09 janvier 2024

un combat perdu d'avance

 


Je l'ai rencontré sur un forum spécialisé pour les amateurs de lutte et particulièrement de lutte érotique voire sexuelle.  Quand je dis que l'on s'est rencontrés c'est un bien grand mot ! De fait on n'a fait que chatter sur le forum. Pour échanger sur nos fantasmes respectifs qui finalement sont semblables.  On aime bien voir les combats de lutte en singlets et par dessus tout les combats dont l'objectif est de débarrasser l'adversaire de sa tenue pour terminer nus.  Les combats en jock-strap et les combats huilés nous excitent bien et moi j'aime beaucoup mais c'est plus rare les combats dans la boue. 

Quand on parle de combats,  on parle bien de combats dans les règles ( ou à peu près les règles) pas ces simulacres où ils font de vagues poses ou prises et se jettent l'un sur l'autre,  simple prétexte à baiser. 

Je ne suis pas un champion de lutte mais ayant passé une bonne partie de mon adolescence aux États-Unis,  j'ai pratiqué et j'ai,  même si j'ai beaucoup perdu,  un niveau acceptable. 

Lui,  il s'appelle Jeff,  est plus âgé et a également pratiqué dans un club parisien. 

Je ne sais pas à quoi il ressemble ni lui d'ailleurs.  Mais. Il y a quelques jours, l'idée nous est venue de nous organiser une rencontre combat.. comme on les aime.. Le vainqueur ayant la primauté sur le vaincu.

Le rendez-vous était fixé dans un ancien atelier abandonné de menuiserie,  dans une arrière cour d'un vieil immeuble proche de la bastille.  Le local, éclairé par une grande verrière, était très lumineux. Partout gisait un fatras de cartons,  bouts de bois,  vielles machines,  dernières trace de l'activité passée.  Au milieu du local,  il avait disposé des tapis de sol sur lesquels nous devions combattre. 



Il m'attendait bien sûr.  Je le découvrais enfin et comprenais du même coup que je n'avais aucune chance de gagner.  Une quarantaine bien sonné , plus petit que moi, il était cependant bodybuildé genre bear.  Pas du tout mon genre mais avec une bonne gueule attachante.  Il était vêtu d'un banal jogging dont la veste à moitié ouverte laissait apparaitre une poitrine velue. 

De mon côté,  j'étais encore en costume cravate car je sortais du bureau.  Après un simple " salut " il s'est immédiatement mis en tenue.  Il faut dire qu'il n'avait que sa veste de jogging à ôter et son pantalon pour se retrouver devant moi en jock-strap. 

Viens mec, t'attends quoi , déshabille-toi M'a t'il éructé.

J'avais les yeux rivés sur la masse de muscles qui se trouvait devant moi.  Tout était massif sans parler de ce qui était recouvert par le tissu blanc du jock-strap. Je me suis dévêtu,  bêtement gêné car je ne savais pas où mettre mon costume dans ce cadre poussiéreux et sale.  Le Jock-strap que je portais  était le plus vieux que je possédais et il pouvait à peine rester en place tant il était détendu ce qui provoqua chez lui un petit rire ironique..

- chaud ton jock-strap mais... plus facile à ôter ! Dit-il ironiquement  amusé par mes hésitations.

 Je me décidai enfin à me placer sur le tapis un peu crâneur, les mains sur les hanches, comme pour compenser la gêne de me montrer avec ce jock pourrave, usé jusqu'à la corde ; des touffes de poils dépassaient de la ceinture et il fallait bien coincer mes couilles dans la poche effilochée car elles en sortaient pratiquement; deux oranges pendantes qui auraient cependant fait la fierté de n'importe quel jeune lutteur.

À  ce moment là, par une porte que je n'avais pas repéré,  j'ai vu arriver une petite dizaine de gars qui se sont approchés tout autour de la zone de combat. 

J'ai regardé Jeff, interloqué; il a sourit, 

- j'ai invité quelques mecs pour mater,  j'ai compris de nos échanges que t'étais plutôt exhib et moi aussi..

