16 février 2021

le blockhaus (récit anonyme de passage) 18/04/14



Je décidais d’aller faire une promenade dans les collines qui surplombaient la mer ou j’avais passé d’agréables moment durant mon enfance. Nous étions à la mi juin, l’orage grondait, menaçant, mais j’étais bien couvert. En ce début de soirée contrairement aux après-midi, les sentiers étaient déserts.

Je venais ici avec des copains après l’école, nous étions libres, les anciennes casemates nous servaient de refuges pour nos jeux. C’est ici aussi que j’avais fait mes premières découvertes sexuelles, et les premières branlettes avec des copains. Les lieux semblaient être restés immuables. Je reconnaissais chaque coin, chaque blockhaus. J’en visitai un ou deux. Des traces récentes de visites montraient qu’ils étaient encore utilisés, sans doute par des jeunes en mal d’isolement et de tranquillité. Les cendres d’un feu de bois à l’entrée et de la fougère sèche au sol montraient que les lieux avaient été occupés il y a peu de temps.

Je m’approchai du blockhaus que nous préférions. Un couloir central bordé de petites pièces annexes qui aboutissait à deux grandes salles. Ces dernières disposaient de grandes ouvertures rectangulaires avec ’ vue sur mer ’. Des socles de béton équipés de pièces métalliques témoignaient qu'elles devaient avoir abrité des canons de défenses côtières.

C’était dans ces dernières salles que nous préférions nous retrouver, les plus claires et les plus spacieuses. Comme l’orage approchait je me décidai de me mettre à l’abri et en même temps d’y faire une visite pèlerinage. Je m’avançai prudemment dans le couloir mal éclairé de crainte d’un obstacle invisible. Les touristes sont sales et le sol était jonché de détrituset c'était sans compter sur l'odeur de pisse...

J’étais arrivé près de l'entrée des salles, elle étaient mieux éclairées que le couloir. Malgré les bruits du vent et entre deux coups de tonnerre, j’entendis un bruit provenant de l’une des salles. Sous le couvert de la pénombre, j’avançai la tête. La pièce était sommairement équipées de meubles disparates : une vieille table sur laquelle reposait une lampe à pétrole antédiluvienne, des cendriers emplis de mégots, des chaises dépareillées de vieux matelas. Sur l’une des chaises étaient posés des vêtements, mais je ne voyais encore personne, bien que je sentais une présence.

J’avançai un peu plus la tête, sur un socle de planches, un matelas équipé d’un sac de couchage était disposé presque au ras du sol, un traversin plié en deux servait de repose tête. Quelqu’un était allongé dessus, le corps nu, la queue dressée, raide, qu’il massait lentement en regardant une revue.

Allongé sur le dos, je ne voyais pas son visage, mais ses cheveux roux et son corps lisse, ses jambes fines imberbes. Apparemment un jeune gars, il ne m’avait pas vu ni entendu, Je l’observais, et je commençais à  bander, je sortis ma queue pour me masser de concert, ce petit salopard m’excitait déjà, surtout que j’avais vu que le bouquin illustré qu’il lisait semblait une revue gay.
A ce stade, je préférais rester discret , afin de mieux profiter du spectacle. Je me massais doucement au même rythme que le gars. Il faisait doux et je n’étais pas pressé.

Cela durait depuis un moment, quand je me décidais à signaler ma présence. Je toussotai et sans se retourner le gars demanda :
    - C’est toi Max ?



Il attendait visiblement quelqu’un, comme je n’avais pas répondu il à tourné la tête. D'abord surpris de ne pas me connaître, il sembla vite rassuré de voir ma bite tendue que je caressais. Il devait avoir 17 ou 18 ans, une touffe de poils roux encadrait ses couilles et sa verge  de belle taille.

J’avancai de quelques pas, il fixait ma queue. Je m’étais rapproché du lit. J’ai amorcé une caresse sur sa tête, puis sur son torse, il me laissait faire. Je me débarrassai de mes vêtements pour les poser sur une chaise. Il m’observait sans un mot.

Je me présentai ; il ne semblait pas gêné par ma cinquantaine sonnante. Il ne regardait que ma bite plus courte mais plus épaisse que la sienne, terminée par un beau gland dont j’étais fier, que mes ami(e)s appréciaient.

Allongé a ses cotés, mes mains parcouraient tout son corps, jouant avec ses tétons durcis , ou courant sur ses cuisse fermes, puis enserrant sa bite brûlante. Visiblement il appréciait et se décida lui aussi à  découvrir mon corps. Ses mains provoquaient des frissons agréables sur ma chair. Il se colla contre moi, je lui massai les fesses, il me le rendit aussitôt.

Le premier il me glissa un doigt dans la raie du cul, pour aller jouer avec mon petit trou et il se saliva le doigt avant d’aller le plonger dedans. Il appréciait que je lui facilite le passage, attendant visiblement que je lui rende la pareille.
Je me plaçai contre lui tête bêche, après avoir enfourné sa queue entre mes lèvres, je plongeai la tête plus bas et lui léchai l’anus.

Il me rendit la politesse, et après m’avoir bien salivé, il m’enfourna deux doigts dans mon cul bien ouvert, que je gode souvent avec de beaux engins. Je me plaçai alors à quatre pattes et lui demandai :

— viens me prendre j’ai envie de toi ! défonce-moi !

