01 octobre 2020

jour de repos

Julien  était là pour le boulot. Une semaine déjà qu'il était dans cette belle ville méditerranéenne sans rien en connaître que le trajet entre son hôtel et la tour de verre où il passait le plus clair de son temps.
Mais aujourd'hui c'était samedi, son premier jour off, le temps en ce début d'automne était superbe et il voulait bien profiter de cette parenthèse presque estivale.
Son hôtel était à quelques minutes de la plage et il était bien décidé à y aller pour se détendre, se baigner et mater un peu. Bref, une belle tranche de farniente.
 Après sa douche matinale et le petit déjeuner,  il partit léger,  un simple short blanc sur son maillot de bain, un tee-shirt et un petit sac avec un bouquin  une bouteille d'eau et sa serviette de bain. 
À son arrivée sur la plage il fut surpris de voir que celle-ci , en pleine ville, était naturiste et principalement masculine. 
Il s'installa sur le sable  et se déshabilla, restant nu sur sa serviette. 
Il passa ainsi la matinée à lire, se baigner,  Somnoler  et surfer sur son smartphone. 
Vers 13 heures, la plage se trouvait un peu plus fréquentée ;  les serviettes s'étaient densifiées et il  était maintenant entouré de mecs en groupe, en couples ou seuls,  pour la plupart nus.  Voir ces corps bronzant,  se promenant,  allant et venant à l'eau ou simplement se douchant tout autour de lui était plutôt plaisant et.. excitant. Cela lui rappelait que trop qu'il était seul dans la ville. Il jeta un coup d'œil sur une application de rencontres sur son smartphone et, bien sûr,  le choix était pléthorique!
Parmi les annonces proches il en remarqua une plus particulièrement. Le mec était dans sa voiture et était disponible NOW. Dans les trente ans annoncés,  plutôt pas mal et une queue massive. Il se décida à entrer en contact et lui envoya un bête et banal "holà ". Après  les échanges banals habituels, le gars lui demanda de lui montrer "la marchandise ".
Avec son smartphone en live,  il se filma et fit un gros plan sur sa queue qui gonflait en direct live.  Quand elle se retrouva bien raide contre son ventre, son interlocuteur, "Miguel" le complimenta et fit de même.  Son smartphone positionné sous le volant, Miguel l'allécha avec un vrai obus qui se déployait à travers la braguette du pantalon.
Miguel lui indiqua comment de la plage accéder à lui. Il se trouvait effectivement tout près  sur un dégagement entre la plage et la voie express.
- L'endroit est public,  même si peu fréquenté à cette heure,  mais j'aime ça,  baiser avec l'adrénaline du danger,  à toi de voir,  lui dit Miguel.  De plus il filmait tout "juste pour ma collec" ajouta t'il, à prendre ou à laisser.
Pourquoi pas, se dit-il,  lui aussi aimait les situations hors du commun; il répondit  "ok, j'arrive ".
Il se leva, bandant encore légèrement et alla prendre son tour à la douche de la plage. il sentait, en attendant qu'une douche se libère,  les regards discrets ou pas des mecs sur son entrejambe mais cela lui était égal voire plaisant. Après sa douche,  sans prendre à peine de temps pour se sécher,  il enfila son short,  rangea ses affaires dans le sac, resta torse nu et partit vers le lieu de rendez-vous. 
Julien  longeait maintenant, un sentier arboré en-dessous de  la voie express.  Il se dirigeait vers une voiture grise arrêtée, portière ouverte à côté d'un passage sous la voie.   En s'approchant il vit, à quelques mètres,  un smartphone vissé sur un trépied. Un homme attendait au volant de la voiture. Il s'approcha encore.
- Miguel ?
En guise de réponse,  l'homme ouvrit sa braguette. Il reconnu  la massue entrevue il y a peu sur l'application de rencontres.
Il s'approcha de nouveau, Miguel resta dans la voiture. Il se baissa pour toucher. Elle était brûlante ; elle se dressa un peu plus encore à ce premier contact,  il la décalotta et les premières gouttes de mouille vinrent sur sa main. Julien bandait dur et sa queue libre de se mouvoir dans le short sans slip poussait contre le tissu. Il porta sa main humide de mouille à ses lèvres tandis que Miguel  après avoir caressé sa queue à travers le tissu du short, le déboutonna. Il était maintenant,  nu, le short sur les chevilles, la verge dressée, à la merci d'un éventuel promeneur. Il jeta un regard affolé à droite et à gauche ce qui le fit débander un peu.
- ne t'inquiète pas,  je te l'ai dit il n'y vient jamais personne et si jamais, il ne peut venir que de devant et on le verra venir de loin. Viens maintenant, dit-il en tirant  sur ma verge pour m'attirer vers lui, goûte à ma queue. 
Il se baissa, regarda quelques instants cette ogive de belle taille offerte,  son gland  massif entièrement découvert. Il posa sa bouche entrouverte dans la toison abondante et noire et Miguel d'une main sur le crâne de Julien, le maintint là un moment.

