16 mai 2024

mon pote Julien


Julien c'est mon pote, un vrai.  On fait plein de choses ensemble à commencer par nos cours à l'école d'architecture et les révisions le soir et les week-ends.  Je ne lui ai jamais caché que j'étais gay et il adore que je lui raconte mes aventures avec les mecs.  Lui,  ben il est hétéro.. hélas ! Lui aussi me raconte tout enfin je le crois.   Il est du genre sage.  Il a une copine attitrée que je vois de temps en temps  mais quand je pense au temps que nous passons ensemble,  il le vient de temps en temps des raisons d'espérer.. car Julien,  je l'aime. Je me fais du cinéma; il n'est jamais pressé de voir sa copine,  il me chauffe parfois,  surtout quand il insiste pour que je n'occulte aucun détail de mes sauteries,  même les plus intimes.  Des fois même, il me regarde en se touchant la braguette, 
- Putain mec,  ça me fait bander grave tes cochonneries !.. 
Une fois même,  il y a quelques jours,  il faisait très chaud et on papotaient en boxer sur le canapé, il se caressait et je voyais bien,  même si je faisais tout pour ne pas trop regarder qu'il bandait dur.  Soudain,  il a baissé son boxer, 
- tu vois mec,  un vrai  braquemart,  j'ai plus qu'à me branler...
J'ai rougi et je n'ai rien dit. 
De fait je tiens trop à lui et j'ai peur de gâcher notre amitié.. après tout,  je le persuade que ce sont des choses que font les super potes ensemble ?!
Des fois aussi,  quand un soir on a beaucoup révisé jusqu'à tard il reste ou je reste dormir.  Même si nos lits sont grands,  il n'est pas rare que l'on se réveille plus où moins enlacés et dans ces cas là,  le plus gêné,  c'est toujours moi. 
À la fin de l'année scolaire,  j'ai voulu lui faire une surprise. 



