29 août 2023

La partouze improvisée acte 2, entre potes

 

Dès leur départ,  la queue de Toni à commencé à se dresser dans ma main.  Je l'ai laissée s'épanouir et j'ai laissé ma main parcourir son ventre, ses pecs,  son visage,  sa bouche puis revenir vers sa bite dressée que j'ai caressé très doucement,  parcourant d'un doigt ses veines gonflées,  décalottant son gland,  recueillant les premières gouttes de mouille. 

Le flacon de lubrifiant que j'avais utilisé pour Jérôme était là. Je l'ai ouvert, mis une grosse giclée sur son ventre et sa queue et j'ai commencé à le masser doucement partout.  
- c'est pour décrasser tes shakras,  dis-je en souriant,  il faut lâcher prise !
Il s'est laissé faire sans prononcer un mot ; de toutes les façons,  son sexe parlait pour lui.  J'ai été le premier à rompre le silence, 
- j'ai très envie que tu me baise,  je sais que tu ne l'as jamais fait mais si tu le veux  tu auras ma première danse.. regarde, 
J'ai alors tourné mon cul vers lui,  écarté les cuisses et montré ma rosace 
- tu vois,  c'est juste un peu plus serré que le con d'une fille. 
Il a rigolé,  caressé de ses mains huileuses mes fesses et ma rondelle .
- viens,  on va se laver et rejoindre les autres. 


 


On a rejoint les autres après la douche. Marc, très excité, n'arrêtait pas de pianoter sur son smartphone. 
La sonnerie de l'interphone a soudain retentit,  Marc est allé ouvrir pensant que c'était un pote, Oups ! c'était le livreur de pizza. 
- les mecs,  vous auriez dû voir la tête du livreur quand j'ai ouvert à poil ! En plus,  machinalement,  j'ai fait comme si je cherchais dans mes poches de pantalon.. j'ai dû aller chercher l'argent et revenir vers lui...
Puis ça a été le défilé des potes.  Les bouteilles s'accumulaient dans la cuisine et un tas de fringues s'est formé peu à peu près de la porte d'entrée.  La première de  réaction chaque arrivant étant de féliciter Jérôme,  puis moi puis enfin de s'agglutiner devant l'écran plat pour mater le film de Jérôme et surtout le commenter.  
Les bouteilles de toutes sortes tournent,  des restes de pizzas traînent sur tous les meubles.  Certains ont entamé à même le sol des parties de cartes,  d'autres jouent sur la console de jeux.  Parmi ceux qui matent le film,  certains se branlent seuls où à plusieurs.  
Pour ma part je rigole avec Marc qui me fait défiler tous les messages reçus sur leur boucle de potes en réponse au film.  Il attend aussi son mec avec un peu d'appréhension car celui-ci a bien entendu visionné notre show commun....
Je lui dit que j'ai très envie de baiser avec Toni mais que je ne sais pas comment m'y prendre.. 
Celui-ci s’est vautré sur un canapé et mate son smartphone..
Ce que je ne vois pas c'est Marc qui lui envoie un texto...
Quelques minutes plus tard,  Marc me montre son smartphone; il y a un message de Toni ; simple,  court : " je l'attend ".
Je me tourne vers lui,  il me regarde fixement,  ses cuisses sont écartées,  sa verge est à la verticale..
La mienne subitement fait un bond et c'est en érection que je traverse le salon et que je me glisse à genoux entre ses cuisses. 
Il tient sa tige en main, là juste devant mes yeux,  je la lèche de bas en haut,  prend ses couilles en main, lèche son gland, tire sur son prépuce, glisse ma langue dans son méat  pour enfin  la gober jusqu'à la glotte. 
Marc est arrivé derrière moi,  a soulevé et écarté mes fesses,
- ouahou! Ça c'est un trou du cul! Dit-il en regardant Toni,  tu vas t'éclater mec, il est déjà tout prêt pour toi ! Et sur ces entre fait, le voilà qui y fourre sa langue. 
Un mec est venu s'asseoir à côté de Toni.  Un beau mec bien membré lui aussi, 
- c'est mon mec,  me dit Marc tout en tartinant ma rondelle de lubrifiant .
Après ça,  le voilà qui chevauche son mec et s'y empale direct, 
- viens me dit Toni, 
Je fais de même ; sa queue me pénètre entièrement et nous voilà Marc et moi chevauchant joyeusement nos montures tout en nous branlant mutuellement. 
Tout autour de nous,  la tension sexuelle est palpable.  Des couples, des trios se sont formé sur la moquette,  les canapés,  l'escalier. 
Je trouvais la situation amusante mais j'avais envie de baiser avec Toni.. mais lui visiblement préférait jouir de la situation et s'amuser et quand je lui ai proposé de nous isoler un peu,  il a refusé.  Il était impossible pour lui d'aller plus loin avec un mec.. il n'était pas pd...voilà...
Je me suis séparé de lui,  à regrets et il n'a pas fallu longuement pour qu'un autre mec prenne la place. 

