Patrick m’invite à prendre ma guitare avant de le rejoindre chez lui : Pizza, bières et musique. soirée entre potes quoi!
Plusieurs bières et
une pizza plus tard, les classiques d’Eagles, Pink Floyd, Led Zep et
autres Clapton devenaient plus accessibles à l’autodidacte que je suis. À
la douce lumière de son salon, j’admire son doigté, la rapidité de ses
gestes. La facilité avec laquelle il enchaîne les riffs et part en solo
me laisse rêveur.
— Tu as une bonne oreille ! s’exclame-t-il. Allez, on s’en grille une et on reprend ?
— Volontiers. Si tu as du bon café au passage, je suis preneur.
— C’est parti !
— Pat, comment se fait-il que tu sois toujours célibataire ?
— Disons que j’ai du mal à me fixer. J’aime bien être libre. J’ai vécu
quelques années avec une femme. On a même failli se marier.
— Et pourquoi ça ne s’est pas fait ?
— Vie de bohème ! Pas facile de vivre de sa passion. Soit tu es avec une
fille qui vit à ton rythme, soit tu n’es jamais en phase. Et puis on a
tellement de tentations... Je commence à peine à avoir des revenus
confortables. Puis les à côté avec mon groupe, ce n’est pas simple.
— Comme les marins, alors : une femme dans chaque concert ?
— C’est un peu ça, je prends la vie un peu comme elle vient. Toi non plus, tu n’es pas fixé. Non ?
— Non, un peu à gauche, un peu à droite, parfois... au milieu. dis-je un peu gêné, sentant le rouge monter à mes joues.
Revenant s’asseoir à côté de moi, il dépose les cafés sur la table basse
du salon ; le sourire qu’affiche Patrick ne laisse pas beaucoup de
place au doute : il a compris le sens de ma réponse. La musique en fond
comble le blanc que crée ma réponse. Puis il rompt enfin le silence.
— Il y a des choses qui ne sont pas faciles à dire, hein ?
Gêné, déstabilisé, j’attrape ma tasse, ne sachant pas si je vais pouvoir
encore parler. Je m’en veux. Une fois de plus, mon impulsivité m’a fait
me dévoiler trop vite. Peut-être était-ce illusoire de croire que
j’avais “la moindre chance” avec ce beau mec.
Il me demande quels sont “ces gauche- droite", comment c’est venu, ce qui
m’attire chez un homme. Au point où j’en suis, je me lâche et me livre
ouvertement. Perdu pour perdu, autant lui dire la vérité. Le café cède
la place à un whisky bien tassé, son écoute est ponctuée de questions,
de sourires, voire même de rires parfois. Mes fantasmes d’ados exposés,
il désire savoir comment “j’y suis venu”, pourquoi j’aime tant sucer...
De son côté, s’il confie avoir assez souvent reçu des avances, il n’a
jamais eu l’occasion de “sauter le pas” — soit par manque de
disponibilité, soit parce que l’offre n’était ni fraîche, ni
sympathique, voir carrément repoussante—, mais que là... la façon dont
j’en parle lui donne méchamment envie. La bosse que fait son pantalon ne
ment d’ailleurs pas.
L’invitation semble claire, je comprends que c’est le moment. Je me
rapproche de lui pour glisser ma main vers cet entrejambe désiré,
autant en proie à l’excitation qu’au doute : comment est-elle ? Ce
premier contact, même à travers le tissu est des plus prometteur.
Face à lui, confortablement posé sur ses cuisses, mes doigts se jouent
de ses boutons de braguette. Lorsque les pans de toile s’écartent, son
sexe reprend son aise dans son caleçon en le déformant...
significativement. Ses fesses se soulèvent pour que je puisse faire
glisser ses vêtements.
