21 juin 2024

un 5 à 7 spécial


Je ne savais pas quoi faire cet après-midi là alors forcément j'ai été tenté de me connecter pour me faire un plan cul.. je me suis assis à la terrasse d'un café et j'ai surfé sur les éventuelles "offres" proches  de mon point de chute.  
Sur mon profil, je mets bien en avant mes attentes et je n'oublie pas que je suis plutôt bien "monté", c'est un plus, même si versatile,  je suis plutôt passif.
J'ai alors reçu un message d'un mec plutôt mon genre, mince, tatoué, crâne rasé,... il s'affichait accroupi sur un lit, cul offert...
Il faisait une opération "portes ouvertes" spécial TTBM.  Une précision toutefois,  il filmait "pour sa collection personnelle"... pourquoi pas me suis-je dit,  j'en ferais peut-être le premier épisode de ma collection personnelle aussi...
C'était pas très loin et tirer un coup sans chichi, sans bla bla,  un vide couilles ça m'allait bien.. Peut-être que cette annonce allait attirer d'autres mecs et ça pourrait finir en orgie.. et c'était pas pour me déplaire. 
J'ai payé ma consommation et je me suis rapidement dirigé vers l'adresse indiquée. 
Il m'a quand même fallu près de 10 mn pour m'y rendre.  C'était dans un petit immeuble, au 7ème étage... sans ascenseur.  Sûrement un petit studio ou d'anciennes chambres de bonnes regroupées pour faire appartement. 
Arrivé à son étage, une porte palière était effectivement entrouverte et je n'ai eu qu'à la pousser pour entrer dans l'appartement.  J'ai alors vite compris que je n'étais pas le seul à avoir reçu l'invitation.  Des bruits caractéristiques de corps qui s'entrechoquent et des halètements,  s'échappaient de la pièce d'à côté qui devait être la chambre. 

En poussant la porte de la chambre j'ai vu un mec plutôt massif, encore tout habillé hormis le pantalon sur les chevilles qui donnant de puissants coups de reins dans le cul d'un mec qui se tenait sur les genoux, face contre lit. 
Je me suis approché, le mec était masqué sans doute pour ne pas être reconnu sur le film. Son énorme chibre marron foncé s'enfonçait, malgré sa longueur et sa circonférence, profondément et entièrement dans l'anus du mec.  C'était chaud! J'ai ôté ma veste rapidement,  je me suis baissé pour mieux voir l'énorme engin coulisser puis j'ai interrompu l'action un instant pour poser ma main sur ce chibre veineux. C'était brûlant et humide.  Putain,  j'étais direct chaud bouillant. Je l'ai pris en bouche, il avait le goût de gel mentholé. Je me suis vite relevé pour me déshabiller, le mec, les mecs me regardant me dévêtir sans pour autant cesser les va-et-vient. Je suis resté un instant vêtu de mon seul boxer déformé par ma queue raide,  juste pour les impressionner un peu puis je l'ai envoyé valser à l'autre bout de la pièce faisant ainsi jaillir ma teub dressée que j'ai  offert au mec. Il suçait bien le bougre ! Et Il encaissait bien mes coups de reins qui poussaient ma teub bien au fond de sa gorge, couvrant ses gémissements, les bruits de succion et de déglutition. 
Par moment,  il me venait l'envie d'être à sa place !  Le gars qui le pilonnait restait masqué, la capuche de son sweat couvrant sa tête. Sa grosse queue s'enfonçait méthodiquement dans le cul du mec et par de subtils mouvements du bassin, en  fouillait les entrailles,  faisant gémir notre hôte. 
-tu veux ma place, dit-il d'une voix rauque, 
Moi, j'avais très envie de goûter à son membre ...
Sans attendre ma réponse, il s'est retiré pour me laisser la place et s'est enfin dévêtu ne gardant que le masque.  Il avait un corps massif assez velu. Il devait être dans la quarantaine. 

