Premier dimanche dans cette nouvelle ville; ville encore inconnue pour moi, ville pour le travail. Quelques semaines à passer ici pour une mission intense et complexe. Appartement confortable et clair mais meublé sans âme. Du BnB classique quoi! Solitude pesante en ce premier dimanche. J'aime cette ville et j'ai bien sûr très envie de la découvrir, d'en parcourir ses rues, ses musées et j'espère rencontrer, me faire des copains. Mais aujourd'hui, je suis plutôt affamé, les hormones à l'envers, une envie démente de sexe.. une envie irrépressible de me faire mettre grave.
Alors je parcoure les profils de mecs sur mon smartphone, échange quelques mots avec certains:
- tu cherches quoi ? Tu veux quoi ?
Échange quelques images aussi; je suis en jockstrap, le jock que j'aime bien, particulièrement pour les séances de cul ; c'est peut-être con mais je suis persuadé qu'il me va bien, qu'il me met en valeur et du coup cela participe à mon excitation...
Depuis un moment je discute avec un certain Dan, plutôt pas mal... nos envies du moment se complètent bien, il a très envie de baiser et moi de me faire empaler grave... Sa cam parcoure son torse, ses abdos finement dessinés,... il me branche.
- montre-moi ta queue, mec montre-moi celle qui va me faire grimper au ciel!
Il baisse son short et approche son smartphone de sa bite ; une longue et fine verge, il bande un peu , ...
C'est drôle car visiblement il est dans un parc, quand il éloigne sa cam, j'aperçois des gens passer derrière lui.. plutôt gonflé le mec!...
Je fais de même ; je lui montre mon beau jockstrap que je soulève pour qu'il ait un bel aperçu de ma bite et de mes boules ; je décalotte et lui montre mon premier filet de mouille.
- j'arrive mec, je suis à trois blocs de chez toi, sois prêt !
j'en veux, j'ai hâte ,....
Un peu plus tard, Le concierge de l'immeuble m'appelle pour m'informer d'une visite; je fais monter ; j'imagine l'ascenseur monter ses 15 étages, la petite sonnerie, les portes qui s'ouvrent, des pas étouffés par l'épaisse moquette du palier.
Enfin on sonne et mon cœur bat la chamade, je sue un peu, je dois puer les phéromones à plein nez; je réajuste une dernière fois mon sexe dans la poche du jockstrap, respire un bon coup et ouvre la porte..
C'est lui! aussi beau et sexy que sur les photos de l'appli; une légère barbe encadre son visage, un sourire ravageur et "allumé", plein de désir; vêtu d'un simple tee-shirt gris clair et d'un short ample bleu
il me répond par un baiser profond et avide, claque la porte et m'enlace et ses mains déjà s'attardent sur mon cul et, déjà me malaxent et m'écartent les fesses.
Moi, les "présentations faites", je me baisse pour poser mon visage sur le tissu de son short; elle est là, celle que j'attends est là sous le tissu, déjà dure. je la mordille, la parcoure avec mes lèvres tandis qu'il m'encourage des deux mains sur mon crane. Je n'y tiens plus, je baisse son short et libère sa longue tige qui d'un coup me gifle le visage. Elle est magnifique, fine, légèrement courbée, des veines saillantes et un gland décalotté et protubérant. je prends ses petites couilles pendantes en mains et les gobe entièrement lui arrachant de petits gémissements de plaisir tandis que je les roule dans ma bouche. Très vite je m'occupe de sa tige que je suce, lèche, gobe à en étouffer tellement elle va loin au fond de ma gorge. il aime et des deux mains me pousse afin que je l'engouffre totalement..
il me pousse contre le mur du couloir que nous n'avons toujours pas quitté et pousse sa queue au fond de ma gorge à grands coups de reins.
quand il cesse ses coups de butoir, c'est pour me regarder, la bouche dégoulinante de salive et de mouille qu'il vient essuyer de ses doigts. il me sourit puis en se penchant, vient me titiller les tétons avant de sortir ma bite de mon jock
- hmmm ! Belle bête, dit-il la prenant en main pour la décalotter et tu mouilles grave!
Je lui mange les abricots rasés de frais, sa verge posée sur mon visage est brûlante et je la caresse, parcourant la longue veine gonflée de sang.
Il prend mon visage en main, me forçant à ouvrir grand la bouche, il crache et sa salive se mêle à la mienne puis il se baisse pour se mettre à ma portée, m'embrasse puis de nouveau m'enfonce sa longue tige dans la gorge. Même si je manque de m'étouffer à chaque va-et-vient, j'aime sa queue, je la veux, la désire et même si j'en pleure tellement elle me pénètre profond. Ses mains agrippées à mes cheveux donnent le rythme. effréné!
- viens, me dit-il en me tirant par les cheveux pour me faire relever.
Ses doigts fouillent ma raie, cherchent mon oeillet et s'immiscent en moi.
Je sais ce qu'il veut et ce que j'attends.
Il se dégage un instant de moi pour ôter son tee-shirt. Je peux enfin baiser ses tétons, caresser ses abdos tandis que ses doigts s'affairent toujours entre mes fesses.
