16 mars 2021

Les hétéros s'amusent.... (histoire reçue) -3 le guitariste


Patrick m’invite à prendre ma guitare avant de le rejoindre chez lui : Pizza, bières et musique. soirée entre potes quoi!
Plusieurs bières et une pizza plus tard, les classiques d’Eagles, Pink Floyd, Led Zep et autres Clapton devenaient plus accessibles à l’autodidacte que je suis. À la douce lumière de son salon, j’admire son doigté, la rapidité de ses gestes. La facilité avec laquelle il enchaîne les riffs et part en solo me laisse rêveur.
— Tu as une bonne oreille ! s’exclame-t-il. Allez, on s’en grille une et on reprend ?
— Volontiers. Si tu as du bon café au passage, je suis preneur.
— C’est parti !
— Pat, comment se fait-il que tu sois toujours célibataire ?
— Disons que j’ai du mal à me fixer. J’aime bien être libre. J’ai vécu quelques années avec une femme. On a même failli se marier.
— Et pourquoi ça ne s’est pas fait ?
— Vie de bohème ! Pas facile de vivre de sa passion. Soit tu es avec une fille qui vit à ton rythme, soit tu n’es jamais en phase. Et puis on a tellement de tentations... Je commence à peine à avoir des revenus confortables. Puis les à côté avec mon groupe, ce n’est pas simple.
— Comme les marins, alors : une femme dans chaque concert ?
— C’est un peu ça, je prends la vie un peu comme elle vient. Toi non plus, tu n’es pas fixé. Non ?
— Non, un peu à gauche, un peu à droite, parfois... au milieu. dis-je un peu gêné, sentant le rouge monter à mes joues.
Revenant s’asseoir à côté de moi, il dépose les cafés sur la table basse du salon ; le sourire qu’affiche Patrick ne laisse pas beaucoup de place au doute : il a compris le sens de ma réponse. La musique en fond comble le blanc que crée ma réponse. Puis il rompt enfin le silence.
— Il y a des choses qui ne sont pas faciles à dire, hein ?
Gêné, déstabilisé, j’attrape ma tasse, ne sachant pas si je vais pouvoir encore parler. Je m’en veux. Une fois de plus, mon impulsivité m’a fait me dévoiler trop vite. Peut-être était-ce illusoire de croire que j’avais “la moindre chance” avec ce beau mec.


Il me demande quels sont “ces gauche- droite", comment c’est venu, ce qui m’attire chez un homme. Au point où j’en suis, je me lâche et me livre ouvertement. Perdu pour perdu, autant lui dire la vérité. Le café cède la place à un whisky bien tassé, son écoute est ponctuée de questions, de sourires, voire même de rires parfois. Mes fantasmes d’ados exposés, il désire savoir comment “j’y suis venu”, pourquoi j’aime tant sucer... De son côté, s’il confie avoir assez souvent reçu des avances, il n’a jamais eu l’occasion de “sauter le pas” — soit par manque de disponibilité, soit parce que l’offre n’était ni fraîche, ni sympathique, voir carrément repoussante—, mais que là... la façon dont j’en parle lui donne méchamment envie. La bosse que fait son pantalon ne ment d’ailleurs pas.
L’invitation semble claire, je comprends que c’est le moment. Je me rapproche de lui pour glisser ma main vers cet entrejambe désiré, autant en proie à l’excitation qu’au doute : comment est-elle ? Ce premier contact, même à travers le tissu est des plus prometteur.