Petit coup de blues. J'ai soudain malgré  moi, pris un peu de recul. Je me suis vu là debout, nu,  le sexe encore un peu érigé,  au milieu d'un salon gigantesque au sol jonché de vêtements,  de bouteille vides ou pleines, de reliefs de pizzas. Des mecs nus partout,  emmêlés, imbriqués joyeusement les uns avec les autres.  Ce qui était le plus curieux,  c'est que beaucoup avaient leur smartphone en main pour se filmer en action ou filmer d'autres en action.
 Marc a soudain fait une annonce, 
- hey, les gars  on est, je le rappelle chez mes parents donc,  éclatez vous mais démerdez vous pour avaler le foutre ou en tous cas de ne pas salir le mobilier ! Il y des kleenex partout !

Je n'avais plus envie curieusement de me mêler à ça. Même s'il j'étais venu pour baiser,  ce sexe tous azimuts,  débridé, me semblait maintenant désincarné, Mécanique.  J'avais plutôt besoin d'échanges,  de corps à corps.   De fait,  j'ai pensé un moment à partir mais il me fallait quand même trouver mes fringues dans le désordre ambiant !
Alors je suis monté à l'étage en me disant qu’une douche me ferait le plus grand bien et peut-être que ça réveillerait en moi le désir de plonger dans l'arène. 
À l'étage tout semblait calme et j'étais content de trouver la salle de bain libre. 
Je me suis glissé dans la cabine de douche et laissé un moment couler l'eau sur mon corps.  À un moment je me suis retourné et j'ai vu qu'un mec me matait tout en se caressant la verge.. Putain, c'était Toni ! A-t-il changé d'avis ? 
J'ai eu une montée d'hormones immédiate ; ma queue s'est dressée contre mon ventre.  J'ai collé mon cul contre la paroi vitrée, comme un appel, une invitation. 
Il m'a rejoint dans la douche, il était curieusement vêtu d'un tee-shirt,
- j'allais partir quand je t'ai vu entrer dans la salle de bains m'a t-il susurré à l'oreille.
L'eau dégoulinant sur nos corps, Il m'a pris par la taille et m'a embrassé fougueusement; 
- j'ai envie de toi.. je veux que tu sois ma première expérience avec un mec ..
- mais tu n'as pas voulu tout à l'heure ?
- je voulais mais pas comme ça,  les autres s'amusaient à s'empaler sur moi,  toi tu me voulais moi,  ce que l'on voulaient tous les deux,  c'était de faire l'amour ensemble.   Nous nous sommes embrassés de nouveau avec fougue et passion. 

Nos queues raides se sont alors entrechoquées. Ses mains ont agrippé mes fesses. Son tee-shirt collant sur son torse, je me suis amusé à le doucher pour mieux apprécier son torse, le dessin de ses muscles en transparence sous le coton mouillé. on s'embrasse de nouveau; choc des corps.

