25 mai 2024

on the road






Il s'était barré. Comme ça, d'un coup de tête.  Il avait tout largué.; fac, mec, tout.

Il avait pris quelques fringues et le peu d'argent liquide qui trainait dans l'appartement et il avait pris la route.  Un rêve de nouvelle vie, un rêve...

Un mec rencontré l'été dernier.  Un vieux enfin un mec plus âgé que lui.  Un mec avec qui il avait passé un peu de temps en secret de son compagnon et de ses potes de vacances.  Ils avaient beaucoup parlé, pas mal baisé aussi.  Il s'était senti bien avec lui, comme apaisé.  Depuis ils s'écrivaient de temps en temps.  Et c'est ainsi que l'idée de le rejoindre est venue.  

Il ne l'avait pas prévenu, ça serait une surprise et Julien était sûr qu'il serait heureux de le revoir.  Tout dans leurs échanges prouvait, il en était certain, que Paul,  c'était son nom était prêt à l'accueillir et à l'aimer..

Il voulait faire le chemin par la Route, en stop.  Comme une initiation, un chemin de purification pour une nouvelle vie  

C'était plutôt un chemin de croix; des heures d'attente à des carrefours,  des conducteurs débiles,  des trajets courts, ..

La première nuit il la passa à la belle étoile, dans le froid,  l'humidité et le bruit des voitures.

Ce jour-là, le second de son périple, il était bien décidé à parcourir le plus possible de distance et surtout à ne pas dormir dans le froid. 

Mais voilà, en fin d'après-midi il n'avait pas beaucoup avancé et il angoissait à l'idée de se retrouver à nouveau sur le bord de la route.  

Alors, il se décida à forcer le destin.  Il se mit en position d'obliger les voitures à s'arrêter. Mais les automobilistes klaxonnaient, faisant de grands gestes de colère l'evitant de justesse. 

Enfin, une voiture s'arrêta.  Un mec d’un certain âge, plutôt musclé l'interpella sèchement.  

- mec, fait gaffe, on est entre chien et loup et on te voit à peine.  Un peu plus et je t'écrase!

- désolé, je désespère de passer la nuit dehors ! Je vais dans le sud et j'avance pas !

- j'habite pas loin, si tu veux tu peux dormir chez moi. Demain je pars vers A. Je pourrais t'avancer un peu.

- merci monsieur 

Il posa son sac sur la banquette arrière et s’assit.

- ru pourra aussi prendre une douche, tu pue mec. Moi c'est Victor. 

- Julien, désolé j'ai passé la nuit dehors et les deux jours sur la route. 

Le gars effectivement habitait tout près. Une maison élégante et bourgeoise. 

- va te doucher pendant que je prépare un petit frichti. 

Quand il revint de la salle de bain, il était tout joyeux.  La douche l'avait ragaillardi, il avait revêtu des vêtements propres et cela lui avait rendu le moral.  Le Victor en question semblait sympa.  Il avait bien remarqué qu'il n'avait pas été insensible à son charme.  Il n'y avait aucune trace féminine dans la salle de bain.. Peut-être allait-il lui faire des avances... pourquoi pas,  c'était un beau daddy après tout....

Il dinèrent de bon appétit, le frichti était excellent et il n'avait mangé que deux barres de mars depuis le départ. 

Il raconta sans gêne son histoire, Victor parla peu...

Quand il eût fini,  Victor lui proposa un marché  

Aïe,  Aïe, se dit-il,  je vais passer à la casserole...

- voilà ce que je te propose ; demain et après-demain c'est le week-end et je n'ai aucun engagement.  Si tu veux, je t'emmène chez ton amoureux. 

Maintenant, je dois dire que tu es très sexy et que j'ai très envie de toi.  Voilà c'est dit,  si ça te branche,  j'en serai heureux..

Julien ne dit rien, il se contenta  de  regarder sa braguette et Victor  prit ce regard comme un assentiment. 

Sans quitter Julien des yeux, il défit lentement sa ceinture,  déboutonna son pantalon, en écarta doucement les pans dévoilant ainsi un boxer bleu protubérant. Julien posa sa main sur le tissu bleu, il sentit comme une pulsion. Le désir vint, d’un coup. A cet instant précis il voulut cet homme 

Julien ôta son débardeur, son jean, son slip et se présenta nu,  le sexe dressé devant cet homme mûr.  Un corps sec au muscles finement ciselés, fragile. 

Victor en fut ému.  Il se dévêtit à son tour.  Son corps massif, légèrement velu, le sexe dressé, épais, veineux, courbe  contrastait avec le long fuselage de Julien.

