le serveur est très sympa, habitué à voir des commerciaux toute la semaine, et qui discute facilement. Il est assez mignon et d'ailleurs une femme à 2 tables de moi n'hésite pas à lui faire du gringue sans retenue. Nous sommes 4 ou 5 seulement, des tables d'une personne, bref un peu glauque. Le repas fini, je paye à côté d'un homme d'une quarantaine d'année qui explique au serveur qu'il est au même hôtel que moi. Le serveur lui dit d'ailleurs et l'inconnu se tourne vers moi, tend sa main :
- bonsoir, vous aussi vous dormez à côté ?
- bonsoir, oui effectivement.
- commercial ?
- non dans l'informatique, et vous ?
- commercial dans la pharmacie, je sais, les labos, c'est mal, mais je m'en sors bien et j'aime bien rencontrer les médecins, on a des consultations gratuites comme ça, dit-il en riant
Je souris, il a l'air très sympa. Je paye, l'inconnu m'attend dehors
- temps pourri hein ? au fait moi c’est Benoît
- Olivier, enchanté
- on rentre ensemble, pour pas faire toute la soirée seul
- oui, c'est un peu pesant, je suis pas habitué, je sais pas comment vous faites pour faire ça toute l'année
- on s'habitue, on prend ses marques, on choisit mieux ses hôtels, les restos comme celui là avec des serveurs sympas, qui discutent sans trop en faire, c'est chiant au départ, mais après ça devient la routine. Vous ne dormez pas à l'hôtel d'habitude ?
- non j'ai une installation plus longue que d'habitude et je dois rester sur place, 3h de route aller retour par jour, ça fait long
On arrive à l'hôtel, et la compagnie de Benoît est agréable, l'hôtel n'est pas luxueux mais il y a un petit coin bar, et on s'y installe pour continuer la soirée. J'apprends qu'il est célibataire depuis quelques mois seulement après plusieurs années de concubinage avec des copines successives, qu'il vient du nord, qu'il est assez sportif et qu'il est comme moi pour 2 nuits ici. Nous bavardons pendant presque 2 heures et il est temps de monter dans la chambre.
Nous sommes au même étage, et l'ambiance est franchement détendue en montant les escaliers :
- bonne nuit, lui dis-je
- il manque juste une petite pipe et une bonne baise pour une soirée parfaite, non ?

- c'est sûr qu'une petite pipe ferait pas de mal
Un petit silence s'installe, nous nous sommes arrêté devant sa chambre, on se regarde dans les yeux, je sens des picotements dans mon dos et surtout dans mon caleçon. Je ne sais pas trop quoi faire, je suis vraiment mal...
- tu veux entrer 2 minutes?
- oui, je réponds sans hésitation aucune et à ma grande surprise; je me sens différent d'un coup, l'excitation monte...
On entre dans sa chambre, il s'assoit au bord du lit, me sourit. Je m'approche de lui, le regardant dans les yeux. Il a un beau visage, des yeux marrons/verts magnifiques. Il tend sa main et me touche la cuisse, le silence est complet, seules nos respirations se font entendre
- pour la pipe ça.... ça peut s'arranger si tu veux, me dit-il fébrilement

- c'est tentant, je pourrais surement ... te sucer aussi après si tu veux
Il remonte sa main et touche mon sexe à travers le pantalon, je bande déjà dur, il caresse mon vit bandé, me branle doucement en me regardant. Il défait ma ceinture, ouvre ma braguette et mon pantalon descend sur mes chevilles, il entre sa main par une jambe de mon caleçon et caresse mes bourses. JE suis aux anges. Il descend mon caleçon, que j'enlève complètement avec mon jean, et me retrouve à moitié nu devant un homme que je connais à peine  depuis 3 heures.
- c'est une première pour moi , me dit-il en prenant mon sexe en main
 Il me branle doucement, c'est bon, il est doux. Il regarde fixement ma queue, me regarde. Il hésite, je sens chez lui un sentiment mitigé d'excitation et de dégoût d'être avec un autre homme. Moi même, je suis tenaillé entre l'envie de mettre ma queue dans sa bouche et le fait d'être là avec un homme me branlant.
- désolé, je sais plus trop, bafouille-t-il tout en continuant sa masturbation
- pas de problème, le but est de prendre du plaisir, si tu n'en prends pas on peut stopper là
- je ne sais pas si j'ai déjà été plus excité que maintenant, et en même temps je suis un peu perplexe, tenir en main un autre sexe que le mien, c'est bizarre
- pas d'inquiétude tu fais ça très bien, lui dis-je en rigolant pour détendre l'atmosphère
- c'est vrai, ça te plait ?
- bien sûr, c'est excitant de voir quelqu'un branler ma queue comme tu le fais
- tu voudrais que j'accélère ?
- oui



