19 août 2023

Le fils de , weekend de retrouvailles, Acte 5, les adieux

 



Matinée tranquille,  en famille,  tennis,  restaurant en ville,  les parents partent pour l'après-midi pour aller voir grand-mère en ephad.

Seb habillé sexy,  comment les parents peuvent ne pas se douter ! Un débardeur noir moulant et un short en jeans coupé très court.

 attablés au restaurant on voyait bien qu'il n'avait pas de slip.. sans compter que pour m'aguicher, discrètement,  il écarte les cuisses faisant apparaître son gland .

Ce salaud me tient par le bout du nez ou devrais-je dire par le trou du cul.  J'ai jamais eu aussi longtemps,  en permanence de fait,  les hormones à l'envers que ce week-end.. je ne pense qu'à ça ! Rien que d'apercevoir,  un petit bout de sa bite,  m'excite au plus haut point et si je ne me contrôlais pas, je me précipiterais dessus pour le lécher.  Honte à moi,  ce mec me rend dingue ! De plus s'il est vrai qu'en matière de pratiques sexuelles,  je suis plutôt versatile même si j'adore être baisé mais avec lui,  même si je rêve de le baiser,  dès que l'on fait l'amour,  je n'ai plus qu'une seule idée,  me faire ramoner par sa sublime queue ! 

Après le repas,  nous nous sommes séparés.  Les parents devaient passer l'après-midi dans une ville voisine pour rendre visite à la grand-mère qui se trouve dans un ehpad.  


- petite crapule,  lui ai-je dit sur le chemin du retour,  t'as réussi à me faire bander pendant tout le repas ! J'espère que tes vieux n'ont rien remarqué ! Putain mec, tu m'obsède littéralement ! Et sans me soucier des passants,  je lui fourre la main sous son short rapiécé et un doigt dans le sillon humide. 

-  C'est bien ce que j'imaginais,  t'as même pas de slip ! Je sors ma main de son short,  porte mon doigt à mon nez, 

- hmmm,  ça fleure bon! Et je l'embrasse goulûment, 

- allez on rentre !

Arrivés à la maison,  nous nous sommes installés dans le salon ombragé du jardin pour boire un café.  Mais,  le désir était intense à l'idée de disposer de la maison sans craindre d'être surpris. On sirote notre café tranquillement,  on parle de tout et de rien mais dans ses yeux brille une petite lumière qui ne trompe pas.  Les jambes écartées, de nouveau sa queue dépasse et de plus en plus d'ailleurs car il commence à bander. Et moi avec.

Je souris,  

- décidément,  je me souviendrais de ce séjour ! Je m'approche à genoux de sa jambe nue, je la caresse d'une main tandis que mes lèvres doucement remontent vers sa cuisse  pour approcher du bord elimé de son short.  Juste là dépassant à peine, son gland rose.  Une goutte de mouille perle déjà.  Quel bonheur,  je souffle dessus mais laisse approcher au fur et à mesure qu'elle se raidit,  sa queue hors du tissu.  Je lèche alors la petite coulée qui s'est déposée sur sa cuisse.  Ma langue caresse ce gland qui s'offre à moi.  Puis après m'être relevé,  je déboutonne le short, écarte les pans de jeans,  libère son sexe qui se dresse fièrement,  à moitié décalotté. Je lèche ses petits abricots bien fermes, lèche sa hampe dressée et  l'engouffre enfin. 






- viens lève-toi,  me dit-il. 

J'ôte mon débardeur tandis qu'il déboutonne et baisse mon short et mon slip. Sa langue se glisse entre mes cuisses,  lèche mes boules qui pendent devant ses yeux. Délicatement, il passe une main, les soupèse en les caressant, elles commencent à se rétracter,  La pointe de sa langue s'avance, et lèche, enduit de salive, lèche encore plus. Il en gobe une, la fait rouler dans sa bouche, elle est chaude, dure! 

Il s'aide de la main pour faire entrer l'autre et se retrouve comme un hamster à s'étouffer! Il les fait bouger dans sa bouche, il les sent rouler, les fait passer d'une joue à l'autre, ça tire sur mes couilles, mais j'aime ça et je couine de plaisir !

Après un moment,  

- c'est trop bon Seb , ma queue va exploser, calme là!

Il passe son nez tout le long, jusqu'au gland qui coule, un coup de langue pour faire disparaître la mouille, la relève dans sa main, et ses belles lèvres s'enroulent autour de mon gland.
Sa main se glisse dans mon dos , caresse mon cul et me pousse pour m'inciter à amplifier mes va-et-vient dans sa gorge. Je reçois le message cinq sur cinq et il glisse un doigt dans mon sillon pour flatter ma rosace.