- surprise! Reserve ton week-end, prends quelques affaires avec toi et surtout un maillot de bain! 
Le samedi matin, il m'attendait comme prévu devant chez lui. J'avais loué un combi vw rouge pétant équipé en camping car. 
- c'est quoi ce délire ?! Me dit-il en montant à bord,  on va où avec cet engin ? Je suis pas un fan du camping moi !
- fais-moi confiance,  j'ai tout prévu,  on va être cool. 
- OK...
On a roulé plus ou moins 2 heures sur la route côtière.  Le temps était superbe,  on avait de la bonne musique et Julien était détendu et souriant.  J'étais bien,  je ne savais pas précisément où tout cela allait nous mener mais j'étais bien et heureux de sentir une profonde complicité  s'installer entre nous.  Une complicité différente de celle qui nous habite habituellement. 
On parlait peu mais on se regardait souvent et on se souriait.. je dirais tendrement.  Mon cœur battait à rompre.  Son sourire,  ses yeux semblaient dire, " je suis bien avec toi" ; il y avait beaucoup de tendresse,  je l'aurais juré..
Nous nous sommes arrêtés au bord d'une longue plage déserte.  Nous avons couru en riant comme des dératés vers l'eau. Elle était glacée encore mais c'était un réel plaisir de marcher le long de la plage,  les pieds dans l'eau des vagues. 
Et puis,  il a pris ma main.  Comme ça,  naturellement.  Je l'ai regardé,  on s'est sourit et c'était bien. C'était dans l'ordre des choses.  Peu après, nous nous sommes assis sur le sommet d'une petite dune pour contempler la mer.  Mon pied caressant le sien,  main dans la main,  on parlait de tout et de rien.  On se regardait souvent,  amoureusement,  j'en étais maintenant persuadé, et on se souriait.  Et puis, puis,  après un long regard,  nos sourires se sont effacés,  nos visages se sont approchés et nous nous sommes embrassés doucement,  comme une évidence. 
Après ce baiser,  Julien a longuement fixé l'horizon.  Moi, je le regardais, son beau profil aquilin,  ses boucles blondes caressées par la brise.  J'ai passé ma main sur ses cheveux,  caressé sa nuque, son visage . C'était doux,  je bandais bien sûr mais ce n'était pas essentiel. Lui les yeux fermés souriait.  Soudain nous avons glissé jusqu'au pied de la dune.  C'était marrant et j'ai osé.  Je me suis penché vers toi,  j'ai approché ma bouche de la tienne et je t'ai embrassé vraiment. Nos langues se sont rencontrées, on lutté un moment.  Tes mains sont passées sous mon tee-shirt caressant mon dos. 
- viens marchons encore un peu ont été tes seuls mots. 
Nous sommes répartis vers le combi en silence et main dans la main. 
tu as soudain ôté ton tee-shirt,
- viens allons à l'eau !
- t'es dingue,  elle est glacée,  ai-je répondu mais tu courrais déjà vers la vague ! Alors j'ai moi aussi ôté mon débardeur et j'ai couru vers toi. 
L'eau effectivement était glacée et à part quelques pas de danse dans les vagues,  on ne pouvait pas faire plus. 
Arrivés au combi,  le soleil déclinait déjà et nous sommes restés un moment sous sa chaude lumière à regarder l'horizon. Bras dessus,  bras dessous. 
Julien m'a regardé, 
- merci Bastien,  pour cette surprise, je n'ai jamais été aussi bien. Je ne voudrais être  nulle part ailleurs qu'ici avec toi. 
- moi aussi,  ça fait longtemps que je rêve de moments comme ça avec toi. 
On s'est embrassés avec une tendresse infinie. 
Pour ma part, je ne pensais nullement à après.  Je vivais chaque seconde commande elle venait et c'est tout.
On a siroté quelques bières tout en dévorant quelques sandwichs que j'avais préparé avant le départ.
J'avais prévu de passer la nuit sur cette plage à l'intérieur du combi bien sûr mais il fallait le préparer pour la nuit. 
A l'intérieur,  tu t'es assis sur la banquette arrière, 
- viens t'asseoir à côté de moi,  viens et  embrasse-moi. 
J'ai bien sûr obéi ! Le montage de la couchette pouvait attendre. 
Tout en l'embrassant fougueusement,  je ne pouvais pas ne pas voir son short déformé par ce qui ne pouvait être qu'une belle trique.  Alors,  j'ai osé.  J'ai posé la main sur le tissu. Sa queue était bien dure et dressée comme un mat.  Nous nous sommes regardés ; ses yeux imploraient pour que je fasse le premier pas. 
J'ai délié le cordon de sa ceinture, défait les velcros de la braguette et sa verge a jailli comme un ressort.  Longue,  massive,  brûlante sous ma main. Il a baissé son short complètement et, non sans l'avoir admiré quelques instants,  j'ai gobé enfin sa queue humide de mouille, j'adore. 
J'ai passé un coup de langue sous sa queue ce qui l'a fait gonfler encore plus. Même s'il m'est arrivé comme je l'ai écrit plus haut de la voir en érection,  maintenant qu'elle est à portée de main et de bouche,  je réalise que c'est un sacré morceau ! 
En remontant ma langue de la base au gland j'ai léché les veines gonflées et la hampe durcie. Je me suis attardé sur son gland pour recueillir les petites gouttes de mouille et je lui ai donné des coups de langue et des coups de dents. Puis après avoir gobé son gland, J'ai commencé à m’empaler dessus  jusqu'à ce que sa toison pubienne me caresse les lèvres.  
Ma bite était douloureusement raide et à l'étroit dans mon slip de bain.  D'une main, sans cesser de le pomper,  je l'ai libérée pour me branler en rythme. 
Il gémissait tout en me caressant la tête. Je sentais sa verge se raidir encore,  parcourue de légers spasmes.  Peut-être Était-il proche de l'orgasme,  peut-être une dernière crainte d'aller trop loin,  trop tôt.  Je ne sais pas.  Toujours est-il qu'il m'a fait comprendre d'arrêter de le sucer.  Il a pris le relais en se branlant doucement et j'ai fait de même à son rythme.  Tels des adolescents,  nous nous sommes branlés côte à côte,  chacun regardant la queue de l'autre.
Il a éjaculé le premier. Il y avait du sperme sur son avant bras et à ma grande surprise il m'a proposé  de le goûter,  je ne suis pas fait prier et j'ai joui presque aussitôt.
Nous nous sommes couchés enlacés. Demain il fera jour !
Nous nous sommes réveillés au lever de soleil.  Sourires,  regards enamourés, caresses,  tendresse.  Quel bonheur !
Nous avons petit-déjeuné devant la plage sous le soleil levant puis nous avons pris la route vers Los Angeles et Santa Monica .
Quelle journée inoubliable,  complices,  main dans la main,  nous n'avons pas arrêté de rire,  nous embrasser,  nous câliner.  En fin de journée, nous avons rejoint la chambre d'hôtel que j'avais réservée sachant que Julien n'était pas fan de camping. 
J'avais choisi un bel établissement avec vue.
Quand nous avons pris possession de la chambre,  nous nous sommes écroulés sur le grand lit, épuisés par notre journée. 
Nous nous sommes regardés ; tendresse, amour,  anxiété aussi.  Nous savions ce qui devait se passer bientôt.  Ce que nous voulions. Ce que nous redoutaient. Jusqu'à présent,  tout pouvait encore passer pour une amitié forte,  singulière certes tous les meilleurs amis du monde ne se bécotent pas tout le temps,  ne se tiennent pas par la main non plus.  Bon, on s'était branlés ensemble et même qu'il s'était laissé sucer un moment mais ça, 
 ça arrive souvent entre potes.  Mais nous n'avions toujours pas discuté de sentiments,  de ce qui nous arrivait. Seuls nos regards ne laissaient aucun doute. 
Sur le lit,  je me suis rapproché de Julien.  Il  était torse nu. J'ai caressé doucement son ventre,  
- alors, cette première expérience de camping,  qu'en dit tu ? 
- je n'avais pas imaginé que le camping avec toi,  ça pouvait être comme ça ? Et puis,  ce soir on a un vrai lit et une salle de bain. 
- que veux-tu dire par " comme ça"?
- Ben, je veux dire qu'on est très bien ensemble.. 
Et comme s'il était gêné pour en dire plus il a posé ses lèvres sur les miennes. 
Ça frémissait sous son pantalon,  il bandait bien sûr. 
Alors tout en continuant à nous bécoter j'ai continué à le caresser en descendant tout doucement ma main vers sa ceinture de pantalon puis dessous pour m'emparer de son mandrin. Il s'est laissé faire.
Je me suis alors  au dessus de lui,  j'ai baissé son pantalon.  Sa queue m'est apparue. Dure,  épaisse,  courbée avec son gland proéminent et déjà humide.  Je l'ai caressée un moment ; elle était brûlante.
J'ai observé en tenant son beau vit dans ma main, le gland circoncis, on voyait bien tous les dessins sur la peau du gland, cette peau tendue, le méat grand ouvert; des perles de mouilles arrivaient, j'ai serré, la perle est sortie, j'ai léché  puis je l'ai regardé me regarder ; il aimait ça,
- c'est bon,  vas-y continue,  c'était les premiers mots qui faisaient que notre aventure était réelle et que ce n'était pas un jeu adolescent. 
il poussait ma tête tout en couinant, il était actif.
De la pointe de la langue je suis parti des couilles pour remonter sur la hampe, entourer le gland, l'avaler, l'aspirer, le sucer et l'avaler.  