 Il écrase ses lèvres sur les miennes. Sa langue ouvre ma bouche et vient se tortiller avec la mienne dans tous les sens, pendant qu’il me caresse et me palpe le cul. Ses caresses ne sont pas fortuites, nous savons tous deux ce que l'un et l'autre veut. Je pousse des petits gémissements et je me frotte contre lui en ondulant les hanches et le cul pendant qu’il me tripote. Ça semble bien l’exciter. L’eau brûlante coule toujours sur nos deux corps, nos bites sont au garde-à-vous. Il attend que la pression retombe un peu puis vient se coller à moi et m’embrasser le cou, me lécher l’oreille droite, mordiller le lobe… pendant ce temps, sa main s’active sur ma bite et je fais de même sur la sienne, tâtant ce beau morceau de chair une nouvelle fois. un vrai régal !

Je prends nos deux bites dans ma main et les fais coulisser ensemble. Il kiffe et rejette la tête en arrière en un soupir silencieux. Puis je m’agenouille sous la douche, dans le coin, côté mur, pour lui gober la queue. Il sourit et place ses mains sur ma tête en me caressant les cheveux. Je lui lèche le gland et fais le tour avec ma langue, en titillant le méat. Il se mord la lèvre ; visiblement, ça le chauffe bien. Tout à coup, il me regarde avec un clin d’œil pendant que je le suce, puis enfonce sa queue dans ma bouche avec un mouvement de bassin. Je m’y attendais : j’accuse le coup et ouvre bien ma gorge pour le recevoir. Il n’a pas été brusque, mais c’est désormais lui qui donne le rythme : par des mouvements amples, il fait des va-et-vient dans ma bouche bien baveuse et me tape le fond de la gorge. Une ou deux fois, je le retiens et  il ralentit simplement pour me laisser reprendre mon souffle, puis enchaîne avec de petits mouvements secs, en se branlant la bite sur le bord de mes lèvres. Je le regarde dans les yeux pendant qu’il me baise la bouche, il me caresse la joue et continue à me pilonner la gueule.

Au bout d’un moment, je fatigue un peu, alors je lui sors la bite de ma bouche et me relève. Il me roule un bon patin pendant trente secondes ; ses doigts fouillent ma raie et titillent mon oeillet… je sens son index entrer lentement et me caresser la prostate. Je lui passe mon gel douche. Il se savonne les mains et me nettoie la chatte en massant bien autour avec ses doigts. Puis il me retourne vers le jet d’eau et rince mon cul. Je le sens derrière moi, la bite tendue, qui masse ma rosace et se branle de l’autre main. Ça m’excite comme jamais, je n’ai qu’une envie, c’est qu’il m’encule.

Ses doigts se fraient un chemin dans mon troufignon et recommencent à fouiller. Ma rosace s’ouvre progressivement, mais il n’en a pas fini avec moi. Je cambre mon cul. Il s’accroupit et commence à me bouffer le cul comme un dieu. Je me mords la lèvre pour ne pas gémir, mais c’est trop bon !

Très vite, je lui fais signe que je n’en peux plus et que je veux qu’il me baise. Il se relève, vient se coller derrière moi et me plaque contre le mur de la douche, sa main sur la mienne, collée contre la paroi. Je  lui tends ma bouche pour qu’il m’embrasse. Il me fourre sa langue entre les lèvres et commence des mouvements de bassin contre mon dos. Sa queue coulisse sur mon petit trou qui palpite, et j’ai les jambes qui flagellent. Que c’est bon de sentir une bite sur mon oeillet ! Il réintroduit un doigt savonneux et me titille le cul pendant encore quelques secondes puis, constatant que je suis bien ouvert, présente son gland à l’entrée de mon trou et commence à pousser lentement.

Mes chairs s’écartent peu à peu et je sens son gros gland passer la porte de mon cul. C’est très légèrement douloureux, mais il a bien pris son temps pour me préparer et j’ai connu bien pire ! Une fois le gland passé, il fait coulisser sa bite en moi centimètre par centimètre, mais le plus dur est fait : le reste rentre comme dans du beurre et je pousse un soupir de plaisir, toujours plaqué contre le mur. L’eau chaude continue de couler et son bruit dissimule nos deux respirations saccadées.