Elle s’offre alors enfin à ma vue, épaisse colonne dépassant toutes mes
attentes, balançant au-dessus d’un ventre à peine velu et affolant déjà
mes sens. D’une main caressante, je la découvre, chaude, rigide,
gonflée, avant que mes doigts ne l’emprisonnent et l’attire vers moi. Je
la tiens ainsi quelques secondes, réalisant l’étonnante circonférence
de son vit, décalottant complètement ce gland somptueux. Comme par défi,
le méat semble me fixer avant de livrer bataille à ma langue ;
l’adversaire, il faut le reconnaître, est vraiment de taille.
Son odeur musquée parvient à mes narines comme je me baisse pour
l’embrasser, le lécher, en apprécier le goût et la texture.
Méthodiquement, je récupère son gros paquet dans ma main libre en le
masturbant lentement de l’autre. Telles les lèvres d’un vagin, les
miennes s’écartent pour accueillir Patrick en moi, pour une toute
première fois. Car pour chaque partenaire, il y a “une première fois”.
Ma langue à du mal à circonscrire la tête de mon imposant mâle tant ma
bouche en est remplie. Avec une infinie tendresse, je descends lentement
à l’assaut de sa hampe, prenant bien le temps de le déguster, changeant
l’inclinaison de ma tête entre l’aller et le retour. En parfaite
synchronisation, mes mains cajolent ses bourses et le branle tendrement,
bande à rompre, dur comme l’acier. Le temps de courtes pauses, ma
langue, large et baveuse, remonte toute la hampe pour venir lécher son
nœud parfaitement dessiné. Je prends tout mon temps pour l’observer, la
flatter, lui dire qu’elle m’affole, qu’elle est un rêve incarné, que je
vais prendre un pied terrible à le faire jouir.
Mieux que des mots, en réponse, Patrick pose une main sur ma tête. Cette
main ne signifie pas ma soumission. Par ce geste, il m’indique que le
dernier rempart de sa résistance à s’offrir à un homme vient de céder.
Il est à ma merci. Car une fellation n’est pas que donner du plaisir ;
c’est avant tout donner l’illusion que l’homme gère une situation, alor
s qu’elle lui échappe totalement.
s qu’elle lui échappe totalement.
Je l’aide à retirer son pantalon pour être plus à mon aise. Il en
profite pour avancer son bassin, m’offrant un peu plus d’amplitude pour
aimer son sexe. Son bassin réagit au rythme de ma succion, engageant de
lui-même encore plus loin en moi le volumineux gland dont il me tarde de
savourer l’inéluctable défaite.
De sa main libre, il me présente ses bourses lorsque je redescends
m’occuper d’elles. Elles sont aspirées à tout de rôle, irradiant ma
muqueuse de leur goût musqué. Mes dents profitent de leur souplesse pour
les mordiller gentiment, excitant encore davantage mon bonhomme.
Il souffle, râle, étreint mes cheveux, se tortille sur son séant, son
bel organe totalement soumis à mes caprices. J’enserre sa hampe entre
mes lèvres, redoublant d'activité. Il me crie de faire attention, car il
est sur le point de jouir. Loin de m’effrayer, j'accélère encore le
mouvement, plus que déterminé à recevoir sa récompense ultime : son sperme . Car recevoir la semence d’un homme est un cadeau.
Le bassin tendu vers moi, le gland gonflé à l’extrême propulse une
violente giclée contre mon palais, remplissant complètement mes joues.
Je déglutis juste à temps pour recueillir un second jet, presque
immédiatement suivi d'un troisième tout aussi copieux. Devant une telle
abondance, une partie s'écoule hors de ma bouche, ce qui n’est pas mon
habitude. Deux autres salves giclent en dilatant ce nœud qui semble
inépuisable. Pourtant habitué à recevoir le sperme de mes amants,
Patrick me surprend par la puissance et la quantité de son éjaculation,
je devrais m’y habituer, apprendre à mieux gérer. S’il m’en donne de
nouveau l’occasion.