-Vas-y, suce-moi
Julien ouvrit la bouche, posa se lèvres sur le gland humide, puis se mit à le caresser avec sa langue,  il n'en pouvait plus d'excitation, il aimait sentir la poigne de Miguel sur sa nuque et plongeant d'un seul coup, comme désespéré, il l'engloutit d'un seul coup.
C'est trop bon, cette masse de chair brûlante, dure qui vibrait dans sa bouche. Miguel agrippé d'une main à ses cheveux l'enfonçait encore plus au fond de sa gorge, tandis qu'il le branlait de l'autre. 
Julien se redressa pour se reposer un peu et laisser Miguel,  toujours assis à sa place le sucer à son tour, les mains agrippées cette fois à ses fesses. 
Il regardait ce mandrin dressé, battre contre le ventre de Miguel et il en eût envie. Il voulait cette pine en lui. Il ne voulait plus soudain que cela, s'empaler dessus. 

Il se retourna soudain et en se cambrant, il s'écarta les fesses.
- baise-moi!
Miguel fourra son visage dans sa raie et il sentit sa langue fourailler sa rondelle. 
- hmmm! Salé! Ça sent la mer s'exclama Miguel avant d'y fourrer de nouveau sa langue et avant surtout d'y glisser ses doigts sous les premiers gémissements de Julien. Après quelques minutes délicieuses, Miguel, recula son siège voiture puis l'attira vers lui. Julien se mit à califourchon sur Miguel face au volant et gémit quand il sentit le gland pousser contre son œillet, ce n'était pas une "mince affaire"! Miguel fouilla alors dans le vide poches de la portière, sortit un flacon de gel et tartina sa verge et le cul de Julien. qui se laissa tomber sur ce vit dressé. Des étoiles plein les yeux, Il hurla, tandis que cm par cm cet engin le pénétrait. Quand enfin il sentit les cuises de Miguel sur ses fesses, ce fut comme un soulagement. Et il entama lui-même ses va-et-vient tandis que Miguel lui travaillait les tétons. Ce fut vite épuisant car l'espace réduit de l'habitacle rendait difficile l'opération.
- viens, sortons, proposa Miguel.



Julien s'accrocha à la carrosserie, écarta les cuisses, tandis que Miguel, l'empalait de nouveau.  Les coups de reins se firent plus intenses, plus rudes; Julien adorait le bruit de cette queue défonçant ses sphincters qu'il serrait le plus possible arrachant des soupirs de plaisir à son compagnon... Il adorait aussi, sentir les couilles de ses partenaires battre son entrejambe à chaque coup de butoir donné et avec Miguel,  il était servi.
Tout d'un coup, au loin, un vieux monsieur apparu, promenant son chien... 
Miguel,  s'arrachant de Julien, regagna l'habitacle, le laissant debout à poil, le cul ouvert!
- Viens, l'intima Miguel, le tirant à lui par la verge, colle-toi derrière la portière et dis-lui bonjour! pendant ce temps je m'occupe de toi et il goba son vit! 
C'est, les lèvres de Miguel collées à sa toison que Julien salua le vieil homme et son chien;
- Holà!
Celui-ci ne leva même pas les yeux du sol et continua son chemin. À  peine eut-il le dos tourné que Miguel vint se caler de nouveau derrière lui, et remis le paquet à coups de reins. 
Julien sentait en lui, cette bite le défoncer, sentait ces veines gonflées de sang glisser contre ses sphincters serrés et  bientôt quand il ressentit chacun de ses  puissants soubresauts, il sut que Miguel, dans un dernier et terrible coup de butoir, soudés l'un à l'autre, dans un profond spasme, allait jouir, envoyant en lui de longues salves de foutre.

Les corps se séparèrent,   et tandis qu'un mince filet blanchâtre coulait le long de la cuisse de Julien, Miguel se mit à genoux sur le sol, s'empara de sa queue, le branla, jusqu'à le faire jouir à son tour, inondant son torse de semence. Miguel,  essuya voluptueusement cette longue tige qui déjà poussait et se releva 
Julien,  d'une caresse,  en souriant, essuya son sperme du torse de Miguel. 

Julien remis son short et son tee-shirt,

- je crois que je vais retourner à la plage, j'ai envie d'un bon bain.
- Adios amigo, c'était super! Donne-moi  ton courriel,  je t'envoie le film souvenir !














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