Je n'arrêtais pas de lui triturer les couilles, glissant mes doigts dessous pour aller dans sa raie qu'il m’offrait !
Je le suçais de plus en plus vite, sa main s'était posée sur ma tête et suivait le mouvement, j'ai senti son gros gland durcir et le zob  s'allonger dans ma bouche. Il 
Il a commencé alors à me baiser la gorge à petits coups de bassin poussant sa tige entièrement jusqu'à la glotte. J'en pleurais mais de joie et de fierté à la prendre tout entière. 
Je l'ai abandonné un instant, 
- tu aimes ?
- c'est génial,  Bastien,  ça fait longtemps que j'attendais ça.  
Je l'ai embrassé de partout,  j'ai léché ses aisselles, 
- ça sent bon ? 
' ça sent toi...et une journée de sueur !
Puis je suis retourné enfouir mon visage dans sa toison,  lui bouffer les couilles. 
- tu veux mon cul ? Lui ai-je susurré. 
Je me suis dévêtu  et je me suis mis à califourchon sur lui  
Mais d'abord tu me le bouffe @ t'as jamais fait ça mais c'est le pied tu verras 
Et j'ai collé mes fesses entrouvertes contre son visage. 
Il n'a pas hésité à y fourrer sa langue et à  me faire gémir.  Il s'y prenait bien !
Je me suis relevé au dessus de lui cette fois pour m'asseoir sur son visage, 
- bouffe mon cul Julien,  enfonce bien ta langue dans ma rondelle,  oui  comme ça..
Prend ma verge,  bien profond dans ta gorge,  lèche moi le gland.  T'es doué mec!
Je voyais son braquemart bien raide s'agiter sur son ventre.. et j'avais très envie de m'y empaler. 
Je l'ai pris en main et doucement je l'ai enfoncé en moi jusqu'à sentir ses cuisses contre mes fesses.
Tandis que je branlais la mienne,  sa queue s'enfonçait en moi à chacun de ses mouvements. 
- Putain,  Julien,  ta queue est énorme ! Elle me ramone bien, c'est si bon 
Et moi de serrer mes sphincters autour de sa tige jusqu'à sentir ses veines rouler contre eux.
- si tu continue comme ça,  je vais jouir ! 
Alors il est sorti et il a frotté sa longue queue contre la mienne,  les branlant ensemble. 
-T'en veux encore ?
Il a placé un coussin sous mon dos avant de s'empaler à nouveau en.  imoi et là il m'a pilonné longuement jusqu'à ce que je jouisse sur mon ventre. Après cela, ses coups de reins se sont faits de plus profonds et violents jusqu'à ce qu'il inondé mon cul de sa semence. 
- tout ce temps perdu,  ai-je susurré quand épuisé il s'est écroulé sur moi..











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