Joe passait son week-end à la campagne dans la ferme de ses parents. C'était bien sûr l'occasion de passer du bon temps avec eux; habitant en ville avec un travail très prenant, il n'avait pas souvent l'occasion de les voir. C'était l'occasion aussi de voir ses cousins qui habitaient une ferme proche de celle de ses parents.
Cette après-midi là, écrasée de soleil, il s'ennuyait un peu. Le repas avait été copieux et arrosé et toute la famille s'était retranchée dans les chambres pour une petite sieste.
Joe, s'ennuyait, là tout seul sur la terrasse ombragée. Machinalement, il pris son téléphone en main. Un petit coup d'œil aux nouvelles, courriels, réseaux sociaux puis, tout aussi Machinalement, il ouvrit l'application de rencontres, juste comme ça ; bien entendu il n'imaginait pas trouver quelqu'un de disposé dans cette campagne peu peuplée et loin de tout. Et puis la surprise, il y avait bien un profil disponible et.... vraiment tout près.. deuxième surprise, le mec en question était plutôt canon et proposait exactement ce que Joe souhaitait à ce moment précis. Un physique de bûcheron et un "engin "... sûrement, un mauvais cadrage de la photo.
Le mec disait s'appeler Mat et diffusait en live. Joe ne résista pas à demander une connexion.
Le Mat en question se trouvait affalé sur un tas de foin dans ce qui semblait être une grange. Pantalon baissé, vêtu d'un débardeur et d'un jockstrap blanc, il flattait une verge que l'on pouvait aisément qualifier de hors normes.
Après avoir échangé les quelques banalités d'usage, Joe lui demanda s'il voulait voir sa queue , la réponse qu'il reçu ne laissant plus aucun doute sur les attentes de Mat,
- m'en fous de ta queue, c'est ton cul que je veux. Viens ici et je te ferai monter dans les tours.
Joe était subjugué par le mandrin de Mat qu'il caressait, décalottait lascivement.
- juste le temps de prendre une douche et j'arrive.
- pas de ça, viens comme t'es, j'adore les odeurs.
Le mec était vraiment très près. Joe connaissait bien la campagne et était sûr de le rejoindre dans les 10 minutes.
Joe, pris quand même le temps de remplacer sous son jeans sin boxer par un jockstrap noir. Il prit le chemin le plus rapide, à travers champs. Il connaissait bien la grange de Mat, il y avait si souvent joué étant gamin et, il s'en souvenait, il y avait joué "au docteur " avec ses copains et copines... drôle de retour des choses !
La grange était grande ouverte.il s'approcha. Il le vit confortablement assis dans le foin. Un corps massif engoncé dans un débardeur blanc son mandrin extrait du jockstrap qu'il caressait lascivement en grondant.
Quand Mat l'aperçu, sans un mot, il lui montra d'un regard ce qu'il lui offrait. Joe en avait une envie folle mais marqua quelques instants d'hésitation car même s'il savait qu'il y avait assez peu de chance que quelqu'un passe et les surprenne, la grange était grande ouverte ....
Mais très vite le désir pris le dessus. Il se baissa a genoux, cuisses écartées et enfourna tout ce qu'il pu de la teub de mat.
Celui-ci l'encourageait tout en poussant son engin le plus loin possible dans la gorge de Joe.
- hmm, j'adore ! Dit-il en lui soulevant le tee-shirt et en découvrant son dos et la ceinture noire du jockstrap qui dépassait du jean.
Il tira dessus, la fit claquer plusieurs le dos de Joe tandis que celui-ci s'éclatait sur l'énorme engin.
Puis il glissa sa main dans le jeans de Joe, glissa un doigt dans le sillon humide et grognait de plaisir.. avant de se dresser et de pousser à nouveau son manche dans la gorge de Joe jusqu'à presque l'étouffer.
- Met-toi a quatre pattes, écarte bien les cuisses.
Joe s'exécuta. Mat flatta longuement son cul avant de glisser sa main sous le jeans, de caresser sa rosace et enfin d'y introduire d'introduire un doigt..
- hmmm, bien étroite cette chatte.. je crois que l'on va bien s'amuser tous les deux.
Après avoir baissé son jeans, Mat resta quelques secondes à l'admirer avant de lui caresser les fesses, de les écarter pour découvrir sa rondelle, la caresser d'un doigt, et de la lubrifier en crachant copieusement dessus.
Joe cambré au maximum était sens dessus, dessous. Il gémit lorsque le visage mal rasé de mat vint se frotter contre ses fesses et sa langue râpeuse vint se coller contre sa rosace.
Puis mat se releva, son braquemart fièrement dressé
- tu l'a veux, hein?! Tu veux que je te défonces le cul, hein ?!
Pour seule réponse, Joe soulevant son cul encore plus haut et comme une invitation écarta ses fesses avec ses mains.
A sa grande surprise, la teub de Mat entra facilement en lui. Joe en fut le premier étonné tant ses dimensions étaient pour lui peu habituelles.
Peu à peu les coups de reins se firent plus fermes, plus rapides. Joe sentait à chaque va-et-vient son bas-ventre cogner contre ses fesses et les couilles de Mat battre contre les siennes.
Mat se sépara quelques-uns instants de Joe, juste pour admirer sa rondelle bien béante. Il y fourra sa langue, ce qui fit couiner Joe puis il lui ôta son jeans et se débarrasser de son jockstrap avant de s'empaler à nouveau. Ses va-et-vient se firent plus violents arrachant à Joe des gémissements de plaisir
- arrête de couiner mec, toute la région va t'entendre, lui dit Mat en plaisantant.
Tiens mors là dedans et de lui fourrer son jockstrap dans la bouche avant de le pourfendre à nouveau.
C'était dingue. A chaque va-et-vient, Joe reposait de tout son poids sur les cuisses de Mat. Et il sentait son braquemart tout entier en lui, fouillant profondément ses entrailles, lui arrachant des petits cris de plaisir. Sa queue était toujours prisonnière de son jockstrap trempé de mouille et il se savait proche de l’orgasme.
Ils changèrent plusieurs fois de position. Mat ne s'intéressait qu'a son cul mais donnait un plaisir inouï à Joe qui en voulait toujours plus.
Jusqu'à ce que Mat soit prêt à jouir et lui demanda s'il voulait qu'il jouisse sur son visage .
- Joe répondit un grand oui enthousiaste. Il voulait voir l'énorme mandrin éjaculer.
Dans un long grognement Mat lui envoya une belle salve de foutre dans la bouche et Joe s'empressa de lui nettoyer la verge.
Mat se rhabilla immédiatement laissant Joe sur le tas de paille.
Quand il fut parti, Joe glissa deux doigts dans son œillet béant et se branla quelques minutes avant de jouir sur son débardeur.
Il se rhabilla et quitta tranquillement la grange.
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