L'intrus était un homme d'âge mûr, la cinquantaine environ. Il portait des cheveux poivre et sel, encadrant un visage pas désagréable. Il semblait plutôt bien charpenté.
Il sortit rapidement une tablette tactile et commença à l'utiliser. Je regardais le paysage défilant maintenant à belle vitesse.
Nous nous trouvions au bout du wagon de tête, là où tout le fond du wagon est occupé par une rangée de sièges en face de laquelle, de chaque coté de l'allée centrale, se trouvent deux sièges à une distance suffisante pour qu'en cas d'affluence les passagers face à face ne se gênent pas dans leurs mouvements de jambes.
J'étais assis sur le duo de siège de gauche, près de la fenêtre, et l'individu se plaça sur la rangée de siège en face, au milieu. Au-dessus de cette rangée de sièges terminant le wagon, un grand miroir fumé me permettait de voir que le reste du wagon, derrière moi, était vide. Je fus sorti de ma torpeur au bout d'un moment: provenant de la tablette de mon intrus, des sons de gémissements trahissaient sans équivoque son activité. Il regardait une vidéo x.
Je jetai rapidement un œil dans sa direction, l'homme croisa mon regard
- " Pardon", fit-il en coupant le son de sa tablette.
me fendis d'un léger sourire un peu gêné, et m'en retournai à ma contemplation de la campagne défilant par la fenêtre.
- Le son vous dérange ?" me demanda alors l'homme.
- Non, non, je vous en prie, fis-je un peu/beaucoup hypocrite voire faux-cul.
- Vous voulez peut-être en profiter ? C'est une excellente vidéo!
Et joignant le geste à la parole, il vint s'asseoir à coté de moi.
Sur sa tablette, une jolie blonde se faisait copieusement démonter la chatte en levrette par un bel étalon brun et bronzé, dans un concert de cris et de gémissements... Tout s'était passé si vite que je n'avais rien eu le temps de voir venir, mais très vite je commençais à me sentir très excité par cette situation inattendue...
Pendant que nous regardions tous deux le film, je commençais à bander...
Mon intrus écarta légèrement les jambes et sa jambe gauche vient alors s'appuyer sur ma propre jambe, l'effleurant d'abord, puis plus fortement. Il mis alors sa main droite sur son entrejambe, et se caressa très doucement. Mon excitation monta d'un cran. Étais-je en train de rêver ? Ou ce type était bien ce qu'il semblait être : un mec bien disposé envers les autres hommes ? Je me décidai alors à poser ma main gauche sur sa cuisse, toujours appuyée sur ma jambe, pour voir ce qui allait se passer... Pour seule réaction, je sentis sa jambe appuyer plus fort encore contre la mienne... Alors je m'enhardis à caresser sa cuisse, remontant tranquillement vers son paquet. Mon cœur battait fort dans ma poitrine, et j'avais du mal à dissimuler ma respiration excitée...
L'homme, avec des gestes lents, éteignit alors la tablette, et la posa à coté de lui. Il pris ma main et la plaça directement sur sa braguette.
- tu es du genre à préférer la réalité aux films pornos, toi, hein ?, me demanda-t-il.
- En effet, on peut rien te cacher, répondis-je sans pouvoir retenir un soupir d'excitation.
Je tâtais son entrejambe et sentis qu'une belle érection se déroulait sous le tissu de son pantalon. Il me dit :
- vas-y, sors la, ça ne craint rien, il n'y a personne dans le wagon.
Je m’exécutai sans délai.
Les boutons du jean furent rapidement ouverts, le pantalon
baissé légèrement pour offrir à ma vue son slip où sa bite bandée
faisait une jolie bosse.
Je passai ma main entre l'élastique et son ventre, sentant de suite sous mes doigts les poils de son pubis. Poursuivant plus loin sans attendre je saisis la tige de sa verge, douce, chaude et raide, et la sortis au jour; c'est un moment dont je raffole!
Souvent, de douces-amères effluves s'échappent, enfermées depuis le matin dans la chaleur moite d'un sous-vêtement de coton; je m’enivrai avant même de commencer à la branler.
Je passai ma main entre l'élastique et son ventre, sentant de suite sous mes doigts les poils de son pubis. Poursuivant plus loin sans attendre je saisis la tige de sa verge, douce, chaude et raide, et la sortis au jour; c'est un moment dont je raffole!
Souvent, de douces-amères effluves s'échappent, enfermées depuis le matin dans la chaleur moite d'un sous-vêtement de coton; je m’enivrai avant même de commencer à la branler.
Il
poussa un soupir de satisfaction, et tout en vérifiant dans la glace que
nous étions toujours seuls, il avança un peu son bassin, s’enfonçant
davantage dans le siège.
- Qu'est-ce que ça m'excite ! Fit-il.
Je tenais dans ma main sa queue bien bandée, la branlant doucement, et je me laissai glisser du siège pour me retrouver à genoux à coté de lui, mon visage bien plus près de sa belle bite appétissante.