Il me demande de me retourner, il caresse mes miches de ses lèvres,  passe la paume de sa main dans ma raie, caresse d'un doigt ma rosette, Instinctivement, j’écarte les cuisses. Puis, je sens un doigt entrer dans mon cul. Et un deuxième. Ils s’enfoncent, tournent, m’écartent l’anus. Ils entreprennent ensuite des va-et-vient. Je couine sans retenue. Il enfonce sa langue dans mon trou  et il se met à me bouffer le cul. Sa disparait entièrement dans mon anus et elle tournoie en moi. Parfois, il ressort pour laper ma rosette avant de s’y réenfoncer. J'écarte bien mes fesses pour faciliter l'accès. Finalement, il ressort , agrippe ma queue qu'il attire vers lui entre mes cuisses et il me suce pendant quelques secondes. 
Je gémis fort, heureux de pouvoir me libérer sans craindre d'être surpris. Il me plaque sa main contre la bouche. Il colle son corps contre le mien, sa queue bloquée entre mes reins navigue entre mes miches.  Il me mordille l’oreille. Je me laisse faire, immobile. Je sens alors son gland se plaquer contre mon oeillet. Il  enfonce ensuite sa bite lentement dans mon cul. Quand son pubis se retrouve plaqué contre mon cul, tel un tapis de poils, il se met à me baiser une nouvelle fois. Il m’enserre dans ses bras et nous restons ainsi un moment tels des siamois.  Pendant quelques secondes, il me baise doucement. Puis, il entame vite un rythme de baise violent, rapide. Il me pilonne. Il me fait cambrer le cul et je me laisse faire devant la puissance de ce nouveau rut. Il sort presque complètement sa bite de mon cul et il la renfonce jusqu'aux couilles. Puis il serre mon corps contre le sien et ses mouvements sont moins amples mais plus violents. Ses couilles tapent les miennes.

Au bout d'une éternité de ce traitement, il accélère le rythme et il me pilonne sans pitié. Ses bras  m’enserrent encore plus fort. Je suis son prisonnier, je suis à lui.  Enfin Et d’un coup de reins violent, il se déverse en moi. Il m’envoie 7 rasades de sperme au fond des entrailles. Je les sens me mitrailler le cul. Il savoure sa jouissance en donnant encore quelques coups de bite. Puis, il sort de mon cul. Il se dégage, il me donne une tape sur le cul et me dit :

- à toi maintenant,  branle-toi sur moi.  Je me retourne alors,  ma queue dressée à rompre contre son visage. Il me fout deux doigts dans l’anus. Il les plonge dans son jus et il se met à me masser la prostate. Je sens la jouissance venir vite et ma queue se contracte et il ne faut pas longtemps avant que je jouisse dans un cri sauvage de belles giclées de foutre sur son visage qu'il lèche consciencieusement   Il retire ses doigts, ils sont poisseux de son sperme et il me les donne à lécher. 

- ouah! C'était encore super mec ! Me dit-il je ne sais pas ce que c'est mais entre nous ça colle à fond!  Je te kiffe grave. A peine on a fini de  baiser que j'ai encore envie de toi ! Viens, à partir de maintenant farniente et piscine et on fera le dîner ça fera plaisir aux vieux !

L'après-midi avait été très calme.. tendre,  nous avions pris conscience qu'il se passait quelque chose entre nous et sans vouloir en parler,  mon départ étant prévu pour le lendemain,  nous sommes restés enlacés tendrement. 

En fin d'après-midi nous nous sommes douchés ensemble mais déjà le cœur lourd,  c'était notre dernière soirée ensemble..

Quand les parents sont arrivés. Ils ont été stupéfaits de voir que tout était prêt pour la soirée.  Apero, table dressée,  il ne restait plus qu'à chauffer les plats. 

Nous sommes tous restés tard à discuter et on a tous fini dans la piscine pour un bain nocturne. 

A peine couché Seb est venu dormir avec moi.  Et oui on étais triste.  On s'est très vite endormis enlacés.  


Au petit matin,  réveillé par le jour,  j'ai eu très envie de lui faire l'amour pour une dernière fois. Il dormait encore à mes côtés. Son corps bronzé reposait splendide au-dessus des draps blancs du lit.  Il avait gardé son slip blanc qui contenait avec peine une gaule matinale.  J'ai souris  quand j'ai constaté qu'il s'agissait de mon slip kangourou,  celui que je portais la nuit où il m'avait rejoint !








Je me suis approché de lui pour caresser de mes lèvres son torse tant aimé.  Il a commencé à bouger, 

- salut Seb,  et j'ai posé sur ses lèvres entrouvertes un doux baiser. Il m'a sourit et j'ai continué à le parcourir tendrement de mes lèvres m'attardant à redessiner avec ma langue,  les sillons de ses abdos.  J'ai effleuré un instant la protubérance de son ck pour parcourir des lèvres ses cuisses.  Puis,  j'ai admiré quelques instants la forme prise par son sexe dans le slip blanc avant de mettre au jour par la poche kangourou ses couilles toutes flasques  pour les lécher et les prendre en bouche et les faire rouler sous la langue. 

Il a tout de suite lever les jambes sachant très bien ce que je voulais.  J'ai alors écarté encore plus le slip pour embrasser, mordiller son entrejambe et finalement sa raie.  Je me suis relevé pour coller mon bas-ventre contre son cul pour mimer l'acte de pénétration . J'avais gardé moi aussi mon slip mais nul doute qu'il a senti ma bite bien dure pousser sur son cul. 