Il me dévisageait en me scrutant de haut en bas. Il était vraiment costaud; des poils noirs couvraient sa poitrine puissante pour descendre effilés vers son bas-ventre, son jocks bombé était rempli du désir d'un bon combat et sans aucun doute, bandait-il déjà un peu. Ma propre queue commençait elle aussi à épaissir et je craignais que ma verge émerge subitement de ce vieux bout de tissu. J'avais subitement l'impression que la situation m'échappait complètement.. Je réalisais soudain que j'allais combattre un mec plus costaud et plus expérimenté que moi, à peu près à poil, visiblement excité par la perspective de notre corps à corps et moi aussi.. tout cela laissait présager d'une façon à peu près certaine l'issue du combat...

Je suis un lutteur résistant mais Jeff connaît bien son truc, en un rien de temps j'étais à plat ventre sur le tapis, sa main musclée au niveau de mon jocks essayant de me retourner, je m'étais calé mais il persistait et réussit à attraper mon paquet en sueur avec la manière traînante des gens du sud.

A l'occasion d'un match amateur il arrive qu'un adversaire s'empare de votre bite et de vos couilles pour reprendre le dessus, mais on porte un maillot de lutte et là, merde, Jeff s'en emparait fermement.

Dans un intense effort j'ai pu me dégager et me retourner pour le regarder. Dans ce mouvement, l'intensité du combat avait baissé la ceinture de son jocks au ras de sa bite, ses poils apparaissaient totalement aux autres gars qui regardaient le combat ; Soudain troublé un instant de trop, une main me saisit à la gorge l'autre agrippe calmement mon paquet en sueur pour essayer de me clouer le dos au sol et marquer des points.

Je me suis dégagé de nouveau et pendant quelques secondes, là sur le tapis l'angle me permettait de voir contre mon visage, la totalité de son cul poilu. Mon coeur et ma bite palpitaient d'excitation, j'ai regardé alors vers mon paquet, sûr en fait que ma queue était tendue au maximum, essayant de forcer le passage de la ceinture de mon jocks. Mais, par surprise, il a repris le dessus et je me suis retrouvé tout contre son bas-ventre. La ceinture de son jocks avait glissé et j'avais devant le nez sa touffe abondante de poils et la racine de sa bite puissante.  Dans cette position,  tête-bêche,  j'ai senti un instant son souffle chaud contre mes fesses.. juste avant qu'il fourre sa bouche entre mes miches pour lécher d'un coup de langue ma raie provoquant la joie des spectateurs. 

Pour me plaquer au tapis, il s'est soulevé subitement pour se laisser tomber sur ma poitrine, ses couilles pleines et poilues écrasées contre l'angle de mon menton, une poussée brutale des hanches et mon nez et ma bouche se retrouvant enfouies sous son paquet odorant.

Il était en train de m'avoir avec son putain de paquet.

Je me suis cabré, mes dents ont arraché les poils raides de ses couilles à la base du périnée. sa queue gonflait encore et encore. Cela l'a rendu comme fou et il a accentué la pression plus bas sur ma poitrine; il était plus raide que jamais. Nous luttions violemment dans cette position difficile. Moi pour me dégager, lui pour me plaquer au sol et chaque tentative faisait se frotter sa verge contre le tissu rêche de la poche de son jockstrap et soudain , excitée par ces frottements, sa queue a juté contre le tissu humide. Tout en suçant les poils humides de ses couilles,  quelques gouttes de foutre sont venues sur la langue et enflammé par cet événement, je me suis laissé aller et j'ai jouis à mon tour dans la poche usée de mon jocks favori.

Ce petit moment d'abandon, a suffit pour que Jeff prenne le dessus, m'arrache le jock-strap et gagne la manche. 

En me relevant, je me suis aperçu, je l'avais oublié durant le combat, que tous les autres regardaient. 

Mais, nulle surprise dans la bande, debout face à eux,  moi à poil,  le sexe presque raide et dégoulinant de sperme,  Jeff le sexe à peine couvert par le tissu de son jockstrap trempé de foutre tous applaudissaient. J'ai parcouru du regard l'assistance, tous étaient soit nus soit vêtus uniquement de jockstraps. La plupart bandait et un des gars assis sur la touche, avait sa bite raide qui sortait de son jock ainsi que ses couilles poilues. 

J'hallucinais! voilà que, sans façon,  on se trouvait entourés de mecs.  Encore plus nombreux se trimballant à poil, bandant juste en nous matant combattre....