Comme gêné, intimidé, Il s'approcha de ce corps offert. Caressa, sa joue presque imberbe, son cou frêle, sa poitrine ferme et glabre. Troublé par la douceur de cette peau mate contrastant violemment avec sa blancheur pâlotte, il en éprouva encore plus de désir et sa queue se dressa d'un coup cognant contre son ventre.

Julien s'assit sur le canapé et sans chichi aucun s'approcha de la bite de Victor, la décalotta, de la pointe de la langue lécha les premières gouttes de mouille apparues et la prit en bouche; il joua un moment comme ça, sans réellement toucher le gland avec sa langue..  Il savait y faire, pensa Victor qui montait doucement dans les tours tandis que la main de Julien lui caressait les couilles, sa bouche descendant dessus pour les avaler toutes les deux comme un vrai gourmand.. il les fit rouler dans sa bouche, les inondant de salive.. les recracha et sa langue partit sous la hampe remontant vers le gland, ses lèvres l'épousant, sa langue recueillant de nouveau  toute la mouille accumulée. Victor gémissant doucement, se pencha et  vit qu'il le regardait.. comme pour s'assurer du plaisir donné. Comme par approbation, Victor posa sa main sur la tête de Julien. La langue entoura sa queue, la lécha la suça.. Puis sous la pression de Victor, ses lèvres descendirent sur la queue jusqu'à ce qu'elles soient tout contre la toison pubienne de Victor dans un va-et-vient délicieux, suçant, aspirant, avalant complètement le mandrin offert..  Pendant ce temps, Victor dans les limbes caressait le dos tatoué de Julien, et déjà rêvait de le posséder.

Tandis que Julien continuait à s'occuper voluptueusement de sa tige, Victor se pencha pour lui caresser les fesses. Comme elles étaient douces! il glissa un doigt dans le sillon entrouvert; c'était humide et chaud. Il se pencha un peu plus et caressa la douce rosace qui trembla à ce contact. Julien, la bouche pleine couina légèrement. La rondelle s'entrouvrit, Victor y glissa le bout de son doigt. Son œillet vibra,  enserra son doigt avant de s'ouvrir,  accueillant. 

- tu veux,  furent ses seuls mots. 

Julien quitta comme à regret la hampe de Victor pour se positionner sur le ventre,  cul cambré,  cuisses écartées 

Victor posa ses lèvres sur ces fesses glabres et douces, s’émut en voyant cette raie légèrement entrouverte au fond de laquelle il pouvait deviner le délicieux œillet.  Il lècha la fine cicatrice entre ses couilles et son anus, écarta délicatement les deux globes et la vit.  Une merveilleuse rosace entrouverte, vibrante.  Il approcha alors son visage, huma les senteurs secrètes et musquées qui s'en exhalaient et y glissa enfin le bout de sa langue.  Julien couina et se cambra encore plus. 

Il adorait ça, Julien,  Peut-être encore plus que le reste, sentir un visage mal rasé frotter contre sa croupe, une langue fourrager son anus dans un bruit mouillé, doux, mélange de sons de succion, de frottement humide de salive et de mouvements de langue.

Après cette "mise en bouche ", Victor cracha abondamment sur sa rondelle avant d'y introduire un doigt puis un second.  Après quelques va-et-vient,  les deux doigts écartèrent ses sphincters ; Julien couina,  impatient de désir.

Il se mit à quatre pattes, s'agrippa à l'accoudoir permettant ainsi à Victor de se rapprocher et de coller contre son sillon son braquemart faisant glisser le gland humide entre ses globes, au plus près de sa rondelle. 

Victor alors agrippa les couilles de Julien, comme pour le forcer à s'empaler de lui-même sur son vit.  

Julien gémit de plaisir /douleur,  le gland  se posa sur sa rosette si bien préparée et s’introduisit en douceur, sans effort et sans douleur. Celui-ci passé, ses muscles se refermèrent sur la verge de Victor  pour enfin buter contre sa prostate, les veines gonflées frottant sur ses parois, centimètre par centimètre, la queue de Victor pénétra son intimité jusqu'à ce qu'il sente le pubis de Victor pressé contre son cul. Victor lâcha enfin ses couilles, le fessa avant de se retirer doucement pour un va-et-vient intense. 

 Un plaisir inouï s’empara de Julien, vite accentué par les mouvements de ce membre chaud, gonflé et rigide dans son rectum. Il avait la sensation de ne plus faire qu’un corps avec son amant, grâce à cette verge pleine de sang et palpitante, glissant et roulant en lui, partageant ainsi sa vie, son souffle, sa jouissance. Le mouvement s’accélérant, julien commença à donner des coups de cul vers le ventre de son amant, pour mieux enfoncer son vit.

  

Victor était au bord de l’abîme, un abîme de plaisir.  Son mandrin était tout entier, comme prisonnier,  dans le cul serré de Julien maximisant les sensations. 