Le cul de notre hôte était là juste devant moi, largement dilaté,  j'y ai mis deux doigts,  juste pour le plaisir, comme un avant-goût. 
Ma teub s'est enfoncée très facilement, d'un coup j'avais ses fesses contre mon bas-ventre et mes couilles contre les siennes.  Ses sphincters ont alors enserré par surprise ma queue faisant rouler mes veines gonflées contre ses muqueuses,  augmentant mon plaisir.  Le mec savait y faire !
J'ai repris mes va-et-vient tandis qu'il poussait violemment la tête de notre hôte tout contre son ventre l'obligeant ainsi à garder son braquemart tout entier dans sa gorge jusqu'à l'étouffement.  
J'ai redoublé d'énergie pour le défoncer,  le masqué s'accordant à mon rythme, notre hôte devait y trouver son compte, on entendait malgré sa bouche pleine, ses gémissements étouffés. 
Après un long moment de pilonnage intense, le masqué a dressé son braquemart en me regardant, c'était une invite; toujours bien ancré dans mon hôte,  je me suis couché sur lui et j'ai gobé goulûment cette masse de chair offerte. Avec notre hôte, c'était à celui qui l'avait  mais dans ma position il devait se contenter le plus souvent des couilles qu'il léchait et gobait avec enthousiasme. 
Le masqué m'a ensuite regardé,  intensément, 
- tu me donnes ton cul? 
Pas de doute, j'en avais vraiment envie, une envie dingue de me faire ramoner par ce lourd engin. 
Je suis resté dans ma position,  couché sur le dos de notre hôte,  toujours bien ancré en lui. 
Il est venu derrière moi tandis que je m'agitais dans le fion de notre hôte,  à écarté mes globes, léchouillé ma rondelle quelques instants. Il a dû voir que j'étais prêt car son gland s'est présenté très vite caressant ma rosace avant d'entamer sa pénétration. J'avoue avoir vu trente-six étoiles, sa teub étant d'un bon calibre mais très vite ses premiers va-et-vient se sont intensifiés et c'était à mon tour de couiner..
j'ai rapidement débandé et la position étant inconfortable pour notre hôte, nous avons changé de position.  Je me suis couché sur le dos et il m'a empalé à nouveau.  Notre hôte venant me caresser, m'embrasser tandis qu'il me martelait le cul  me faisant hurler de plaisir. Il s'est penché pour s'occuper de ma queue qu'il a très vite réussi à redresser pour la branler au rythme effréné imposé par le masqué.  C'était tellement jouissif que  je me suis retrouvé proche de l'orgasme et je ne voulais pas, pas si vite...
J'ai fait signe au masqué de continuer avec notre hôte pour me laisser un peu de temps pour récupérer. 
Il s'est couché à ma place et le gars est venu s'empaler sur son vit dressé.  Je suis resté derrière à lécher cette verge qui allait et venait et ces couilles bien fermes puis debout devant le couple j'ai offert ma teub de nouveau bien raide à notre hôte. 
Le masqué le pilonnait à grands coups de butoir et avec deux doigts dans mon cul me baisait aussi. 
Au bout d'un moment, épuisé, il s'est accroché à mes cuisses pour intensifier ses va-et-vient, c'était sûr, il était au bord de l'orgasme et ça n'a pas loupé,  il a poussé un grognement rauque et est resté quelques instants le bassin levé tout contre les fesses du gars,  la queue toute entière dedans.  
Puis il s'est retiré,  brutalement, sans rien dire. J'ai juste eu le temps d'apercevoir sa teub encore dure avec un filet de foutre s'échappant du gland. Il a disparu dans la pièce d'à côté nous laissant seuls. Avec l'autre gars on s'est regardés interloqués. Je me suis alors approché de lui, son anus était encore bien ouvert, le foutre du masqué s'écoulant doucement.  J'ai caressé doucement ses sphincters malmenés,  réintroduit le sperme qui coulait et je l'ai enculé doucement.  C'était doux, le masqué avait bien inondé son tréfonds et c'était un lubrifiant parfait. 