 Le top donné, déterminé à rétablir les équilibres, je me suis lancé frénétiquement sur Jeff. Je l'ai pris à la taille pour le renverser, avec succès, dans la surprise de la puissance de mon attaque, j'ai réussi, un peu violemment je l'avoue, à lui arracher son jockstrap sous les bravos des autres.  Voilà,  égalité, nous étions nus tous les deux. Enfin sa lourde verge  légèrement raide était enfin offerte tous.

Quelques prises plus tard, j'ai réussi à le renverser sur le dos et me mettre à cheval sur lui. Voir ma queue légèrement tendu et mes couilles posées sur son ventre était très excitant.  J'ai caressé ses tétons pour marquer des points. Lui aussi était très excité visiblement. Je lui ai plaqué les bras au sol au-dessus de la tête et réussi à l'embrasser. Ses lèvres charnues, avaient un léger goût sucré, un vrai régal. Pourtant, quelque chose m'a tracassé : il m'a embrassé également avec beaucoup d'entrain, comme s'il n'avait pas conscience que les points étaient comptés sur ça. Peut-être que son excitation avait pris le dessus sur son désir de victoire. 

À chaque coup de force, j'entendais les murmures du public.

J'étais de nouveau sur lui, ma queue dressée et les boules à quelques centimètres de son visage;  sous la pression du  public, il a ouvert la bouche et a gobé mon gland . Bloqué dans cette position j'ai saisi 

d'une main son sexe qui tenait à peine dans ma main tant il était gros puis j'ai pris ses couilles en main et tiré fortement dessus ; applaudissements du public !

Soudain, j'ai senti son corps se rigidifier. Sans comprendre ce qu'il m'arrivait, il m'a désarçonné et je me suis retrouvé maintenu, les bras en arrière, et lui derrière moi. Mon torse bombé et ma queue dressée livrés en pâture à ce public d’yeux lubriques. Jeff m'a coincé les biceps de mes deux bras dans son bras gauche, afin de se libérer le droit. Toujours face au public il a commencé à me toucher, ça a commencé par de douces caresses sur le torse, qui n'ont pas tardé pas à devenir plus dures. Puis il m'a tiré les tétons, les a tournés, pincés. J'ai gémis de douleur. Il a descendu sa main et empoigné mon sexe tendu. Il m'a masturbé vigoureusement puis lentement, langoureusement, tendrement. Il a pris son temps, il s’est appliqué pour le show et le plaisir du public sans doute les yeux levés au ciel, j'ai soupiré sous l’excitation et sous la contrainte. En un instant, je me suis retrouvé plaqué au sol sous la clameur émerveillée de l'assistance. Sa main de colosse serrée sur ma nuque pour me maintenir couché.

Le public applaudit. Le public riait.

Je réussis à me dégager.

La lutte s'éternisait, s'intensifiait. Je me suis bien débrouillé pourtant je sentais bien que les rôles changeaient. C'est lui qui avait le dessus maintenant, et je commençais  à fatiguer, ce qui ne jouait pas en ma faveur. Lui, de son côté, semblait avoir conservé toute sa vigueur. Comme s'il s'était économisé exprès pour mieux asseoir sa victoire le moment venu.

Nos corps luisaient de sueur  tant l'effort physique est intense.


Tout à coup, Jeff m'a plaqué face contre terre. Il m'a fait une habile clé de bras et m'a retourné le bras gauche dans le dos; jubilation du public.

Je suis complètement immobilisé, maîtrisé, à sa merci. J'essaie de me débattre, en vain.

Il a porté sa main libre à ma bouche, et m'a introduit deux doigts. J'ai fortement salivé sous l’intrusion de ses doigts envahisseurs. Quand il en a eu assez, il s'est redressé, sans lâcher la pression de la clé de bras, et s'est tourné vers mes fesses. Il m'a palpé le cul d’une main et a commencé à me titiller le trou avec ces mêmes doigts qu'il avait glissés dans ma bouche quelques instants auparavant.

Les murmures du public toujours plus nombreux me parvenaient à mes oreilles, il y a maintenant une bonne trentaine de mecs bien excités ; j’ai le temps de voir que certains sont torse nus, d’autre en slip et d’autres à poil, chaude ambiance !

- L'humiliation. lancent les uns.

- Ouais ! répondent les autres.

- C'était couru d'avant, t'as vu leurs carrures. renchérissent certains.


Jeff quant à lui, a commencé carrément à me doigter le cul encouragé par les applaudissements. 