— Ne bouge pas, s’il te plaît. Laisse-toi simplement faire. lui intimais-je en glissant entre ses jambes.
Face à lui, confortablement posé sur ses cuisses, mes doigts se jouent de ses boutons de braguette. Lorsque les pans de toile s’écartent, son sexe reprend son aise dans son caleçon en le déformant... significativement. Ses fesses se soulèvent pour que je puisse faire glisser ses vêtements.
Elle s’offre alors enfin à ma vue, épaisse colonne dépassant toutes mes attentes, balançant au-dessus d’un ventre à peine velu et affolant déjà mes sens. D’une main caressante, je la découvre, chaude, rigide, gonflée, avant que mes doigts ne l’emprisonnent et l’attire vers moi. Je la tiens ainsi quelques secondes, réalisant l’étonnante circonférence de son vit, décalottant complètement ce gland somptueux. Comme par défi, le méat semble me fixer avant de livrer bataille à ma langue ; l’adversaire, il faut le reconnaître, est vraiment de taille.

Son odeur musquée parvient à mes narines comme je me baisse pour l’embrasser, le lécher, en apprécier le goût et la texture. Méthodiquement, je récupère son gros paquet dans ma main libre en le masturbant lentement de l’autre. Telles les lèvres d’un vagin, les miennes s’écartent pour accueillir Patrick en moi, pour une toute première fois. Car pour chaque partenaire, il y a “une première fois”.
Ma langue à du mal à circonscrire la tête de mon imposant mâle tant ma bouche en est remplie. Avec une infinie tendresse, je descends lentement à l’assaut de sa hampe, prenant bien le temps de le déguster, changeant l’inclinaison de ma tête entre l’aller et le retour. En parfaite synchronisation, mes mains cajolent ses bourses et le branle tendrement, bande à rompre, dur comme l’acier. Le temps de courtes pauses, ma langue, large et baveuse, remonte toute la hampe pour venir lécher son nœud parfaitement dessiné. Je prends tout mon temps pour l’observer, la flatter, lui dire qu’elle m’affole, qu’elle est un rêve incarné, que je vais prendre un pied terrible à le faire jouir.
Mieux que des mots, en réponse, Patrick pose une main sur ma tête. Cette main ne signifie pas ma soumission. Par ce geste, il m’indique que le dernier rempart de sa résistance à s’offrir à un homme vient de céder. Il est à ma merci. Car une fellation n’est pas que donner du plaisir ; c’est avant tout donner l’illusion que l’homme gère une situation, alor

s qu’elle lui échappe totalement.
Je l’aide à retirer son pantalon pour être plus à mon aise. Il en profite pour avancer son bassin, m’offrant un peu plus d’amplitude pour aimer son sexe. Son bassin réagit au rythme de ma succion, engageant de lui-même encore plus loin en moi le volumineux gland dont il me tarde de savourer l’inéluctable défaite.
De sa main libre, il me présente ses bourses lorsque je redescends m’occuper d’elles. Elles sont aspirées à tout de rôle, irradiant ma muqueuse de leur goût musqué. Mes dents profitent de leur souplesse pour les mordiller gentiment, excitant encore davantage mon bonhomme.
Il souffle, râle, étreint mes cheveux, se tortille sur son séant, son bel organe totalement soumis à mes caprices. J’enserre sa hampe entre mes lèvres, redoublant d'activité. Il me crie de faire attention, car il est sur le point de jouir. Loin de m’effrayer, j'accélère encore le mouvement, plus que déterminé à recevoir sa récompense ultime : son sperme . Car recevoir la semence d’un homme est un cadeau.
Le bassin tendu vers moi, le gland gonflé à l’extrême propulse une violente giclée contre mon palais, remplissant complètement mes joues. Je déglutis juste à temps pour recueillir un second jet, presque immédiatement suivi d'un troisième tout aussi copieux. Devant une telle abondance, une partie s'écoule hors de ma bouche, ce qui n’est pas mon habitude. Deux autres salves giclent en dilatant ce nœud qui semble inépuisable. Pourtant habitué à recevoir le sperme de mes amants, Patrick me surprend par la puissance et la quantité de son éjaculation, je devrais m’y habituer, apprendre à mieux gérer. S’il m’en donne de nouveau l’occasion.



