Allen escort, le directif

Quand il s'est retiré,  le flot de sperme s'est écoulé le long de ma cuisse et il est venu le boire pour le partager ensuite avec moi. . 

Je m'appelle Allen. En fait c'est pas mon vrai nom, c'est plutôt mon nom de "scène". 

Je suis "escort boy". Certains appelleront ça autrement, pourquoi, je m'en fous. Qu'ils pensent ce qu'ils veulent. Oui,  je baise pour de l'argent.  Beaucoup d'argent.  Et en plus, oui j'aime ça. Seconde confession,  je suis obsédé du cul.  Et donc j'allie le plaisir au travail.  En réalité, je suis étudiant en physique nucléaire.  Au départ, j'ai accepté un coup pour arrondir mes fins de mois et puis de fil en aiguille j'ai continué.  Je suis cornaqué par une agence.  Par sécurité.  Les clients sont sélectionnés et savent ce qu'ils peuvent faire et moi aussi  

Oui j'aime le cul, trop. J'adore me faire prendre, vraiment.  C'est pourquoi les clients viennent, ils voient que je suis sincère.  Ils me donnent du plaisir et j'ai envie de leur en donner.  

Ce jour-là,  j'avais rendez-vous dans une banlieue résidentielle plutôt haut de gamme. 

Une très grande et luxueuse villa à laquelle pour y accéder il fallait être enregistré au préalable.  D'ailleurs,  je me demandais bien comment, mon client avait bien pu enregistrer mon arrivée.. professeur de gym peut-être ?!

Sûrement car j'avais pour consigne de me vêtir léger ; tee-shirt et short. 

Le gars s'appelait Steve.  Une bonne trentaine,  physiquement pas mal et "bien doté" d'après le dossier.

Quand il m'a ouvert,  j'ai été un peu décontenancé par son air sérieux et sa froideur. J'ai tenté de le détendre en m'approchant de lui pour lui claquer la bise,  peut-être pour donner le change aux voisins mais il m'a repoussé et invité à rejoindre le salon. 

Là encore,  j'ai merdé. Je l'ai complimenté sur son intérieur et il m'a sèchement répondu merci et après s'être assis dans un grand fauteuil,  il m'a demandé de me planter face à lui.

Il m'a regardé,  je dirais plutôt analysé. J'ai trouvé ça curieux car l'agence donne tous les détails avant.. mais bon,  le client est roi !.

- enlève ton tee-shirt,  approche-toi,

Il m'a très doucement caressé le torse, le ventre puis le tissu de mon short,  juste au-dessus de mon sexe qui évidemment s'est mis à durcir illico. 

- tourne-toi

Il a fait de même le long de ma colonne vertébrale avant de baisser doucement mon short et de l'enlever. 

J'étais maintenant en slip avec une érection déformant le coton qu'il a ôté rapidement. Libérant ma queue du même coup. 

- écarte les cuisses, 

Il a caressé mes hanches et mes fesses, passé sa paume entre elles, caressé mon entrejambe et tâté mes couilles, effleuré ma hampe. 

Il m'a montré d'un coup de tête,  la grande table qui se trouvait au milieu de la pièce. 

- Met-toi à quatre pattes sur la table,  cuisses bien écartées,  je veux examiner ta chatte. 

De plus en plus surprenant,  ce préambule hygiéniste,  mais pourquoi pas,  ce petit jeu, genre examen médical m'excitait plutôt et je portais fièrement ma verge en érection.

Dès que je me suis retrouvé sur la table,  cuisses bien écartées,  il s'est approché.  Il a caressé ma rosace d'un doigt ; tellement doucement,  que j'en ai eu la chair de poule.  Il a sorti de la poche de son pantalon,  son smartphone et a photographié la scène.. Son appareil toujours en main,  il a glissé un doigt dans ma rondelle et, après l'avoir reniflé,  me l'a donner à lécher. 

- Sur le dos maintenant et lève bien les jambes. 

Là encore,  il a observé avec une sorte "d'avidité" mon cul qu'il a caressé voluptueusement quelques instants, avant d'y glisser un doigt. 

- voyons voir s'il y aura assez de place pour moi là-dedans. 

Il a alors léché ses doigts avant d'en introduire deux en moi,  tout en les faisant tournoyer. 

- hmmm, c'est bon à t'il simplement dit avant de prendre ma queue dressée vers lui pour en soutirer la mouille..

- et tu mouille bien,  j'aime ça. 

