24 juin 2024

traversin



Je suis ce qu'on appelle un "traversin".. c'est un terme assez ancien qui servait de code discret entre des clients de palaces et les concierges. Il y avait aussi les "oreillers". Un traversin donc c'est une sorte "d'escort" masculin et vous m'avez compris, un oreiller c'est l'équivalent féminin. On est répertoriés par les concierges qui évidemment prennent une commission. Ils assurent au client un "service de qualité" et au "traversin" une rencontre sûre. 
Voilà ce que je suis et j'ai du boulot ! Je m'appelle Bastien, j'ai 26 ans mais j'ai gardé un corps très adolescent et ça attire certains clients. En outre et surtout j'ai une peau très claire avec des sous-tons rosés, parsemée de taches de rousseur. Ces deux caractéristiques m'amène une clientèle quelques fois moyen-orientale qui succombe au contraste de couleur et qui serait attirée par des corps trop masculins... et ils paient bien..
Hier soir par exemple, le concierge m'a proposé un jeune qatari qui souhaitait un "massage spécial" ... 
- j'ai tout de suite pensé à toi, m'a t'il dit au téléphone, je lui ai montré discrètement tes photos et il a été immédiatement emballé.. et puis il est plutôt pas mal, tu vas aimer ! Ah! il veut un show  "coquin " puis le "massage spécial " ah, et il veut tout filmer pour après.. c'est ce qu'il a dit..
Viens vite, il t'attend chambre 1008.
J'ai frappé à l'heure dite à la porte de la suite. Il m'a ouvert en robe de chambre et avec un beau sourire.. effectivement il était pas mal, vraiment sexy. 
Il m'a demandé si j'avais eu connaissance de ses attentes, 
- oui bien sûr ! Ai-je répondu avec un air coquin mais pas trop.. je vous propose de vous asseoir sur le fauteuil là-bas,  je me "mets en tenue" dans la salle de bain et j'arrive. 
Je me suis dévêtu ne gardant qu'un petit slip blanc en lycra  que je réserve à ce genre de prestation et je l'ai rejoint dans la chambre. Il était assis dans le fauteuil, toujours vêtu de la robe de chambre mais celle-ci était largement entrouverte. Je pouvais deviner un poitrail puissant  et des cuisses musclées très brunes et .. il avait son smartphone en main. J'ai mis un peu de musique et je lui ai concocté un petit show sur le lit en me tortillant, découvrant quelques peu mes fesses et mon ventre.  Je bandais, ma queue déformant mon slip. Il n'a pas cessé de filmer mais il se caressait le sexe de l'autre. 
Après quelques minutes de minauderies, je me suis levé et posé de profil tout près de lui  pour qu'il voit bien ma queue pointant toute droite, rendant le lycra blanc presque translucide..
- je vais prendre une douche, lui ai-je dit .
Il m'a suivi dans la salle de bain,  smartphone toujours en main.  Sa teub dépassait maintenant de la robe de chambre et effectivement, elle semblait de bon acabit. 
J'ai pris mon temps pour ôter mon slip et je me suis glissé sous le jet faisant en sorte qu'il me voit sous tous les angles. Je n'ai pas une grosse verge mais en érection elle plaît beaucoup car elle est toute fine surplombée d'un gland pointu, comme un dard. 
Sa robe de chambre s'était volontairement ou pas défaite, m'offrant au regard son corps mat, massif ainsi qu'un lourd sexe dressé sur des couilles bien lourdes. 
Je suis sorti de la douche pour me sécher, 
- préparez-vous,  je vous prie Imad, couchez-vous sur le dos et attendez-moi quelques instants. 
J'ai fini de me sécher, j'ai pris dans mon sac les huiles essentielles que j'avais préparées pour l'occasion et je m'en suis enduit très légèrement.  
Il m'attendait comme prévu sur le lit. Il avait pris soin de placer quelques smartphone à divers endroits de la chambre afin de filmer la "séance de massage " de plusieurs angles à la fois. 
Sa robe de chambre était largement ouverte. 
