27 mai 2024

Dick house, Diego




J'avais été largué par mon mec ou j'avais largué mon mec. Je ne saurais pas le dire tant les derniers jours furent pénibles. 

Il me fallait partir bien sûr mais aussi me changer les idées.  C'est ainsi que je me suis retrouvé en vacances seul à Miami.

Destination soleil, plages, un peu de nature et peut-être quelques aventures..

Ce soir-là,  je  m'étais décidé à essayer une des plus branchées des boîtes de nuit gay de la ville. 

Bon, je ne suis pas vraiment fan de ces endroits assourdissants aux lumières aveuglantes où l'on vous sert des cocktails de glaçons hors de prix mais c'était un " must see". 

C'était évidemment conforme à ce que pensais.  Heureusement en milieu de soirée, je me suis fait draguer par un beau mec d'origine cubaine comme beaucoup à Miami.  Il était super canon, très entreprenant et était venu avec plusieurs copains tous aussi sexy les uns que les autres.  Ils étaient dans le carré VIP et l'alcool coulait à flots.  Avec Diego, 'était son prénom, on s'est bécotés et tripotés tout le reste de la soirée et c'est complètement allumés que nous avons quitté la boîte au petit matin.  Bien entendu toute la bande tenait à ce que je les accompagne et bien sûr je ne me suis pas fait prier tellement j'avais envie de " mieux connaître " Diego. 

Nous nous sommes retrouvés dans une superbe villa et tout le monde s'est éparpillé dans les différentes chambres. J'aurais aimé aller me coucher mais Diego tenait à boire un dernier verre. On a continué à flirter dans le salon mais très vite, vaincus par la fatigue et l’alcool, incapables de monter à l’étage, nous nous sommes résolus à dormir sur place.  Nous nous sommes déshabillés péniblement tout en gardant curieusement nos slips et nous nous sommes écroulés sur le canapé, juste couverts d'un plaid. 

Collés l'un contre l'autre, on s'est endormis presque aussitôt. Juste le temps de sentir contre mes fesses, sa queue bien dure... et j'étais plongé dans un sommeil profond.

Diego s'est réveillé le premier.  Ses caresses et ses doux baisers m'ont réveillés à mon tour. J'avais, comme ils disent, un "morning Wood" d'enfer et douloureux.  Diego s'en est très vite aperçu et ses caresses sur le tissu de mon slip ont permis à ma verge de se libérer un peu,

- hmmm! Dit-il en voyant apparaître mon gland décalotté en dehors du CK. 

Nos corps étaient baignés par la douce lumière du jour.  C'était très tendre.  Nous étions l'un et l'autre à la découverte de nos corps, échangeant baisers profonds et douces caresses. Le désir était intense.  Diego bandait dur et le peu que je devinais de son sexe laissait présager un braquemart de première. 

Diego s'est relevé face à moi.  Son slip déformé par son érection, à quelques centimètres de mon visage.  Je l'ai baissé bien sûr, libérant ainsi un épais mandrin très brun et courbe surplombant des boules lourdes et pendantes.  j’ai fait des bisous à cette belle bite qui bandait pour moi, Raide de chez raide! Je l'ai décalottée, faisant affleurer des gouttes de mouille, que j'ai léchées avec délectation. Ses couilles sont venues se coller à la base de sa belle queue, la toison brune entourant le tout, c'était magnifique et ça donnait faim!

J'ai léché en partant de la base pour remonter jusqu'au gland. Je voyais ses mains serrer le plaid, les yeux fermés, il gémissait et se laissait déguster!

J'ai relevé la queue,  c'était dur et très chaud comme s'il avait la fièvre. J'ai donné des coups de langue sur le gland, aspirant la mouille, la goûtant, la dégustant et j'ai avalé le gland, l'entourant de mes lèvres et de ma langue passant partout!

Je la sentais durcir encore, tressauter dans ma bouche, j'ai sucé comme un malade en essayant d'en avaler le plus possible ; il respirait de plus en plus fort. ses jambes étaient bien écartées.

