06 octobre 2020

Grégoire et Bruno **



P. étant remonté à Paris pour trois jours, je décidai de faire une longue balade à vélo pour déjeuner et flâner le long de la Vézère. Justement, à St Léon.
Nous sommes arrivés pratiquement en même temps. Vous et moi cherchions un endroit pour garer nos vélos. Nous nous sommes salué et vous m'avez très gentiment proposé de lier mon engin aux vôtres.
La matinée était encore fraîche et la journée s'annonçait belle. L'endroit était quasi désert à cette heure matinale. Nous avons pris un café ensemble et commencé à jouir du moment en parlant de tout et de rien.
Grégoire, étais vêtu d'un tee-shirt gris sans forme, d'un grand short colonial sans forme non plus. Mince, les cheveux courts très bruns, des yeux verts souriants, interrogateurs qui me scrutaient et me souriaient. Ce qui me mettais dans des émois que je tentais à tout prix de masquer.
Bruno, plus massif, un cheveu un tantinet frisé, très noir sur un visage anguleux mais puissant. Curieusement, des pattes, d'horribles pattes, couvraient à la rocker la moitié de ses joues. Son regard était noir mais plein de douceur et de retenue.
Nous étions bien. Vous m'avez proposé de louer un canoë avec vous pour faire une ballade sur la Vézère et éventuellement trouver un endroit pour nous baigner.
La promenade était un enchantement. Nous n'avions pas besoin de parler; nous nous connaissions depuis quelques minutes à peine et n'avions déjà plus besoin de combler nos silences. Nos regards en disaient long sur le bonheur de ces instants On n'entendait que le clapotis de nos pagaies sur l'eau et les oiseaux chanter de part et d'autre de la rivière. Impossible pour des citadins comme nous de les identifier. Impossible également, aveuglés par ces clairs obscurs du soleil parmi les branches des arbres, de les admirer. Le temps s'écoulait doucement. Une berge verdoyante nous tendait les bras.
A peine débarqués, le canoë abandonné sur l'herbe, nous nous sommes dévêtus, lançant en riant nos vêtements dans tous les sens. Nous nous sommes précipités dans les eaux "pas très chaudes" en nous aspergeant sauvagement. Grégoire en caleçon, Bruno et moi en slip blanc.
Après le bain, nous sommes restés un long moment couchés sur l'herbe faisant en silence sécher nos corps et ce qui nous tenait lieu de maillots de bain.
J'avais faim, je vous ai proposé de revenir rapidement vers St Léon, de reprendre nos bicyclettes et de venir manger quelque chose chez moi, à quelques kilomètres de là. Arrivés chez moi, nous nous sommes affairés à préparer le repas: un bon disque, des assiettes rapidement jetées sur la table du jardin, un rosé bien frais, quelques tomates,…. Nous avons dévoré, affamés comme nous l'étions. Les heures chaudes étaient là. Bruno est allé prendre une douche tandis que Grégoire et moi, nous installions dans un endroit frais du jardin pour lire et somnoler.
Je me suis réveillé une demi-heure plus tard. Grégoire s'était endormi sur son livre et je découvris Bruno, affalé sur le canapé du salon, dormant nu, une serviette sur les hanches des fesses charnues, poilues et blanches découvertes.
J'ai enfilé un maillot et ai plongé dans ma piscine pour me rafraîchir et attendre tranquillement votre réveil.
Nous avons ainsi passé l'après midi à nous baigner, jouer dans l'eau, bronzer et papoter.
Puis la soirée est arrivée. Nous étions bien ensemble, j'avais envie que vous restiez et vous n'étiez visiblement pas pressés de partir.
Il y avait entre vous une complicité, une tendresse qui me troublait. Une complicité à laquelle vous m'aviez convié. Etiez-vous en couple? De simples amis, rien ne permettait de le deviner. En tous cas, votre/notre intimité était sans complexe aucun. Nous nous étions touchés, agrippés sans gêne durant tous nos jeux aquatiques.
Vous avez accepté dans une joyeuse et tendre embrassade, mon invitation à rester. Immédiatement Bruno à pris  le contrôle des opérations : aller à l'épicerie chercher des victuailles, du vin, tandis que Grégoire et moi préparions l'apéro du soir et le feu pour les grillades.
Nous avons ri, bu, fait d'interminables parties de rami. Puis, Grégoire a plongé ses yeux dans les miens et a battu le rappel du bain de minuit. Une nouvelle fois nous avons envoyé valser nos fringues et cette fois les caleçons et autres slips avec.
L'eau était délicieuse et on distinguait parfaitement nos corps éclairés par le projecteur de la piscine. Et puis le trouble, dans nos bousculades, je remarquai que l'un ou autre ne manquait jamais de frôler tout d'abord puis de tenir voire agripper ma queue, mes couilles ou mon cul. J'étais devenu votre cible! Le jeu était de me sortir de l'eau afin de mieux me couler. Aculé dans un coin de la piscine, Bruno ma soulevé en passant un bras entre mes jambes et en empoignant fermement ma queue. Nous sommes resté ainsi quelques longs instants, moi la moitié du corps au dessus de l'eau soutenu les jambes maintenues par Grégoire, le bras de Bruno entre mes jambes et mon sexe tout entier lové dans la paume de sa main.