Je me suis assis à califourchon sur lui, ma queue raide sur son ventre, j'ai commencé à lui caresser par de larges mouvements, le torse et les bras tout en bougeant mon bassin faisant frotter sa queue entre mes fesses et la mienne contre son ventre. 
J'ai ensuite fait couler mon huile de massage sur son torse et je l'ai repartie partout par de amples et douces caresses.  Il ne me quittait pas des yeux et j'ai été surpris qu'il pose ses mains sur moi et caresse très voluptueusement mon torse,  mon ventre et qu'il se saisisse de ma tige pour la caresser de tout son long en insistant sur le gland.  Ses doigts huilés faisant des merveilles.
J'ai repris mes langoureux mouvements du bassin, c'était divin ; sa queue glissait entre mes fesses et la mienne coulissait parfaitement dans son poing fermé. Son autre main caressait mes petites couilles bien fermes et par moment un doigt se glissait le long du périnée et effleurait ma rosace. 
C'était des moments d'extrême volupté et d'une grande douceur. Nos corps huilés s'accordant parfaitement. Il était très caressant et ses mains savaient lire mon corps et me donner du plaisir. Mon dard battait la chamade sur mon ventre et le sien. 
J'ai amplifié mes mouvements pour frotter mon torse contre le sien et ma queue contre la sienne. J'aurais voulu l'embrasser mais c'est quelque chose que j'évite, je ne n'oublie pas que je suis payé. Mais celui-ci était craquant, attentionné et désireux et visiblement il était attentif à mon plaisir. Il caressait maintenant mes fesses, les écartant pour me tapoter la rondelle qui s'entrouvrait. 
Je me suis relevé un instant. Ce mec, Imad était beau. L'huile de massage faisait merveilleusement ressortir les muscles de son corps et son teint mat. J'avais sa queue devant moi. Tendue, luisante elle aussi.  Le gland était légèrement décalotté. Je l'ai prise en main pour la caresser. Elle était brûlante et je sentais sous mes doigts, rouler les veines gonflées. 
Je me suis reculé vers le fond du lit et sans plus hésiter, j'ai léché ses couilles qui avaient l’air bien pleines! il m'a incité à m'approcher de sa teub. Tout en le regardant, j’ai ouvert la bouche et le gland est entré, déposant quelques gouttes de précum sur ma langue et j'ai commencé à le branler en donnant des petits coups de langue sur son gland. Puis, je l'ai enfourné dans ma bouche, jusqu’aux couilles. Son gland a vite touché ma gorge. Il m'a fallu néanmoins quelques secondes pour me faire à sa teub... et  arriver à tout prendre en bouche. Hm... j'étais enivré par l’odeur de mâle qui s'en dégageait malgré la douce odeur d'amande de l'huile.
Je l'ai sucé lentement tout en le regardant prendre du plaisir. Il me donnait des coups de reins, faisant légèrement pression sur ma tête.  Comme enivré par la situation, je me suis mis à faire des allers-retours sur ce membre qui m’ouvrait la mâchoire bien en grand. Pendant ce temps, mes mains caressaient ses cuisses et son ventre tout en essayant d’enfoncer sa queue au plus profond de ma gorge. Comme un murmure, Il m'encourageait à continuer,  me félicitait doucement.
Puis il m'a demandé à voir mon cul. Je me suis  de nouveau mis à califourchon sur lui et approché mon cul de son visage. Il a posé sa bouche contre mon sillon et l'a bisé plusieurs fois avant de m'inciter à me relever et à poser littéralement mes fesses contre son visage. Sa langue s'est insinuée et a léché ma rosace qui s'est mise à frémir. C'était très agréable et tandis qu'il farfouillait mon anus,  je caressais la verge qui allait bientôt me perforer. Il n'était pas pressé... il s'est longuement occupé de ma rondelle, la léchant, la caressant du bout de la langue, du bout des doigts, la pénétrant aussi d'un doigt ou de deux.  Tout cambré à califourchon sur lui, je couinais doucement. Il a ensuite, versé le long de ma colonne vertébrale, un mince filet d'huile, c'était un peu froid et une drôle de sensation de sentir ces quelques gouttes s'écouler lentement vers mon sillon. Le moment venu, il a recueilli ces quelques gouttes pour les guider vers mon oeillet qu'il a pénétré avec deux doigts. J'ai gémis immédiatement implorant presque qu'il cesse ce délicieux supplice et qu'il m'embroche puissamment. 