Il a enfoncé sa queue dans ma bouche et saisi ensuite mes cheveux pour me faire faire des allers-retours sur son chibre, essayant d’aller toujours plus loin dans ma gorge. Malgré les haut-le-cœur que j’arrivais à maitriser, j'ai finalement pris tout son énorme morceau en bouche.  Parfois, pour me laisser reprendre mon souffle, il ressortait sa bite, pour que lèche son gland ou ses boules. Il posait son énorme engin contre ma figure : ses boules se retrouvant contre mon menton. Alors que son chibre était tout entier dans ma gorge, il m'a caressé le dos, descendant vers mon slip qu'il a baissé pour caresser mes fesses et mon sillon.

Diego était de plus en plus excité,  après  avoir caressé d'un doigt ma rosace, il devait penser très fort à ce qu'il pouvait en faire,  au pilonnage qu'il allait m'infliger. Il poussait, tout en grognant brutalement ma tête sur son chibre et mon visage sur sa toison pubienne. 

Quant à moi,  je n'étais pas dupe de ce qui s'était éveillé chez Diego après cette caresse anale ; je le désirais sans conteste mais ce désir était,  au vue de l'engin qui me perforait la gorge,  teinté d'une légère crainte !

Au bout d’un certain temps, Diego m'a fait mettre à quatre pattes et il s’est emparé de mes miches qu’il a malaxé avec ferveur. Puis, il les a embrassées en les mordillant. Tendrement, il s'est penché au-dessus de mon trou où il a  enfoncé fermement sa langue. J'ai gémis immédiatement à son contact. Sa langue s’insinuait doucement en moi se mettant à tournoyer. J’étais au septième ciel, couinant comme un puceau. Pendant qu’il me broutait le cul, il commença à enfoncer son index dans ma rondelle. Il retira ensuite sa langue pour me doigter lentement. Après avoir copieusement craché sur ma rosette,  il a inséré 2 doigts, puis 3 les faisant tournoyer et écarter les parois. 

Il a pris son temps, j'étais tout entier concentré sur mon anus, et ses pulsations comme si tout mon système nerveux s'était interconnecté là.  Voyant que j’encaissais, il s'est relevé et il a tapoté son gland contre mon trou bien ouvert,  il a pris sa bite à deux mains : l’une en a saisi la base,  l’autre branlant lentement le haut. Puis, il a dirigé le gland vers mon petit anus pour le plonger dedans. Je me suis dit alors que sa queue ne passerait jamais! Son gland me remplissait déjà le fion !  Il a donné alors de petits coups de reins et lentement, son gland forant l’intérieur de mon anus, passant le premier sphincter, sa bite a entrepris une descente impressionnante avant d'entamer  une série de lents allers-retours, pour ainsi enfoncer son pieu plus profondément. 

Quand la moitié de son pieu est entrée en moi, Diego a arrêté sa progression, il a posé ses mains sur mes hanches et donné de légers coups de queue massant doucement mais fermement ma prostate ; c'était trop bon, je ne savais plus ce que je ressentais. douleur, plaisir, je gémissais et en redemandais.  Ses mains puissantes m'ont agrippé les hanches et il s'est mis à accélérer le rythme. Sa teub progressait lentement en moi,  son gland forant tel un marteau piqueur mes entrailles.

 J'ai alors pris la suite. J'ai fais ressortir sa queue avant de replonger dessus, jusqu'à écraser mes fesses contre son ventre. Dans mes mouvements de bassin, je me retirais parfois complètement, faisant entièrement sortir sa teub avant de me la planter dans le cul. Je sentais alors  l'air frais s'engouffrer dans mon anus béant. Reprenant l'initiative,  ses mains fermement ancrées sur mes hanches, il a entamé un pilonnage intense et violent.  Ses couilles frottaient contre mes cuisses ainsi que ses poils de pubis contre ma raie. 