À la saveur de son foutre s’additionne sa puissante odeur. Perché sur mon petit nuage, je savoure les sucs de mon homme, récupérant de la langue l’excédent s’écoulant sur sa hampe et sur mes doigts. Foudroyé, plus aucun son n’émane de sa personne. Seuls son souffle et sa queue à peine bandée dans ma main trahissent l’intensité de son orgasme.
Je le garde en moi le temps qu’il finisse de décroître, l’esprit préoccupé par la crainte de sa réaction une fois qu’il sera revenu à la réalité. Voudra-t-il en rester là, telle une “vulgaire expérience”... Acceptera-t-il encore mon amitié...
— Je n’aurais jamais pensé prendre autant de plaisir à me faire sucer par un mec. souffle-t-il, lourdement enfoncé dans son canapé.
D’une main tendre, je câline son sexe, malaxe ses bourses, caresse son ventre plat, autant impressionné par le volume que par la douceur de ses organes. Les papilles empreintes de sa saveur, l’impétuosité de son éjaculation retentit encore dans ma bouche, me donnant déjà envie de recommencer.
Sans faire de bruit, je m’assieds à nouveau à ses côtés, incapable de détacher mon regard de son sexe. Sa verge complètement ramollie semble récupérer, allongée sur ses belles bourses. Si sa rigidité l’a abandonnée, elle n’a rien perdu de son embonpoint. La couronne de son gland pourpre n’est pas encore décidée à se laisser recouvrir par la peau de son prépuce. Après tout, un génie apprécie-t-il de rentrer dans sa lampe ?
Incapable de rompre le silence par quelques futilités, je remplis nos deux verres et lui tends le sien.
— À la nôtre ! dit-il. À ma première pipe.
— Aux suivantes ! répondis-je.
Sans bouger d’un iota, il avale une petite gorgée avant de reprendre :
— Que c’est bon de se faire sucer !
— Tu me la prêteras encore ?
— C’est clair !
Ces mots libérèrent beaucoup d’espace dans mon esprit. La nuit s’est ecoulée, partagée entre nos guitares, quelques cigarettes et du whisky. Il s’intéressa à mes amants, mes pratiques, où se trouvait mon plaisir dans tout cela... n'ayant pas pris la peine de se rhabiller, excité par le contenu de mes réponses,  son sexe s’allongea de nouveau... .  Après lui avoir taillé une seconde pipe...... j'ai dormi sur le canapé cette nuit-là,  ; trop d’alcool circulait dans mes veines pour reprendre le volant.
Deux jours s’étaient écoulés. Patrick me fit la surprise de m’attendre sur le parking derrière le Pub.  Une envie sunite de "reviens-y" À la lumière lointaine d’un réverbère, sa délicieuse queue trouva entre mes lèvres tout le réconfort qu’elle attendait. Cette fois-ci il me demanda de me branler en le suçant, pour ne pas jouir égoïstement et sans doute pour alimenter son fantasme. Son sperme termina dans mon ventre sans que j’en perde une infime goutte. Le mien s’écoula d’abord sur mes doigts, avant de s’ajouter au sien dans mon ventre, ce qui l’excita beaucoup.
— Tu aimes donc tant le foutre que ça ?
— Tu n’as pas idée. J’en rêvais, ado, et quand mon premier mec a déchargé dans ma bouche, ça a été une révélation. T’as jamais goûté ?