- Allez, vas-y, suce moi cette belle queue ! Le ton était autoritaire, bien qu'il parlait bas. Sans discuter, je lui obéis de nouveau.
- Qu'est-ce que ça m'excite ! Fit-il.
Je tenais dans ma main sa queue bien bandée, la branlant doucement, et je me laissai glisser du siège pour me retrouver à genoux à coté de lui, mon visage bien plus près de sa belle bite appétissante.
- Allez, vas-y, suce moi cette belle queue ! Le ton était autoritaire, bien qu'il parlait bas. Sans discuter, je lui obéis de nouveau.
Tenant toujours son sexe à la base
entre le pouce et l'index, j'enfournai son gland et une bonne moitié de
sa tige dans ma bouche, en soupirant d'aise à mon tour. Sa bite était un
délice. Environ 18cm de long, avec un gros gland, et une bonne
épaisseur, dans les 5 cm je dirais.
L'odeur de son sexe pénétra mes narines, et son goût flatta ma langue qui s'activa sur son frein aussitôt.
- t'aimes la queue, toi, hein ? Je l'aurais parié, dès que je t'ai vu. Je repère vite les salopes.
Il s'exprimait toujours très bas, et je devinais son état d’excitation à sa respiration courte, perceptible dans sa voix.
Continuant de le sucer j'émis un gémissement d’acquiescement même si ce langage un peu convenu me déplaisait.
- allez, bouffe-moi bien goulûment ! Tu m'as bien fait bander, faut assurer maintenant.
Il plaça une main derrière ma tête, et me la fit bouger de droite à gauche, légèrement. Je n'opposai aucune résistance.
- Sers bien avec tes doigts, et continue à sucer comme ça, oui. Mmm c'est bon là ! Vas-y salope, suce, suce.
Aux anges, j’accélérais mon va-et-vient, branlant doucement la base de sa queue. Il saisit mes cheveux dans sa main, et serra, m'en tirant un peu une poignée. Je gémis a nouveau.
- c'est bon, mon cochon! t'es au top! Continue comme ça et je vais vider mes couilles dans ta bouche affamée.
Sa main me tenait toujours fermement la tête, il me laissait descendre ma bouche sur sa bite, m'accompagnant dans le mouvement, mais forçait un peu pour gêner mes mouvements inverses. Il commençait à respirer de plus en plus fort. Alors il me saisit la tête de ses deux mains, me la tenant par les cheveux, fermement. Seul son gland était dans ma bouche, et je ne pouvais plus bouger. J'avais un peu peur qu'il me fasse vraiment mal. Je lui tétais le gland plus fort.
- Tu vas me faire jouir, mec. Ah t'aime ça, le foutre, tu vas t'en prendre ! Il appuya sur ma tête avec ses mains pour forcer ma bouche à enfourner sa bite plus loin.
Je gémis assez fort en résistant un peu. Mais il étais fort, et me fis descendre jusqu'où il voulait.
- allez faut me finir, maintenant.
Une bonne partie de sa queue dans ma bouche, ma tête immobilisée, il remplaça alors mes mouvements par de petits coups de reins, pas trop amples mais bien secs. Je compris ce qu'il voulait : me baiser par la bouche. je le laissai faire. Il desserra son étreinte, ne laissant qu'une seule de ses main derrière ma tête sur ma nuque, et je ne bougeai plus la tête, me délectant de sentir cette queue aller et venir dans ma bouche, contre ma langue, mon palais.
Il ponctua alors chacune de ses respirations d'un soufflement étouffé. "Hhhhhh... Hhhhhh... Hhhhhh..." Qui se mêlèrent rapidement de quelques gémissements : "Hooohhhhh, Gnnhhhh, Ouiihhhhhh..."
Je l'entendis respirer soudain très fort, et profondément. Je sentis alors avec un grand bonheur son gland gonfler encore, sa tige grossir un peu et devenir soudain encore plus raide.
- Putain je vais gicler.
Sa main serra mes cheveux, il cessa ses coups de reins, je sentis son bassin s'enfoncer encore dans le siège, l'entendis haleter...
- put... haaaan ! fit-il de manière étouffée. Je sentis les prémices de son éjaculation s'écouler de son meat sur ma langue. Il haleta alors pendant qu'il jouissait dans ma bouche, son bassin animé de petits soubresauts. Une première giclée longue et puissante de sperme chaud jaillit dans ma bouche, comme le jus épais d'un fruit mur. Dans ma bouche de nouveau immobilisée par ses mains puissantes. Je n'aurais pu me dégager de son étreinte si je l'avais voulu, et je ne le voulais pas ! A genoux sur la moquette de ce tgv, la bouche plaquée sur une belle bite d'un mec comme j'aime, en train de jouir de moi, en moi. J'avais ce que je voulais. Je me délectais de chaque lampée de sperme salé que je sentais inonder ma bouche. Son sexe était trop enfoncé pour que je puisse avaler. Je serrai bien les lèvres pour n'en perdre aucune goutte. Deux autres belles giclées un peu moins fortes que la première lui succédèrent, suivies de trois petites, plus espacées.