Il appuyait des deux poings sur les reins de Julien, accentuant encore plus sa cambrure, enfonçant  profondément, de tout son poids son membre. Julien gémissant de plaisir, serrait et desserrait son conduit sur la queue de Victor, au fur et à mesure de ses va-et-vient comme si une main invisible le branlait dans son cul! Il n'en revenait pas de ce que Julien lui faisait, il respirait de plus en plus vite, et sa queue était de plus en plus dure dans le cul de Julien.

 

-Putain mec, ton cul c'est un vrai piège à bite, dit-il haletant, j'ai mal à la queue tellement tu serres ! Tu vas me faire jouir grave là ! 

Leurs corps trempés de sueur mêlées ne faisaient plus qu’un.  Bientôt Victor proche de l’orgasme, épuisé se sépara de Julien.  Il voulait récupérer et faire durer l'intensité du moment. 

Il se coucha sur le dos, tendit son braquemart bien raide et droit à Julien qui, lui tournant le dos vint s'empaler de tout son poids dessus. 

Victor adorait voir sa queue disparaître dans le cul d'un mec. Julien s'empalait avec énergie, se laissant retomber de tout son poids, serrant et desserrant ses sphincters autour de la bite de Victor qui l'accompagnait en lui soulevant les hanches. 

Julien quant à lui s'appliquait à donner du plaisir à Victor, ses mouvements faisant visiter chaque parcelle de son anus à sa queue.

 Il en voulait plus ! Il se dégagea et se mit en levrette et Victor l’embrocha direct à fond. 

 Victor repris ses va-et-vient pour son plaisir et son plus grand bonheur.  Julien lui offrait tout son corps, son cul bien ouvert laissait glisser sa queue partout où elle voulait aller! 

Tout en continuant de le baiser doucement, pesant de tout son poids sur le dos Julien,  il alla toucher sa queue, raide et humide. Quand Victor s'en saisi, Julien se releva, enfonçant la queue de Victor encore plus profond, si c'était possible, dans son cul. Son dos vint se coller à son torse.  La tête de Julien arrivait juste à son épaule !  Il lui mordilla la nuque, tordit sa tête pour lui bouffer la bouche. Julien bandait c'est fou, sa queue semblait encore plus grosse, plus raide, plus coulante!  

D'une main j'ai commencé à le branler lentement, j'ai aimé sentir sa queue dans ma main, vivre, mouiller  durcir, gonfler encore et encore.

Ils en étaient à un point où il n’en aurait pas fallu longtemps avant d'être emportés par l'orgasme ...

- Met-toi sur le dos 

Julien se mit en position,  Victor écarta ses belles fesses en les caressant, l'anus était là, ouvert, 

- Je fais des bisous à ce bel anus qui me donne tant de bonheur !

Il amena ensuite son gland décalotté se poser sur cet œillet meurtri et il n'eût qu'à s'enfoncer pour sentir ce sphincter envelopper sa queue au fur et à mesure de sa progression.

Julien le regarda faire. Victor avait les yeux fermés, concentré sur l'orgasme proche.  Il poussait de petits cris comme un chiot, il s'enfonçait plus vite et d'un coup de reins il fit tout entrer, ses couilles collées au cul de Julien.  Il envoya la cavalerie, ça claquait bien sur le petit cul de Julien.

 Julien qui entre autres plaisirs, adore  sentir des couilles taper contre son cul et surtout le bruit que ça fait et il sentait lui aussi que le plaisir n'était pas loin!  

il râlait en levant la tête pour observer Victor et ne pas rater son orgasme et son rictus de plaisir. Il se branlait à son rythme, serrant et desserrant comme il savait y faire, son conduit sur sa , il ne fallut pas  longtemps pour que dans un terrible gémissement, presque une lamentation,  Victor jouisse en hurlant comme un malade, la verge comme prisonnière des sphincters de Julien.

Le rictus, le gémissement de Victor,  firent que Julien lui aussi jouisse. Il avait tellement résisté,  il s'était tellement retenu pour jouir en même temps que son amant,  que cette première giclée lui fit presque mal en sortant du méat .

La queue bien ancrée de Victor continuait de tressauter et à lui inonder le tréfonds. Julien sentait les salves remonter dans son conduit et le réchauffer avant l'arrivée des suivantes ! six giclées et tout s'arrêta d'un coup, Victor s'écroula sur lui, en nage, épuisé.

Ils restèrent un long moment comme ça, sans rien dire, Victor sentait les mains  de Julien lui caresser le dos, les épaules, les cheveux et il bandait toujours dans le petit cul accueillant de Julien. 

Ils s'endormirent ainsi, l’un dans l'autre. 

 

 

 



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