Après quelques minutes, Diego m'a fait mettre sur le dos, jambes écartées et levées. Il s'est agrippé à mes jambes  et j'ai regardé son mandrin s’enfoncer sans difficulté lentement en moi.  Les coups de reins ont repris ; rapides,  intenses, sans retenue. Je couinais en regardant tour à tour,  ce corps superbe s'activer, son regard concentré et empli de plaisir,  et sa queue pénétrer en moi. Mon trou écartelé engloutissant cette imposante bite marron. Je gueulais fort. Je ne pouvais pas faire autrement, j'étais en permanence au bord de l'orgasme!

Je n'étais plus qu’un pantin entre ses mains qui me maintenaient pendant que sa queue me perforait l’intérieur. Ses grosses couilles frappant lourdement et bruyamment mes fesses.  Épuisé,  comme pour prendre un peu de répit,  Il s'est penché alors au-dessus de moi pour me rouler une grosse pelle tout en laissant sa lourde queue toute entière en moi.  J’avais mes mains sur ses fesses musclées. Ses couilles reposant contre les miennes.  C'était bon. Ragaillardi,  il a repris ses coups de butoir.  Ses couilles claquant contre mes fesses,  sa  queue déchirant mes entrailles.

Au bout de longues minutes de baise intense, il est ressorti. Je me suis alors précipité sur sa bite  toute moite pour la sucer. Puis, je l'ai fais mettre sur le dos et à califourchon sur lui,  j'ai guidé le gland sur mon anus. Petit à petit, je me suis empalé sur son pieu. Arrivé à la moitié, je me suis mis à monter et descendre dessus. Petit à petit, j'ai pris en moi la totalité de sa bite..  sentant mon cul atterrir sur ses cuisses, J'ai  hurlé de plaisir. 


Très vite, il s’est emparé de mes hanches et il m'a fait monter et descendre sur sa verge augmentant ainsi toujours plus la cadence, ses grosses boules me fouettant le cul car elles se balançaient de haut en bas au rythme de ses coups de queue. Parfois, dans un mouvement puissant, il me faisait m’empaler entièrement sur sa queue et je gueulais sans retenue. Sa queue qui me distendait l’anus au maximum coulissait rapidement dedans, allant et venant à une cadence démente. Mon trou désormais grand ouvert, Diego en profitait pour se faire plaisir. Après cet exercice épuisant,  il m'a laissé reprendre les commandes. J'ai pris appui sur son torse pour monter et descendre sur son énorme mandrin. Ma queue dressée se balançant au rythme de mes mouvements, battait contre mon ventre, laissant à chaque fois une trainée de mouille.

Après quelques minutes, j'ai fait sortir sa teub de mes entrailles et je me suis  à nouveau précipité dessus pour la sucer. Puis, il m'a refait mettre à quatre pattes ses mains me maintenant les hanches, il a enfoncé sa bite de tout son long ... et il s'est remis à me pilonner tel un marteau piqueur le fond du cul. . Mon corps tremblait sous le traitement de cette bête de sexe.

Après bien plus d’une heure de baise, Diego s'est mis à grogner grave, sa queue en moi semblait à chaque instant, grossir davantage; il s'est alors retiré de mon cul, 

- vite,  je vais jouir,  viens, 

Je me  suis retourné juste à temps pour recevoir plusieurs copieuses giclées de foutre, inondant mon visage. 

- c'était super mec. A plus...  



Et voilà qu'il me laisse planté là,  la gueule dégoulinante de sperme, l'anus grave dilaté, la queue dure comme du bois! Il a pris son plaisir et moi alors ?

- si tu veux continuer,  t'as un super gode juste là. 

 J'ai pris le gode et je l'ai introduit tout entier et je me suis godé violemment tout en me branlant frénétiquement.  J'avais un tel désir à assouvir que j'ai atteint l'orgasme en quelques minutes, couvrant mon ventre de foutre. 

Je me suis essuyé avec mon slip avant de l'enfiler. Je ne savais plus où j'avais laissé mes vêtements et je m'en foutais. Je suis parti en exploitation à la recherche d'une salle de bain. 

 

 

 









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