— Euh... non. Mais j’essaierai peut-être un jour, rien que pour ne pas finir idiot.
— Et prendre un mec, ça te dirait ? osais-je, chaud bouillant.
— Je ne sais pas. Il faudrait que je sois méchamment en manque !
— Il y a deux jours, tu pensais que j’allais te sucer ? Ni que tu allais y revenir ?
— Ce n’est pas faux. Tu as de bons arguments, toi.
— M’essayer, c’est m’adopter, tu verras. répondis-je en rigolant.
Une petite semaine plus tard, bien déterminé à obtenir ses faveurs entre mes fesses, je m’étais préparé dans les règles de l’art afin de lui offrir le meilleur de moi-même. Ce soir-là, nous avions passé une soirée avec quelques amis dans un bar à vins. Vers minuit, alors que  nous repartions vers nos voitures garées à quelques rues de là.
— Envie de tailler une petite pipe ?
— Voiture ou maison ? répondis-je du tac au tac.
— Chez toi ou chez moi ?
— De préférence chez moi. Ce soir, j’en espère un peu plus. affirmais-je, posant clairement les bases.
À peine étions-nous arrivés à destination que sa grosse verge retrouva la douce chaleur de ma bouche, ne tardant pas à y jouir violemment.
Ses performances et ses dimensions exceptionnelles me grisaient. La tenir, la sucer était un privilège, comme posséder quelque chose que les autres n’ont pas. La tenir dans ma main était comme posséder la clef d’une puissante voiture de sport ; la sentir glisser entre mes lèvres, comme être à son volant. Quant à ses impétueuses éjaculations, c’était comme avoir flirté avec la zone rouge du compteur pour remporter la victoire. Le goût de son sperme, l’odeur de la gomme sur l’asphalte.
Le temps d’une cigarette, je savourais ma victoire. Je me levai pour mettre de la musique et nous servir un verre. Avant de me rasseoir à ses côtés, je disparus à la salle de bains. Mes vêtements glissèrent à terre, une noix de lubrifiant dans la rosace et je le rejoignis au salon. Surprise, il était aussi nu que moi. Je bus une gorgée et lui dis que j’en avais très envie. Les mots n’avaient pas de place, il en était conscient.
— Viens, on sera mieux dans la chambre. lui intimais-je.
Lorsque sa main glissa le long de mon dos pour arriver sur mes fesses, mon ventre se contracta agréablement, impatient de sentir le sexe que j’avais en bouche me pénétrer. Sa queue reprenait déjà de la consistance, mais le processus s’accélérât quand un doigt timide osa s’insinuer entre mes globes.
D’abord un, puis très vite deux doigts pénétrèrent mon anus. De nouveau bandée, sa queue remplissait complètement ma bouche. Il avait joui, je comptais sur son endurance.
— Tu sais que tu m’excites grave?
— Viens, prends-moi, s’il te plaît. Sinon, je vais te la mordre.
Couchés sur le côté, son vît solidement maintenu entre mes doigts, nous allions l’un vers l’autre, mû par un réel désir de nous unir. Une légère douleur se fit sentir lorsque le nœud massif vainquit mon sphincter, mais qu’importe. Après une courte pause, sa queue regagnait du terrain. Ma jambe se crochetait derrière la sienne, au cas où ma main cramponnée à sa fesse ne suffirait pas à l’attirer encore plus en moi.