Il s’accroche à mes hanches et fait des mouvements amples et langoureux pour bien démarrer ; je sens ma chatte palpiter de plaisir sous ses coups de butoirs lents et méthodiques. Mon cul chauffe et ma bite gonfle encore plus. À chaque passage, ma prostate est agréablement stimulée et je me retiens de couiner tant sa bite me procure du plaisir. Je halète, la tête légèrement en arrière, le dos cambré, le cul offert, et il mordille à nouveau mon oreille pendant qu’il me baise, puis me roule un bon patin pendant quelques secondes tout en continuant à me labourer lentement.

J’ondule en rythme et je tortille un peu mon cul pour lui dire à quel point je prends mon pied. Il semble prendre ça pour un signal d’accélérer et commence à aller plus vite, faisant des va-et-vient plus rapides et plus secs. Je dois de nouveau me mordre la lèvre pour ne pas gémir. Il prend une cadence soutenue et mon cul n’est bientôt plus qu’un trou comblé par sa bite; j’entends son pubis claquer contre mes fesses, produisant des bruits mouillés sous le jet d’eau de la douche. Je me branle doucement pendant qu’il m’encule et ma bite me fait vibrer de plaisir en même temps que mon cul se fait combler. Je tends un bras en arrière pour palper son cul qui s’active contre le mien, je malaxe ses fesses et y enfonce mes ongles. Je le vois afficher un petit sourire pervers et complice, et il passe sa langue sur ses lèvres pour me montrer à quel point il kiffe mon trou. Je resserre mon anus et je l’entends murmurer « oh putain t'es serré d'un coup… ! ». Apparemment, il semble apprécier. Une de ses mains continue d’agripper ma hanche, l’autre vient enfoncer deux doigts dans ma bouche. Je lui suce les doigts et il s’active encore plus. Je m’ouvre complètement et lui tend mon cul au maximum.

Il me pilonne encore un bon moment sans ralentir puis je l’entends dire doucement,

- sibon continue comme ça, je vais jouir, viens on va dans la chambre d'amis on serra mieux.

Il décule lentement, et j’ai l’impression que mon trou est vide pendant quelques secondes, le temps de libérer pleinement sa bite. Il me retourne et m’attire contre lui. On reste ainsi immobiles à se câliner pendant quelques secondes, toujours sous l’eau chaude. On sort rapidement, le temps de nous essuyer un peu et nous voilà dans la chambre d'amis; je me jette sur le lit, lève bien haut les jambes et je l'attends. Il soulève ma verge à la verticale,  la lèche langoureusement. Sa langue s'attarde sur chaque veine gonflée de sang puis descend vers mes boules. 

il les gobe avant de passer sa langue le long de mon périnée. Je couine de plaisir ; je l'attends presque impatient.   il se met ensuite à passer sa langue sur la raie de mon cul, de haut en bas, puis  lèche ma rosace en écartant bien mes fesses. Il donne des petits coups de langue qu’il finit par faire rentrer aussi loin que possible dans mon cul. Il me malaxe mes fesses galbées qu’il fesse de temps en temps et me les bouffe comme un affamé. Parfois, il m’écarte bien l'oeillet et crache abondamment dedans.

 Il y introduit un doigt. Je n’avait pas remarqué que ses doigts étaient si trapus. Mais il y va direct, sans ménagement, d'avant en arrière, il me laboure le trou. Puis il y entre un deuxième, puis un troisième qu'il tourne tout en écartant mes sphincters.