À la saveur de son foutre s’additionne sa puissante odeur. Perché sur
mon petit nuage, je savoure les sucs de mon homme, récupérant de la
langue l’excédent s’écoulant sur sa hampe et sur mes doigts. Foudroyé,
plus aucun son n’émane de sa personne. Seuls son souffle et sa queue à
peine bandée dans ma main trahissent l’intensité de son orgasme.
Je le garde en moi le temps qu’il finisse de décroître, l’esprit
préoccupé par la crainte de sa réaction une fois qu’il sera revenu à la
réalité. Voudra-t-il en rester là, telle une “vulgaire expérience”...
Acceptera-t-il encore mon amitié...
— Je n’aurais jamais pensé prendre autant de plaisir à me faire sucer
par un mec. souffle-t-il, lourdement enfoncé dans son canapé.
D’une main tendre, je câline son sexe, malaxe ses bourses, caresse son
ventre plat, autant impressionné par le volume que par la douceur de ses
organes. Les papilles empreintes de sa saveur, l’impétuosité de son
éjaculation retentit encore dans ma bouche, me donnant déjà envie de
recommencer.
Sans faire de bruit, je m’assieds à nouveau à ses côtés, incapable de
détacher mon regard de son sexe. Sa verge complètement ramollie semble
récupérer, allongée sur ses belles bourses. Si sa rigidité l’a
abandonnée, elle n’a rien perdu de son embonpoint. La couronne de son
gland pourpre n’est pas encore décidée à se laisser recouvrir par la
peau de son prépuce. Après tout, un génie apprécie-t-il de rentrer dans
sa lampe ?
Incapable de rompre le silence par quelques futilités, je remplis nos deux verres et lui tends le sien.
— À la nôtre ! dit-il. À ma première pipe.
— Aux suivantes ! répondis-je.
— Que c’est bon de se faire sucer !
— Tu me la prêteras encore ?
— C’est clair !
Ces mots libérèrent beaucoup d’espace dans mon esprit. La nuit s’est ecoulée, partagée entre nos guitares, quelques cigarettes et du
whisky. Il s’intéressa à mes amants, mes pratiques, où se trouvait mon
plaisir dans tout cela... n'ayant pas pris la peine de se rhabiller, excité par le contenu de mes réponses, son sexe s’allongea de nouveau... . Après lui avoir taillé une seconde pipe...... j'ai dormi sur le canapé cette nuit-là, ; trop d’alcool circulait dans mes
veines pour reprendre le volant.
Deux jours s’étaient écoulés. Patrick me fit la surprise de m’attendre sur le parking
derrière le Pub. Une envie sunite de "reviens-y" À la lumière lointaine d’un réverbère, sa délicieuse
queue trouva entre mes lèvres tout le réconfort qu’elle attendait. Cette fois-ci il me demanda de me branler en le suçant, pour ne pas
jouir égoïstement et sans doute pour alimenter son fantasme. Son sperme termina dans mon ventre sans que j’en
perde une infime goutte. Le mien s’écoula d’abord sur mes doigts, avant
de s’ajouter au sien dans mon ventre, ce qui l’excita beaucoup.
— Tu aimes donc tant le foutre que ça ?
— Tu n’as pas idée. J’en rêvais, ado, et quand mon premier mec a
déchargé dans ma bouche, ça a été une révélation. T’as jamais goûté ?
— Euh... non. Mais j’essaierai peut-être un jour, rien que pour ne pas finir idiot.
— Et prendre un mec, ça te dirait ? osais-je, chaud bouillant.
— Je ne sais pas. Il faudrait que je sois méchamment en manque !
— Il y a deux jours, tu pensais que j’allais te sucer ? Ni que tu allais y revenir ?
— Ce n’est pas faux. Tu as de bons arguments, toi.
— M’essayer, c’est m’adopter, tu verras. répondis-je en rigolant.
Une petite semaine plus tard, bien déterminé à obtenir ses faveurs entre
mes fesses, je m’étais préparé dans les règles de l’art afin de lui
offrir le meilleur de moi-même. Ce soir-là, nous avions passé une soirée
avec quelques amis dans un bar à vins. Vers minuit, alors que nous repartions
vers nos voitures garées à quelques rues de là.