Vous m'avez précipité dans l'eau en ayant eu le temps de savoir ce que vous cherchiez à savoir.
Vous êtes alors sorti de l'eau ensemble. Vos corps dégoulinants étaient auréolés par les vagues de l'eau qui se reflétaient sur vous. Vos queues commençaient à se dresser. Je suis sorti de l'eau pour me glisser sous Grégoire afin de boire les grosses gouttes d'eau qui tombaient de son entrejambe, que j'ai léché jusqu'à la dernière avant d'aller essorer les poils de son cul et ses couilles toutes dures au sortir de l'eau.
Ma queue était maintenant bien dressée; dressée à rompre et elle me faisait mal. Je me suis relevé et vous êtes attaché à me sécher consciencieusement. Grégoire était derrière moi, je sentais sa bite toute dure contre mon cul derrière la serviette avec laquelle il me couvrait. Bruno m'essuyait le torse le ventre, la queue, les couilles tout en m'embrassant voluptueusement, intensément. Sa langue faisait des merveilles, se tordant autour de la mienne, allant au plus profond de ma bouche.
Je vous ai emmené dans ma chambre. Nous nous sommes beaucoup et longtemps caressés nos corps de nouveau trempés mais de sueur cette fois. Tour à tour j'ai longuement admiré et sucé au plus profond du fourreau de ma gorge: la longue queue de Grégoire et la bite massive et charnue de Bruno.
Maintenant, je ne désirai plus qu'une seule chose, vous sentir en moi, vous enserrer, emprisonner au plus profond de mon corps.
Je me suis redressé, j'ai pris vos visages dégoulinant tout contre le mien et je vous ai demandé de me prendre.
Grégoire s'est glissé derrière moi et sans un mot a commencé à me préparer à sa venue; un doigt, puis deux. Mon cul trempé de sueur se prêtait bien à l'exercice. Pendant ce temps, Bruno ne cessait de me lécher, de m'embrasser tout en me malaxant fermement les couilles et de maintenir ma queue dans une douloureuse raideur.
Tandis que Grégoire poussait en moi sa longue et fine verge, Bruno me dit
- il souhaite que tu le baises tout à l'heure; maintenant il prépare ton cul pour moi, pour ma queue; attends-moi, prépare-toi, tu vas aimer.
Dressés sur les genoux, Grégoire allait et venait maintenant en moi, il gémissait doucement tout en me mordillant l'épaule et le cou. Bruno avait quitté le lit, pour boire un peu, se sécher et lubrifier sa queue. Grégoire lui a alors laissé la place et a glissé la queue de Bruno dans mon cul tout en continuant à me lécher le cou et les oreilles.
C'était une autre affaire, un vrai flash, cette queue qui pouvait rappeler le symbole des bureaux de tabac, me labourait le cul, me soutirant des gémissements et des plaintes à réveiller le village en son entier.
Grégoire n'attendait que cela pour se placer devant moi et glisser ma verge dans son cul qui visiblement n'attendait que cela. La situation était particulièrement délicate! Et difficile de coordonner nos mouvements. Je décidais de ne pas bouger, de me tenir à la tête de lit et de laisser Grégoire faire le travail avec ma queue et Bruno avec la sienne.
Je crois que c'est moi qui ai joui le premier. Dans un long spasme, le souffle coupé, j'ai agrippé les hanches de Grégoire et d'un violent et ultime coup de rein, j'ai déchargé enfin. Bruno n'a pas tardé non plus, il a gémi lui aussi tandis que mes mains l'aidait à entrer encore plus profond en moi, à ne rien laisser en dehors de cette queue sublime.
Nous nous sommes enfin affaissés sur le lit, Grégoire s'est branlé sur moi, me couvrant de sa semence.
une longue et commune caresse, pour couvrir mon torse de baisers et de mon torse trempé de sueur et de foutre.
Puis, la nuit et sa fraîcheur ont envahi la pièce, nous nous sommes couverts. J'ai continué à vous caresser doucement tandis que le sommeil vous gagnait. Je caressais les queues que j'avais appris à connaître et à aimer. Ces torses que j'avais longuement baisés, ces couilles que j'avais longuement léchées.
Quelle heure était-il? Je ne sais, mais le jour n'était pas encore levé. Bruno se rhabillait tandis que Grégoire s'attardait encore quelques instants à me caresser du bout des lèvres. J'ai respecté votre volonté d'achever cette merveilleuse rencontre ainsi.
Le silence de la chambre était impressionnant, mes mains parcouraient les draps. Je n'ai pas pleuré.





1 commentaire:

  1. Anonyme11:37 AM

    De beaux échanges et ce jus qui coulent et qu'une langue aurait pu profiter.Dommage!
    Pierre

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