11 octobre 2020

Hormones à l'envers ! **



Certains jours, vous le savez, vous n'êtes qu'une lope. Vous vous levez le matin, et vous savez. Vous savez que vous avez, une fois encore, les hormones à l'envers. Les yeux à peine ouverts, encore à moitié dans vos rêves de la nuit, une douleur intense mais voluptueuse vous occupe le bas-ventre. Seul ou accompagné, vous savez ce qu'il faut faire: éteindre rapidement l’incendie; se saisir de l'engin, douloureux,  gonflé de sang et assouvir le plus rapidement possible cette irrésistible envie. Mais, certains jours, vous le savez cela ne suffira pas. et aujourd'hui, justement est un de ceux-là.
 Peut-être irez-vous vous branler trois fois aux toilettes du bureau, sans doute dévisagerez-vous avec votre regard brûlant la moitié des mecs croisés en ville ou au bureau. Mais cela ne suffira pas. Vous avez une irrépressible envie de, pardonnez-moi l'expression", vous faire défoncer" ou rencontrer l'étalon qui vous comprendra et saura vous satisfaire .
Alors, dès le bureau quitté, vous filerez dans ce grand sauna des boulevards, vous brulerez des yeux tout ce qui passera près de vous avec un membre suffisant pour étancher votre soif, éteindre ce feu qui vous consume.
c'est dans cet état que je l'ai trouvé, errant dans les couloirs du sauna. c'était une journée "naked" et il couvrait maladroitement son sexe avec la minuscule serviette distribuée ces jours-là; comme pour mieux mettre en valeur la seule chose qui nécessitait l'intervention de tous: son arrière-train qui dégageait des hormones à plein nez. Il y a des jours comme ça aussi,   on part avec le cul en feu et on se retrouve à vouloir éteindre l'incendie d'un autre. 
il a joué quelques instant avec ma queue dans la petite salle de cinéma; la jaugeait, la gobait tandis que je me concentrais sur l'action du film.  Plus elle grossissait dans sa main ou sa bouche, plus il soupirait d'admiration et de contentement. Jusqu'à se mette à califourchon sur moi et ni une ni deux s'empaler sans la moindre contrainte. Conquis, il s’est retiré, à la grande déception de l’assistance qui déjà se pressait autour de nous, pour me susurrer à l'oreille tout ce qu'il voulait que je lui fasse avec ce "merveilleux braquemart", qu'il habitait tout près et que l'on serait bien mieux chez lui.
Bon, j'ai cédé devant toutes ces promesses; ce mec était visiblement encore plus brûlant que moi, on allait se donner à fin de. Finalement, cette proposition m'allait très bien.
À  peine arrivés chez lui, sans aucune cérémonie ni blabla, nous nous sommes déshabillés et rejoints sur son grand lit; il ne bandait même pas ou à peine. Ce qu'il souhaitait vraiment et uniquement c'était de se faire défoncer longuement, profondément, intensément. Cuisses levées,  il s'est écarté les fesses et  m'a présenté son cul.
       

position 1 :j'ai commencé par lui soulever la jambe pour le mettre en position et admirer "le terrain" tout en flattant mon vit pourtant déjà bien dur. j'ai humecté et tapoté son rectum du bout des doigts puis ma langue à continué le travail,  c'était déjà bien dilaté, ce salaud avait effectivement très envie! 
 Même s'il s'est un bref moment inquiété de la taille de ce qui allait lui donner du plaisir, je n'ai pas eu grand mal à m'empaler profond en  lui . j'allais et venais, mes couilles battaient contre son cul et c'est un bruit qui a pour effet chez moi de m'exciter encore plus que cela soit les miennes ou celles de mon compagnon contre moi.
Position 2, une de mes préférées, j'ai basculé ses jambes contre son torse afin d'avoir son cul bien ouvert tout à moi et le pénétrer profondément de tout mon poids, l'avantage aussi c'est que de temps en temps on peut prendre une légère pose et admirer la grande œuvre de dilatation, le grand œuvre des corps qui s'acceptent!
position 3, plus classique mais tout aussi efficace , je l'ai positionné sur le ventre tandis que mes mains pesaient sur ses hanches afin de l'aider à mieux se cambrer,  mon corps s’affaissait de tout son poids sur lui en le pénétrant, lui arrachant des râles de plaisir. Là encore mes couilles s'en donnaient à cœur joie à cogner contre ses fesses.
position 4 et 5, chaud comme nous étions et son cul prêt maintenant à tout recevoir, j'ai voulu lui faire découvrir le bonheur d'avoir des couilles toutes entières en lui. ce n'est pas chose aisée, mais avec le "ballstretcher" enfilé en arrivant, c'était relativement facile tant il était "ouvert". 
Mes couilles en lui, je me branlais au dessus de lui tandis que ses muscles jouaient et excitaient mes boules dans ses entrailles. c’était délicieux, un plaisir rare et inouï.
Puis j'ai continué ainsi à le chevaucher, allant et venant, me retenant par moment, faisant durer le plaisir.
Position 6, à califourchon sur lui, j'ai tenté de l'empaler avec mon sexe et mes couilles, c'était dément ce que ce mec pouvait engloutir sans difficulté! quel bonheur de l'avoir rencontré justement aujourd'hui!
enfin, après avoir travaillé longtemps la bête, j'ai voulu lui faire un ultime plaisir. Ma main doucement a joué avec ses parois anales, entrant peu à peu en lui. Mon Dieu comme c'était facile, mon Dieu comme il aimait ça! tout son corps se cambrait comme pour épouser cette main qu'il accueillait si généreusement, cette bouche qui lui mordillait les fesses.
 Après tout ce travail, ma queue se sentant  bientôt au large, je l'accompagnait de ma main. l'orgasme était proche, j'ai joui très vite complètement excité, bouleversé par ce  cul béant devant moi et qui m'avait donné tout ce que je souhaitais.
enfin, après ce don magnifique il a pensé à lui, sur le dos, tandis que je le pénétrais doucement il s'est branlé rapidement. j'ai recueilli alors sa semence pour lui offrir en communion; il a fini par me sucer consciencieusement et nettoyer ma verge des restes de ma propre semence.
un soirée de rêve, vous dis-je!

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