Trop fort pour moi, j’étais bien obligé de l'admettre : j'étais impuissant à me dégager.... Et puis, j'aimais ça...


Il a  joué encore avec moi un long moment, m'exposant aux railleries du public. Il a rajouté une couche, en me soumettant à la fessée devant tout le monde. 

Il a aussi profité du fait que je sois baissé pour m'écarter les fesses. Je m'attendais à ce qu'il me pénètre directement. Pourtant, il n'en a rien fait. Il m'a caressé le cul, l'a palpé, titillé le trou et m'a enfilé un doigt puis prenant en témoin l’assemblée des spectateurs qui faisaient maintenant cercle autour de nous, montré ma rosace.

 

- Alors les gars, vous êtes jaloux ? C'est MON trophée !  a t-il lancé aux mecs qui mataient, certains se branlant. Vous allez voir je vais le ramoner ce petit trou, le décalaminer !

Jeff debout, m'a fait mettre à genoux ; . Il s'est approché lentement de moi, jusqu'à ce que son énorme bite soit juste devant mon visage. Il m'a regardé de haut, 


- Maintenant tu vas me sucer. Encouragements du public.


Timidement, je l'ai prise à une main, et ai commencé à la branler en embrassant son gland avec la bouche. Une main ne suffisant pas, j'ai utilisé les deux, et même comme ça, c'était un peu juste tant il était bien pourvu.


Au fur et à mesure qu'elle durcissait j'ai pris peur. Je ne serai jamais capable de prendre ça en moi! beaucoup trop gros!


J'ai commencé à lui lécher le gland. Tendrement. Langoureusement. Tant que son gland est dans ma bouche, je m'efforce de le polir avec ma langue. Mais très vite, il s'aventure plus loin, dans ma gorge. Puis,  semblant perdre patience. Il m'a pris la tête, et forcé son sexe dans ma bouche à coups de reins

Même avec toute la bonne volonté du monde, je m'étrangle presque dessus. La salive commence à perler au coin de ma bouche, puis à couler sur mon torse. Impossible de déglutir, son sexe bloque tout mouvement des muscles de ma gorge. Jeff lance :


- caresse-moi les couilles, plus fort, tire dessus, hmmm, t’arrêtes pas de me sucer en même temps !


Pendant ce temps, les autres mecs continuent à se branler plus loin. Certains ont déjà jouit, ça sent le foutre et la sueur ; j’aime ça, D'autres spectateurs viennent grossir le public, ceux qui étaient déjà là leur expliquent la situation. Pour eux, l'ambiance est bon enfant. 


Finalement, Jeff en a eu marre. Il s'est retiré de ma gorge et m'a laissé à genoux, à moitié en train de tousser, haletant et le torse couvert de salive.


- J'ai une idée ! Tu vas me lécher les pieds pendant que je prépare ton joli petit cul pour le bouquet final !


Sur ces mots il a posé son pied devant moi. J'ai hésité un instant. Je l'ai regardé sans vraiment comprendre.

Résigné, j'ai baissé les yeux et posé ma bouche sur le dessus de son pied pour l'embrasser.


Pendant ce temps, Jeff s'est emparé d'un tube de lubrifiant et s'en est badigeonné la main droite. Il m'a ensuite écarté les fesses et commencé à me doigter le cul, lentement, doucement. Je me suis  alors senti envahi d'une sensation de chaleur. C'était trop bon...


Ça a duré un long moment comme ça. Il devait être habitué à bien préparer les mecs avant de les prendre... En même temps, vue la taille de son engin...


Lorsqu'il a estimé que j'étais  suffisamment ouvert, il a pris à témoin les spectateurs qui avaient vue directe sur mon cul



- Alors, c’est bien ouvert ?! il est bon pour le service ?


- Ouais ! baise le à fond criaient-ils derrière moi.


 il s'est alors placé derrière moi, à genoux devant mon cul cambré, tendu.


Il s'est branlé un peu, puis a posé ses deux énormes paluches sur mes fesses pour les écarter. 

Soudain, son gland s'est posé contre mon trou. J'ai tressailli d'excitation. 


- Aaaah, alors maintenant tu couines ?


Il m'a caressé l'anus du bout de son gland. Tentant de temps en temps, une petite poussée contre ce dernier, mais sans jamais pénétrer vraiment.