Il baisse mon jock, et je fais en sorte de m'en débarrasser complètement ; mon lourd mandrin se dresse enfin libéré. Enlacés de nouveau, nos verges se rencontrent contre nos ventres collés. Un instant nous regardons en souriant nos sexes ; ma bite épaisse et imposante contre sa longue et fine queue. Nous nous les caressons tendrement tout en nous couvrant de baisers.
Je me retrouve collé au mur, il me mordille le cou, les épaules puis sa langue et ses mains parcourent mon dos, atteignent mes hanches; ma queue se raidit encore plus coincée contre le mur tandis qu'il écarte mes fesses et me bouffe la rondelle.
Ses doigts écartent mes sphincters laissant un moment sa langue explorer mes entrailles puis s'y introduisent totalement. Je me cambre le plus possible, le visage toujours collé au mur, j'écarte mes globes ; ses deux doigts suivis bientôt d'un troisième, tournent et retournent en moi, s'écartent, dilatant mon anus ; je gémis, halète, réclame sa verge!
Il se relève, son gland cogne contre ma rosace, il crache sur sa verge et me transperce. Je sens son bassin écraser mes fesses, il est totalement en moi mais essaie pourtant de pénétrer davantage encore comme si les derniers millimètres étaient les plus importants. A coups de reins circulaires, sa bite creuse, fouille mon cul que je serre le plus possible afin de mieux la sentir et pour son plaisir aussi.
Il me soulève alors une cuisse afin de mieux m'empaler et le peu de lucidité qui me reste me dicte de retenir mes cris de plaisir, nous sommes toujours dans l'entrée, contre la porte de l'appartement ! Nos corps dégoulinent de sueur et la position est de plus en difficile à tenir sa queue souvent glisse hors de mon cul provoquant notre hilarité !
- on va changer de position mec! J'adore voir ton oeillet béant mais on sera mieux au sol, couche-toi là.
La moquette est un plutôt rêche et me pique le dos; il me lève les cuisses bien écartées, mes mains soulevant mon bassin, il peut de nouveau me défoncer le cul à grands coups de reins.
Le voir ainsi aller et venir devant moi, voir tous les muscles tendus par l'effort, sentir les veines de sa verge frotter contre mes sphincters serrés me fout les hormones à l'envers, je prend ma queue en mains et sans cesser de le regarder, me branle violemment.
Mes regard se trouble, une vague immense, incontrôlable, m'envahit, tout mon corps, tous mes muscles se tendent, se crispent
- je vais jouir, Dan dis-je comme un soupir
- c'est sûr mec! Ton cul est tellement super serré!
Je crie, je crie et envoie une puis deux puis trois salves de foutre sur mon torse et mon visage et Dan, toujours en moi, s'arrête quelques instants de me pilonner pour recueillir ma semence, la goûter et la partager avec moi.
Son mandrin grossit en moi, l'orgasme est proche, je le vois à son regard qui se voile, aux veines saillantes contre mes sphincters ; je l'accompagne, l'aidant en poussant ses fesses contre moi ..
Soudain, dans un spasme profond et intense, il éjacule plusieurs salves de foutre dans mon cul puis se jette épuisé sur moi.
Nous nous regardons en souriant crevés, trempés de sueur, heureux du plaisir donné et reçu.
Puis ses doigts farfouillent entre mes fesses, recueillent la semence qui s'en écoule et après l'avoir porté à mes lèvres, m'embrasse longuement.
On se lève, nos sexes encore un peu raides. Je me dirige vers la cuisine, je sens son foutre couler sur ma cuisse... j'aime ça.
Nus dans la cuisine, nous faisons un peu connaissance autour d'une bière..
Il est beau je ne me lasse pas de le regarder, de le dévorer des yeux... ma queue doucement se raidit et bien sûr il s'en aperçoit. Ses yeux de nouveau brillent de désir, sa longue tige reprend elle aussi de l'ampleur.
- je crois que je n'ai pas encore eu l'occasion de goûter à ça, dit-il en me caressant mon vit déjà dressé contre mon ventre..
Il l'engouffre toute entière, sa main me malaxe durement les couilles me soutirant de petits cris de douleur.. Il me mordille le prépuce, sa langue parcoure de bas en haut ma grosse veine puis tente de s'introduire sa langue dans mon méat.
- allons dans ma chambre, dis-je, on sera mieux, le lit nous attend
À peine arrivés, il me jette sur le lit, m'écarte les cuisses et me bouffe les couilles, l'entrejambe , la rondelle et engouffre à nouveau ma queue tout en fouillant mon cul de ses longs doigts.
Et se redressant, m'empale de nouveau. C'est plus doux, tendre; Il prend son temps, s'occupe de mon plaisir peut-être que cette fois-ci nous faisons l'amour. Caresses, baisers, enlacés nous nous occupons du corps de l'autre, cherchons à lui donner du plaisir. C'est enlacés l'un contre l'autre que l'orgasme est venu. Une nouvelle fois son sperme s'est répandu en moi mais cette fois-ci il a, tout en restant en moi, pris ma bite en mains et m'a branlé doucement puis fermement puis enfin violemment, j'ai joui dans sa bouche.
Nous nous sommes endormis enlacés.
hi
RépondreSupprimerbonjour, Je viens de découvrir ton blog avec de belles photos et vidéos, ainsi que des histoires bien écrites et bien décrites. Je vais continuer à te suivre. Bonne journée
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