Il commence à aller un peu plus vite et me branle un peu plus franchement, son regard est passé du doute à l'excitation totale. Il arrête son mouvement, ouvre sa bouche et embrasse doucement mon gland. Il hésite à nouveau, regarde ma queue avec envie mais ne semble pas convaincu. Il ouvre doucement sa bouche et introduit mon gland, donne de petits coups de langue, puis enfonce plus profondément mon sexe qui disparaît à moitié. Je sens cette sensation de moiteur et de chaleur combinée qui me bouleverse tant.

  Il est un peu maladroit au départ mais rapidement, sa pipe devient plus experte, je suis transporté de bonheur de sentir sa bouche aller et venir sur ma queue, il sort de temps en temps mon sexe pour lécher mon gland, aspirer mes couilles, puis reprendre ma bite en bouche. Au bout de quelques minutes, je suis au bord de l'explosion :
- arrête, je vais jouir
Je sors mon sexe de sa bouche, et le pousse pour l'allonger sur son lit. Je retire son pantalon, son boxer déjà  maculé de mouille et découvre un sexe magnifique, environ 20 cm, surmonté d'un beau gland déjà luisant. Je l'enfourne rapidement et le suce avec délicatesse. Il gémit, me regarde pendant que je pompe sa belle bite. Je deviens dingue, j'ai envie de sentir son foutre dans ma bouche, envie de le faire jouir. Je sors sa queue, prend ses couilles et les aspire et les lèche. Je descends ensuite et je lèche la partie entre son anus et ses couilles.

- c'est bon continue

je descends, aidé par son bassin qui se soulève et arrive sur son petit trou tout rose, que je lèche doucement, presque amoureusement. Je reste un long moment sur son oeillet, seuls se font entendre ses gémissements. Je passe mon doigt sur sa rosette et l'enfonce doucement. Je commence les va-et-vient.

- c'est bon, gémit-il
Je mets un deuxième doigt et accélère, il me regarde dans les yeux en se pinçant les lèvres. je prends son sexe en bouche tout en le doigtant, j'ajoute même un troisième doigt facilement.
- oui, oui oui je vais jouir.



Il crie, et expulse son foutre dans ma bouche, plusieurs jets abondants que je garde en bouche, puis avale en le regardant et en embouchant son sexe jusqu'à le nettoyer complètement. Je sors mes doigts délicatement. Je m'allonge à ses côtés, il semble vidé. Il me regarde en souriant puis me dit :

- faut que je te fasse pareil, c'est génial
Il descend donc me lécher la rondelle  et reste longuement sur mon trou, enfonçant sa langue en moi, je sens le bout de sa langue flatter les bords de ma rosace, jouer avec, une chaleur inconnue monte en moi, et lorsqu'il introduit son doigt, je suis proche de l'extase, mon sexe palpite et je sens que je pourrais jouir sans me toucher. Il a maintenant 2 puis 3 doigts en moi, me baise littéralement avec. Je me retiens de crier, j'ai envie de hurler mon plaisir, surtout qu'il se jette sur mon sexe et je jouis presque immédiatement dans sa bouche, profitant de son regard lubrique pendant que lui aussi avale ma semence.
J'ai les jambes qui flageolent, je suis vidé. Je ne pense pas avoir déjà joui autant, peut être pas en quantité de foutre, mais la sensation est une des plus fortes que j'ai jamais ressentie. Nous restons allongés cote à cote un petit moment, puis je me lève, me rhabille. Il est debout, nu devant moi, je caresse son sexe et lui souhaite bonne nuit. Demain, il y a du travail