— Que j’en avais envie ! Viens, oui, viens comme ça. J’adore ! Depuis la première fois que je t’ai sucé, je te veux.
L’épaisse hampe allait toujours avant, ne revenant que pour mieux s’élancer. Elle ne lâchait jamais de terrain, s’enfonçant toujours davantage en dilatant remarquablement mon orifice. Ma croupe bondissait vers son tortionnaire à chaque appel de son sexe pour encore mieux le sentir glisser dans mon rectum. Chaque mouvement propageait de subtiles ondes de plaisirs qui traversaient mes reins pour remonter ma colonne vertébrale.
Lorsqu’il fut tout en moi, il s’immobilisa le temps de me mettre à plat ventre, puis reprit ses ondulations. Je me cambrai, serrai les fesses pour mieux le sentir reculer, les relevai lorsqu’il m’empalait. Mon cul devenait souple et s’habituait à son importante physionomie. j’étais maintenant assez chaud pour l’inviter à accélérer, à me malmener. Ce faisant, il me stimulait par de petites phrases crues, pénétrant mon esprit autant que mon corps.

Notre étreinte s’intensifiait, il n’hésitait pas à s’emballer pour revenir à un rythme plus conventionnel, se faisant presque désirer. Je l’appelais de tout mon être, en demandait toujours plus, le plaisir montait en moi à force de stimuler ma prostate. Nous changions régulièrement de position; le lit était devenu presque un ring sur lequel nos corps s’adonnaient à un délicieux combat.
L’orgasme eut raison de nous alors qu’il me possédait en levrette. Le sang battait à mes tempes. À force de sentir son pieu perforer mon ventre, je me contractais de plus en plus autour de lui, en quête de jouissance. Ses doigts rivés à mes hanches, je le sentis devenir immense et incroyablement rigide pour un tel gabarit. Lorsque son nœud s’écrasa aux portes de mon colon, je le sentis distinctement gicler en moi. Une intense boule de chaleur remonta ma colonne pour exploser à l’intérieur de mon crâne. Spontanément, son éjaculation provoqua la mienne, libérant mon ventre de toutes ses tensions. Lequel de nous jouis le plus ? Je ne saurais être catégorique, et encore moins objectif. Je jouissais, abandonné de toute réflexion.
Nous restâmes un long moment ainsi à savourer un tel instant. Sucer ce mec était déjà grandiose, comment allais-je faire maintenant pour lui résister? Quel mec ! Il éjaculait si puissamment que je l’avais senti me remplir le ventre ! Quelle puissance titanesque !

Il nous fallut un long moment avant que l’un de nous ose rompre le silence.
— Je ne sais plus quel côté de toi j’apprécie le plus. dit-il enfin en retirant doucement sa verge.
— C’est exactement la question que je me posais. Te sucer, c’est déjà quelque chose, mais là... dis-je en me replaçant sur le dos.
— Je ne devrais pas te le dire, mais t’as un sacré cul, mon salaud.
Je le repris amoureusement en bouche, autant pour le remercier que pour profiter des traces de sa semence.
— Toi, tu as un sacré morceau. répondis-je. J’en veux encore !
Nous avons passé une bonne partie de la nuit éveillés. On joua un peu de la guitare, but quelques verres. Inévitablement, je bénéficiai de nouveau de ses bonnes grâces, beaucoup plus tendrement cette fois-ci. 
D’ailleurs, les quelques mois pendant lesquels j’ai usé et abusé de Patrick, il était tellement fascinant, tellement exquis, à la ville comme au lit. Sa capacité à me faire planer transcender toutes mes expériences sexuelles préalables. Avant lui, je m’offrais un mec pour varier mes plaisirs. Avec cet homme, une simple pipe devenait un voyage dont lui seul connaissait la destination. Par contre, c’était toujours en première classe et en “Open”.

Nous ne restions jamais plus de quelques jours sans nous voir et sortions souvent les soirs où je ne travaillais pas. Capable de bander de nouveau quelques minutes après avoir joui, il ne fallait pas lui en promettre. Il excellait dans l’art de tester mes limites en me proposant ses doux sévices dans des situations aussi insolites qu’inédites pour moi à l’époque : beaucoup de parkings, de jour comme de nuit, la réserve de mon boulot, les bois lorsque nous faisions du jogging, les portes-cochères les soirs de bringue, au milieu d’homos dans le fameux parc, au dernier rang d’un cinéma, en cabine de piscine... Sa queue exquise n’avait plus de secret pour moi, j’étais habitué à faire face à ses impressionnantes éjaculations, et prenais plaisir à sentir longuement s’écouler de mon ventre après qu’il y ait projeté, son plaisir. Nous étions unis par un accord tacite de complaisance, tout de lui était parfait pour moi.
 Lorsque Patrick a quitté la ville, j’ai d’abord perdu un véritable ami, un confident, un alter ego. Nous nous sentions aussi bien ensemble à parler, à faire de la musique, à manger ou encore prendre une cuite, qu’à partager d’intenses moments de sexe. Il est et restera à jamais l’homme à qui j’ai prodigué le plus de fellations complètes, et celui avec lequel avaler était pour moi aussi transcendant.



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