Face contre terre, j'étais électrisé.  


Chaque poussée de son gland contre mon trou se faisait plus forte, plus insistante. Pourtant, il n'était toujours pas décidé à m'empaler.



Puis, enfin, je sens son gland pousser plus fort contre mon trou. De plus en plus fort. Jusqu'à passer la porte. Il est en moi, ça m'arrache un gémissement fébrile, aigu.


Ils s'enfonce en moi, lentement, très lentement. Et ça commence à me faire mal.




Bordel, sa bite est vraiment énorme. Chaque centimètre enfoncé me paraît comme cent. Le cercle autour de nous se resserre ; tous veulent voir ce braquemart aller et venir dans mon cul ; des bites tendues se rapprochent de notre couple, certaines sont si proche de mon visage que je pourrais les engouffrer…


Je veux lui dire d'arrêter, de ralentir, de se retirer, mais les mots ne sortent pas. De ma bouche ne sortent que des gémissement lascifs qui lui laissent entendre que je prends mon pied. Et c'est vrai : malgré la douleur, je prends mon pied.


Peu à peu, la douleur s'estompe. Jeff est entièrement en moi désormais et les spectateurs applaudissent quand ils voient son bassin ne faire qu’un avec mes fesses. Il reste un moment entièrement empalé à moi puis Il amorce le retrait. Tout aussi lentement.


Puis il recommence à rentrer. Puis il accélère. Puis encore. Et encore.


Ça y est, il m'encule pour de bon. Ses mains sont agrippées sur mes fesses. Il les serre fort. De temps en temps, il ponctue ses grands coups de reins d'une fessée.


Je gémis, couine, soupire.


C'est trop bon.





Je ne vois plus les autres mecs. Je ne vois plus rien. Il n'y a plus que cette énorme bite en moi. La bite de Jeff. Ce sexe gigantesque qui va et vient toujours plus vite en moi.

De temps à autre il se retire pour admirer ma rondelle béante et en faire profiter les spectateurs qui sont derrière lui ; certains voudraient bien s’y engouffrer aussi ; à ce stade du plaisir, je suis prêt à tout !


Il me fait culbuter sous ses coups de reins. Après un effort incommensurable, les seuls mots qui parviennent à sortir de ma bouche sont :


- C'est si bon !

C'est trop. Tout en moi brûle. Je suis en train de jouir par le cul !


Ma bouche articule des paroles insensées qui suscitent des rires tout autour de moi. Ces rires parviennent comme étouffés à mes oreilles.

Pourtant, il continue. Il accélère la cadence. La jouissance me fait contracter les fesses, enserrant un peu plus fort son sexe en moi. Il semble apprécié car il redouble de vitesse dans ses assauts.


Un spectateur encore plus excité que les autres, s’est glissé sous moi qui suis à quatre pattes et me suce la queue ; Jeff n’a rien dit ; soit il n’a pas vu, tout occupé à me baiser soit il tolère.


Soudain, en parfaite adéquation avec cette jouissance anale qui secoue chaque muscle de mon corps, il pousse un râle viril.


Son sexe en moi convulse, ce sont les canaux qui vont pomper le sperme dans ses couilles pour le cracher dans mon cul.



Les jets partent avec une puissance incroyable. Et il s’enchaînent. Encore et encore. Sa bite semble ne jamais devoir s'arrêter de cracher son sperme chaud.


Son désir , son orgasme me font jouir moi aussi et j’éjacule à trois reprises dans la bouche du spectateur sous moi.


Je sens vaguement comme des fessées sur mon cul, mais la douleur ne m'atteint plus. Elle ne peut surpasser la jouissance qui me secoue.



Quand il a fini de remplir mon cul de sa semence, Jeff s'étale sur moi, et nous tombons tous deux allongés. Il ne s'est pas retiré de mon cul. Il me garde empalé.


Nous restons comme ça un petit moment, alors qu'il ne se retire , il m’écarte les fesses pour que les spectateurs puissent voir son foutre couler de mon cul .


- Qui veut goûter ?


Effectivement un spectateur vient, glisser sa langue entre mes fesses et recueille un peu de semence, vite écarté par un autre qui vient lui aussi lécher ma raie et le sperme qui coule le long de ma cuisse.


- Ok les gars, maintenant nous on va à la douche.



 

 





















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