- à demain peut être, lui dis-je
- si tu es d'accord, j'aimerais bien te revoir oui
- j'ai passé un super moment, j'avoue que j'avais jamais pris un tel pied
- pareil pour moi, en plus après demain je n'ai que la route à faire, on aura plus de temps demain soir
Son sexe durcit à nouveau, et je ne peux me résoudre à le laisser comme ça
- déjà prêt ?
Il sourit, je me penche et commence à lécher ses tétons, tout dressés et superbes que j'avais laissé de coté jusqu'ici. Je le branle franchement en passant d'un téton à l'autre, écoutant son souffle fort m'indiquant le plaisir procuré par cette pratique. Je ne peux plus me retenir, et je me mets à genoux pour aspirer à nouveau cette superbe queue, je la lèche, l'enfourne et tente même une gorge profonde. Je le suce de longues minutes, alternant le rythme, les regards appuyés comme la reine des salopes que j'ai l'impression d'être à ce moment. Je passe ma main derrière ses fesses et flatte à nouveau son trou, il écarte les jambes et me laisse introduire à nouveau un doigt. Il se retourne, se penche en avant et me présente son cul, que je lèche à nouveau sans retenue, flattant de la main ses bourses pendantes et branlant par intermittence cette queue bandée à l'extrême. Je le doigte directement avec deux doigts, il gémit. Je me relève et baise son troufignon avec mes doigts, regardant cet homme penché en avant, appuyé sur son lit, totalement offert. Je baisse mon pantalon et ma queue frotte ses fesses.

- encore, encore, vas plus vite, mets un autre doigt
Je m'exécute et accélère avec maintenant 3 doigts en lui, j'ai enlevé mon pantalon, mon t-shirt et suis presque nu derrière lui.
Il s'avance, se met à 4 pattes sur le lit, je le suis et m'agenouille à coté de lui, il tourne la tête et j'approche ma queue qu'il prend en bouche. JE ne sais pas combien de temps tout cela a duré mais j'ai l'impression que le temps s'est arrêté, je me revois à genoux à ses coté, ma bite dans sa bouche et mes doigts allant et venant dans son cul.
- tiens, me dit-il soudain
je regarde, il me tend une capote
- vas-y, j'en peux plus

Je retire mes doigts, me positionne derrière lui, mets la capote et je présente mon gland devant son cul ouvert. Je rentre doucement, de peur de lui faire mal, mais aucune résistance ne se fait sentir, je suis rapidement jusqu'à la garde en lui. Il soupire, dit que c'est bon.  j'adore ça !! Je commence lentement puis accélère le mouvement, je le baise franchement, écoutant ses gémissements et ses encouragements à le prendre plus fort. Je me retire, le mets sur le dos, écarte largement ses cuisses et fermement  arrimé à ses mollets, je m'introduis à  fond entre ses reins tandis que  frénétiquement, il se branle en couinant . Il éjacule une quantité impressionnante de sperme qui va se loger jusque sur l'oreiller à coté de sa tête. Je continue encore quelques minutes puis je remplis la capote en me forçant pour ne pas crier et réveiller tout l'hôtel.


Après quelques instants de caresses, je me rhabille, et sors de la chambre, entre dans la mienne et me douche, puis je me couche sans arriver à dormir tant l'excitation est encore présente.

La journée de travail se passe et j'ai l'impression de bander continuellement. Je rentre à l'hôtel, le croise, on se sourit, on décide de manger à nouveau dans le restaurant à coté puis nous nous rendons dans sa chambre.
- ce soir, c'est à toi de connaître le bonheur de se faire prendre me dit-il
Un beau programme en perspective. 
 Nous sommes dans sa chambre, je sais que je vais y passer ce soir L'envie est là, c'est le principal.
Il ferme la porte derrière moi, vient vers moi, me sourit. Sans un mot, je m'agenouille et j'ouvre son jean

— Ce soir, j'ai pas envie que tu me sodomises, je veux que tu me baises.