C’est alors que son gros gland se présente devant ma rosace, pousse mes sphincters. Le gland s’introduit le long de mon conduit. Je sens mon rectum s'ouvrir sur son passage. Millimètre après millimètre. Sa teub entre toute seule au fond de mes entrailles. Il me pénètre jusqu'à la moitié de sa bite, bien plus large. Quelle sensation! Sa queue élargit mon trou puis se resserre de nouveau le long de la partie qui redevient moins large. Il pousse jusqu’à ce que je sente ses poils me chatouiller les fesses et ses grosses couilles buter contre mon cul ! Il ressort puis replonge. Il commence alors de puissants va-et-vient. Ses grosses couilles tapent contre mon cul. Sa queue m’écartèle la rondelle. Toni commence alors à vraiment me défoncer tout en me tenant par les hanches. Il se relève et, prenant appuis sur ses pieds, il augmente la puissance de ses coups de massue. Il me fesse de temps en temps. J’admire dans le miroir de l'armoire son beau cul se démener. Par moments il se couche sur moi et il continue de me défoncer tout en m’embrassant et en me mordillant l’oreille. J’ai l’impression de sentir sa queue entrer encore plus en profondeur dans mon cul. J’admire  son ventre et son corps bouger et accompagner ses coups de reins. Dans le miroir, j'ai une vue plongeante sur la base de sa queue,  sur son cul rebondi qui bouge en cadence au-dessus de mon corps et sur ses couilles qui accompagnent ses mouvements, qui s’écrasent et rebondissent sur ma peau et qui, à chaque fois qu’il se retrouve au fond de moi, semblent être miennes.  Je vois aussi et surtout son gros engin s'enfoncer sans ménagement, de plus en plus fort.

Puis il se dégage de moi. se pose sur le lit, sur le dos, il m’attrape par le bras et me plante sur sa teub violemment. Ses couilles se retrouvent au niveau de mon cul. Il me prend par les hanches, me soulève un peu les fesses et il commence à les baiser. C’est comme si j’avais un marteau-piqueur dans le cul. Il me plaque contre lui et me roule une pelle tout en me pétant le cul. Il me baise de plus en plus brutalement, il me soulève comme si je ne pesais rien puis me renfonce de la même façon sur son pieu. D’un mouvement habile, il me fait tourner de 180 degrés sur sa queue, je me retrouve face au miroir, lui tournant le dos. Il me plaque alors sur son torse, me relève les deux jambes avec ses mains et se remet à me pilonner. J’ai une vue imprenable sur sa bite qui sort et rentre de mon trou grâce au miroir. Je sens sa tige épaisse et gonflée à bloc venir me marteler les entrailles, il me met d’énormes coups, il me pète le cul. J’ai l’impression d’être une marionnette. Ses couilles viennent battre les miennes. Je sens les poils de son torse me chatouiller le dos et ceux de son pubis le cul. Ma bite gonflée cogne à chaque mouvement contre mon ventre et plusieurs fois,  le plaisir étant tellement intense,  j'ai failli éjaculer.  Il me pine ainsi pendant de longues minutes.

Dégoulinant de sueur, il me repose et se relève. Je me retrouve sur le dos, sa teub trouve à nouveau l’entrée de mon trou qui est maintenant béant. Il me saisit par les épaules et ravage de nouveau mon cul. Il m’embrasse comme un fou, je sens sa respiration s’accélérer. Il se lâche complètement et me sodomise sans aucune retenue. Soudain, il glisse ses mains autour de mon cou et il appuie. Je commence un peu à paniquer... mais je me ressaisis, ayant confiance en lui. Il maintient une pression continue, il m’étrangle, je suffoque. Ses couilles tapent de plus en plus vite sur mon cul et ses coups de reins m'explosent la prostate. Bizarrement, je me sens jouir d’un coup, sans même me toucher. 5 jets puissants viennent s’écraser sur mon ventre et sur mon torse. Mon orgasme doit bien faire contracter mes sphincters qui compriment sa teub. Je sens alors son corps se tendre dans un dernier assaut. Sa teub, qui semble à ce moment-là gonfler un peu plus, se retrouve bloquée contre ma prostate, ce qui prolonge mon orgasme... ma bite continue de dégouliner de foutre. Puis ses grosses burnes se plaquent contre mon cul qui se met alors à se remplir d’une substance chaude et liquide. Je sens des giclées bouillantes m’envahir. C’est comme s’il explosait en moi. Il me lâche le cou, continue à donner quelques coups de teub puis il se calme et se retire lentement. Quand son gland a franchi ma rosette, une fontaine de jus tombe sur le lit. Sa queue, dans un dernier soubresaut, laisse jaillir 2 jets qui viennent s’écraser contre ma jambe. Je me retourne, reprends sa bite en bouche et la lui nettoie. Un autre jet jaillit au fond de ma gorge. Son foutre coule sous forme de grosses gouttes hors de mon anus … où il plonge ses gros doigts pour en extraire une lampée. Il les ramène à ma bouche et il me les donne à sucer.

