Le jour dit, je ne te retrouves pas au gymnase mais je reçois un SMS me proposant de passer chez toi "car il y a beaucoup de restos dans ton quartier".. était-ce un "piège", devais-je y aller? tu n'es pas vraiment mon genre et je n'étais pas dans un état d'esprit à entretenir une relation annexe ; mais je me dis que "je suis un grand garçon " et que je saurai repousser tes avances. Oui, vraiment, je me suis dit cela! et aussi que tu avais l'air sympa et sans doute que tu pourrais faire un bon copain.. Oui, vraiment je me disais cela...
je suis arrivé devant ta porte, sans même avoir à sonner, j'ai entendu "entre, c'est ouvert".
Aie!.. le cœur battant, me doutant d'une entourloupe, j'ai poussé ta porte et... je t'ai vu, nu, entièrement nu, à genoux sur le sol, les cuisses écartées, le cul offert. J'apercevais tes couilles pendantes et au delà de tes fesses charnues, ton dos musclé de gymnaste. Tu t'étais, ultime signe de soumission, d'abandon, lié les mains. Tu t'offrais. Sans un mot, je me suis approché. d'un doigt, j'ai parcouru le sillon de ta colonne vertébrale, la cambrure de tes reins. Ta peau était douce, tes muscles fermes. Le désir est venu, fort, incontrôlable.
Je sentais tous tes muscles mobilisés autour de mon membre l'englobant fermement dans ses va-et-vient. Cela me demandait des efforts supplémentaires qui me firent bientôt suer à grosses gouttes mais, et surtout m'apportait des sensations rarement connues, un plaisir inouï et je devais lutter pour ne pas jouir trop vite.
Je t'ai retourné. A la fois pour voir ton visage, pour me plonger dans tes yeux et y lire le plaisir mais aussi pour admirer le mouvement de tes muscles dans nos ébats. Je découvrais enfin ta queue battant contre tes abdominaux puissants et si bien dessinés. je la caressai, je malaxai fermement tes couilles t'arrachant de petits cris de douleur/plaisir.
Tandis que nos langues s'affrontaient en un duel viril, que tu gémissais à l'unisson de mes coups de butoirs, que la sueur trempait nos corps, je sentais le plaisir monter en moi, je pris alors ton sexe dans ma main pour le branler en rythme, pour accorder notre plaisir et si possible jouir ensemble. Cela ne tarderait pas; je le sentais dans ta queue que je branlais de plus en plus sauvagement, je le sentais à la tension et à la fermeté de tous tes muscles bandés dans l'effort; quant à moi, tout mon corps luttait pour ne pas lâcher prise, pas maintenant pas encore. Soudain, j'ai vu ton regard se voiler, tes mains s'agripper fermement à mes reins, ta respiration s’arrêter.. puis la délivrance, un jet violent inondant ta poitrine, le cri de l'animal vaincu, alors, alors, j'ai rompu les amarres et j'ai laissé mon sexe te déchirer une ultime fois dans un ultime spasme.
Ta semence abondante coulait dans les profonds sillons de ton ventre. je te l'ai offerte en récompense.



Hum bandant ... j'aurais bien aimé être le prof de gym ...
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