12 mars 2024

récit just friends

 


Nous étions amis. Comme seuls des adolescents peuvent l’être. Amis pleinement, totalement. De sang.

Je savais tout de toi et tu savais tout de moi. C'est-à-dire par grand-chose. Le lycée, les filles que tu regardais et dont on ne parlait jamais, les voitures de formule 1 dont nous parlions souvent.

Je me foutais pas mal des voitures, de leurs pilotes et de la forme des circuits. Mais, nous étions ensemble, de longues heures l’un contre l’autre sur le grand lit de ta chambre, juste au-dessus de la boulangerie de tes parents. C’était notre refuge, notre île. Hors du temps, juste nous.

Le week-end nos parents s’étaient habitués à nous voir ensemble. Dès la sortie du lycée, je remplissais nerveusement un petit sac de quelques fringues et je courrais chez toi, de l’autre côté du fleuve traversant hâtivement la ville.


La nuit, les nuits passées contre toi, dans ton grand lit grinçant, la nuque caressée par ton souffle régulier ; léger si léger.

Cet été-là, nous avions persuadé, facilement d’ailleurs tes parents, de te laisser venir avec moi quelques jours dans notre maison du bord de la mer.

Quel bonheur, nous passions nos journées à la plage, dans les dunes, à vélo. Nos premières soirées aussi dans le monde du dehors, à siroter de la bière aux terrasses bondées de la station balnéaire. Seuls parmi les rires, les regards des garçons et les filles de notre âge. Bronzés, exténués de sport, heureux de la fraîcheur retrouvée de ces soirées estivales. Le bonheur et l’insouciance régnait partout.




Ce soir-là, je me souviens, Exténués par notre journée de plage et de sport nous n'avons pas tardé à aller nous coucher  

Il faisait chaud. Seul une légère brise soulevait à peine le léger rideau de la chambre. La lumière de la lune éclairait la pièce d’une lumière blafarde.  Nous nous sommes dévêtus tout en discutant.  Machinalement, sans réfléchir, dans ma lancée, j'ai même enlevé mon slip.   J'en ai pris conscience quand il m'a dit, 

- tu veux dormir à poil ?

C'était la première fois.  Il n'y avait pas de pudeur entre nous.  On avait l'habitude de se voir nus, ne serait-ce que sur la plage et il nous arrive même de faire notre toilette ensemble.  Non, c'est juste qu'au lit, nous avons toujours gardé un slip ou un caleçon.  Peut-être comme un dernier rempart à nos désirs inconscients. 

- euh. Oui,.... Finalement il fait trop chaud.   

- t'as raison, on sera plus à l'aise à été sa seule réponse. 

Tu t'es endormi presque tout de suite.  

Je ne dormais pas écoutant simplement les bruits de la nuit à peine troublés par ta respiration.  Je voyais ton corps à peine recouvert du drap, se découvrir peu à peu.  Il faisait encore chaud et même le léger tissu était de trop. 

Quand enfin, une brise fraîche a commencé à soulever les rideaux, je me suis enfin assoupi. 

Au petit matin, il faisait enfin frais et cela m'a réveillé. J'ai réajusté le drap sur mon torse découvert.  Naturellement, je bandais. J'allais m'assoupir à nouveau quand j'ai pris conscience que non seulement ta main était très proche de ma verge rigide mais que tes doigts l'effleuraient...


Je suis resté ainsi un moment... sans bouger... enfin presque... j'ai juste donné un petit coup de reins afin que le contact soit plus évident.  Tu devais dormir car tu n'as pas réagi alors qu'ainsi, mon gland était dans le creux de ta main. 

Dans ton sommeil, tu t'étais pratiquement entièrement découvert.  Le drap recouvrant à peine ton torse, tu étais nu, offrant à mes yeux, la délicieuse cambrure de tes reins, tes fesses légèrement entrouvertes et ma verge au creux de ta main à subitement sursauté, cognant contre tes doigts...  J’ai fermé les yeux, il n'y avait que ça à faire.. me rendormir.  Soudain, un effleurement sur mon gland décalotté et humide.. Une caresse ! Tout doucement, cet effleurement est devenu un enveloppement. Et puis plus rien.  Avais-je rêvé ? Pris mon désir pour la réalité, je ne sais. Tu as enlevé ta main. Bien sûr je me suis rendormi. Pour me réveiller à nouveau peu de temps après.  Tu n'avais pas changé de position.  Tes fesses étaient toujours à quelques centimètres de moi et de ma queue toujours raide. 

Sans vraiment réfléchir, je me suis encore approché et j'ai caressé très légèrement ta cuisse du bout de mon gland décalotté, laissant une traînée humide sur ta peau.  Tu n'as pas bougé alors plus téméraire encore, j'ai caressé ton sillon. Tu as alors, sans te retourner, tendu le bras. Tes doigts se sont refermés sur ma verge.  Une caresse le long de ma hampe, une caresse sur mes boules, je n'osais pas réagir, on n’entendait à peine nos respirations retenues.

Puis tu t'es enfin retourné.  Sans me regarder, sans un mot tu t'es penché, tu as regardé ma queue qui pointait vers toi. Tu as fini de la décalotter puis tu as juste posé ta langue  sur le méat pour recueillir une goutte de mouille.; enfin, tu l'as gobée presque toute entière tout en caressant mes couilles toutes dures. 

Tes fesses étaient toute proches. Je l'ai ai caressées pendant que tu léchais les veines de ma queue, mes couilles, que tu pompais mon vit.

J'ai glissé alors mes doigts au creux ton sillon, caressé ta rondelle. C'était agréable et visiblement tu aimais car entre deux va-et-vient sur ma verge, tu couinais. 

C'est là que j'ai eu envie d'aller en toi. J'étais bien sûr puceau et toi aussi   au moins comme ça. 

Je t'ai demandé ce que tu en pensais,  sans hésiter tu as dit, 

- parce que c'est toi,  parce que c'est nous,

Et tu t'es retourné.  Doucement j'ai mouillé avec ma salive mes doigts,  ton œillet.  Doucement après une longue caresse de plus en plus pénétrante,  j'ai introduit un doigt. C'était facile finalement... encouragé par tes couinements,  par ta cambrure d'offrande, par ta queue raide battant contre ton ventre laissant des traces de mouille,  j'ai fait quelques va-et-vient et j'y ai introduit un second. Tu as  couiné de plus belle,  comme un appel.  J'ai pris ma bite en main, j'ai caressé quelques instants ton œillet avec mon gland humide puis j'ai poussé ; doucement.  Tu as crié, un peu, mais j'y étais.  C'était chaud,  c'était enveloppant.  J'ai fait quelques va-et-vient tout doux tandis que tu branlais ta queue.  J'ai accéléré au rythme de mon plaisir grandissant.  Bientôt, tu as jouit sur ton ventre.  Je t'ai suivi de peu,  .

Quand je me suis retiré,  mon foutre a coulé contre ta cuisse.  Nous nous sommes embrassés,  enlacés pour enfin trouver le repos. 









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