Je me suis étendu sur lui. Nous nous sommes regardés, embrassés , caressés tandis que ma bite effectuait de petits va-et-vient en lui. 
- moi c'est Dimitri m'a t'il glissé dans l'oreille tout en la léchant. 
- Bastien, ai-je répondu .
Il était finalement beau, fidèle au profil de l'appli, à mon goût en tous cas. Mince, le dos tatoué de grandes ailes, crâne rasé.  Une peau très douce.  J'avais maintenant, subitement, envie de lui.  Nous avons à peine entendu la porte palière claquer au départ du masqué. 
- baise-moi,  je voyais dans ses yeux un désir fou.
J'ai écarté ses jambes bien haut et je l'ai martelé de toutes mes forces.  De temps en temps, je sortait entièrement ma teub de son cul rien que pour voir vibrer sa "chatte" béante. 
Lui se branlait sans me quitter des yeux.  Quand il a senti que j'allais jouir,  il a serré ses sphincters autour de mon vit accentuant encore mon orgasme.  Il a jouit lui aussi très vite après moi.  Je me suis écroulé sur lui, sur son ventre trempé de sperme, toujours ancre en lui, épuisé. 
Nous nous sommes rapidement assoupis, j'ai à peine entendu ma bite ramollie sortir de son cul dans un petit flop.
Combien de temps sommes-nous restés ainsi? je ne sais. je me suis réveillé tout doucement, des doigts me caressaient très délicatement les fesses. quand Dimitri a vu que j'étais enfin éveillé, il m'a sourit et a glissé un doigt dans mon sillon; comme pour donner mon assentiment, je bandais par ailleurs déjà d'un superbe "morning wood" de début de soirée. 
Son doigt s'est glissé en moi et a entamé un délicieux massage de ma prostate tandis que l'autre main caressait mon vit et mon gland décalotté. Si tout d'abord, je n'ai rien ressenti, il n'a cependant pas fallu longtemps pour que mon corps soit parcouru de tressautements accompagnés de vagues de chaleur. Tout doucement, les vagues de chaleur sont devenues plus intenses, jusqu'à ce que mon corps se déchaine dans un orgasme immense suivi de plusieurs autres jusqu'à ce que ma queue se soulève d'elle même et inonde de foutre mon ventre.
Encore une fois nous avons fini enlacés, laissant le sperme sécher sur nos corps.
- j'ai faim s'est exclamé Dimitri, je vais commander des pizzas!
aussitôt dit aussitôt fait et 15 mn plus tard, le livreur était à notre porte. Sans gêne aucune, Dimitri s'est levé en prenant au passage mon boxer qui trainait là et s'est dirigé vers la porte en le tenant juste sur son sexe. 
- il a du être étonné le livreur, lui ai-je dit à son retour , les cartons de pizza en mains
- bof, il a juste marmonné "sale pd"....
Nous avons dévoré les pizzas avec un bon petit rosé bien frais.
Je me suis rendu au wc juste après; quand je suis revenu dans la chambre, elle empestait, le foutre et la pizza froide... mais c'était bien! j'avais de nouveau envie de lui.
- Tu veux que je m'en aille Dimitri, il est 22h, t'avais peut-être quelque chose à faire.
- Tais-toi mec, je voudrais bien que tu restes... et je voudrais bien te baiser aussi! jusqu'à présent, c'est plutôt mon cul qui a servi!

Alors il m'a fait m'étendre sur le dos,  m'a écarté les jambes me soulevant le bassin en me tenant fermement par les cuisses et s'est mit à me bouffer longuement le cul. Sa langue longue et rappeuse savait trouver son chemin et s'introduire en moi et plus il léchait ma rosace plus je m'ouvrais et je brûlais d'avoir son mandrin en moi. 
Mandrin que finalement je ne découvrais vraiment que maintenant.  Il n'avait pas à rougir question taille. Son engin était plus long que le mien mais moins large; de ceux qui savent ramoner profondement...
Après ce long et délicat préambule, Il m'a soulevé le bassin presque à la verticale,  les cuisses largement écartées, s'est positionné au dessus de moi, a craché abondamment sur mon oeillet et il a enfoncé son gland puis sa verge. Il a dû s'y prendre par étape car j'avais du mal à la recevoir mais bientôt son bassin s'est retrouvé contre mon entrejambe et j'ai compris que je l'avais entièrement accepté.  Tenant mes cuisses bien écartées il a commencé à me pilonner et il me fallait,  pour tenir cette position qui était plutôt inconfortable pour moi mais qui lui permettait d'une part de m'empaler bien profond et d'autre part d'imprimer à sa queue des mouvements circulaires provoquant en moi des vagues de plaisir fou, me tenir fermement à ses chevilles. 

Sentant son orgasme poindre,  je lui ai proposé de changer de position ; il s'est couché à ma place, je me suis mis à califourchon sur lui pour m'empaler à son vit face à lui.  J'allais et venais au dessus de lui, ma queue raide s'agitant contre mon ventre.  il l'a alors prise en mains pour me branler au rythme de mes va-et-vient.  De  temps à autre je calmais le jeu et me couchais sur son torse pour le caresser, lui pincer les tétons ou l'embrasser avidement. Mais bientôt son regard s'est voilé,  je voulais qu'il jouisse en moi,  je voulais sentir son foutre gicler dans mon anus ; j'ai serré mes sphincters autour de sa verge,  il haletait ,
- je vais jouir mec,  je vais jouir !!!!
Et dans un spasme profond et intense,  il a envoyé trois belles giclées de foutre, je suis resté empalé à lui tout en me  branlant frénétiquement sur lui ; très vite, alors qu'il me titillait les tétons, j'ai déchargé une copieuse giclée de sperme atteignant son visage et.... Son oeil. 
Je me suis couché sur lui exténué,  laissant sa verge s'extraire doucement de mon cul et son foutre s'écouler.
Nous sommes restés encore un long moment à jouer,  nous caresser, nous embrasser.  heureux de ces moments, on essayait de reculer le moment de se séparer.. 












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