— Envie de tailler une petite pipe ?
— Voiture ou maison ? répondis-je du tac au tac.
— Chez toi ou chez moi ?
— De préférence chez moi. Ce soir, j’en espère un peu plus. affirmais-je, posant clairement les bases.
À peine étions-nous arrivés à destination que sa grosse verge retrouva
la douce chaleur de ma bouche, ne tardant pas à y jouir violemment.
Ses performances et ses dimensions exceptionnelles me grisaient. La
tenir, la sucer était un privilège, comme posséder quelque chose que
les autres n’ont pas. La tenir dans ma main était comme posséder la clef
d’une puissante voiture de sport ; la sentir glisser entre mes lèvres,
comme être à son volant. Quant à ses impétueuses éjaculations, c’était
comme avoir flirté avec la zone rouge du compteur pour remporter la
victoire. Le goût de son sperme, l’odeur de la gomme sur l’asphalte.
Le temps d’une cigarette, je savourais ma victoire. Je me levai pour
mettre de la musique et nous servir un verre. Avant de me rasseoir à ses
côtés, je disparus à la salle de bains. Mes vêtements glissèrent à
terre, une noix de lubrifiant dans la rosace et je le rejoignis au salon. Surprise, il
était aussi nu que moi. Je bus une gorgée et lui dis que j’en avais très
envie. Les mots n’avaient pas de place, il en était conscient.
— Viens, on sera mieux dans la chambre. lui intimais-je.
Lorsque sa main glissa le long de mon dos pour arriver sur mes fesses,
mon ventre se contracta agréablement, impatient de sentir le sexe que
j’avais en bouche me pénétrer. Sa queue reprenait déjà de la
consistance, mais le processus s’accélérât quand un doigt timide osa
s’insinuer entre mes globes.
D’abord un, puis très vite deux doigts pénétrèrent mon anus. De nouveau
bandée, sa queue remplissait complètement ma bouche. Il avait joui, je
comptais sur son endurance.
— Tu sais que tu m’excites grave?
— Viens, prends-moi, s’il te plaît. Sinon, je vais te la mordre.
Couchés sur le côté, son vît solidement maintenu entre mes doigts, nous
allions l’un vers l’autre, mû par un réel désir de nous unir. Une légère
douleur se fit sentir lorsque le nœud massif vainquit mon sphincter,
mais qu’importe. Après une courte pause, sa queue regagnait du terrain.
Ma jambe se crochetait derrière la sienne, au cas où ma main cramponnée à
sa fesse ne suffirait pas à l’attirer encore plus en moi.
— Que j’en avais envie ! Viens, oui, viens comme ça. J’adore ! Depuis la première fois que je t’ai sucé, je te veux.
L’épaisse hampe allait toujours avant, ne revenant que pour mieux
s’élancer. Elle ne lâchait jamais de terrain, s’enfonçant toujours
davantage en dilatant remarquablement mon orifice. Ma croupe bondissait
vers son tortionnaire à chaque appel de son sexe pour encore mieux le
sentir glisser dans mon rectum. Chaque mouvement propageait de subtiles
ondes de plaisirs qui traversaient mes reins pour remonter ma colonne
vertébrale.
Lorsqu’il fut tout en moi, il s’immobilisa le temps de me mettre à plat
ventre, puis reprit ses ondulations. Je me cambrai, serrai les fesses
pour mieux le sentir reculer, les relevai lorsqu’il m’empalait. Mon cul
devenait souple et s’habituait à son importante physionomie. j’étais
maintenant assez chaud pour l’inviter à accélérer, à me malmener. Ce
faisant, il me stimulait par de petites phrases crues, pénétrant mon
esprit autant que mon corps.