Je descends son boxer, sa queue est déjà bien raide et je lèche sur toute la longueur cette bite que je veux bien dure en moi. Je le regarde dans les yeux et commence à le sucer, doucement. J'ai envie de prendre mon temps. Il enlève sa chemise, il est nu devant moi, je me relève et suce doucement chacun de ses tétons. Il gémit, enlève mon t-shirt.
— Je te veux nu, enlève tout.


Je m'exécute et me retrouve en tenue d’Adam devant lui. Il me retourne, se plaque contre mon dos. Je sens sa queue sur mes fesses, sa main se balade sur mon ventre, palpe mes couilles, triture mes tétons. Il se frotte doucement contre moi. J'adore ce moment, il m’embrasse dans le cou, prend mon sexe en main et me branle doucement.
— C'est bon, continue.
— Tu aimes quand je te branle et que je frotte mon sexe sur tes fesses ?
— J'adore ça, t'arrêtes pas.



Je mets ma main derrière sa nuque et me sens offert complètement. Je ne réfléchis pas et je l'embrasse, il me rend mon baiser, fougueux, un baiser d'amants prêts à tout pour se faire du bien l'un à l'autre.  Son gland est maintenant sur mon anus, et j'ondule pour exciter encore davantage mon partenaire. Je me sens dilaté et prêt à le recevoir. Le moment est ultra sensuel, il est contre mon oeillet, je le veux en moi, je veux pousser mais il n'a pas encore enfilé de capote.

— Penche-toi, me souffle-t-il en impulsant le mouvement.
Je pose mes mains sur le petit meuble qui est là, je me regarde dans la glace, et c'est à peine si je me reconnais, mon regard est différent. Il se met à genoux, je sens son souffle sur mes fesses et soudain sa langue sur ma rosette qu'il lèche doucement, presque amoureusement. Je ferme les yeux, et profite de ce moment divin. J'entends le bruit du préservatif que l'on sort de son étui, il le place sur son sexe et se remet contre moi. On se regarde dans le miroir, il place son gland sur mon trou et j'ondule comme plus tôt. Doucement je force pour laisser entrer son gland tout en le regardant dans la glace. Je mordille mes lèvres quand les premiers centimètres font leur entrée, sans douleur. 

— Empale-toi doucement sur ma queue, vas-y baisse-toi.
Je veux ressentir le mieux possible cette pénétration et je descends doucement sur cette queue qui me remplit de plus en plus. Il est bientôt entier en moi et le regarder dans le miroir, nos regards extatiques tandis que je m'offre à lui est un  beau moment de sexe. Après quelques secondes sans bouger, je l'embrasse à nouveau puis ondule doucement, je sens son gland contre ma prostate et les sensations sont inouïes. Je commence alors des va-et-vient lents, de plus en plus amples et sa queue ressort presque lorsque je m'empresse de la remettre jusqu'au fond. J'accélère et me sert de sa queue comme d'un gode, il ne bouge pas, me laissant le branler avec mon trou tout serré.

— C'est ça, baisse-toi bien, tu aimes ma queue au fond de ton cul, hein ? Tu te remplis tout seul

Il me prend alors les tétons et les pince tandis que je commence à franchement me défoncer avec son chibre. C'est le moment qu'il choisit pour commencer à bouger, il reprend le rythme là où je l'avais laissé, c'est à dire assez élevé et il me prend franchement. Il appuie sur ma nuque et me force à me pencher, j'ai les mains sur le meuble, le corps à 90 degrés. Il me prend par les hanches et me baise maintenant à grands coups de reins, enfonçant sa queue au plus profond de mon cul avec une rapidité qui me fait perdre la tête.
— Oui, défonce-moi comme ça, plus fort.
Il accélère encore le rythme, j'ai du mal à tenir debout. Soudain, il sort sa bite et me dit :
— Mets-toi à 4 pattes sur le lit.
Je me retourne, lui fais face, l'embrasse et me dirige vers le lit en lui prenant la bite :




— Fais de moi ce que tu veux, baise-moi comme tu veux, fais-moi jouir.