Il a alors collé et frotté sa queue dressée tout  contre ma raie. Je me suis alors redressé,  j'ai écarté mes fesses des deux mains offrant à son regard, ma rosace bien ouverte et je me suis empalé dessus.
J'ai entamé une série de va-et-vient jusqu'à ce qu'il me fasse me retourner, sans déculer pour me mettre face à lui. Il voulait me voir tandis qu'il me martelait et me branlait.  
Sans doute fatigué par cette position, il m'a fait mettre à quatre pattes sur le matelas, posé un oreiller sous mon ventre,
- cambre-toi bien Babe, 
Debout à califourchon au dessus de moi, queue tendue vers mon cul,  il s'est baissé, a joué un instant avec son gland contre ma rosette puis, sans crier garde, il m'a de nouveau embroché sa bite dans mon anus, de tout son long. 
 Agrippé à mes hanches, il s'est mis à me baiser sauvagement, en donnant de grands coups de reins, enfonçant son bas-ventre contre mes fesses.  
Sa grosse queue défonçait mon petit trou, je gémissais de plaisir. Puis, il a ralenti le rythme, fait lentement sortir sa queue de mon anus avant de s'y encastrer sur tout son long ... pour très vite reprendre une baise endiablée pour de nouveau s'extraire.  À  chaque fois, une brise fraîche venait caresser mon oeillet grand ouvert.  Je sentais sa verge gonfler en moi, ses veines frotter de plus en plus contre mes sphincters.  Il m'a fait mettre à plat ventre pour m’empaler sur sa teub, plaquant son magnifique corps contre le mien, entamant des va-et-vient, toujours violents... mais il m'a surpris quand il a passé ses bras autour de mon corps et qu’il m’a embrassé dans le cou.
Ses coups de reins ont redoublé de violence. Il a continué de maintenir la pression autour de mon cou... ce qui me faisait bander à fond.
- Putain, tu me rends fou d’excitation !

Il m'a baisé ainsi pendant une dizaine de minutes avec un mélange de tendresse et de violence. Je sentais sa queue me limer, ses boules frapper mon cul. Quant à moi, je gémissais de plaisir. 
Comme pour prendre un peu de répit, il m'a fait mettre sur le dos, m’écartant bien les jambes pour reprendre son pilonnage. Moi, je me laissais faire, appréciant sa grosse queue qui me défonçait. Quel étalon doué ! Super endurant, Il m'a baisé comme ça pendant  un long moment, me faisant bien ressentir sa bite. Ma queue était toujours raide contre mon ventre, j'ai commencé à me branler à son rythme, je savais, je voyais qu'il était proche de l'orgasme et je voulais jouir en même temps que lui. Ça n'a pas tardé; alors qu'il me martelait le cul,  dans un spasme profond, j'ai joui, envoyant sur mon nombril un belle giclée de foutre. Comme s'il n'attendait que ça, 
Il a donné de grands coups de bite en moi avant de se bloquer au fond de mes entrailles pour lâcher la sauce.
Je sentais la violence de ses jets mitrailler mes entrailles et remplir mon anus. Je sentais cette chaleur liquide remonter le long de sa queue ...  Et soudain, sa semence  a débordé de mon anus et s'est répandue partout sur le matelas. Il s'est mis à redonner des coups de bite, tassant sa semence dans mon tréfonds. Il s'est ensuite couché sur le matelas, a saisi ma nuque, plaqué ma tête contre sa queue encore dure. Je me suis mis à la nettoyer. Il a tapoté mon cul encore béant et j'ai senti son foutre couler le long de ma cuisse. 
Il s'est relevé pour enfiler sa robe de chambre. 
  -c'était très bien, babe. .  Tu peux utiliser la salle de bain, dit-il, posant sur le meuble de l'entrée une enveloppe, c'est pour toi. 












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