22 août 2024

première fois






Alan, est mon meilleur pote de fac. C'est pas vraiment un ami et sûrement qu'après la fac nos relations se distancieront. Alan est gay, j'en suis sûr même s'il dit le contraire. Souvent je le titille sur ce sujet.  Surtout quand je le vois mater des revues de cul hétéro.... Je suis sûr qu'il est encore vierge. En tous cas il ne m'a jamais présenté de copine. D'ailleurs on passe beaucoup de temps ensemble à étudier où à glander. Et puis j'ai bien vu qu'à la piscine,  il a du mal à ne pas mater mon paquet sous le maillot... Moi, par contre, je ne suis pas vierge depuis longtemps. Faut dire que je suis très très bien équipé et ça,  ça attire forcément les mecs. C'est d'ailleurs un peu comme ça que je paye ma piaule. Un petit coup d'internet et le tour est joué. Sont pas tous beaux ni jeunes mais ils paient et tout ce qu'ils veulent c'est que je leur défonce la rondelle. Des fois même, je les trouve à quatre pattes sur un lit d'hôtel, porte entrouverte, dans une semi pénombre. Là tout ce qu'ils attendent c'est ma bite bien profond. J'arrive, je baisse mon froc, une petite branlette pour réveiller popaul (c'est le petit nom de mon braquemart) et même pas la peine de lubrifier le troufignon,  ils se sont la plupart du temps bien préparés. Sauf que des fois ils ont sous-estimé leurs capacités. Je vous raconte pas les hurlements de certains ! À réveiller tous les voisins. 
Pour être tout à fait honnête,  je dois dire que j'aime bien me faire prendre mais, bizarrement, ceux que j'interesse n'en font pas leur priorité  .....
Ce week-end là, Alan m'avait proposé de passer le week-end chez lui à campagne.  On avait des examens à préparer et on serait tranquilles. 
- tu dormiras avec moi si ça ne t'embête pas car l'autre chambre est celle de mes parents et ils ne veulent pas qu'on l'utilise.. m'a t'il dit un peu gêné. 
- ça ne me dérange pas du tout, au contraire, on pourra papoter plus longuement.. c'est cool ! Ai-je répondu avec un clin d'œil. 
Le premier soir, on s'est retrouvés dans sa chambre. Il s'est déshabillé, plutôt gêné et s'est couché tout en gardant son slip. J'ai fait de même en essayant de capter son regard mais il s'est jeté sur une revue porno. 
Alors que j'étais en slip, je lui ai simplement demandé, 
- tu dors en slip ? Si ça ne t'embête pas,  moi je dors à poil. 
Troublé, Il a alors tourné le regard vers moi et vers mon slip. 
C'est le moment que j'ai choisi pour l'enlever et découvrir ma longue et épaisse teub. 
- Putain mec, c'est quoi ça, s'est t'il écrié en la voyant !
- c'est popaul, ai-je dit. Il te plaît ?
- ça n'a pas à me plaire, c'est juste énorme et.... dégoûtant ! 
Couché sur le lit,  ma queue reposant sur ma cuisse.  
- arrête ton cirque,  je suis sûr que t'as envie de la toucher.. allez, t'en a jamais vu des comme ça ? 
- fait chier mec, je suis pas pd,  maintenant on dort et reste bien dans ton coin. 
- OK, OK te fâche pas... mais bon, ta petite bosse dans ton slip... tu diras ce que tu voudras mais il y a des signes qui ne trompent pas. 
Il a juste éteint la lumière et m'a tourné le dos. 
Malheureusement, j'étais chaud comme la braise. J'ai commencé à me branler doucement.. à la fois j'avais envie de le réveiller et de le laisser dormir. Il n'empêche que malgré mes précautions,  le lit grinçait quand même...
A un moment il a bougé et s'est découvert en faisant tomber le drap. Je voyais son beau cul et j'avais d'un coup très envie de baisser son slip.
J'ai caressé son dos, le tissu de son slip et j'ai commencé à le baisser tout doucement. Je bandais comme un taureau et un copieux filet de mouille s'écoulait de mon dard.
Il a un peu bougé mais curieusement son mouvement m'a facilité la tâche et j'ai pu découvrir entièrement son fessier. 
Je l'ai caressé tout doucement de la paume de la main puis du bout des lèvres. 
Je l'ai reniflé jusqu'à glisser mon nez au creux de son sillon. Il a encore bougé; ses jambes se sont légèrement ouvertes et là encore, il m'a facilité la tâche. Son sillon s'est légèrement entrouvert et je pouvais presque apercevoir son œillet.
J'y ai glissé la langue puis en écartant ses globes,  j'ai pu atteindre sa rosace. Il a commencé à geindre doucement ; évidemment il ne pouvait pas simuler plus longtemps.. il s'est retourné tout en gardant les yeux fermés. Il bandait. Sa queue sans être exceptionnelle était joliment posée sur son ventre, le gland à demi décalotté. 
J'ai passé ma langue dessus pour recueillir les premières gouttes de mouille, je l'ai léchée sur toute la longueur jusqu'à lui bouffer les boules puis je l'ai gobée toute entière. Il gardait les yeux fermés tandis que je le suçais. Il fallait sans doute qu'il accepte la situation et le fait qu'il prenait du plaisir..
