10 mai 2021

rêve humide


En cette nuit d'été,  la chaleur est encore épouvantable.. malgré une longue douche froide,  il m'était impossible de dormir dans la chambre de cette maison de vacances.  A force de tourner et tourner dans mon lit, je suis allé m'installer dans le garage, peut-être la pièce la plus fraîche car il est en partie, creusé dans la roche. 
Mais, malgré cela,  j'ai encore quelques difficultés à m'endormir.. Je me retourne sans cesse dans les draps humides de ma sueur... et s'il n'y avait que la chaleur.... mais je suis chaud bouillant,  j'ai les hormones à l'envers !.. toute cette journée passée sur cette petite plage et cette soirée à chercher un peu de fraîcheur sur la place du village proche de la maison.. j'ai passé mon temps à mater les  jeunes du village qui déambulaient, jouaient,  se baignaient en bande ; corps bronzés en slips de bains, bagarres ludiques,  grattage de couilles caractéristiques des italiens du Sud.
Et, ce soir, tous draguant en meute, remontant et descendant les ruelles du village embaumant la vague fraîcheur du soir d'effluves  d'eau de Cologne..
Dans ma quête du sommeil,  je me caresse en passant en revue, tous les ragazzis, les bruns, les roux,  les blonds entrevus aujourd'hui... Je pousse les draps humides de mon corps,  je bande et me caresse.. ma main se glisse entre mes cuisses,  malaxe mes couilles,  cherche ma  rondelle.. et je délire... 

J'imagine, le roux au corps massif qui jouait au volley vêtu d'un simple short de foot trop large qu'il devait remonter à chaque vague laissant apparaître des fesses bien blanches ou une toison incandescente  sans compter ses poses lascives sur le sable,  jambes bien écartées qui montraient par moments une vue sur son entrejambe ... et le blond au cheveux longs en slip de bain blanc DG qui devenait translucide au sortir du bain,  le grand brun plat comme une limande,  cramé par le soleil,  le seul qui s'est enlevé le slip de bain sans pudeur offrant un cul blanc et une verge impressionnante...
A tous ces mecs,  je leur donne rendez-vous ici pour mon plus grand plaisir...
Ils arrivent les uns après les autres,  dans le grand vestibule.  Combien sont-ils ? Je ne sais.  Ils se dévêtissent lentement. Les chemises blanches,  les t-shirts moulants , tombent. Certains s'entraident; chaque geste s'accompagne d'une caresse,  d'un baiser effleuré. 
Les ceintures se défont,  les braguettes se déboutonnent,  les pantalons tombent sur des chevilles puis rejoignent les petits tas soigneusement pliés aux pieds.  Tous maintenant marquent une pose, se rapprochent, se tiennent qui par l'épaule qui par la taille, comme pour me permettre de les admirer et il est vrai qu'une intense sensualité se dégage de ces quelques instants.  Certains sont en slips, d'autres en caleçon où en boxer,  le grand brun est nu déjà.. sa verge à moitié dressée accompagne son regard perçant. 
Puis les sous-vêtements rejoignent eux aussi les petits tas de leurs vêtements et tous s'approchent de mon lit. 
Ils m'entourent,  en un cercle serré de corps lascifs qui s'enlacent,  se caressent de verges dressées qui sont branlées et de couilles qui balancent.
Je suis en trance,  ma verge dressée à rompre dans ma main , je tire tellement fort que mon prépuce est aux limites...
Autour de mon lit,  c'est une ronde diabolique qui bientôt rompt le silence de la pièce par un chœur lancinant de soupirs,  gémissements, halètements et me jette les premières salves de foutre qui atteignent mon torse , mon ventre suivies par d'autres et d'autres encore que je porte systématiquement,  religieusement à ma bouche pour communier. 
Quand enfin tous ont jouit,  tous attendent que je mêle ma semence à toutes les autres.  Après cela seulement,  ils quitteront la pièce me laissant seul,  apaisé avec mon rêve.. peut-être maintenant pourrais-je enfin dormir ?!

 




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