Nous nous sommes embrassés fougueusement puis j'ai libéré sa verge de sa gangue de coton pour la sucer. J'aurais pu lui ôter son ck, Je ne sais pas pourquoi,  mais j'avais très envie de continuer un moment comme ça, sachant que c'était mon slip qu'il portait. 

Il se tient les jambes bien écartées pour que je puisse bien gober sa tige et lui bouffer la rondelle ardemment et longtemps désirée. Son œillet plissé est là devant moi je le dévore des yeux avant de le dévorer tout court.  J'y glisse mon pouce caresse ses rebords humides, il gémit tandis que je reprends en bouche sa tige bien dure.  

Après avoir pris mon temps à lui bouffer la rondelle,  à le préparer avec mon pouce,  je l'ai enfin débarrassé de son ck et du mien.  Je suis resté un moment dressé près de lui exhibant fièrement ma queue dressée,  celle qui allait le transpercer bientôt.

J'aime cet instant,  moi face à lui,  fébrile, queue en main que j'astique doucement, lui cuisses levées,  fesses ouvertes, rosette entrouverte,  queue dressée. Une intensité  sexuelle inédite qui se lit dans nos regard. 

Je m'approche à nouveau,  plonge ma langue dans son anus qui frémit. J'y introduit à nouveau mon pouce qui va-et-vient tandis que j'engouffre  sa verge jusqu'à la garde.  

- Donne-moi ton cul une dernière fois,  dit-il dans un souffle.

Je me mets à califourchon sur son visage.  Mes couilles reposent sur son front tandis qu'il lèche mon oeillet à grands coups de langue. Puis je me recule un peu pour qu'il puisse gober la tige qui va l'empaler.

- c'est le moment,  mec mais n'oublie pas , je ne fais pas souvent,  tu as compris mes préférences....

Il se met sur le flanc , et tout doucement je pousse mon vit contre sa rosette. Bientôt,  ma verge toute entière est en  lui.  Je reste un moment sans bouger.  Je l'embrasse  tendrement et c'est bouche contre bouche que je me retire doucement pour mieux donner mon premier coup de reins.  J'ai accéléré et j'ai commencé à le pilonner sérieusement tout en manœuvrant ma queue en lui pour bien masser en particulier sa prostate provoquant une petite éjaculation. On s'embrasse en riant et je recueille le sperme pour lubrifier ma verge.  

- viens. Me dit-il,  j'ai envie de sucer ta queue sortie de mon cul.

Je m'extraie de son cul non sans jeter un œil sur sa rosette bien ouverte. Puis je me pose contre la tête de lit et lui offre ma verge à bouffer.  Le voir là à quatre pattes sur le lit le dos cambré,  s'occuper de ma bite,  m'excite comme un diable. 

-alors Seb,  elle a le goût de ton cul  dis-je,  ça te plaît ?! Et je pousse sa tête pour m'assurer qu'il la tète bien toute entière.  

Après cela je me retourne, face au mur,  bien cambré,  cuisses écartées,  et lui offre mon cul à lécher. Des deux mains il écarte m'es miches,  crache sur ma rondelle,  fourre sa langue et en lèche les bords. Immédiatement,  je sens l'air frais s'engouffrer et immédiatement j'ai de nouveau terriblement envie qu'il me martèle le cul..  d'ailleurs,  il n'est plus le même,  je vois bien que maintenant qu'il est à la manœuvre il est beaucoup plus entreprenant. Il s'empare de ma verge qu'il tord douloureusement pour la lécher alternant ainsi avec mon cul.  Puis le petit salaud reprend vite ses petites habitudes en enfonçant peu après son pouce puis les deux pour bien écarter mes sphincters. 

- dans un spasme,  je cède et lui dit, 

Vas-y Seb,  empale moi une dernière fois !

Nous sommes tous deux debout sur le lit,  position instable s'il en est . Ce qui ne l'a pas empêché de m’empaler direct.  De nouveau,  le bonheur indicible d'être labouré par ce braquemart que je connais bien maintenant mais surtout qui sait exactement ce qu'il faut faire pour m'emporter très loin. 


- on remet ça,  me dit-il.  Il me colle  contre le mur et vient s'embrocher sur ma queue et se pose de tout son poids Cette fois-ci,  je suis entièrement en lui et  même le jeu il se soulève et se laisse retomber et visiblement il y prend du plaisir.  Je prends sa bite dressée en main et je le branle doucement. 

- viens,  couche-toi,  et à califourchon sur moi,  à un rythme de plus en plus assuré,  il s'empale sur moi,  je le branle au même rythme quand soudain,  il accélère,  reprend vite sa verge et se branle comme un forcené jusqu'à éjaculer sur mon ventre.

Il se retire bien vite,  prend le sperme  dessus mon ventre  pour lubrifier mon anus, introduit son doigt et entame un massage de ma prostate tandis que je me branle.  

Le plaisir devient insoutenable et j'envoie une belle salve de foutre sur mon ventre qu'il vient lécher et que nous partageons dans un long baiser. 







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