Calé derrière moi, Il m’enfourna sa queue  jusqu’aux couilles, ce mandrin chaud qui me fouillait le ventre me plaisait beaucoup. Pendant qu’il me pistonnait je lui dit entre deux gémissements :
    - Je m’appelle Jacques et toi ?
    - Vincent !
    - Je venais ici avec mes copains d’école il y a quelques années.

    - Avec deux amis, on vient ici depuis trois ans.... L'un d’eux devrait venir ce soir.

Il me prenait lentement à petits coups, en vrai habitué, une main passée sous moi agaçait mes tétons puis venait masser mes couilles et ma verge. Il savait y faire le gamin. Son ventre chaud contre mes fesses était une excitation supplémentaire. Ma queue ruisselant de mouille, je frôlai plusieurs fois l'orgasme . Il accéléra, me prévenant qu’il n’allait pas tarder a décharger. Je lui demandai de tout me lâcher dans le cul, de me remplir de son foutre. Il pistonna alors plus fort, se cabrant il me serra aux hanche pour me coller contre son ventre, je sentis alors giclée m’inonder. Intense. 
Vincent souffla un peu, alluma un clope, se contentant de regarder son foutre s'ecouler de ma rosace puis , jetant sa cigarette à peine consumée, il me demanda de le prendre à mon tour. 
Placé à genoux les fesses relevées, je lui léchai le cul en salivant bien sa rosette. Je me régalais de ses rondeurs fermes, de sa peau douce, de son odeur de rouquin. J’aimais aussi beaucoup son coté de petit vicieux sans manières, sans complication.

Je me plaçai derrière lui, posai mon gland sur sa rondelle et poussai doucement; mon gland était entré, le reste suivit aisément, mes couilles collant à sa raie. Je commençai mes aller-retour. Vincent me dit :
- Allez, plus fort !...... Défonce-moi !......... Encule-moi, vieux vicieux !.... Plus fort salope !..... Ça te plait, hein, vieux cochon de baiser un petit jeune ?...... Allez dit le ! !

Ses paroles me fustigeaient, je le prenais plus durement. Il aimait ça tendant ses fesses vers mon ventre, accompagnant chacun de mes coups de reins, d’une poussée opposée comme pour se faire prendre plus fort encore. A ce moment j’entendis une voix derrière moi :

    - Ben mes cochons ! Vous avez l’air de vous régaler tous les deux ! Je peux participer aussi ?

    - Bien sûr profites-en, je suis à ta disposition, lui ai-je répondu. En un tournemain Max, l’ami de Vincent se déshabilla.

Grand presque filiforme, brun, les cheveux très courts, le corps musculeux, il exhibait une très belle queue aussi longue que celle de Vincent, et plus grosse que la mienne. Il bandait déjà, présentant son dard sous mon nez, il dit :

— Allez vieux salopard suce-moi avant que je te baise ! !

Quel bonheur cette tige chaude dans ma bouche pendant que la mienne coulissait, enserrée dans un autre étui chaud elle aussi. Après un moment,  m'ayant bien chauffé, Max se retira de ma bouche, se plaça derrière mes fesses que je lui offrais sans manière. Vincent ayant  bien travaillé, il entra sans trop de difficulté, sa hampe me remplissant les entrailles, je me régalais d’être ainsi le milieu d’un sandwich. Nos rythmes s’étaient synchronisés d’eux même.
Nous nous défoncâmes ainsi longtemps. Nos haletements respectifs et  les bruits de succion mêlés , la tempête qui grondait à l'extérieur  emplissaient et resonnaient dans le blockhaus et dupliquaient notre plaisir.  Bientôt, je dus prévenir  mes partenaires que je ne pourrais plus résister longtemps au plaisir. Max me demanda haletant de l’avertir quand je giclerais pour le faire en même temps. Je m’étais agrippé plus fortement aux hanches de Vincent en haletant moi aussi  :

    - Ça vient, ça vient..... je vais partir !

Je me retenais encore pourtant, Max s’était crispé m’avertissant qu’il était prêt lui aussi. Ce petit salaud semblait pouvoir jouir sur  commande. Je me cabrai en lui demandant de m’envoyer sa purée. Je sentis sa semence dans mes tripes pendant que je lâchais la mienne dans le cul de son ami. Quel bonheur ! !

Momentanément repus nous étions allongés sur le duvet crasseux, je caressais les corps de mes nouveaux amis. Ils me racontaient leur premières branlettes, comment ils avaient commencé à  se sucer, puis à s’enfiler. Ils aimaient ça! Je leur racontais comment j’avais connu mes premiers émois ici même avec deux amis aussi. Puis mes aventures diverses dans des lieux insolites. Mes plaisirs dans des toilettes publiques, ou des aires de repos routier. Comment j’avais converti de jeunes étudiants à  nos plaisirs.

Émoustillés nous rebandions à nouveau, Max voulait que je le prenne à son tour pendant qu’il sucerait son ami, dont il adorait le goût du sperme. Nous avons ainsi continué nos ébats jusqu’à la nuit, alternant les rôles.

Au regret de nous séparer, mes deux nouveaux amis me firent promettre de venir les rejoindre dès que possible. 
- finalement,  t'es encore bon à ton âge,  le vioc!
Me donnant un numéro de téléphone portable, discret et joignable à  tous moments. J’étais ravi que ma compagnie leur plaise et qu’ils aient autant d’attraits pour mon cul que ma queue ou ma bouche.






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