Je m'installe au bord du lit, il s'approche, caresse tendrement mon dos, présente son vit et me pénètre doucement, puis rapidement me défonce sans retenue, j'ai la tête dans la couette, je ne vois plus rien, je ressens juste tout le plaisir que me procure la pénétration. Au bout de quelques minutes, il avance sur le lit, me pousse à me mettre à plat ventre et continue à me prendre susurrant à mon oreille :
— Ah ce cul, j'adore te défoncer. Tu sens comme je bande pour toi, comme je suis dur en toi. J'vais te baiser toute la nuit, te remplir de foutre et te reprendre encore et encore.

Il se retire, s'allonge sur le dos, je m'empale sur lui.

— Vas-y, fais-moi jouir avec ton cul, tu me rends dingue.
Je m'enfonce totalement son sexe et dessine de petits ronds dessus, il a les yeux fermés, il gémit, je pose mes pieds à plat sur le lit et m'encule comme une actrice porno, il prend mon sexe en main et me branle, je jouis comme jamais, envoyant de grandes salves de foutre jusqu'à son visage, en hurlant. Je suis chancelant quand il place ses mains sur mes fesses et accélère quelques secondes puis jouit en hurlant lui aussi, remplissant la capote de sperme tandis que je sens les palpitations de son sexe en moi quand il décharge. Je me relève, retire la capote et nettoie son sexe qui mollit, effaçant toute trace de jouissance, me délectant de son sperme salé.

Je ne me reconnais plus, je ne suis qu'une bête avide de sexe et de foutre. Je ressens déjà un vide au fond de moi.

— Tu m'a épuisé, me dit-il, c'était génial.
— Pour moi aussi, un pied incroyable.
D'ailleurs, la sensation est telle que j'ai besoin de quelques minutes pour m'en remettre. J'ai envie de prendre une douche, je me dirige vers la salle de bains et Benoît me dit :
— T'as une salle de bains dans ta chambre, tu ne vas pas squatter la mienne quand même ? dit-il en rigolant.


— Et si, impossible de sortir comme ça !

On rigole, et je me mets sous l'eau, quelques secondes plus tard, il est là aussi, nos sexes se touchent et recommencent à durcir. Benoît les prend ensemble et nous branle, nos queues l'une sur l'autre. C'est bon comme sensation de sentir à la fois le sexe dur d'un homme contre le sien et le mouvement de masturbation qui est le même. Il me regarde dans les yeux, avec un petit sourire. Il est doux et m'embrasse tout en continuant la masturbation. Il lâche nos sexes et se met à genoux, enfourne ma bite et me suce tendrement. Il avale lentement ma queue en entier, la retire de sa bouche, lèche mon gland, puis doucement ravale tout mon chibre, sensation divine, plaisir intense. Puis il se relève après quelques minutes, je lui rends la pareille, m'appliquant à entrer son sexe le plus possible dans ma bouche, lentement, il caresse mes cheveux, soupire, je le branle en léchant son gland et le regarde avec toute l'impudeur d'une chienne en chaleur. JE me relève, prend du gel douche et entame un nettoyage de ses parties, soupesant doucement ses bourses, enduisant son sexe de mousse, je fais de même avec tout son corps, il se tourne pour que je lui savonne le dos, je m'attarde sur ses fesses, passe ma main dans sa raie, puis continue à laver cet endroit jusqu'à enfoncer un doigt dans son antre, puis 2. J'attrape son sexe avec ma main libre et le masturbe en même temps, on n'entend que l'eau et sa respiration forte dans la douche. Il ne va pas tarder à jouir, j'arrête tout, sors mes doigts et lui dit :
— Je suis encore sale moi.
Il prend le gel douche et me lave tout le corps, s'attardant longuement sur mon gland, puis mes fesses, 2 doigts entrent directement dans mon rectum, mais il les retire à peine je commence à souffler de plaisir, il se colle à moi, et nous profitons de l'eau qui coule, son sexe contre mes fesses. Il tend le bras hors de la douche, prend un préservatif, l'enfile et se remet en position. Son gland rentre sans effort en moi. Il fait de petits mouvements doux, je sens son sexe au fond de mon corps mais je n'ai pas envie de me faire défoncer, juste de le sentir en moi. J'ondule doucement, il accompagne mes mouvements, la pénétration est incroyable, sensuelle et douce. Il se retire, cherche un autre préservatif et me le tend. Je l'enfile, et nous échangeons nos places, il vient dos à moi, et doucement se frotte et mon sexe entre en lui :
— Depuis mon réveil ce matin, j'ai envie de te sentir en moi.
Je le laisse bouger, il va lentement, sors mon sexe, le remet en lui, accélère petit à petit, puis se penche en avant :
— Prends-moi bien s'il te plaît.
Je commence les va-et-vient tout doucement, je fais claquer mes couilles contre les siennes, m'enfonce le plus loin possible et petit à petit me déchaîne dans son cul.
— Attends, me dit-il, vient.
Il sort de la douche, se place face au miroir, enlève la buée :
— Je veux que tu me baises dans cette position mais je veux te voir.
Je me remets en lui, et je le prends de plus en plus fort, le regardant dans les yeux, son visage est beau quand il prend du plaisir anal, et j'alterne les accélérations et les moments calmes pour admirer ses différents faciès de plaisir. La jouissance monte, je sens que je ne vais pas tarder, je lui dis, il se relève, se retourne, enlève ma capote et me branle :