Notre étreinte s’intensifiait, il n’hésitait pas à s’emballer pour revenir à un rythme plus conventionnel, se faisant presque désirer. Je l’appelais de tout mon être, en demandait toujours plus, le plaisir montait en moi à force de stimuler ma prostate. Nous changions régulièrement de position; le lit était devenu presque un ring sur lequel nos corps s’adonnaient à un délicieux combat.
L’orgasme eut raison de nous alors qu’il me possédait en levrette. Le
sang battait à mes tempes. À force de sentir son pieu perforer mon
ventre, je me contractais de plus en plus autour de lui, en quête de
jouissance. Ses doigts rivés à mes hanches, je le sentis devenir immense
et incroyablement rigide pour un tel gabarit. Lorsque son nœud s’écrasa
aux portes de mon colon, je le sentis distinctement gicler en moi. Une
intense boule de chaleur remonta ma colonne pour exploser à l’intérieur
de mon crâne. Spontanément, son éjaculation provoqua la mienne,
libérant mon ventre de toutes ses tensions. Lequel de nous jouis le plus
? Je ne saurais être catégorique, et encore moins objectif. Je
jouissais, abandonné de toute réflexion.
Nous restâmes un long moment ainsi à savourer un tel instant. Sucer ce
mec était déjà grandiose, comment allais-je faire maintenant pour lui
résister? Quel mec ! Il éjaculait si puissamment que je l’avais senti me
remplir le ventre ! Quelle puissance titanesque !
Il nous fallut un long moment avant que l’un de nous ose rompre le silence.
— Je ne sais plus quel côté de toi j’apprécie le plus. dit-il enfin en retirant doucement sa verge.
— C’est exactement la question que je me posais. Te sucer, c’est déjà
quelque chose, mais là... dis-je en me replaçant sur le dos.
— Je ne devrais pas te le dire, mais t’as un sacré cul, mon salaud.
Je le repris amoureusement en bouche, autant pour le remercier que pour profiter des traces de sa semence.
— Toi, tu as un sacré morceau. répondis-je. J’en veux encore !
Nous avons passé une bonne partie de la nuit éveillés. On joua un peu de
la guitare, but quelques verres. Inévitablement, je bénéficiai de
nouveau de ses bonnes grâces, beaucoup plus tendrement cette fois-ci.
D’ailleurs, les quelques mois pendant lesquels j’ai usé et abusé de
Patrick, il était
tellement fascinant, tellement exquis, à la ville comme au lit. Sa
capacité à me faire planer transcender toutes mes expériences sexuelles
préalables. Avant lui, je m’offrais un mec pour varier mes plaisirs.
Avec cet homme, une simple pipe devenait un voyage dont lui seul
connaissait la destination. Par contre, c’était toujours en première
classe et en “Open”.
Nous ne restions jamais plus de quelques jours sans nous voir et sortions souvent les soirs où je ne travaillais pas. Capable de bander de nouveau quelques minutes après avoir joui, il ne fallait pas lui en promettre. Il excellait dans l’art de tester mes limites en me proposant ses doux sévices dans des situations aussi insolites qu’inédites pour moi à l’époque : beaucoup de parkings, de jour comme de nuit, la réserve de mon boulot, les bois lorsque nous faisions du jogging, les portes-cochères les soirs de bringue, au milieu d’homos dans le fameux parc, au dernier rang d’un cinéma, en cabine de piscine... Sa queue exquise n’avait plus de secret pour moi, j’étais habitué à faire face à ses impressionnantes éjaculations, et prenais plaisir à sentir longuement s’écouler de mon ventre après qu’il y ait projeté, son plaisir. Nous étions unis par un accord tacite de complaisance, tout de lui était parfait pour moi.
Lorsque Patrick a quitté la ville, j’ai d’abord perdu un véritable ami,
un confident, un alter ego. Nous nous sentions aussi bien ensemble à
parler, à faire de la musique, à manger ou encore prendre une
cuite, qu’à partager d’intenses moments de sexe. Il est et restera à jamais l’homme à qui j’ai prodigué le plus de
fellations complètes, et celui avec lequel avaler était pour moi aussi
transcendant.
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