Il se couche à mes côtés, me prend dans ses bras puissants et m’embrasse. Il passe sa main sur mon corps et il étale mon jus. Ce qui reste sur sa main... il me le donne à manger. J’avale goulument.       

Je me suis assoupi rapidement dans ses bras, épuisé et comblé.


 





Combien de temps suis-je resté assoupi,  je n'en sais rien.  J'ai été réveillé par des voix qui d'un ton très agréable me susurraient 
- Bastien,  coucou,  réveille-toi !..
J'ai ouvert péniblement les yeux et j'ai vu  Jérôme,  Marc et son mec danser au dessus de moi tout en agitant leurs teub raides. 

Jérôme a baissé le drap ; j'avais bien sûr une gaule matinale qui les a fait pousser de petits cris de satisfactions juste avant qu'ils viennent tous trois sur moi pour me caresser,  m'embrasser à tour de rôle.  Une vraie déferlante de tendresse.  Leurs mains parcourent chaque centimètre de mon corps,  leurs lèvres se collent tour à tour sur les miennes, les langues se mêlent  et ma queue,  mes boules passent également de bouche en bouche.  Marc, vient se mettre au dessus de ma tête, ses petites couilles sont terriblement pendues et j'ai une envie folle de les gober toutes les deux, il exauce mon voeux en se baissant; je les gobe, joue avec dans ma bouche, tire dessus pour faire se baisser son vit dressé.
Pendant ce temps mes deux autres compères se disputent joyeusement ma verge, mes couilles tout en se bécotant. Son  petit copain vient me prêter main forte et, tandis que je tire joyeusement sur ses boules, vient le sucer. Quand il se retire, Marc vient poser son cul contre mon visage et j'ai le temps de découvrir de près sa verge, longue, fine et courbée. Je lèche son entrejambe, sa rosace mais bien vite c'est sa queue que je veux. Je la lèche de tout son long en même temps que son pote et nos lèvres combattent sur cette tige raide et brûlante. Pendant ce temps, Jérôme s'acharne sur ma queue qu'il bouffe furieusement. Marc a un corps magnifique, une longue veine parcours son bas-ventre et vient se perdre dans son pubis glabre.
Je demande à Marc de me tendre sa bite que je gobe tout entière malgré sa longueur; ses coups de reins la pousse jusqu'à ma glotte et j'entraperçois, son pote qui commence à bouffer le cul de Jérôme et ça m'amuse!
Son pote lui demande de lui céder la place. Et c'est ainsi que je me retrouve à lui lécher la raie et l'oeillet; lui aussi à une superbe tige longue, fine et courbée; celle-là aussi j'aimerais bien l'essayer! Pendant ce temps  Marc va s'occuper du cul de Jérôme. 
Quel début de matinée! Bientôt nous sommes tous les quatre en nage; nos corps glissent les uns avec les autres . Je suis bientôt au bord de l'orgasme et c'est dans la bouche de Marc que j'éjacule une puissante giclée de foutre qu'il vient illico partager avec moi et ses potes. après cela les deux autres se branlent furieusement au dessus de moi et presque en même temps couvrent mon torse de leur semence que  encore nous partageons tous .
après cela , tous à la douche!






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