01 décembre 2020

Mon pote Cyril onaniste compulsif

Les vacances, le soleil, le farniente,.. On rêvasse au bord d'une piscine ou sur une plage; on rêvasse et quelques fois on se remémore,. ...
 Cyril était un ami . Un putain d'ami... j'y pense toujours avec une certaine émotion. 

Tout cela m'était arrivé quand j'étais jeune, j'allais avoir mes 18 ans. Il n'était pas trop beau, pas moche non plus. Il était très sec, ce que je lui enviait beaucoup, typé "sud", normal pour un andalou. C'était un vrai casse-cou, toujours en quête d'un défi à relever. Par contre, s'il était physique, il n'était pas cérébral. Mais ce qui m'intéressait vraiment le plus en fait chez lui, je l'avoue, c'était la taille de sa bite.
C'est pas vrai. De fait c'était vraiment un super pote, un complice, un compagnon de tous les jours; l'inséparable, le vrai pote, L'Ami. Mais quand même, ....

Il n'avait pas un pénis, mais une grosse queue, sur laquelle je fantasmais souvent, voire très souvent: En fait, dès que je commençai à le fréquenter au collège, je m’aperçus petit à petit qu'il était très fier de la taille de son sexe, et qu'il aimait en parler.
 Et au fur et à mesure qu'on dormait l'un chez l'autre et que les années passaient, il le montrait. C'est vrai qu'il était un peu exhib sur les bords, surtout dans ses 17 ans. S'il avait su à quel point j'aimais qu'il le montre... Et il y a de quoi : son pénis  faisait 23 cm de longueur, large et dur, dominant ses deux grosses couilles remplies de sperme, son gland était épais, son urètre n'était pas une fente mais un trou béant qui expulsait de grosses giclées de foutre chaud. Je dis ça, pas par fantasme, mais parce que je l'ai déjà vu se branler. Et oui, on faisait ça souvent, très souvent! Le weekend quand les parents de l'un ou de l'autre étaient couchés et que l'on papotait au lit. Il arrivait toujours un moment où l'un ou l'autre disait:
- allez! on se paluche! le dernier à gicler a gagné
Mais cela pouvait être au bord de l'eau pendant une ballade, ou à la plage,.. Bref dès que l'on pouvait se palucher on le faisait.




J'étais tellement dingue la première fois, en le voyant astiquer son manche en rigolant et tout en me disant :
- Ben oui, j'ai trop envie de me branler !  T'as qu'à faire pareil,  je vois bien que tu bandes!
 et faisant claquer son prépuce sur son gland encore et encore. Quand il jouit et étala sa semence partout sur son lit,  cette première fois j'éjaculai aussi, sans même avoir à toucher mon sexe. 
Les autres fois, c'était facile pour moi; il me suffisait de le regarder astiquer son braquemart, pour m'exciter vraiment. 
Des fois, en pleine nuit,  il le sortait carrément, et je pouvais le regarder dans la pénombre, caressant ses burnes et sa bite qui se dressait de plus en plus. 
Alors, en riant, je soulevai le drap
- Salaud, tu pensais jouer tout seul! et hop, je me lançais moi aussi dans une bonne séance de branlette.


Une fois, une seule, alors que dans la pénombre, il se caressait l'entrejambe  à travers le tissu de son pyjama, j'ai osé avancer la main et caresser sa verge. Il ne dit rien, il enleva juste sa main et me laissa continuer. C'est ainsi que je sortis son mandrin par la braguette du pantalon de pyjama; enfin je le tenais dans ma main; chaud brûlant, congestionné et raide comme un piquet. Je le branlai, doucement d'abord, timidement puis de plus en plus vite ensuite. Il jouit très vite laissant couler son sperme sur ma main. 

Je louais le destin de l'avoir mis sur ma route, car en dormant dans la même chambre que lui, je finissais toujours par me gicler dessus comme jamais, imaginant qu'il m'ordonnait de me mettre à quatre pattes pour m'écarteler le cul de son pieu vigoureux.
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1 commentaire:

  1. C'est chouette ici, je reviendrai,je te mets dans mes liens blogs, j'aime beaucoup

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