Au bout d'un moment je suis remonté tout doucement vers son visage en lui caressant le ventre et le torse du bout des lèvres.  Lorsque mes lèvres se sont retrouvées près des siennes, que nos souffles se sont mêlés, il a enfin ouvert les yeux, m'a souri et enfin nos langues se sont entremêlées. 
Et puis la passion. Il m'a retourné sur le dos et couché sur moi, nous nous sommes embrassés avec fougue, nos mains parcourant, agrippant nos corps. On riait comme si ce moment avait été longtemps attendu, désiré.
Il a parcouru mon torse avec ses lèvres,  titillé et mordillé mes tétons, comment savait il que j'aimerais ça ?
Ses lèvres parcouraient maintenant mon ventre et bientôt elles se sont trouvées au-dessus de ma queue. Il a déposé un baiser sur mon gland, a relevé la tête. 
- Putain mec, elle est énorme ! Jamais je pourrais...  
- - c'est ta première fois ?
- Ben oui...
- t'inquiète, je sais y faire.
J'ai pris mes cuisses dans mes bras. Il avait ainsi mon cul et mon sexe juste devant les yeux. Il a commencé à lécher ma longue hampe, sur toute sa longueur et je lui disais ce que j'avais envie qu'il me fasse. 
Prendre mes boules en bouche,  les malaxer, tirer dessus tout en suçant mon gland, mettre le bout de sa langue dans mon méat,  ...  fourrer sa langue dans mon sillon et lécher ma rosace. 
Après ça, nous nous sommes enlacés pour un 69 passionné. Il s'occupait avec passion de ma tige, tout surpris et heureux de savoir la gober presque entièrement.  Quant à moi, il me fallait,  je voulais m'occuper de son troufignon encore vierge. Après avoir bien léché sa douce rondelle du bout de la langue. Je l'ai soulevé, fesses en l'air. Son œillet était là devant moi. 
Je l'ai longuement tapoté du bout des doigts et soufflé dessus ; il palpitait. C'était émouvant. J'ai craché abondamment dessus puis j'ai glissé un doigt en entier, quelques aller-retour avant d'en glisser un second. Alan pendant ce temps continuant à me sucer le chibre, couinait .
Avec deux doigts, longuement, j'ai écarté ses sphincters, tout en crachant dans l'orifice ainsi ouvert.
Sa queue toujours raide était là devant moi et battait contre son ventre au rythme de mes assauts. 
Je l'ai attirée vers moi, prise en bouche et j'ai enfoncé deux doigts dans son anus dilaté pour un intense va-et-vient tout en tirant ses boules vers moi. 
Il a hurlé et lâché ma queue. Plaisir,  douleur. Sûrement tout cela mêlé.
Son anus était maintenant bien ouvert  alors j'ai recommencé ma préparation.  J'ai tapoté, craché. Écarté,  pénétré.  Il gémissait de plus en plus et sa queue libérait un copieux filet de mouille qui s'écoulait le long de son ventre. 
Je lui ai alors demandé de se mettre à quatre pattes cuisses bien écartées. J'ai chopé sa bite et ses couilles par derrière d'une main et titillé sa rondelle de l'autre. Sa rondelle palpitait, elle était prête, j'en étais sûr. J'ai enfoncé mon pouce tout en poussant son sphincter. J'ai approché ma teub et je l'ai frottée à la sienne. Mon gland caressait sa rosace que j'avais abondamment couverte de salive. C'était délicieux.  
J'ai poussé tout doucement. Il couinait me demandant d'arrêter puis de continuer.  Tout doucement le gland est rentré et j'ai à coups de petits va-et-vient poussé jusqu'à ce qu'il paraisse détendu.  Alors je suis sorti un instant avant de revenir par petits coups. Quand il a accepté mon gland sans difficulté,  j'ai poussé au maximum
 Quand enfin je me suis retrouvé collé à son corps, je me suis penché sur lui pour l'embrasser et prendre sa queue en main pour la branler au rythme de mes coups de reins.  
Sans nous séparer, toujours empalé en lui  je me suis relevé, retourné et couché.  Il était maintenant étendu sur moi, mon dard toujours ancré en lui. Je lui donnait de légers coups de bassin et lui pouvait se branler. 
- vas-y,  à toi, branle moi avec ton cul  ..
Ses pieds posés sur mes cuisses,  il a entamé ses va-et-vient tout en se branlant. Ma queue fouillait ses entrailles, flattait sa prostate.
Il se branlait frénétiquement maintenant entièrement couché sur moi. Je caressais son torse , son ventre puis dans un hurlement, il a giclé plusieurs fois couvrant son ventre et ma main de foutre. Je lui ai donné ma main à lécher.  C'était sans doute la première fois qu'il y goûtait.
Je me suis retiré.  Sa rondelle était grande ouverte.  Je le suis branlé dessus jusqu'à ce que je jouisse, éjaculant mon sperme dedans.  Après plusieurs spasme,  je le suis de nouveau empalé, poussant mon foutre bien profond en lui. 
- nous nous sommes écroulés enlacés,  heureux. 
- on se repose un peu et après c'est toi qui me baise...
Mais on s'est très vite endormis. 




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