— Jouis sur moi, donne-moi ton plaisir.

Il me branle, me suce et rapidement, je lui envoie des giclées sur la langue, le visage et le torse. Il nettoie mon sexe, se relève et m'embrasse goulûment. Nous retournons sous l'eau, je le suce et le fais jouir dans ma bouche, puis nous nous lavons en rigolant. D'un coup, on a l'impression d'être deux amis de longue date qui discutent alors que 5 minutes avant, je l'enculais. On rigole, pensant à nos femmes, à notre vie sexuelle qui est bouleversée, au plaisir immense pris.





Une fois séchés, rhabillés, on n'a pas envie de se quitter, on regarde un film ensemble puis, dès la fin de celui-ci, une envie irrésistible nous pousse à un 69 endiablé, durant lequel nous savons que c'est le dernier attouchement ensemble. On se doigte, se suce, se lèche. Les mots crus fusent :
— Vas-y bouffe moi les couilles.
— Donne-moi ton foutre, je veux te boire une dernière fois.
— Tu sens mes doigts comme ils te remplissent.

Je me mets à quatre pattes :
— Prend-moi, baise-moi une dernière fois
Il met un préservatif et me prends fort, sans retenue, comme une salope que je suis, je lui dis que je suis sa pute, il me défonce, puis il veut que je l'encule, une nouvelle fois je le pénètre, en levrette, férocement. La jouissance arrive, il s'allonge sur le dos, je le chevauche, lui plaçant mon gland dans la bouche et il me branle jusqu'à me boire entièrement, tout mon sperme terminant dans sa bouche. Je lui demande comment il veut jouir, il me met allongé sur le dos, se place entre mes jambes et se masturbe, inondant bientôt mon ventre de semence chaude.
On se croise une dernière fois le lendemain matin, on échange nos numéros en espérant se revoir bientôt. J'ai le cœur serré car j'ai encore envie de prendre du plaisir avec lui et en même temps, je sens comme un soulagement car je ne sais pas si j'ai envie de vivre une aventure sur le long terme avec un homme.
Je rentre chez moi le soir, ma femme est là, radieuse, je tente de lui faire l'amour mais elle a mal au dos, le lendemain mal au ventre, etc.
Et je regrette de plus en plus Benoît et la simplicité et la fougue de nos rapports.




2 commentaires:

  1. J'aime quand un cul vient s'assoir sur ma bite : http://drawingwithmyfrienddick.blogspot.fr/2016/06/posistion-face-face-buto.html

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