Il m'a alors soulevé le bassin pour planter sa bouche contre ma raie et sa langue dans ma rondelle. 

- c'est délicieux ! Et il s'est jeté sur moi pour m'embrasser avec fougue.

Je ne pouvais rien faire qu'obéir mais cette passivité me plaisait et j'avais envie de jouer le jeu. 

Visiblement,  c'est mon cul qui l'intéressait.  Il m'a plaqué contre la table,  m'étranglant presque pour reprendre ma rondelle en bouche et la sucer et pénétrer passionnément.  Enfin, après un long moment, il s'est emparé de ma verge pour l'engloutir et la sucer dans un va-et-vient intense. Il savait y faire et je couinais sincèrement.  J'avais très envie de le toucher mais visiblement c'était pas son truc,  il me fallait obéir. 

- mets toi en  chien sur la table ! Et tandis que je m'exécute,  il dégrafe son pantalon et dégage une teub épaisse, veineuse,  légèrement courbe et circoncise. 

Je me suis précipité dessus l'engouffrant avec délectation tout en caressant ses boules. 

J'avais conscience,  le métier,  qu'il était bien sensible à mon cul, et j'ai bien pris soin de rester bien cambré, le cul bien haut.

Il fallait qu'il ait le contrôle de la situation.  Il a pris ma tête des deux mains pour donner le rythme et surtout faire en sorte que je gobe sa tige bien profondément et longuement, ne relâchant la pression que lorsque j'étais au bord de l'étouffement. 

- embrasse-moi ! Je veux sentir le goût de ma queue dans ta bouche. 

- continue ! Dit-il en ôtant son pull.  J'ai vainement tenté de lui lécher le torse mais il m'a immédiatement poussé vers sa teub.

J'ai recommencé à le sucer tant bien que mal car ce qu'il voulait c'était de bien pousser son mandrin au fond de ma gorge..

- tourne-toi et lève bien ton cul. 

Il a introduit deux doigts qui poussaient fermement mes sphincters et une nouvelle fois tandis il qu'il me bouffait le troufignon tout en tirant ma queue bien en arrière,  il a filmé avec son smartphone...  

De nouveau ses deux doigts ont fouillé mon anus et titillé ma prostate tandis qu'il branlait ma queue douloureusement tirée vers lui. 

 Mets-toi au milieu de la table et cambre-toi bien. 

Après s'être déshabillé il est monté sur la table juste au dessus de moi et après avoir de nouveau visité mon oeillet de deux doigts,  il m'a chevauché. Son dard m'a empalé direct jusqu'à ce que ses couilles viennent cogner contre mes fesses.  Je ne pouvais rien faire car il me maintenait par le cou fermement contre la table tout en me pilonnant. 

C'était violent mais je sentais le plaisir monter en moi et j'étais en communion avec lui. Quand il m'a retourné, sa bite toujours en moi,  j'étais comme fou car je le voyais entièrement prendre plaisir à me  marteler.  Sa queue savait donner du plaisir et je mouillait abondamment.  Plusieurs fois,  j'ai été au bord de l'orgasme tellement c'était intense. Mais il était attentif à mon plaisir et à chaque fois qu’il me voyait proche,  il me faisait changer plusieurs fois de position y compris tête bêche ! Sa queue, dans cette position me faisant découvrir des sensations nouvelles. Le cul en feu, je le regardais me laminer, souriant sous coups de boutoir.  Quand la position me le permettais, je me branlais à son rythme. 

Et puis, il s'est relevé. Debout sur la table, il était très beau. Un corps musclé et sec. Le regard conquérant. Je me suis approché de lui pour le caresser enfin, lui baiser les pieds puis remonter vers sa bite. De nouveau il s'est amusé à me pousser sa verge bien profondément à en vomir. 

- branle-toi!

Je me suis masturbé violemment tandis qu'il continuait à me forcer la bouche et c'est au bord de l'étouffement que j'ai joui,  envoyant des salves de foutre sur ses pieds que je me suis empressé de lécher. 

Il m'a repoussé, pris ma queue en main pour récupérer les dernières gouttes de sperme et me lubrifier le troufignon avant de s'y empaler à nouveau. 

Ses coups de reins m' arrachaient des gémissements de plaisir et de douleur surtout quand dans un dernier spasme,  j'ai senti son dard gonfler en moi.  J'ai alors serré mes sphincters au maximum et il a éjaculé plusieurs fois. 

Il m'a simplement tapoté les joues en disant,

- c'était bien.  Maintenant tu prends tes fringues et tu disparais.

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