Puis, une dernière goutte s'écoula sur un dernier "haaahh" étouffé.
Son bassin se détendit, ses mains laissèrent ma tête reculer un peu, assez pour que je puisse avaler tout son foutre, au goût âcre,
- tu m'as bien sucé, mec".
avec un petit "hommage" à Cadinot en prime!
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L'odeur de son sexe pénétra mes narines, et son goût flatta ma langue qui s'activa sur son frein aussitôt.
- t'aimes la queue, toi, hein ? Je l'aurais parié, dès que je t'ai vu. Je repère vite les salopes.
Il s'exprimait toujours très bas, et je devinais son état d’excitation à sa respiration courte, perceptible dans sa voix.
Continuant de le sucer j'émis un gémissement d’acquiescement même si ce langage un peu convenu me déplaisait.
- allez, bouffe-moi bien goulûment ! Tu m'as bien fait bander, faut assurer maintenant.
Il plaça une main derrière ma tête, et me la fit bouger de droite à gauche, légèrement. Je n'opposai aucune résistance.
- Sers bien avec tes doigts, et continue à sucer comme ça, oui. Mmm c'est bon là ! Vas-y salope, suce, suce.
Aux anges, j’accélérais mon va-et-vient, branlant doucement la base de sa queue. Il saisit mes cheveux dans sa main, et serra, m'en tirant un peu une poignée. Je gémis a nouveau.
- c'est bon, mon cochon! t'es au top! Continue comme ça et je vais vider mes couilles dans ta bouche affamée.
Sa main me tenait toujours fermement la tête, il me laissait descendre ma bouche sur sa bite, m'accompagnant dans le mouvement, mais forçait un peu pour gêner mes mouvements inverses. Il commençait à respirer de plus en plus fort. Alors il me saisit la tête de ses deux mains, me la tenant par les cheveux, fermement. Seul son gland était dans ma bouche, et je ne pouvais plus bouger. J'avais un peu peur qu'il me fasse vraiment mal. Je lui tétais le gland plus fort.
- Tu vas me faire jouir, mec. Ah t'aime ça, le foutre, tu vas t'en prendre ! Il appuya sur ma tête avec ses mains pour forcer ma bouche à enfourner sa bite plus loin.
Je gémis assez fort en résistant un peu. Mais il étais fort, et me fis descendre jusqu'où il voulait.
- allez faut me finir, maintenant.
Une bonne partie de sa queue dans ma bouche, ma tête immobilisée, il remplaça alors mes mouvements par de petits coups de reins, pas trop amples mais bien secs. Je compris ce qu'il voulait : me baiser par la bouche. je le laissai faire. Il desserra son étreinte, ne laissant qu'une seule de ses main derrière ma tête sur ma nuque, et je ne bougeai plus la tête, me délectant de sentir cette queue aller et venir dans ma bouche, contre ma langue, mon palais.
Il ponctua alors chacune de ses respirations d'un soufflement étouffé. "Hhhhhh... Hhhhhh... Hhhhhh..." Qui se mêlèrent rapidement de quelques gémissements : "Hooohhhhh, Gnnhhhh, Ouiihhhhhh..."
Je l'entendis respirer soudain très fort, et profondément. Je sentis alors avec un grand bonheur son gland gonfler encore, sa tige grossir un peu et devenir soudain encore plus raide.
- Putain je vais gicler.
Sa main serra mes cheveux, il cessa ses coups de reins, je sentis son bassin s'enfoncer encore dans le siège, l'entendis haleter...
- put... haaaan ! fit-il de manière étouffée. Je sentis les prémices de son éjaculation s'écouler de son meat sur ma langue. Il haleta alors pendant qu'il jouissait dans ma bouche, son bassin animé de petits soubresauts. Une première giclée longue et puissante de sperme chaud jaillit dans ma bouche, comme le jus épais d'un fruit mur. Dans ma bouche de nouveau immobilisée par ses mains puissantes. Je n'aurais pu me dégager de son étreinte si je l'avais voulu, et je ne le voulais pas ! A genoux sur la moquette de ce tgv, la bouche plaquée sur une belle bite d'un mec comme j'aime, en train de jouir de moi, en moi. J'avais ce que je voulais. Je me délectais de chaque lampée de sperme salé que je sentais inonder ma bouche. Son sexe était trop enfoncé pour que je puisse avaler. Je serrai bien les lèvres pour n'en perdre aucune goutte. Deux autres belles giclées un peu moins fortes que la première lui succédèrent, suivies de trois petites, plus espacées.
Puis, une dernière goutte s'écoula sur un dernier "haaahh" étouffé.
Son bassin se détendit, ses mains laissèrent ma tête reculer un peu, assez pour que je puisse avaler tout son foutre, au goût âcre,
- tu m'as bien sucé, mec".
avec un petit "hommage" à Cadinot en prime!
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