Sa grande bouche s’est posée sur la mienne tout en continuant de rire ; nos langues se sont affrontées avec force. Un vrai shoot !
La baise heureuse, voluptueuse. Il souriait tout le temps. Ses yeux me cherchant en permanence comme pour s’assurer que je partageais bien son bonheur, que j’étais bien avec lui. Il a posé ses mains sur ma poitrine, ses doigts ont commencé à exciter mes tétons. Doucement tout d’abord comme pour les réveiller ; il se sont bien entendu durcis. Puis, ses pressions se faisaient chaque fois plus fermes, accompagnant chaque pincement par un baiser, une « léchouille », un rire qui couvrait mes petits gémissements de douleur.
Au fur et à mesure que ses pincements se faisaient plus rudes, qu’il tiraillait plus fort, j’atteignais des sensations inexplorées ; les limites du plaisir et de la douleur.
Alors il s’est baissé et tout en continuant à me pincer le téton droit, il a commencé à me mordiller le gauche. Mon corps tout entier s’est concentré à l’intérieur de cette chair entre ses dents. Rien d’autre à cet instant précis n’existait plus. J’avais envie de pleurer de bonheur/douleur. Mes mains déchiraient son dos, agrippaient ses cheveux. Ma queue douloureuse et gonflée à l’extrême, battait par à-coups contre mon ventre. Alors, d’une main, je me suis branlé violemment, à m’en arracher le prépuce et, Très vite, dans un long et profond gémissement, presque un sanglot, j’ai joui, inondant son ventre de mon foutre. Il m’a alors regardé en riant pleinement. De nouveau nous avons fait l’amour.
Au fur et à mesure que ses pincements se faisaient plus rudes, qu’il tiraillait plus fort, j’atteignais des sensations inexplorées ; les limites du plaisir et de la douleur.
Alors il s’est baissé et tout en continuant à me pincer le téton droit, il a commencé à me mordiller le gauche. Mon corps tout entier s’est concentré à l’intérieur de cette chair entre ses dents. Rien d’autre à cet instant précis n’existait plus. J’avais envie de pleurer de bonheur/douleur. Mes mains déchiraient son dos, agrippaient ses cheveux. Ma queue douloureuse et gonflée à l’extrême, battait par à-coups contre mon ventre. Alors, d’une main, je me suis branlé violemment, à m’en arracher le prépuce et, Très vite, dans un long et profond gémissement, presque un sanglot, j’ai joui, inondant son ventre de mon foutre. Il m’a alors regardé en riant pleinement. De nouveau nous avons fait l’amour.
Jouir ensemble,c'est bien aussi.Tu es loin?
RépondreSupprimerPierre